JE dis ça je dis RIEN

JE dis ça je dis RIEN Petites chroniques d’une personne pas comme les autres

Ce matin, je décide de faire l’impasse sur mon téléphone, déjeuner avec ma grenouille qui ô miracle est réveillée.L’enfa...
16/07/2025

Ce matin, je décide de faire l’impasse sur mon téléphone, déjeuner avec ma grenouille qui ô miracle est réveillée.
L’enfant est impatiente que son amie vienne la chercher, moi un petit peu moins je décide de passer ce temps avec elle.

Elle ne se rend pas compte, je la partage avec son père, avec ses amies…alors ce matin il est pour moi.

Ma chatoune s’en va dans peu de temps, je jette un œil à mon téléphone, qui se réveille avec soixante quinze notifications ?

Comment répondre à tout ce monde ?
D’abord les urgences, les notifications factures, les prélèvements sont ils bien passés ?
Ensuite les reseaux.

Je m’étonne toujours autant que des gens que ne ne connais de nulle part aie autant de chose à me dire.

Je crois que Brad Pitt a enfin quitté Anne il vient d’apparaître dans mes notifications comme par magie.
Si j’avais un doute sur ma beauté … je n’en ai plus Brad Pitt vient de me dire qu’il me trouvais charmante.
Trente six autres personnes sont de son avis, et moi j’ignorais avoir mis un sondage en ligne.

Je vérifie par acquis de conscience.
Je n’ai rien mis de tel, des vidéos de paysages que j’affectionne, une de mes virées en forêt, pour rappeler aux gens que le bonheur, c’est maintenant ou jamais…

Je prône le fait que argent ou non, conjoint ou non, si l’on sait apprécier les belles choses de la vie.
Les choses les plus simples, celles auxquelles on ne pense pas, alors on peut être heureux, de ça, de rien, d’être juste là.

Pas de sondage, pas de petites annonces, pas de propositions d’abonnement mym…
Je ne comprend pas un tel engouement.

Peut être ma philosophie de vie est elle payante ?
Il est vrai que argent, position, couple, tout ce que j’ai pu avoir dans ma vie ne m’a jamais fait sentir aussi heureuse que je le suis en ce moment.

Je ne dis pas que je ne veux personne, pas de travail, pas d’argent, je dis juste que ce n’est pas indispensable à mon bonheur et que c’est une valeur ajoutée à ma vie.

Brad Pitt n’a aucune chance avec moi, je ne manque pas de prétendant tout en muscle et avec de belles gu**les.
Mais j’ai un argentin fascinant qui m’empêche de me concentrer sur autre chose pour le moment.

Et puis j’ai des choses à mettre en place qui ne laissent je le crains pas assez de temps pour Brad Pitt.
Je suis honorée de sa proposition de faire connaissance mais je dois décliner.

Après je pense en toute sincérité que je n’ai rien de spécial, vraiment pas, je suis très commune, et je le vis plutôt bien.
Mais par contre je suis heureuse, je rayonne littéralement.
J’apprécie mon célibat, ma vie simple, mes échappées belles, et ça me suffit.

En fait si j’ai une seule technique de séduction, un seul conseil de beauté à donner, c’est soyez vous même et soyez heureux …
Brad Pitt pourra vous le confirmer !

15/07/2025

Je ne vais pas faire un portrait de toi, parce que je sais que tu te sentirais exposé … et que tu détestes ça.

Mais je vais te dire quand même ce que je déduis de tes capacités professionnelles, exactement ce qui me plaît dans les conversations que j’ai avec toi.

Tu es très intelligent, pondéré, dans une réflexion permanente et il y a chez toi comme chez moi une pensée en arborescence.

Il y a chez toi malgré une grande intelligence émotionnelle et une capacité d’adaptation hors du commun, une aptitude que je n’ai pas à mettre les émotions de côté, pour te concentrer sur le côté factuel des situations.

Il y’a dans cette maîtrise toujours l’ascendant sur ton interlocuteur, une sorte de charisme particulier, doublé d’une aptitude relationnelle évidente.

Ta capacité de faire ressentir à n’importe qui la sensation d’être à la maison, est particulièrement extraordinaire, dans la mesure où ta personnalité ne permet pas les débordements.

