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In Fine éditions d’art est la nouvelle référence éditoriale française auprès des musées, artistes, galeries, institutions et fondations du monde de l’art.

28/11/2025

[RÉCAP 2025]

Coup de projecteur sur l’une de nos publications de cette année : Au temps de Camille Claudel, sous la direction d’Anne Rivière, Pauline Fleury, Hélène Jagot et Sophie Kervran, publié en collaboration avec le musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine, le musée des beaux-arts de Tours et le musée Pont-Aven.

« Ce catalogue prolonge l’exposition "Au temps de Camille Claudel, être sculptrice à Paris" en donnant la parole à celles qui ont façonné, dans l’ombre des maîtres, une modernité au féminin.

Des spécialistes françaises et internationales y éclairent la diversité des parcours, les solidarités d’ateliers, les luttes pour la reconnaissance et l’émergence d’esthétiques singulières. Porté par une dynamique collective entre les musées de Nogent-sur-Seine, Tours et Pont-Aven, et nourri par les recherches d’Anne Rivière ainsi que d’une nouvelle génération de chercheuses, cet ouvrage constitue une contribution majeure à l’écriture d’une histoire de l’art des artistes femmes à la charnière des XIXe et XXe siècles. »

À découvrir en librairies et sur infine-editions.fr

#2025

27/11/2025

[RÉCAP 2025]

Pour célébrer la fin d’année, retour sur un ouvrage publié en 2025 par In Fine en collaboration avec le musée Matisse de Nice : Matisse Méditerranée(s), sous la direction de Aymeric Jeudy.

« "Comme importance c’est la Méditerranée. Moi qui ne la connaissais pas, qui suis un homme du Nord, c’est la Méditerranée qui m’a le plus frappé." Henri Matisse
La Méditerranée a exercé sur Matisse une fascination continue de sa première visite de la Corse en 1898 à sa fréquentation ininterrompue de Nice entre 1917 et 1954, en passant par de nombreux voyages à la découverte de l’Algérie, de l’Espagne, de l’Italie et, bien sûr, du Maroc.
De l’aveu même de Matisse, le bassin méditerranéen, baigné d’une lumière qui l’émerveille, est déterminant pour son œuvre, tant dans l’expérimentation d’un nouveau langage que cet environnement lui permet de développer que dans la tradition picturale à laquelle il se rattache ; bien plus encore, dans la médiation qu’il lui offre avec l’Orient et les cultures anciennes.
En effet, Matisse, qui cherche à exprimer sa perception personnelle du paysage, entretient un rapport conceptuel avec la mer et avec la Méditerranée en particulier : une mer constituée d’espaces vécus, sensibles, rêvés ou fantasmés. Cette "machine à fabriquer de la civilisation", comme l’appelle Paul Valéry (premier directeur du Centre universitaire méditerranéen créé à Nice en 1933), devient, pour le peintre, le lieu d’intenses recherches chromatiques et plastiques, celui de la découverte de nouveaux motifs. Elle est surtout, au-delà des évidences et des lieux communs, "un très vieux carrefour" dont Matisse a été un témoin et un acteur, où – selon les termes de Fernand Braudel – "tout a conflué […]".»

À retrouver en librairies et sur infine-editions.fr

#2025 ̇nstabook

25/11/2025

[NOUVEAUTÉ CATALOGUE]

H.G. Ibels, un nabi engagé, sous la direction de Céline Chicha, Claire Dupin de Beyssat, Ghislaine Gaudemet, Sylvaine Millot, Fleur Roos, Rosa de Carvalho, Marine Schweitzer et Gérard Tournier.
À l’occasion de l’exposition au musée Maurice Denis. Du 25 novembre au 1er mars.

In Fine vous invite à découvrir son catalogue consacré à Henri-Gabriel Ibels, première monographie dédiée à cet artiste aux multiples facettes. Membre fondateur du groupe des nabis, il s’est illustré comme dessinateur, affichiste, lithographe, mais aussi chroniqueur de son époque par l’image, d’où son surnom de « nabi journaliste ».

