08/08/2025
BIN U BIN, AILLEURS LA FRONTIÈRE réalisé par Mohamed Lakhdar Tati est le premier long-métrage de fiction produit par VraiVrai Films (100 min – 2024). Après sa première mondiale au Red Sea International Film Festival, il est sélectionné au Festival du Film Francophone d'Angoulême, section Nouveaux Regards, la projection aura lieu le vendredi 29 août à 11h au CGR.
🛻 “Bin u bin” est une expression algérienne qualifiant un état de balancement, incertitude entre deux choix contradictoires. La frontière est la concrétisation de cette expression pour Saad Zenir, le personnage principal du film, qu’il porte comme un viatique et un état d’âme. À chaque fois qu’il franchit la frontière, Saad noue un lien avec celle-ci et elle devient un tremplin pour sa reconquête de lui-même et de son grand regret qui est son histoire d’amour. Mais la frontière devient aussi un champ de bataille politique dans laquelle Saad s’engage et précipite le destin de son ami et de sa famille.
Auteur-réalisateur : Mohamed Lakhdar TATI
Scénario : Mohamed Lakhdar TATI, Jean-Pierre MORILLON
Interprètes : Salim KECHIOUCHE, Slimane DAZI, Idir BENAIBOUCHE, Hanaa MANSOUR, Mabrouk FERROUDJI, Kheir Eddine CHICHI, Ali DJEBARA, Hassan BENZERARI, Houbidi BARAKA et Hasnat HASNI
Producteurs : Florent COULON, Youcef KRACHE, Camille CHANDELLIER
Image : Tariel MELIAVA
Montage : Céline CANARD
Son : Amine TEGGAR
Montage son : Raphaël BIGAUD, Mikaël BARRE
Musique : Jacob STAMBACH
Chef décorateur : Lamine AMRANI
🛻 Le film est coproduit par La Petite Prod(France), VraiVrai Films (France) et La chambre claire (Algérie).
Avec le soutien du FDATIC, de la Région Pays de la Loire et de la Région Nouvelle-Aquitaine en partenariat avec le CNC - Centre national du cinéma et de l'image animée, de l’Institut Français d’Alger.
Festival du Film Francophone d'Angoulême: “BIN U BIN est un film ancré dans le contexte réaliste et violent de la contrebande de carburant, basculant parfois dans la chronique familiale, mais explore aussi la magie de l’imaginaire collectif. Il opère à la déconstruction des dynamiques à l’œuvre au sein de la société algérienne transfrontalière.”