Par exemple une attitude très ouverte qui peut trancher avec un ton ultra pondéré, ou l’inverse, et qui donne une aura très charismatique sur laquelle tu appuies une volonté et une détermination hors du commun.
Masquée par une douce popularité et une accessibilité, qui font de toi le bon copain …

Sans rentrer trop avant dans le personnel, j’en déduis que tu es un ami plein d’énergie, toujours prêt à rire et profiter d’un bon moment, tu es à l’aise avec des gens simples et tu n’aimes pas les faux semblants !

Il y a cette dualité extraordinaire dans ta personnalité qui me ressemble beaucoup et qui me laisse à penser que tu es à la fois tout et rien !

Un parfait caméléon exactement comme moi.

On devine un côté épicurien, tu aimes la vie, mais tu as la sagesse de ne pas trop montrer à quel point.

Un enracinement qui détermine la base de tes actions, et la dessus encore tu es comme moi.
Tu sais qui tu es, d’où tu viens et où tu vas !

Tu peux faire des compromis, mais toujours à ton avantage, même si ça ne se voit pas au premier abord, et c’est pour ça que comme moi tu ressors gagnant !

Ta victoire n’écrase pas.
Tu es humble en étant grand.
Tu es un parfait équilibre entre intelligence relationnelle/émotionnelle et intelligence logique et stratégique.

Et puis tu es commercial comme moi, et je note que tu maîtrise parfaitement la communication, et les outils d’argumentation.

J’ajoute à cela une excellente organisation, tu es typiquement le genre de personne à prévoir jusqu’au moindre détail pour ta journée du lendemain…jusqu’au vêtement.
Peut être une éducation un peu militaire …
Et ça peut te faire paraître exigeant auprès de ton cercle professionnel et privé.

Alors … que penses tu du portrait professionnel que j’ai dressé de toi ?
Je ne rentre pas dans le versant personnel volontairement, car j’estime que ça ne se fait pas.

Moi j’en dit que tu es le genre de collègue dont on ne se passerait pas et aussi que tu me ressembles beaucoup plus que tu ne le crois !

La question que je me pose … c’est comment est ce que toi tu as compris qui j’étais moi alors que je ne le montre pas ?
Et la seule réponse que je vois, c’est que tu es comme moi …

14/07/2025

Tu me dis que je pourrais, et je le sais, ce n’est pas une fausse modestie.
Je connais mes capacités, mes failles mieux que n’importe qui.
Tu me proposes de rejoindre ton entreprise et j’y excelle je le sais.

Tu me dis que je pourrais très bien être sur une grande liste avec les grands noms, et j’en ai conscience ; je l’ai déjà fait et tu le sais.

Je ne cherche pas un fauteuil, j’en ai occupé plusieurs avec brio.
Je cherche du vrai, du tangible.
J’aime l’idée de participer a quelque chose.

Le fait qu’une réflexion commune puisse apporter un progrès, et le simple fait d’y contribuer.
J’aime m’impliquer et essayer de faire changer les choses.
Mais je n’aime pas ce qui va avec.

Je n’aime pas le fait que les gens qui passaient sans te voir ne voit soudain plus que toi.
Je n’aime pas que tout le monde viennent frapper à ta porte juste pour te demander un service.
Je n’aime pas qu’on te considère pour un titre alors que tu es considérablement belle et intelligente… même sans.

J’ai des amis qui ont des statuts, plus d’un, et cependant je ne m’en vante pas, vous le faites très bien pour moi.
Je ne leur demande jamais rien, je leur dit « bonjour comment tu vas », sans intention juste parce que ça me fait plaisir de les voir.

Je leur apporte des idées quelques fois où je débats avec eux, parce que j’apprécie leur intelligence et ce sont des conversations qui nourrissent la mienne.

Je ne cherche pas à gagner quelque chose, j’apprends et je trouve que c’est déjà un gain en soi.

Je sais que tu ne comprends pas pourquoi je n’ai pas rejoint cette liste ne serait ce que pour l’honneur d’y figurer.
Mais en réalité tout mon honneur se trouve dans ce refus la.

Mon honneur, c’est ma parole et les engagements que je tiens.
Ma loyauté c’est envers moi, et le fait que je ne me dédit pas.