Cet ouvrage à l’iconographie exceptionnelle retrace une carrière étonnante par sa diversité et met en lumière toutes les facettes de l’artiste : de la presse à la scène, du costume au cirque en passant par l’engagement politique et le combat social.

À découvrir à la boutique du musée, en librairies et sur infine-editions.fr

24/11/2025

[RÉCAP 2025]

Plus que quelques semaines avant 2026. Pour l’occasion, retour sur une sortie marquante de cette année : Bronzes royaux d’Angkor, un art du divin, publié en collaboration avec le musée Guimet et dirigé par Pierre Baptiste, David Bourgarit, Brice Vincent et Thierry Zéphir.

« Angkor, capitale de l’Empire khmer, a conservé de sa gloire passée des vestiges monumentaux d’une beauté incomparable. Mais qui se souvient que ces sanctuaires abritaient jadis toute une population de divinités et d’objets de culte fondus en métaux précieux ?
Subtil alliage, le bronze a donné naissance au Cambodge à des chefs-d’œuvre de statuaire témoignant de la fidélité des souverains khmers à l’hindouisme comme au bouddhisme. Apanage du roi, la métallurgie était une technique sacrée, dont le savoir-faire était précieusement préservé dans des ateliers royaux.

À la faveur de fouilles récentes, notre connaissance de cet art du bronze a fait l’objet d’avancées spectaculaires. Il est ici mis en lumière à travers 200 œuvres remarquables – dont l’exceptionnel Vishnou couché du Mebon occidental, trésor national du Cambodge et plus grand bronze jamais retrouvé à Angkor. »

À retrouver en librairies et sur infine-editions.fr

#2025

23/11/2025

[RÉCAP 2025]

Pour célébrer la fin de 2025, (re)plongez dans les profondeurs marines avec Bleu Profond. L’océan révélé, un ouvrage réalisé en collaboration avec Les Franciscaines de Deauville, sous la direction de Jean de Loisy.

« Depuis le XVIIIe siècle, les profondeurs marines, jusqu’alors inaccessibles, ont commencé à livrer leurs secrets. Grâce aux progrès techniques et à la soif de savoir, scientifiques et artistes ont su révéler ce monde et transformer notre regard.

Cet ouvrage réunit les chefs-d’œuvre de chercheurs et d’artistes qui fixèrent ces images saisissantes qui font désormais partie de notre imaginaire. Près de deux cents œuvres et documents dont de nombreux inédits composent un voyage exceptionnel dans les ateliers et les laboratoires des explorateurs de ce nouveau monde. »

Disponible en librairies et sur infine-editions.fr

#2025

22/11/2025

[RÉCAP 2025]

En cette fin d’année, retour sur une parution marquante de 2025 : L’Horizon sans fin de la Renaissance à nos jours, en collaboration avec le musée des beaux-arts de Caen et sous la direction d’Emmanuelle Delapierre et Céline Flécheux.

« Depuis la Renaissance, les artistes n’ont cessé de nous rendre sensibles aux nombreux paradoxes de l’horizon. Entre imaginaire et réalité, où se tient l’horizon, cette ligne de rencontre entre le ciel et la terre (ou entre le ciel et la mer), ce phénomène purement visuel et toujours mobile ? Comment figurer ce qui n’a aucune existence matérielle et qui pourtant nous permet de nous orienter dans l’espace ? Qu’il donne l’illusion de la profondeur en unifiant l’espace représenté, qu’il paraisse ouvrir la vue à l’infini, qu’il s’élève tel un barrage tranchant ou qu’il nous renseigne sur le rapport de l’homme à l’autre, l’horizon nous fournit les repères essentiels à notre expérience du monde.
Depuis l’invention de la perspective à la Renaissance jusqu’aux œuvres contemporaines, les artistes explorent notre rapport à l’horizon à travers des supports de plus en plus diversifiés. À l’heure où le monde semble être mis à plat par les communications en réseau, où des milliardaires mettent en jeu des sommes faramineuses pour quitter l’orbite terrestre, cet ouvrage invite à reconsidérer la portée de l’horizon dans ses dimensions existentielle, matérielle et sensible. »

À découvrir en librairies ou sur infine-editions.fr

#2025

21/11/2025

[RÉCAP 2025]

Coup de projecteur sur Eugène Boudin, le père de l’impressionnisme, un ouvrage publié cette année en collaboration avec le musée Marmottan et dirigé par Laurent Manœuvre.

