No Go Zone Mag

No Go Zone Mag Média de critique locale sur toutes les No Go Zones, à commencer par Saint-Denis dans le 93. https://nogozonemagazine.blogspot.com/

UN LYCÉE EN GRÈVE À STAINS Dès demain mercredi 6 septembre, le lycée Maurice Utrillo à Stains se met en grève. En cause,...
05/09/2023

UN LYCÉE EN GRÈVE À STAINS
Dès demain mercredi 6 septembre, le lycée Maurice Utrillo à Stains se met en grève. En cause, la baisse drastique de moyens à laquelle l'équipe pédagogique et les élèves font face depuis cette rentrée, et la politique du gouvernement contre les abaya et les qamis jugée islamophobe.
Ils appellent à un rassemblement demain à 12h devant le lycée qui se trouve au 152 rue Jean Durand à Stains.

VOUS AVEZ DEMANDÉ UNE CARTE DES JEUX OLYMPIQUES?🔥 Saccage 2024,  À la criée et beaucoup d’autres membres de collectifs e...
10/08/2023

VOUS AVEZ DEMANDÉ UNE CARTE DES JEUX OLYMPIQUES?🔥

Saccage 2024, À la criée et beaucoup d’autres membres de collectifs en lutte contre les Jeux Olympiques 2024 ont dessiné une carte qui synthétise les principaux problèmes posés par ce méga-évènement.

Ce beau poster grand format sera distribué dans des évènements où il sera vendu à prix libre, afin de toucher le plus de monde possible, y compris les personnes ayant des petits budgets.

Pour soutenir cet effort collectif (et graphique!) vous pouvez d'ores et déjà filer un coup de main pour payer la facture.

Nota Bene : un carte coûte à peu près 0.70 € à l’impression, donc si vous donnez 5€, c’est plusieurs personnes qui pourront bénéficier d’une carte gratuite!

Plus d'info dans le lien ci-dessous ↘️↘️↘️
https://www.helloasso.com/associations/a-la-criee/collectes/jop-2024-la-fete-est-deja-finie-la-carte?fbclid=IwAR0ciTGvpVfUuj5JmRlKnRCXPqerSwuuX2WvFPO_gKKTUO6LPIciIBaE7UY

N'utilisez plus jamais d'engrais ! Achetez No Go Zone!  Avec Julia Les Hauts poétesse et membre de l'équipe éditoriale
20/07/2023

N'utilisez plus jamais d'engrais ! Achetez No Go Zone! Avec Julia Les Hauts poétesse et membre de l'équipe éditoriale

HELLO TUTTI QUANTILe numéro 2 est de sortie!La tournée de distribution dans les meilleurs spots du 93 commence aujourd'h...
19/07/2023

HELLO TUTTI QUANTI
Le numéro 2 est de sortie!
La tournée de distribution dans les meilleurs spots du 93 commence aujourd'hui à la Coopérative Pointcarré. On vous conseille d'y aller cette semaine, avant la fermeture estivale 😎👌❤️

13/07/2023

J-3 avant impression du prochain No Go Zone!
À plus 😎👌

30/06/2023

Le samedi 15 avril 2023, divers médias indépendants se sont retrouvés à Ménilmontant pour concrétiser leur projet de fondation d’un Syndicat de la presse pas pareille (SPPP). Contre Bolloré et son monde, contre les médias aux ordres, la presse libre a maintenant son syndicat de lutte. Voici nos revendications.
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https://blogs.mediapart.fr/sppp-syndicat-de-la-presse-pas-pareille/blog/260623/le-syndicat-de-la-presse-pas-pareille-est-ne

L'empaillé - Journal indépendant d'Occitanie No Go Zone Mag Le Petit ZPL Les Autres Voix de la Presse Journal L'âge de Faire Mouais SPIIL Snj-cgt

29/06/2023

On se lève tous pour Cécile et Pierre qui ont gagné leur place au rang des lecteur.ices les plus classes du 93. 😎👌

