Le 1 hebdo

10/08/2025

« David Lynch ne se cachait pas de faire du cinéma, bien au contraire, mais cela ne l’empêchait pas de parler de notre vie la plus intime et des mouvements de notre inconscient. »

👉 L’édito de Martin Mauger
À lire en libre accès ↓

Irruption du trouble

09/08/2025

🎬 Retrouvez dans ce nouveau numéro, « L’Amérique de David Lynch », deux affiches de film !

🕶️ L’affiche de Twin Peaks signée Jordan Bolton
😶‍🌫️ Et l'affiche de Mulholland Drive

En kiosque et librairie !

08/08/2025

« Sans être un cinéaste politique, Lynch prend souvent de grandes configurations ou des motifs américains pour les inscrire dans un régime de tension figurative, esthétique ou narrative, de sorte qu’ils deviennent inquiétants et tiennent sans tenir. La tradition européenne lui offre une bonne part des ressources qui lui permettent de le faire. »

👉 Guy Astic, auteur et éditeur

L’Amérique sens dessus dessous

07/08/2025

« D’abord, il y a eu la peinture. Lynch commence véritablement à s’y intéresser au moment où, à l’issue d’une enfance qu’il dit heureuse et proche de la nature, sa famille emménage à Alexandria, en Virginie. Il fait là plusieurs rencontres décisives, dont celle de son grand ami Jack Fisk, devenu depuis un grand chef décorateur qui a travaillé, entre autres, pour Brian De Palma, Terrence Malick et Martin Scorsese. »

👉 Thierry Jousse, journaliste et réalisateur

« Un cinéaste qui libère les autres »

06/08/2025

👂 Chez Lynch, le son précède l’image et façonne tout le film.
Paul Laborde décrypte dans notre série d’été comment Lynch travaille la bande sonore comme une matière vivante, organique, granuleuse, de Eraserhead à Twin Peaks et Blue Velvet. Entre drones inquiétants, mélodies diégétiques et textures sonores travaillées, le son est un personnage à part entière dans l’oeuvre de Lynch.

Un grand merci au Théâtre de la Concorde !

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Images extraites des films Twin Peaks © ABC Studios. Images extraites de Eraserhead © American International Pictures. Images extraites de Blue Velvet © De Laurentiis Entertainment Group. Utilisation à des fins d’analyse / critique dans le cadre d’un contenu non commercial. Tous droits réservés aux ayants droit.

05/08/2025

🎬 Les films et séries de David Lynch tiennent davantage de l’expérience que du divertissement, et leur sens est rarement évident. Son œuvre est pourtant fondamentalement libératrice.

✍️ En texte et en dessin, la réalisatrice Céline Devaux rend un hommage aussi sincère que malicieux au cinéaste disparu.

👣 Le journaliste et critique Thierry Jousse évoque le parcours, l’œuvre et l’héritage cinématographiques de David Lynch.

🧠 Le philosophe Éric Dufour analyse la manière dont fonctionne le cinéma si particulier de David Lynch.

🗞️ Rendez-vous dès demain en kiosque, librairie et sur notre boutique en ligne : https://le1hebdo.fr/

🎨 Une signée Vince
🖼️ Retrouvez à l'intérieur l'affiche de Twin Peaks signée Jordan Bolton et l'affiche de Mulholand Drive.

02/08/2025

🎬 Retrouvez dans ce nouveau numéro « L’Amérique de Sofia Coppola » deux affiches de cinéma !

👭 L'affiche taïwanaise de Virgin Suicides
🏩 L’affiche de Lost in Translation signée Matt Taylor

01/08/2025

« J’ai toujours soutenu que le cinéma de Coppola est « au féminin », car tous les points d’identification– qu’il s’agisse du personnage principal, du point de vue de la caméra (libre et indirect, comme le conçoit Pasolini), ou de la position donnée au spectateur – sont féminins. »

👉 Anna Backman Rogers, chercheuse en cinéma.

« Coppola nous introduit dans l’espace intime et secret des jeunes filles »

31/07/2025

« Quand elle écrit un film, elle écoute toujours de la musique. Quand elle écrivait le scénario de Virgin Suicides, elle écoutait le groupe Air, qui représentait vraiment pour elle les années 1990, et elle leur a ensuite confié la bande originale du film. »

👉 Suzanne Ferriss, chercheuse en littérature.

« Sofia Coppola montre une Amérique plus intime »

30/07/2025

« Rarement un détail aura fait l’objet de tant d’attention. Une innocente paire de Converse pervenche furtivement glissée au détour d’un plan du Marie-Antoinette (2006) de Sofia Coppola, et c’est l’émoi dans Paris. »

👉 L’édito de Maxence Collin
À lire en libre accès ↓

Cage dorée

29/07/2025

🎬 Troisième étape du voyage estival du 1 au cœur du cinéma américain avec Sofia Coppola. Ce numéro vous propose de redécouvrir une œuvre bien éloignée de la superficialité qu’on lui prête parfois.

👩 La chercheuse Anna Backman Rogers montre qu’à travers la figure récurrente de l’adolescence « mise en cage », Sofia Coppola ouvre une voie pour échapper au piège de la fascination, en invitant généreusement à adopter un "regard féminin".

📽️ La chercheuse Suzanne Ferriss, retrace le parcours de la réalisatrice, elle montre comment elle élabore une œuvre ouverte aux interprétations multiples.

👬 Le critique Léo Soesanto, revient sur ces duos père-fille, qui ne sont pas sans écho à l’histoire propre de la réalisatrice, fille d’un Francis Ford Coppola à l’ombre parfois bien pesante.

🗞️ En kiosque, librairie et sur notre boutique en ligne : https://le1hebdo.fr/
🎨 Une signée Vince
🖼️ À l'intérieur l'affiche de cinéma de Lost in Translation (Matt Taylor) et l'affiche taïwanaise de Virgin Suicides.