« Eugène Boudin (1824-1898), né à Honfleur, élevé au Havre, s’emploie dès ses débuts à traduire les effets fugitifs de la lumière de l’estuaire de la Seine. Son élève, Claude Monet, se dira « fasciné » par l’« instantanéité » de ces études, prémices de l’impressionnisme.
La collection réunie par Yann Guyonvarc’h permet de découvrir, au travers d’esquisses comme de peintures ambitieuses destinées au Salon, l’évolution de ce chantre du ciel, depuis les premiers paysages normands jusqu’aux ultimes marines du Midi ou de Venise, et aussi de le suivre dans ses voyages en Bretagne, à Bordeaux, dans le Nord, en Belgique et aux Pays-Bas, sans oublier les fameuses scènes de plages de Trouville ou de Deauville.
Dans cet ouvrage riche de plus de deux cents œuvres, cet ensemble singulier entre en dialogue avec les œuvres du musée d’Art moderne André Malraux du Havre, une sélection exceptionnelle de dessins du musée d’Orsay accompagnées d’une dizaine de peintures et dessins issus des collections du musée Marmottan Monet. »

À retrouver en librairies et sur infine-editions.fr

#2025

20/11/2025

[RÉCAP 2025]

En cette fin d’année, retour sur Labyrinthes, un ouvrage dirigé par Grégoire Hallé et Mathias Dupuis, publié cette année en collaboration avec le musée des beaux-arts de Chartres à l’occasion du millénaire de la cathédrale.

« Puissant, voire terrifiant, le labyrinthe présente une dimension spirituelle et symbolique jusque dans notre culture populaire, où ses déclinaisons foisonnent.

Motif universel, à la fois immémorial et ultracontemporain, son architecture, faite d’impasses, de chausse-trapes, de tours et de détours, a su marquer nos imaginaires, de l’Antiquité à nos jours. À l’occasion du millénaire de la cathédrale de Chartres, cet ouvrage, richement illustré, retrace son histoire. »

À découvrir en librairies et sur infine-editions.fr

#2025

16/11/2025

[FOCUS]

Caspar David Friedrich
Moine au bord de la mer
Huile sur toile, 110 x 171,5 cm
Berlin, Alte Nationalgalerie

« Avec les romantiques, le paysage s’évide ; le voilà exhibant sa force tranchante, comme l’augure le célèbre Moine au bord de la mer de Caspar David Friedrich au début du xɪxᵉ siècle, tableau qui déplace la question du paysage vers des pensées liées au recueillement devant l’infini, à la recherche désespérée de Dieu dans l’univers, à la fusion ou à la ‘division tragique’ de l’homme et de la nature. […] Le tableau déploie un paysage aux dimensions inquiétantes, tant à cause du vide que de l’extension maximale de l’horizon, dans un bord de mer qui semble avoir été déserté. Seule verticale dans la composition et seule présence vivante, le moine capucin se tient moins face au paysage qu’il n’est absorbé par lui ; il rejoue, en quelque sorte, notre propre position de spectateur qui, désorienté face à cet horizon dénudé, voit le tableau sans pouvoir le totaliser, comme si le peintre avait eu des difficultés à cadrer son sujet ou à trouver la bonne distance. L’horizon prolonge indéfiniment l’égarement du moine et le nôtre, tandis que s’accroît un sentiment de solitude et de désolation. […] Une telle désertion, sans point de vue directeur ni cadrage savant, empêche toute focalisation. Le tableau représente ce qui advient en lui : à le regarder, on y voit ce qui se dérobe à la vue. »

Céline Flécheux dans L’Horizon sans fin. De la Renaissance à nos jours (dir. Emmanuelle Delapierre et Céline Flécheux), pp. 31-32.