« C’EST UN PROBLÈME DE FOND LA QUESTION DE L’AGRICULTURE URBAINE, SUR DES TERRAINS POLLUÉS ET EN FRICHE, PEU IMPORTE QU’...
22/06/2023

« C’EST UN PROBLÈME DE FOND LA QUESTION DE L’AGRICULTURE URBAINE, SUR DES TERRAINS POLLUÉS ET EN FRICHE, PEU IMPORTE QU’ON PUISSE RECRÉER DES SOLS DESSUS, OU NON. CES TERRES AGRICOLES ÉTAIENT LES DERNIÈRES DE LA PREMIÈRE COURONNE, ON AURAIT PU IMAGINER DES SOLUTIONS PLUS INNOVANTES. NE PAS GÂCHER LA TERRE, LA GARDER DANS LA ZONE DU PARC, SAUVER UNE PARTIE QUI POUVAIT RESTER MARAÎCHÈRE, PRODUCTIVE, ÇA AURAIT ÉTÉ POSSIBLE ».

Pour le prochain numéro de No Go Zone, nous avons rencontré Rémy Prat, habitant engagé pour la préservation des terres agricoles à Saint-Denis au sein du collectif Des Tartres faisons terres communes. Il nous a fait part de son point de vue critique sur le prochain projet d’aménagement porté par Plaine Commune qui a pris place sur d’anciennes terres maraîchères.

Mots clés :

Légende photo : juin 2023. Vue sur une friche agricole ''Les Tartres''.

19/06/2023

Une grande casserolade à Agnès, Frédéric, Catherine et Jean-Pierre pour leur soutien indéfectible à la presse indépendante 🤟

12/06/2023

Merci à François, Vincent, Julia, Nadine et Houria pour leur soutien 👌🫶

07/06/2023

Merci à Isabelle, Luna, Antoine, Camille, Marin, Arthur et Amélie pour leur pré-achat🤟❤️

Si vous rêvez depuis toujours de soutenir la presse libre et indépendante à Saint-Denis, c'est le moment ou jamais!Depui...
06/06/2023

Si vous rêvez depuis toujours de soutenir la presse libre et indépendante à Saint-Denis, c'est le moment ou jamais!

Depuis moins de 24h, le numéro 2 de No Go Zone est en prévente via le lien ci-dessous.

Nous vous recommandons de le préacheter : c'est ce qui va nous aider à financer les impressions (le gros poste de dépense qui est très tributaire de l'inflation).

Il y aura une distribution dans les lieux habituels dans un second temps.

A faire circuler!

No Go Zone numéro 2 en prévente!

VOUS POUVEZ VOLER. SI, SI, VOUS POUVEZ. Imaginez que vous pouvez voler à hauteur d’épervier ou de corbeau. Et qu’un pige...
05/06/2023

VOUS POUVEZ VOLER. SI, SI, VOUS POUVEZ.

