COMORESplus

COMORESplus Le devoir d'informer.

19/09/2025
Yameela fera sa première traversée ce vendredi !!Nos agences sont ouvertes dès demain à MUTSAMUDU HABOMO et MORONI CAFÉ ...
10/09/2025

Yameela fera sa première traversée ce vendredi !!
Nos agences sont ouvertes dès demain à MUTSAMUDU HABOMO et MORONI CAFÉ DU PORT.
Adultes : 19 750 KMF avec 50kg de bagages et accès VIP
Enfants : 12 500 KMF avec 50kg de bagages et accès VIP
Voitures : 90 000 KMF
Gratuit pour les bébés (0-2 ans)

Yameela - la mer plus simple

UNESCO A IKONI, DE MA CONSTERNATION A MON COUP DE COLERE*Avant de publier ma prochaine vidéo de constat sur la visite de...
02/09/2025

UNESCO A IKONI, DE MA CONSTERNATION A MON COUP DE COLERE
*
Avant de publier ma prochaine vidéo de constat sur la visite de la délégation de l’UNESCO à Ikoni ayant lieu le 1er Septembre 2025, je m’adresse à vous, frères et sœurs d’Ikoni et de Bambao ainsi qu’la Mairie de cette Commune glorieuse en vous disant ce que ma mère Mwana fatma Mze wambae m’a dit : « Iduku shindji sho huzamisa djahazi. » Ceux qui comprennent cette sagesse savent exactement ce que je veux dire. À travers cette parole, je rappelle que parfois, ce ne sont pas les tempêtes visibles qui font chavirer un navire, mais bien les petites fuites ignorées, celles que l’on néglige ou que l’on tolère par habitude ou par peur de déranger. La venue de l’UNESCO dans notre ville est un moment importante, mais elle est aussi une occasion de réflexion collective. Ce que je vais partager dans la prochaine vidéo c’est un constat, un miroir tendu à notre communauté. Car si nous n’avons pas le courage de regarder la réalité en face, qui le fera pour nous ? Je vous invite à écouter, réfléchir et, surtout, à dialoguer avec respect et lucidité. Passons.

« Les loupés d’une grande cause »

Aujourd’hui, je préfère parler à cœur ouvert de ce qui s’est dit en coulisse entre certains frères d’Ikoni et moi, concernant notre histoire et nos patrimoines. J’ai relevé des erreurs, des incohérences, des oublis volontaires, des « on ne dit pas », des « ça n’a jamais été »... dans l’Histoire racontée… par ci, par là… qu’il soit par des enfants de la cité ou ceux d’ailleurs. J’ai cru qu’en échangeant, en dialoguant…, les choses changeraient. Mais non, c’est la sourde oreille qui domine. Et le résultat ? Une histoire ; celle de toute une ville, d’une région, d’un pan de notre pays, se lit et s’écrit aujourd’hui faux. Pourquoi cette précipitation flagrante ? Pourquoi la malice, les réserves et les tapinois dans les conversations ? Ces deux sentiments ont engendré ma réticence et celle de nombreux enfants d’Ikoni ayant la maîtrise de l’histoire et la connaissance des effets patrimoniaux de la cité et ceux des ailleurs milieux, quant à la collaboration à sens unique. Je le dis clairement avec toute ma responsabilité, sauf le respect que je vous dois: « la visite de la délégation de l’UNESCO à Ikonia connu 80% de loupés ». Et c’est bien dommage. Merci à ceux qui comprendront, merci à ceux qui sont prêts à rétablir la vérité, sans trahison, sans intérêt personnel, mais pour l’honneur d’Ikoni et des générations futures. Passons.

« Dans cette journée, l’agréable parfait et l’utile à rechercher »

On ne peut nourrir les générations futures de l’histoire à coups de récits enjolivés, comme on leur tendrait un biberon rempli de fantaisie. Transmettre l’histoire de notre ville, de notre région ou de notre pays sous une forme édulcorée, c’est en trahir la complexité et en nier la profondeur. Sinon, intéressé, j’ai regardé la vidéo de la tournée : c’était beau, assurément. Je salue les efforts investis pour en soigner l’esthétique, pour adoucir l’atmosphère. De belles images, de belles scènes et j’en conviens. Encore une fois, Merci. Je m’abstiendrai cependant de qualifier les faits, par respect, pour les sensibilités. Mais ce que je peux dire, la cité d’Ikoni et la région de Bambao vivent leur histoire, concave. Une histoire qui se replie sur elle-même, qui semble se refermer au lieu de s’ouvrir. Une histoire qui absorbe la lumière au lieu de la réfléchir. Heureusement qu’il y a des voix discordantes. Les patrimoines à Ikoni, il y en tant. Mais le peu évoqués… sont en récits carambolés. Sinon aussi des zappings, des saute-chaîne… à l’importance… Passons.