Si j’étais opportuniste, avec mon intelligence et ma belle gu**le, je ne serais pas là où je suis, c’est certain !
Mais je ne serais plus moi.
Et ça … c’est précisément la seule chose que je ne peux pas.

Voilà … c’est pour ça qu’on ne peut pas imiter une personne comme moi.
Je suis une force tranquille, je ne plie devant rien, ni argent, ni pouvoir, ni personne.
Si je plie une fois … c’est par choix !

Ce n’est même pas à comprendre en soi, juste à lire ou entendre et à respecter.
Parce que j’ai eu le choix … et je me suis choisie moi !

13/07/2025

Ma gentillesse n’a jamais été une faiblesse, au contraire c’est une qualité perdue de vue dans ce monde rompu à la banalité de la méchanceté.

Pourtant être gentil ou être méchant ne coûte pas plus cher financièrement, et rapporte plus si je me base sur ma propre échelle de valeur.

Savez vous ce qu’il faut de force et d’intelligence pour être gentil et le rester quoiqu’il arrive ?
Savez vous la maîtrise que cela requiert ne pas vous gifler parfois ?

Ne vous méprenez pas surtout, je n’ai pas peur d’en venir au main, je trouve que c’est bête et méchant.
Je saurais bien me défendre , je suis courageuse et même téméraire s’il le faut.

Mais je préfère régler les choses pacifiquement.

D’abord parce que j’ai compris qu’on te pousse à bout pour t’empêcher de réfléchir.
Et puis parce que j’estime que pour régler une situation il faut de l’écoute et de l’empathie.

Après je sais voir qui cherche a dominer plutôt qu’à résoudre, et mon retrait poli et affable n’est alors qu’un subterfuge à la mauvaise foi.
S’il est vrai que j’aime régler ce qui doit l’être en revanche, je déteste perdre mon temps.

Savez vous ce qu’il faut de sagesse et conscience pour rester droit et intègre ?
C’est tellement facile de profiter et de mentir.

Dire au gens le fond de sa pensée implique d’assumer chaque mot, et cela peut nous coûter des sympathies, des opportunités, des affaires…

Quand à moi j’estime que ce qui me coûterait le plus cher, c’est de me trahir par intérêt.
C’est un peu se vendre de mon point de vue, et quel que soit le prix payé, ça nous retire toute valeur.

Quelle valeur reste t’il, à celui qui s’est vendu ?
Ne me parlez pas de la devise qui décore le compte en banque s’il vous plaît.
Je crois que parfois il vaut mieux avoir moins et s’avoir nous.

Nous sommes notre propre ennemi, ne me croyez pas sainte, je suis tentée chaque jour, la différence avec ceux et celles qui cèdent ; je réfléchis.

J’ai l’exemple en tête de celui qui a vendu sa meilleure amie, pour une maison qu’il détruirait à la masse s’il pouvait la retrouver.

Il en faut de la force pour rester droit dans ce monde où tout est penché !

Alors quand vous me dites faible, parce que je ne suis pas intéressée, quand je fais preuve de sagesse et que je ne rend pas les coups qui me sont donné, sachez que je suis en réalité tout l’opposé de ce vous pensez.

Je ne me venge pas, je ne fais pas de scandale, je m’en vais la tête haute, et sans me battre ou lutter.
Outre que je ne veux pas perdre de temps, en perdant quelqu’un d’aussi droit et loyal que moi, c’est à vous que revient le cœur brisé.

En tirant une b***e dans le dos de la personne qui s’est interposée entre toi et l’arme, c’est un peu sur toi que tu as tiré.

Qu’il s’agisse d’amour, d’amitié, de relation professionnelle, j’ai toujours été gentille.
Et je le suis encore.

Allez demander à ceux qui parmi vous m’ont blessé, si j’ai eu la faiblesse de leur revenir.
Demandez leur si m’a main a tremblé lorsque j’ai coupé le lien avec les ciseaux qu’ils m’ont donné !

Je ne suis pas faible juste très consciente de ce que je donne, et du fait que si on me donne des raisons, je peux le retirer.

J’exige ce que je donne et le minimum c’est le respect, la confiance, et la loyauté, car sans cette base ; il n’y a rien à donner.
Il n’y a aucune réelle valeur.
Il n’y a rien d’autre que moi à préserver.