Imaginez que vous pouvez voler à hauteur d’épervier ou de corbeau. Et qu’un pigeon de la gare vous piaffe un jour « Si t’aimes pas les chiche kebab, ben t’as qu’à aller aux Tartres ! » En bon corvidé, vous ne faites pas tant que ça confiance aux colombes des villes, mais qu’importe. Oui, vous avez faim; non, vous n’aimez pas les kekab et mettez le cap vers le nord.
Quelques coups d’ailes plus t**d, vous vous agriffez à un arbre à papillons en très bonne forme et guettez l’espace à la recherche d’un bon mulot bien gras. Vous voilà donc aux Tartres, une zone à moitié en friche au croisement de trois villes du 93. Au nord, Pierrefitte, avec l’avenue Emile Zola et la rue Jean Ferrat. Au sud, et à l’ouest, Saint-Denis, avec l’avenue de Stalingrad et la fac de Paris VIII. À l’Est, Stains, et les tours du Clos Saint-Lazare. Pour les aménageurs, c’est un futur éco quartier organisé autour d’un « cœur vert » ; une friche de 33 hectares à combler d’ici 2027. Pour Cécile Mattoug, chercheuse en ethno-géographie et membre du collectif Des Tartres faisons terres communes, c’est un lieu de lutte et de recherche autour de la friche. Pour les habitants de longue date et quelques agriculteurs comme René Kersanté, c’était (un espace maraîcher, à la lisière entre la ville et la campagne.
À tous ces récits des Tartres, nous avons ajouté le nôtre, collectif et habitant. L’équipe de ce No Go Zone a parcouru la zone appelée « Tartres » de janvier à mars 2023. Journalistes, autrices, chercheurs et paysagistes ont enfilé leurs chaussures les plus sales pour escalader les buttes de déchets conquis par les chardons, les jardins informels (ou non), ou les premières résidences de la ZAC. Tout ce que nous avons cueilli, recueilli, capturé, consigné là-bas est amené à disparaître, dans les semaines, les mois, ou les années à venir. Ce numéro se présente donc comme une archive de ce que furent les Tartres au début des années 2023. Le passage des saisons métamorphose les espaces où la nature (botanique) est encore dominante. Les Tartres invitent au dérèglement des sens et des normes. Elles ont stimulé nos imaginaires, inspiré à beaucoup d’entre nous des formes d’expressions subjectives aux esthétiques tranchées.
Terre en friche, cette zone déjoue depuis bien longtemps les tentatives de mise au carré des aménageurs. Elle est toujours une terre d’accueil pour la population Rrom.
Terre maraîchère, elle éveille en nous un besoin très animal de proximité avec une nature nourricière. Archive, rêverie ou les deux à la fois, ce numéro vous invite à prendre un peu de hauteur, à observer la ville depuis les mauvaises herbes qu’on n’a pas encore arrachées ; à guetter l’emprise du temps et des aménageurs.

MAIS SI, VOUS VOYEZ : VOUS POUVEZ VOLER.

Quand l'extrême droite menace le droit d'information, le Syndicat de la Presse Pas Pareille réplique. Menaces et intimid...
27/05/2023

Quand l'extrême droite menace le droit d'information, le Syndicat de la Presse Pas Pareille réplique. Menaces et intimidations ne nous empêcheront pas de faire notre travail. Tribune à faire circuler largement. ✊🫶

Le Syndicat de la Presse pas pareille alerte sur la montée des agressions et menaces venues de l’extrême droite nationaliste, et sur les risques que cela fait peser sur le travail des médias et journ…

Le mensuel niçois Mouais  est un journal indépendant et local qui a le mérite de sortir tous les mois sans l'aide d'Estr...
09/05/2023

Le mensuel niçois Mouais est un journal indépendant et local qui a le mérite de sortir tous les mois sans l'aide d'Estrosi et sans jamais perdre de sa verve critique.

C'est aussi une super équipe à l'initiative d'un syndicat de la presse indépendante qui pourrait changer la donne dans les mois à venir.

Plus personnellement : c'est depuis que je les ai rencontrés que je crois un peu plus à un retour potentiel d'un organe de presse critique et indépendant à Saint-Denis.

Je vais pas y aller par quatre chemins : ils ont besoin d'argent et nous avons besoin d'eux en tant que figure de proue de la presse locale indépendante !

DONNEZ OU FAITES TOURNER🫶✊

❤️❤️Pour leur filer un coup de pouce, c'est ici : https://www.helloasso.com/associations/association-pour-la-reconnaissance-des-medias-alternatifs-arma/formulaires/4❤️❤️😼

POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE CONTEXTE, L'EXPLICATION DU MOUAIS :
La vie d’un petit journal indé’ est rarement facile, et on voit régulièrement passer des appels à aider tel ou tel titre. Hélas, c’est notre tour. Les caisses de notre mensuel sont vides, et la situation est compliquée. Que s’est-il passé ? On s’en explique. Ce que vous pouvez faire ? Simple : pièces jaunes, tickets restau, on prend tout.
Mardi 2 mai, 21h, conf’ de rédac’ du mensuel Mouais. On cause trésorerie. Et le parpaing de la réalité nous tombe dessus : même si nous sommes encore en attente de quelques paiements ici et là, et que nous disposons d’un (tout petit) fond de réserve, nous n’avons devant nous que de quoi imprimer… deux numéros.