« Ce qui trahit mon silence »

Pour fermer ce texte, je prends un seul exemple qui est aussi frappant ; la PLAQUE chevillée à l’entrée du Palais Kapviri-Djewe. Sauf le respect que je vous dois. Il est essentiel que les informations présentées au public soient correctes, surtout lorsqu’il s’agit de monuments commémoratifs qui portent un poids symbolique fort. Une erreur dans la mémoire collective peut avoir des conséquences profondes. Alors il est louable que vous souhaitiez rectifier ces inexactitudes. Il est important d’impliquer avec clarté ceux qui disposent une dose de savoir même si peu qu’il ne s’égale pas au votre, dans de telles tâches pour garantir que les informations soient vérifiées et validées avant d’être gravées dans la pierre. Enfin, il est effectivement préoccupant de constater des inexactitudes sur une plaque mémoriale, surtout lorsqu’elle concerne l’histoire d’une ville, d’une région, d’une lignée et celle d’un pays. Ici, je parle de la PLAQUE susmentionnée. Les erreurs mentionnées, telles que l’attribution de rois qui ne sont pas originaires de Bambao et les incohérences dans les dates et les règnes, peuvent déformer la compréhension de l’histoire locale. Et pourtant des touristes, des étudiants et des chercheurs viennent se sourcer.

Said Yassine Said Ahmed

Un des plus Ikoni des enfants

COMORESplus

AVEC LE POUVOIR DES GOGOS FETARDS, LES COMORES VONT DROIT AU MUR* Pendant qu’Assoumani Azali, œuvre pour sa survie, cert...
29/08/2025

AVEC LE POUVOIR DES GOGOS FETARDS, LES COMORES VONT DROIT AU MUR
*

Pendant qu’Assoumani Azali, œuvre pour sa survie, certains croient qu’il lutte pour la vie. C’est bien la porte de sortie qui lui est difficile à trouver. Tellement il a fait de mal aux comoriens, les voyants sont tous au rouge sous ses yeux. Autant il souffre dans son intérieur, le pouvoir n’est pas dans ces mains même si par méchanceté sa présence fait toujours peur. Comme il est conscient du fléau qu’il a causé à son pays, comme il est conscient qu’il n’est pas un homme de confiance, il sait que même les siens l’insupportent. Et son incapacité mentale de pouvoir gérer un pays, a fait que sa femme, en tout cas la première dame du pouvoir, lui arrache le pouvoir par un coup d’Etat nuptial et le transmet à leur fils ainé, qui prend cela pour un toboggan donc invite ses amis pour y jouer. Alors, le pouvoir des fusils, est détenu par trois personnes dont la maturité est à attendre. Du temps qu’on parle de politique, il s’agit donc de Demi-dieu Nour El-Fath, Secrétaire Général du Gouvernement de son père, d’Abdourazak Ibrahim, son Ministre des finances dans ce régime et Mme Nadjda Said Abdallah, son Ministre du Plan autrement dit Commissaire au plan.

« Des Gogos danseurs en club des criminels »

Contrairement au pouvoir aux abois du père qui lutte pour sa survie, celui du trio vit et non survit. Un trio qui vit et qui fait la pluie et le beau temps dans une inadvertance totale. Il opère alors les licenciements, recrutements, fermetures des écoles, augmentation du frais d’inscription… Un trio qui décide lesquels des enfants comoriens peuvent étudier ou non, peuvent être scolarisés ou non. Une secte noyaux de la secte qui prive les comoriens de la joie et du droit de vivre. Une « tyrannie. » Plus dangereux que son père, Nour El-fath s’est mis à recruter des délinquants, des écervelés, des attardés… pour le parage de son éventuel pouvoir prétendu comme héritage venant de son père. C’est bien dans l’intention de rendre la vie des comoriens plus coriace que celle qu’ils vivent aujourd’hui. Et là des sujets applaudissent et parfois se proposent boucliers. Certains ministres illustrent. Ce trio collecte des individus pour le parage et passe ses plaisirs dans le Manoir. « Barbecue, apéritifs, plaisirs hors normes, illicites et aussi budgétivores… Un trio qui met tout un pays en genou car protégé par les fusils et la Geôle. Donc un avenir en danger.

« Une survie qui enlève des vie »

Certains continuent de parler de la CRC au pouvoir, on ne les incrimine pas mais cela n’est d’actualité. Donc il s’avère faux. Ce club de CRC, dont la majorité sont des quatre vingt disards, touche honteusement à son crépuscule, depuis le pouvoir de Demi-dieu. Les hommes et femmes sans honneur, quelle que soit la maltraitance qui leur est réservée au sein du Raie-nouveau, ils prennent le mal en patience… Houmed Msaidié, Djae Hamada Chanfi, Oussoufa Belou, Mhamadi Issimaila et consorts. Coté sécuritaire, l’officier, haut officier de l’armée est en situation gênant, donc qui gène le pouvoir qu’il protège. Après plusieurs années d’exploitation de ce corps militaire par la dynastie Azalienne et Assumai Azali lui-même, la famille a voulu comme veut le rendre en kleenex usagé. « Papa il faut virer cet officier », le père dit qu’une personne comme celle-là, ne s’évince pas, on l’anéantit. Ca devrait être le début des fissures dévastatrices qui couvrent le manoir et l’Etat-major. Donc pour Azali, il est atteint là où il ne pense qu’à la survie et non au maintient et au développement d’un pays. En tout cas le mal que font les hommes les survit…

Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus

26/08/2025

PORT DE MORONI - YAMEELA

Nous avons le plaisir d’annoncer l’arrivée au port de Moroni du nouveau bateau YAMEELA.