Je ne suis pas faible, je suis intelligente et très forte aussi, car j’ai compris que la pire des trahison serait de trahir ce que je suis pour me venger de celui ou celle qui me trahi.

Je laisse le traître à sa trahison, et je pardonne, parce que je sais que personne ne se pardonne jamais vraiment de perdre l’amie douce et loyale que je suis.

Demandez leur, demandez lui, est elle faible lorsqu’elle te tourne le dos ?
Où est elle juste gentille !

12/07/2025

Bien sûr que non, je ne vais pas verser dans le mépris ni dans le discrédit, ou quoi que ce soit de négatif.
Pourquoi faire ? Je te le demande ?

Je veux voir le positif de chaque situation et je t’avoue que pour que je finisse par ne plus vouloir encadrer ou supporter quelqu’un, il faut beaucoup nuire à mon existence.

Toi tu ne m’as rien fait, et c’est bien ce que je te reproche ! Ça serait tellement plus facile si je te détestais !
Mais je ne peux pas car tu ne m’as donné aucun motif légitime.
Et je t’en veux presque de ne pas t’en vouloir.

Non au contraire, je te trouve toujours aussi grand, et je te garde un peu de cette tendresse parce que tu gardes des yeux d’enfant.
Et j’aime les gens gentils !

La prochaine fois que je vais te voir, ça sera doux, parce que je n’aime pas ce qui est froid.
Et puis je n’ai plus besoin de t’étudier non plus, je ne me méfie plus, je sais ce que je voulais savoir de toi.

Je n’ai pas besoin de montrer que j’ai de l’ego, ou que je suis supérieure en quoi que ce soit, je n’ai rien à prouver et aucun esprit de revanche.
Pourquoi faire ? Ce serais utile en quoi ?

Je voudrais te conserver une amitié douce et riante, parce que je trouve tout est plus facile comme ça.

Mes amitiés sont sacrées, elles représentent beaucoup pour moi, et je ne crois pas que tu puisses ne rien signifier, tu as vraiment importé pour moi.

Je pense que si tu n’avais pas signé avec l’argentine on aurait pu vraiment bien s’entendre toi et moi, mais avec des « si », on refait le monde, on ne l’accepte pas.

Je suis toujours là, dans le silence, parce que ta présence apportait quelque chose et je crois que quelque part je t’apportais aussi, même si je ne sais pas exactement quoi.

Je te garde mon amitié, une loyauté certaine, bref tout ce que tu représentais déjà avant que mon esprit ne veuille te voir grimper à un arbre.

Il faut bien dire mr l’argentin que je grimperai mes cascades et mes arbres avec ou sans toi …
Je m’autorise à retrouver un comparse de bêtise, tout en ne te désavouant pas toi.

Je continue à t’aimer beaucoup petit argentin,
Et même si je ne te reste pas … je ne pars pas !

10/07/2025

Chapitre 28 insomnie mon amour !

C’est OK, je le savais que je ne dormirais pas, je me doutais bien que ça allait arriver.

Mais en vrai qu’aurais-je pu faire d’autre, il y a lui qui ne me lâche pas, et puis il y’a lui que je n’ai pas envie de laisser mais je sais que je dois…

Pourquoi est ce que ça ne peut pas être l’inverse pour une fois, un peu de simplicité dans ce merdier, je trouve que ça ne nuirais pas.

Il faudrait pour faire bien que l’ex accepte d’être oublié après avoir quitter ( cinq ans après) et que l’Argentine soit plus proche de mes montagnes.

Mais ce serait trop facile et je n’apprendrais rien donc encore une fois, je vais m’enseigner à moi même ce que je dois et ne dois pas…
Il est trois heure du matin, et j’apprends que l’enseignement prend du temps et aussi que quand on apprend on ne dort pas !
Je ne peux pas tout faire en même temps.

Et puis si je dors, je vais aller en argentine, et puis je vais me réveiller.
Et je me ferai un café que je dégusterai devant ma foutue montagne à la fenêtre.

Bon f**k l’argentine, les ex, les montagnes mais pas le café, parce que l’argentin va me manquer, je ne vais pas dormir, et il me faudra un café pour réparer les dégâts.

Il est trois heure trente, j’ai compris que c’était peine perdue pour cette nuit, alors je me lève, je vais me faire un thé, sensé m’apaiser et qui ne m’apaise pas.