Qu’est-ce à dire ? Avons-nous si mal géré notre argent que, cigales libertaires, nous nous retrouvons bien déconvenues une fois la bise venue ? Eh bien, pas du tout. Mouais, r***e sans publicités, éditée par une association, est principalement financé par ses abonnements (400 actuellement) et par ses ventes en kiosque, en librairie, dans des locaux associatifs, et à la criée. L’argent ainsi obtenu, ainsi que quelques dons, permet de financer les frais d’impression et de routage. Divers événements (rencontres, concerts…), hors manifestations, nous permettent également de vendre notre r***e, de recruter des abonné.e.s et de générer quelques fonds via un prix d’entrée, la vente de nourriture, de boissons….

Mais dans le contexte actuel, ça ne suffit plus, et voici pourquoi. Car avant de faire appel à votre cordiale générosité pour la cagnotte, il paraît évidemment important de vous expliquer le pourquoi de ce coup de pouce -exceptionnel, espérons le.

1/ L’engagement de notre équipe sur bien des projets autres que la communication, la recherche de lieux de vente et de financements.

Car c’est une réalité assez connue : de manière générale, pour trouver l’argent, il faut au préalable le chercher. Or, les personnes de notre rédaction les plus engagées dans son fonctionnement (beaucoup de nos membres ayant des boulots les empêchant de s’investir plus qu’elles et ils ne le voudraient), en plus de devoir assurer la sortie de 24 pages par mois (rédac’-chefferie, relectures, articles, enquêtes, gestion du site Internet et des réseaux sociaux, maquette…), ce qui n’est pas rien, doivent aussi tenir à bout de bras l’organisation des Assises intergalactiques de la presse libre –que nous allons devoir décaler-, divers événements liés au renforcement de l’écosystème des médias indépendants, avec notamment récemment la tenue des rencontres publiques du Syndicat de la Presse Pas Pareille (SPPP) il y a peu. Le tout en s’investissant corps et âme dans le mouvement social qui embrase actuellement le pays, et sur fond de jobs alimentaires plus ou moins ponctuels (mais aussi d’un chronophage procès en diffamation).

Les journées n’ayant que 24 heures, cela nous laisse hélas peu de temps pour ce qui est pourtant très important : la recherche de ce qu’on appelle communément la thune, la moula, notamment via des subventions auxquelles nous pouvons prétendre. Voire, dans le cas des Assises, cela met directement à mal nos finances, ce genre de festivités nécessitant l’avance de frais importants, pas toujours remboursés…

2/ L’augmentation d’à peu près tous les frais possibles et imaginables.

Vous le savez peut-être, il y a eu ces derniers temps une très forte hausse du prix du papier, qui a plus que doublé en un an – de 400 à près de 1 000 € la tonne. Mais vous le savez sans doute aussi, il n’y a pas que le papier qui a augmenté : à peu près tous les frais ont depuis quelques mois explosé, touchant de plein fouet notre petite structure associative. Le passage du prix de vente de notre r***e papier de 3 à 4 euros (mais toujours à prix libre en vente à la criée) n’y a hélas pas fait grand-chose : imprimer et diffuser coûte de plus en plus cher.

3/ Les problématiques liées au modèle papier payant cumulé à la gratuité de tous nos contenus en ligne.

« Le papier pour moi c’est des mauvais souvenirs, je trouve que c’est quand même une galère pas possible et des coûts énormes, qui en plus varient. Avec le papier, tu prends des sueurs froides, alors qu’avec le web, non. Et avec des coûts moindres », a ainsi dit Nicolas Framont, de Frustration, dans un entretien qu’il nous a accordé. Et c’est fort vrai. C’est pourquoi, notamment pour pallier les difficultés de la diffusion papier et conforter notre audience, nous avons fait le choix de développer notre site Internet (ainsi que notre blog Mediapart), afin que nos contenus soient accessibles au plus grand nombre.