À retrouver en librairies, à la boutique du musée des beaux-arts de Caen et sur infine-editions.fr

13/11/2025

[NOUVEAUTÉ CATALOGUE]

Le Phare Rembrandt. Le mythe d’un peintre au siècle de Fragonard, sous la direction de Yohan Rimaud.

À l’occasion de l’exposition au musée des beaux-arts de Draguignan. Du 15 novembre au 14 mars.

In Fine est fier de vous présenter son nouveau catalogue d’exposition consacré à Rembrandt, figure fascinante et incontournable de la peinture occidentale. Depuis sa découverte en France à la fin du xᴠɪɪᵉ siècle, son œuvre a suscité admiration, polémiques, fascination et imitations.

Nourri par les analyses de nombreux spécialistes, cet ouvrage à l’iconographie exceptionnelle propose une lecture inédite de la réception française de Rembrandt de la fin du xᴠɪɪᵉ siècle à la Révolution, à une époque où Paris façonne la réputation européenne de l’artiste. Il met ainsi en lumière la construction du mythe Rembrandt, qui traverse les siècles et continue d’inspirer le regard contemporain.

À découvrir à la boutique du musée, en librairies et sur infine-editions.fr

09/11/2025

[FOCUS]

Marthe Morisot
Le Berceau
Huile sur toile, 56 x 46,5 cm
Paris, Musée d’Orsay

« Bercer + berceau = berceuse. On dirait que le mot a toujours existé. Or, plus jeune que ses homologues allemand (Wiegenlied au moins depuis le xᴠɪɪɪᵉ siècle), anglais (lullaby dans la langue écrite au xᴠɪᵉ siècle), italien (ninna nanna pareillement), la berceuse ne se nomme que depuis les années 1830. Elle désigne d’abord la mère, la nourrice, la berceresse, puis ce qu’elle fredonne au petit. Jusqu’alors on ne parlait que de chant, la berceuse avait un rôle et un titre, pas de nom […] Et un beau soir la berceuse a changé d’adresse. Elle était orale, elle devint écrite, elle était ingénue, elle devint savante. Elle était anonyme, elle devint artiste. En 1602, le ténor romain Giulio Caccini fait paraître à Florence un recueil intitulé Le nuove musiche, musiques nouvelles libérées des polyphonies complexes dont se grisait la Renaissance. […] Avec les nuove musiche naissent le madrigal et l’opéra, formes taillées dans le verbe, dans l’affect, réservoirs d’images physiques ou mentales.
Or la berceuse a ceci de particulier qu’elle est à la fois physique et mentale. Musique utilitaire elle procure le sommeil et, dans le drame nature de l’opéra comme dans le drame miniature du madrigal, elle le représente. Elle montre ce qu’elle cause. Elle peint ce qu’elle est. Le xᴠɪɪᵉ siècle des passions théorisées, sera son siècle. »

Ivan Alexandre dans l’Empire du Sommeil (dir. Laura Bossi), p. 59

À retrouver en librairies, dans la boutique du musée Marmottan Monet et sur infine-editions.fr

04/11/2025

[NOUVEAUTÉ CATALOGUE]

École de Paris. La Collection Marek Roefler, sous la direction de Artur Winiarski et Alice S. Legé.

À l’occasion de l’exposition au musée de Montmartre, Paris. Du 17 octobre au 15 février.

À l’occasion de l’exposition consacrée à l’École de Paris, In Fine vous propose de découvrir son superbe catalogue officiel, qui retrace l’effervescence artistique qu’a connu Paris au tournant du xxᵉ siècle. Richement illustré, il réunit des essais inédits signés par des spécialistes et met en lumière une génération d’artistes venus d’horizons variés, réunis dans une capitale qui devient le foyer d’une modernité cosmopolite.

À retrouver à la boutique du musée, en librairies et sur infine-editions.fr

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