Je me pose sur ma fenêtre, pas celle avec la vue sur mes montagnes, non celle la, avec la vue sur le château et les pins, je ne peux pas.

Je me blottis sur celle de ma chambre, un plaid enroulé autour de moi.
J’ai les yeux qui brillent, je regarde les étoiles, je ne pleure pas.

Je ne pleure plus depuis longtemps, je ne sais pas si c’est normal, mais je crois que les seules choses qui me font encore verser des larmes c’est mes chères responsabilités.

J’ai le cœur à l’envers, la vie n’est pas juste, je le sais, depuis que je suis gosse, et ça ne me choque pas.
Je me dis il me faut encore apprendre quelque chose, et je ne sais pas encore quoi.

Mon thé refroidit, mon cœur aussi, j’ouvre la fenêtre l’air frais entre, je resserre le plaid.
Je regarde toujours les mêmes étoiles, et j’en voit une filer.
Je fais un vœu c’est plus fort que moi.
Je ne pleure plus mais je rêve encore je crois…

Je souhaite du fond du cœur trouver une maison jolie, modeste, avec un petit jardin pour y planter les fraises de ma fille.
Et mes montagnes ou une petite rivière pas loin.

Je crois que je veux la paix surtout.
J’en ai besoin.

Avec mon papillon j’ai retrouvé l’envie, le feu, cette personnalité unique, mon côté femme enfant.
Mais j’ai perdu le sens commun, et je dois le retrouver.

Il n’est pas raisonnable de déraisonner et ce papillon là me donnait un peu l’envie de m’envoler.
J’ai aucune envie de l’être, j’emmerde la raison et je ne le serai pas !

Mais je ne veux pas le blesser, je sais les dommages seraient irréversibles, je le sens dans sa mâchoire contractée quand il est près de moi.

C’est de sa faute à lui, quelle idée il a eu de venir voler dans mes filets !!!
J’ai dû les couper pour que mon amour ne l’abîme pas !
Quand on est papillon joli on ne s’approche pas du feu, à moins d’être pris de folie.

Et puis quand il serre les dents comme ça, j’ai mal avec lui, je sais parfaitement ce que ça signifie.
Et aussi qu’il m’est reconnaissant de partir.

Il est quatre heures je ne dors pas, c’est de sa faute à lui, et c’est moi qui perds le sommeil.
Parce que je sais que je dois fuir avant de le froisser, et je n’en ai aucune envie.

J’allume mon ordinateur, je vais lui envoyer un mail, avant de le croiser à la réunion de demain.
Et puis je vais lui dire quoi ?

« Papillon, je ne t’abandonne pas, je te protège, parce que quand tu serres les poings et les dents et que tout ton corps se tend comme ça… j’ai juste envie de t’apaiser, en posant ma main sur ton épaule.

Je ne voulais pas te faire cet effet là, je le jure, je ne voulais rien d’ailleurs.

Mais tu t’es approché trop près, alors je pars parce qu’on sait tout les deux, que toi et moi, c’est pas rien, c’est pas juste une fois.
On est parfaitement conscient que si une fois je pose mes mains sur toi ; tu ne voleras plus jamais de la même façon.

Je ne voulais pas te mettre au pied du mur, mais je crois qu’il est trop t**d.
Je l’ai vu dans tes yeux à la dernière réunion.
Et puis quand tu serres les dents tu ne souris pas…
Et moi j’ai envie de te faire sourire, et je ne peux pas.

Pour parler un peu de travail quand même, je tiens à te dire que j’ai particulièrement apprécier ta dernière intervention, les idées sont brillantes bien que certaines soient à revoir.

Nous ne serons pas d’accord sur le budget prévu sur cet appel d’offre et l’enseigne choisie ne me convient pas.

Je n’ai aucune envie d’être distinguée, et encore moins cordiale, tu ne m’en voudras pas ! »

Je relis le mail, une fois, deux fois, je ne l’envoie pas.
Quoi que je dise ça ne changera pas les choses.
Quoique j’écrive non plus.
Je suis foutue, il est foutu.

Le réveil sonne il est cinq heures et demi, dans quelques heures je vais le voir.
Et je ne suis pas prête pour ça.

Je me décide à prendre une do**he, et je ne sais pas ce que je vais pouvoir porter.

On sait toujours quoi porter pour être voulue, mais rarement comment faire quand on ne le veut pas.
Et moi je ne veut pas qu’on veuille de moi, et je ne sais pas non plus ce que je veut.
Mais je sais exactement ce que je ne veux pas !

Bon sang il est déjà l’heure là, j’ai divagué combien de temps sous ma do**he, devant mon armoire pleine à craquer, je ne sais pas.

Je suis très ennuyée, je n’ai pas dormi, je me suis levée avant le soleil et je suis en ret**d.
La journée va mal commencer et puis elle se finira quand même quoiqu’il arrive.

Et je finirais par dormir.
Ça correspond à quel degré de complication dans l’existence quand tu rêves de t’endormir pour partir en argentine ?

Je regarde mes montagnes depuis la fenêtre de mon bureau, il est là dans le décor, et puis dans le bureau juste à côté.

Aucune solution, après l’arrêt de la mission, je n’ai plus qu’à démissionner, et à déménager.

10/07/2025

Chapitre 27 Don’t cry for me argentino ! N’insistes pas ! Je n’irai pas en prison pour toi !

Stop j’appuie sur pause, c’est quoi ce bo**el ?
Depuis quand est ce que j’agis sans regarder, sans réfléchir, sans me consulter moi même.

Je ne suis pas d’accord avec moi, et je tiens à le faire savoir !
C’est quoi cette attitude d’adolescente, enfant oui midinette non !
Tu stoppes ça tout de suite Mme carvalho !

Ton père était un lion c’est comme ça ! Tu ne finiras pas gazelle, ce n’est pas dans tes gènes !
Tu es une lionne un point c’est tout ! De la biche tu n’as que les yeux, et c’est pour attendrir les chasseurs !

Tu arrêtes tes bêtises !
Tout de suite !
Tu as des tas de choses à bâtir !
Des responsabilités adorables qui comptent sur ça !

Cette malédiction qui fait que tu n’es pas partie, que tu restes la ! À l’avoir en permanence sous les yeux ! Tu t’en tapes !
Tu mets des lunettes ! Bien noires !
Bien opaques !

Ou on ne verra pas ! On ne verra rien ! Et on fera comme s’il n’y avait rien !
Bo**el je sais déjà pas mentir aux autres alors encore moins à moi.

Je fais quoi maintenant que j’en suis là !
Mon monde est en bo**el, mes objectifs ne sont plus aussi clairs, et je dois stopper ça !
Now !!!

Je vais t’attraper te plier en quinze, te mettre dans une valise, que je vais envoyer au Portugal à défaut d’y être moi !

Et puis ce que je dis n’a aucun sens !
Le bleu de l’océan, je te verrai encore, le vert de mes montagnes je te vois, le ciel c’est tes yeux ou dans tes yeux ?
Je ne sais plus je ne sais pas !

Je pourrais aussi t’enfermer quelque part, mais je crois que tu ne serais pas très heureux comme ça.
Je ne le ferai pas pour cette raison là uniquement.

Il ne faut jamais sous estimer ma capacité à manager un enlèvement, avec préméditation ou pas, selon que tu me mets un coup de cœur ou un coup de foudre en pleine tête et que je ne sais pas proprement gérer ça !

Vraiment je pourrais même te ligoter dans un sous bois ou près d’une cascade, mais il faut avouer que tu nagerais beaucoup moins bien entravé comme ça !

Non vraiment quand on aime dans le respect, on laisse l’autre libre de ses propres choix.
Et moi je ne sais pas aimer autrement, et je pense que tu n’auras jamais la moindre idée de comment j’ai pu t’aimer toi.
Et c’est peut être mieux comme ça.

Je ne peux pas te séquestrer tout simplement parce que tu ne sourirais pas, et je crois qu’après le sourire de mes enfants, le sourire que je préfère c’est toi.

Et puis l’enlèvement comme tu le sais est puni par la loi, on te dit ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas pour toi.
Je ne vais pas t’enfermer parce que je ne voudrais pas qu’on m’enferme moi.

Je ne veux pas aller en prison, et je crois que mes jolis yeux t’y ont mis un peu malgré moi.
Je répare ce tort, c’est promis !
Je ne te regarderai plus … en tout cas pas quand tu verras.

Je vais continuer à te stalker en bonne psychopathe, je vais t’observer, et continuer à espérer toujours le meilleur pour toi.
Je ne te perds pas de vue, je ne te renie pas, il y a cet attachement profond qui me reste sous une autre forme ; plus amicale cette fois.

Mais sache que comme Dydy l’a dit « i’ll be watching you », j’espère que ça ne t’effraie pas !

Je parle d’enlèvement, séquestration, stalking, et en plus je suis extrêmement intelligente…je dis ça je dis rien.
Voilà l’effet papillon que tu as sur moi !

Je divague, je délire, j’active le mode sketch, et je pense que tu sais que c’est parce que ça me coûte cher d’écrire tout ça.

Je me dis qu’avec l’humour, ça passera mieux, même si je sais déjà que tu ne me passeras pas.

J’envisagerai peut être de faire disparaître tout à fait, de ma tête pas de la planète, quoi que … ce serait plus facile comme ça.

Mais non parce qu’après tu me manquerais et Dieu a dit « on ne tue pas », pas même les papillons silencieux qui vole avec insolence et superbe autour de toi !

Et puis tu viendrais encore me hanter, et j’aurais des remords en plus de mes regrets cette fois.
Je ne serais pas plus délivrée, ton fantôme me suivrait jusque dans mes montagnes, et je n’y trouverais pas plus la paix que je ne la trouve là !

Quand même je dois dire que tu nous a mis dans un joli bourbier !
Quelle idée de venir me rejoindre d’une âme à l’autre sur ce terrain là.
Tu as associé notre mémoire à cette foutue montagne … on est entouré que de ça !

Des fois je te maudit d’avoir fait ça, parce que maintenant à moins de changer de département je vais t’y voir à chaque fois, et tu m’y verras aussi.

Je ne sais pas pourquoi tu as fait ça ! Je me le demande bien.
Pourtant tu es intelligent tu sais que les montagnes sont immuables, et qu’elles ne se rencontrent pas !

Avant que je ne déplace des montagnes, il en faudra des efforts, là encore tu me tentes à réaliser l’impossible.
L’impossible c’était d’admirer cette vue à côté de toi.

Et à la dynamite, j’explose tout, mon cœur avec, mais il le faut maintenant, avant que ce soit trop t**d et que je ne brise ton cœur à toi, en te faisant perdre ce que tu aimes et qui fait que tu es toi.

Bon je me dit que Romeo et Juliette étaient bien idiots, et qu’il faut vivre pour l’autre, même sans lui.
Et je me demande encore comment vivre dans mes montagnes sans penser à toi.

J’en reviens donc à l’idée de meurtre, parce que je te trouve bien impertinent de voler mes montagnes sacrées et de les remplacer par ton souvenir !
Personne n’a eu cette outrecuidance là.

Qu’on lui tranche la tête, qu’il ravale son sourire, bo**el je deviens f***e.
Que deviendrais je si j’effaçais ce sourire… qu’il me soit destiné ou pas ?

Toute vie est sacrée, et tu n’as aucune idée d’à quel point toi tu es sacré pour moi.
De tout ce que j’aurais pu donner, je crois que ce que je ressent est tellement violent que ça aurait même pu me changer moi.

Donc soit je te tue, soit je te séquestre, ou je m’en vais.
Je n’ai pas le choix.

Non il faut être raisonnable, et je le serai, juste une fois, juste pour toi.
Je ne veux pas t’entraver, tu es parfait comme tu es et je n’ai jamais eu aucune intention de changer ça.

Toi et moi on se verra un jour se deus quizer, quand tu rentreras d’Argentine.
Mais vu l’effet de massue que tu as sur moi !
Je ne t’en voudrais même pas de rester là bas !

L’argentine est un joli pays, si l’on sait y rester soi même et apporter sa propre culture.
Beaucoup de gens se sont perdus là bas, mais je sais que toi non, et je ne vais jamais douter de ça.

Je ne doute pas non plus de ce que je ressent, mais pour le moment je ne vois pas ça me mène à quoi.
Et j’ai besoin d’aller quelque part… avec ou sans toi.

L’argentin je sors de ton monde ou pas… Buenos Aires me plaît bien, j’y viendrai peut être parfois.
Remercies moi !
Je t’aime beaucoup trop l’argentin, et je n’aime pas ce que je ne maîtrise pas !
Par contre je t’aime vraiment et je ne sais pas le faire mieux qu’en disparaissant.
Parce que quand on aime, on protège, et c’est la seule façon juste de te préserver de moi.

Je t’avais dit que si tu ne partais pas je resterais la.
On se reverra de temps en temps dans ton monde à toi, j’y tiens.
Je serai toujours une véritable amie, je sais que tu n’en doutes pas.

La vie fait que tu dois partir et que je ne te retiendrai pas.
Tu as fait vivre mon monde !
Malgré tout je ne t’oublierai pas !
Jamais !
C’était magique de ne pas parler avec toi !

Sachez toujours reconnaître, et apprécier les personnes qui se sont mobilisées pour vous. Sachez être reconnaissant pour...
09/07/2025

Sachez toujours reconnaître, et apprécier les personnes qui se sont mobilisées pour vous.

Sachez être reconnaissant pour chaque main tendue, chaque parole d’encouragement.

Cette personne et moi avons débattu souvent, et n’avons pas souvent été du même avis.
Ce qui n’enlève absolument rien à son professionnalisme, sa bienveillance et son implication pour le bien de mon fils.

Je vous souhaite à tous de rencontrer sur votre parcours une enseignante spécialisée aussi investi pour son groupe d’élève.

Cette dame avec qui j’ai eu le plaisir de collaborer pour poser les jalons du futur de mon fils est en tout point exceptionnelle.
Impliquée au delà de son statut, et humaine au delà de tout ce que j’ai vu.

Et puis laissez les gens qui vous calomnient parler.
Parce que ce sont vos actes qui vous définissent pas leur mot.

Mes combats je les ai fait en silence, mes enfants et leur éducation parlent pour moi.

Ma mère disait, ce n’est pas les mots des gens, c’est tes mots à toi, et ce que tu en feras.

Mes mots à moi disent merci du fond du cœur à cette personne là.

09/07/2025

Bon allez c’est cadeau, je vais me faire Lyly Philips rapidement sans faire la queue.

Au premier abord on pourrait penser cette femelle enragée et se dire qu’il faut la piquer… peine perdue plus de mille dards y sont passés et rien à changé.

Je m’insurge et je m’inquiète de l’avenir d’une poète comme moi, dans ce monde où cette belle demoiselle est devenue célébrité.

Quel triste record, vraiment, où est donc passé le respect de soi, elle remporte la médaille de la femme la plus souillée, avec une certaine fierté, et une joie qui devrait tous nous inquiéter.

À quel point veut on être vu pour céder à ce genre d’idées, sans queue ni tête, sans valeurs humaines, sans rien à mériter ?

Cette femme est devenue un objet, ce qui est le plus plus effrayant, de sa propre volonté.
J’ai honte d’une société qui paie pour regarder les vidéos et l’invite à gonfler ce triste record, au lieu de chercher à la soigner.

Cet horrible trophée indique deux choses à mon sens, on ne fait plus l’amour, on consomme une personne comme une cigarette, sans respect quitte à la brûler.
Cette société est en perte de tout, rien de ce qui est sacré n’y est plus respecté.

Il y a elle avec ses plus de 1000 homme qui est à vos yeux une femme trophée, et puis il y a moi que seule de rare personne ont touché.

Je suis plus exclusive, il faut me mériter, je pense que dans cette affaire là, le nombre ne peut rejoindre la valeur du moment qui est donné.

Lyly Philips m’est cent fois plus belle, c’est un fait que je ne peux pas nier, je suis plutôt quelconque, je le sais et pour autant je ne voudrais pas lui ressembler.

Je suis triste pour elle, et je ne peux m’empêcher de me demander, à quel point il faut être atteinte pour vouloir s’abîmer corps et âme à ce point juste pour la célébrité.

Je dis ça et aussi que ce sont les intouchables comme moi, coupable d’abstinence, par respect de soi et de ce que l’on veut donner, ce sont elles les véritables trophées.

Ce que tout le monde peut avoir, n’atteint jamais l’apothéose de ce qu’il faut mériter.

Je dis ça et … bo**el faites la soigner !

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