Problème : si nos publications en ligne marchent souvent bien, voire très bien, et si nous sommes parvenu.e.s à asseoir une certaine visibilité au sein de nos pairs des médias indépendants, nos abonnements, par contre, stagnent. Beaucoup de gens, et il n’est évidemment pas question ici de le leur reprocher, semblent s’habituer au fait de nous consulter en ligne ; ce site étant 100 % gratuit, ceci ne va néanmoins pas dans le sens de l’amélioration de nos finances…

Tout ceci menant à une conclusion fatale : des caisses vides. Et la douloureuse perspective de peut-être prochainement ne plus exister qu’en ligne, ce qui, pour les amoureuses et amoureux du papier que nous sommes, est une grande tristesse.

Mais allons à l’essentiel : pourquoi nous sauver ?

Mais nous tenons cependant à l’assurer auprès de nos généreuses et généreux donatrices et donateurs : au-delà de ses soucis d’argent, notre journal se porte très bien. Car Mouais, finalement, c’est quoi ? Et qu’est-ce qui pourrait nous faire dire que ce petit journal « mérite vie », pour le formuler comme Mahmoud Darwich ?

Mouais, c’est une rédaction de 11 personnes de 20 à 55 ans, paritaire et horizontale. On y trouve actuellement depuis peu deux services civiques : une étudiante en ethnologie, et un jeune photo-reporter. Mouais, c’est un journal local, profondément ancré dans la vie populaire et associative de sa ville, Nice, au travers d’événement variés, notamment des rencontres mensuelles, les « Causeries-apéro-concert » (CAC), et résolument proche des sans-voix, des marginalisé.e.s, des habitant.e.s des quartiers populaires, des personnes en situation d’exil, des toxicomanes, des sans-abri… Et Mouais, rassurez-vous si vous n’êtes pas de Nice, ce n’est pas qu’un journal local : notre mensuel, reconnu d’information politique et générale (IPG) par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP), a su se construire une audience allant bien au-delà de sa ville d’origine, bon nombre de nos abonné.e.s vivant d’ailleurs dans divers endroits de France voire d’Europe.

Mouais, c’est l’un des – trop – rares médias à se revendiquer d’une ligne éditoriale libertaire, c’est à dire anti-autoritaire, une pensée encore négligée en France, mais qui permet de faire entendre et connaître une grille d’analyse ancrée de plain-pied dans les diverses luttes d’émancipation contemporaines, qu’elles soient féministes, écologistes ou encore LGBTQI+. Mouais, il s’agit de contenus, riches et variés (osons le dire), alliant enquêtes, reportages, billets d’humeur et entretiens, permettent à tout un chacune et chacun d’y trouver son compte, ce qui assure à nos publications en ligne un certain succès. Nos séries d’entretiens, par ailleurs, donnent à découvrir la pensée de figures universitaires, littéraires ou médiatiques reconnues dans leur domaine : Corinne Morel Darleux sur la « bifurcation », Guillaume Meurice sur l’audiovisuel public, Ludivine Bantigny sur l’histoire du mouvement féministe, Mathieu Rigouste sur les violences policières, Gwenola Ricordeau sur l’abolition de la police…

Mais il y a encore mieux ! Soucieux de ne pas se focaliser sur l’actualité française et de traiter également des thématiques, notamment féministes et liées aux divers combats pour l’émancipation, liées à d’autres endroits du monde, Mouais propose depuis un an désormais des séries de reportages à l’étranger, notamment au Liban mais aussi, plus récemment, au Kurdistan syrien et dans la ZAD allemande de Lützerath.

C’est donc pourquoi, en vérité nous vous le disons : Mouais ne doit pas mourir. Oseriez-vous laisser dépérir un chat noir aussi attachant et essentiel ?

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