Pour finaliser les formalités administratives et techniques, et espérer pouvoir lancer les voyages Moroni – Mutsamudu dès le mois de septembre.

YAMEELA, un nouveau ferry pour relier Moroni et MutsamuduUne nouvelle page du transport maritime s’écrit aux Comores ave...
21/08/2025

YAMEELA, un nouveau ferry pour relier Moroni et Mutsamudu

Une nouvelle page du transport maritime s’écrit aux Comores avec l’arrivée de YAMEELA, un ferry moderne qui assurera prochainement la liaison entre Moroni et Mutsamudu.

Conçu pour offrir une expérience de voyage à la fois sûre, confortable et accessible, YAMEELA ambitionne de devenir un acteur de référence dans la mobilité inter-îles. Plus qu’un simple moyen de transport, ce projet se veut un pont entre les communautés, rapprochant les Comoriens et facilitant leurs déplacements.

Dans cette phase préparatoire, YAMEELA souhaite impliquer le public dès aujourd’hui : une page officielle Facebook vient d’être ouverte pour partager l’évolution du projet, les informations pratiques à venir et rassembler une communauté de futurs voyageurs.

👉 Les Comoriens sont invités à suivre la page YAMEELA Comores afin d’être informés en temps réel du lancement officiel et des offres qui accompagneront la mise en service.

YAMEELA – Le lien entre nos îles.

FC Mlaouni : ELARIF, le symbole de loyauté et de fair-play.Dans un mercato où les incertitudes planent souvent sur la fi...
21/08/2025

FC Mlaouni : ELARIF, le symbole de loyauté et de fair-play.

Dans un mercato où les incertitudes planent souvent sur la fidélité des joueurs à leur club, un nom reste solidement ancré dans l’histoire et le cœur de FC Mlaouni : celui du capitaine ELARIF. Alors que plusieurs clubs s’inquiétaient de voir certains talents rejoindre d’autres formations, aucune inquiétude ne planait autour de ce joueur exemplaire.

ELARIF, ce n’est pas seulement un joueur, c’est un homme de valeurs, un passionné qui porte le maillot de son village avec amour et fierté. Sur le terrain comme en dehors, il incarne la détermination, l’engagement et le respect. Son attachement à FC Mlaouni dépasse les contrats : c’est un pacte moral avec son village, son équipe, et les supporters.

Reconnu par ses pairs, respecté par ses adversaires, salué par les arbitres et les instances sportives, ELARIF est aussi l’image parfaite du fair-play. Quand vient le moment de récompenser le bon esprit sportif, son nom revient naturellement : c’est lui, l’exemple à suivre.

Son comportement et sa présence sont un pilier dans la promotion de la paix et du respect dans les stades. À travers ELARIF, c’est tout FC Mlaouni qui rayonne. Un capitaine au cœur immense, fidèle à ses racines.

Djounaid Athoumane Ali

🚨 Jeux des Îles 2027 : quand le président seychellois mettait en doute la capacité des Comores à accueillir l’événement ...
03/08/2025

🚨 Jeux des Îles 2027 : quand le président seychellois mettait en doute la capacité des Comores à accueillir l’événement 🇰🇲

Cette déclaration remonte à 2023, lors d’une cérémonie officielle organisée à la State House à Victoria pour honorer les médaillés seychellois. Le président de la République des Seychelles, Wavel Ramkalawan, s’était alors permis un commentaire provocateur à l’égard des Comores, pays hôte désigné des prochains Jeux des îles de l’océan Indien :

« Tout le monde parle des prochains Jeux des Îles de l’océan Indien qui seront tenus aux Comores. Je connais les Comores. Je ne pense pas qu’on ira aux Comores. Si je connais les Comores, je pense que les prochains Jeux se tiendront aux Seychelles. »

Une sortie qui avait fait réagir dans l’archipel comorien, considérée comme un défi lancé aux autorités comoriennes et à leur capacité d'organisation.

Alors que 2027 approche, cette déclaration résonne comme un rappel de la pression sur les Comores pour prouver leur engagement, leur préparation et leur fierté nationale. Les yeux de la région seront tournés vers Moroni, et l’enjeu n’est plus seulement sportif : il est aussi symbolique.

Djounaid Athoumane Ali

Adresse

Comoresplusofficiel@gmail. Com
Saint Etienne
42100

Téléphone

+33774716262

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque COMORESplus publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager