Le Médiéval en photos et vidéos

Le Médiéval en photos et vidéos Cette page est dédiée aux sites historiques, en particularité la période médiévale, toutes les photos et vidéos en rapport sont acceptées.

15/11/2025

[ILLUSTRATION] La Normandie est une terre qui se dresse, droite comme ses falaises, libre comme ses vents. Fière de son histoire, de ses ports, de ses plages, de ses héros. Conquérante depuis toujours, elle avance, forge, bâtit, rassemble. Ici, le courage est un héritage, et l’avenir se regarde face à la mer. Normande, Normand : lève la tête. Ta terre ne subit pas le monde… elle le conquiert.

09/08/2025

John Carmichael of Kirkmichael. Évêque écossais…d’Orléans, et chevalier. En 1420, quand les 6000 écossais de John Stuart (Stewart) débarquent en France, au nom de la « auld alliance », ils ont avec eux un futur homme d’Eglise, n’hésitant pas à batailler, un certain John Carmichael (Jean de Saint-Michel en français). John Carmichael avant d’être élu évêque d’Orleans (1426), et de combattre avec Jeanne d’Arc, s’illustra notamment à la bataille de Baugé (22 mars 1421), en mettant à terre le chef de l’armée anglaise, Thomas de Lancastre duc de Clarence, frère d’Henri V (il brisa sa lance en le désarçonnant, le duc fut tué par la suite). John Carmichael fut un des pairs ecclésiastiques qui participa au sacre de Charles VII. Il mourut en 1436.
Suite à la bataille de Baugé, le roi Charles V autorisa le clan des Carmichael à porter sur leur blason clanique une lance brisée et un gantelet d’acier, avec la mention « tout jour prest » (toujours prêt).
Sur l’enluminure (tirée du manuscrit les vigiles du roi Charles VII), on voit le moment où John Carmichael désarçonne Thomas de Lancastre.


Sources :
http://www.douglashistory.co.uk/history/Battles/bauge.htm
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/.../Canallas_-_The_Auld...

05/03/2025
23/02/2025

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi la plupart des escaliers dans les châteaux médiévaux étaient construits pour être extrêmement étroits et tournant dans le sens des aiguilles d'une montre ? Puisque les châteaux médiévaux étaient principalement construits comme des fortifications, les escaliers étaient conçus pour rendre extrêmement difficile pour les combattants ennemis de se frayer un chemin vers le haut.

Puisque la plupart des soldats étaient droitiers, ils devaient contourner chaque courbe du mur intérieur avant de tenter de frapper, s'exposant inévitablement dans le processus. L'escalier en colimaçon dans le sens des aiguilles d'une montre permettait également aux défenseurs d'utiliser le mur intérieur comme un bouclier partiel et de leur permettre facilement de manier leur arme sans être gênés par la courbure du mur extérieur.

Les escaliers étaient également intentionnellement mal éclairés et construits pour être inégaux, rendant encore plus difficile pour les attaquants de gagner en équilibre ou en élan pendant leur combat pour capturer le château.

05/08/2024

Pilum, gladius and pugio. Spear, sword and dagger. These three were mainly the weapons of the Roman legionaries of the early imperial period.
The clash between the legions and the enemies of Rome began with the throwing of the pilum by the Roman soldiers. The pilum was a heavy javelin, whose iron head was machined so that at the moment of impact, bending, it remained stuck in the shield of the enemies. In this way, the pilum could not be reused by the enemies and often, at the end of the battle, the Romans collected and arranged those less damaged to be used again. Thrown the spear, the legionary used the sword to hit, with short but decisive blows, the enemies. For the same purpose they also used the pugio, a dagger with a wide blade. To defend themselves, the Roman legionaries held in their left hand a large rectangular shield, in the center of which an umbo was used as an extra weapon at the time of pushing back the enemies. For further protection of the body, Roman soldiers wore iron or bronze helmets and the lorica hamata, a chain mail. New studies have indicated that the lorica segmentata, a plate armor, was also in use in the early first century AD. #

03/07/2024

Je suis Clovis, fils de Childéric, le fier roi des Francs saliens. En l'an de grâce 481, à la mort de mon père, je pris la couronne et le destin de mon peuple en main. Je n'étais qu'un jeune homme, mais déjà, le feu de la grandeur brûlait en moi. Mon règne commença dans les terres de Tournai, mais mon ambition ne connaissait pas de frontières.

Je me suis battu avec acharnement, étendant mon royaume au-delà des rivières et des forêts, forgeant une nation à partir d'une mosaïque de tribus. Les batailles furent nombreuses, contre les Alamans, les Burgondes, et même les Wisigoths, dont les terres du sud de la Gaule devinrent miennes après ma victoire à Vouillé en 507¹.

Mais ce n'est pas seulement par l'épée que j'ai bâti mon empire. C'est aussi par la foi. Sous l'influence de ma chère épouse Clotilde, j'ai renoncé aux anciens dieux et embrassé le christianisme, unifiant ainsi mon peuple sous une seule religion². Mon baptême fut un tournant, non seulement pour moi mais pour toute la Gaule, car il marqua l'alliance entre le pouvoir royal et l'Église, une alliance qui perdurerait à travers les siècles¹.

À ma mort, en 511, j'ai laissé derrière moi un royaume puissant, le prélude d'une nation qui se souviendrait de moi comme du premier roi de ce qui deviendrait la France². Mon héritage survit dans les pierres des cathédrales, dans les lois de la terre, et dans le cœur de chaque Français.

L'année 496 fut marquée par un événement qui allait changer le cours de l'histoire de mon peuple et de la Gaule. Le baptême que j'ai reçu des mains de l'évêque Remi, la nuit de Noël, fut le symbole de ma conversion à la religion chrétienne¹. Ce n'était pas un choix anodin, mais un engagement profond qui a façonné l'identité de mon royaume.

La légende raconte que, lors d'une bataille décisive contre les Alamans, j'ai levé les yeux vers le ciel et promis à Jésus-Christ de me convertir si la victoire m'était accordée. Le miracle s'est produit, les Alamans ont été vaincus et leur roi tué¹. C'est ainsi que j'ai tenu ma promesse et me suis tourné vers le christianisme, abandonnant les anciennes croyances pour embrasser cette nouvelle foi.

La cérémonie de mon baptême fut somptueuse, et je fus oint du saint chrême en présence de trois mille de mes guerriers, qui se convertirent avec moi¹. Ce moment solennel n'était pas seulement une victoire spirituelle, mais aussi le début de la christianisation du royaume franc, un processus qui allait s'étendre et s'enraciner profondément dans la culture et la politique de la région.

Le baptême de Clovis est devenu un mythe fondateur, un épisode inaugural de l'histoire de France, et a contribué à établir la France comme la "fille aînée de l'Église" aux yeux de l'Église et notamment du pape Jean-Paul II². Cet acte de foi a non seulement uni mon peuple sous une seule religion, mais a également scellé une alliance entre le pouvoir royal et l'Église, une alliance qui perdurerait à travers les siècles.

En l'an 507, la plaine de Vouillé fut le théâtre d'une confrontation décisive entre mon armée et celle des Wisigoths. Le printemps était à son apogée lorsque les forces s'affrontèrent près de Poitiers, un affrontement qui allait sceller le destin de deux royaumes¹.

Je menais mes guerriers avec la détermination d'un roi qui avait embrassé une cause plus grande que lui-même. La bataille débuta à l'aube, et les cavaliers wisigoths lancèrent leurs charges habituelles. Mais nous, les Francs, nous tenions fermes, formant un mur impénétrable avec nos francisques¹.

Le combat fut brutal et sans merci. Les récits racontent que j'ai affronté Alaric II, le roi des Wisigoths, en combat singulier. C'est par ma main qu'il trouva la mort, un acte qui brisa le moral de ses troupes et assura notre victoire¹. Les Wisigoths furent contraints d'abandonner un vaste territoire, s'étendant de la Loire aux Pyrénées, ce qui est aujourd'hui le Midi de la France¹.

Cette victoire ne fut pas seulement militaire, elle fut aussi symbolique. Elle marqua l'expansion de mon royaume et la consolidation de mon pouvoir. Sous mon règne, les Francs s'établirent fermement en Gaule, et l'héritage de cette victoire résonne encore dans l'histoire de la France.

L'année 511 marqua la fin de mon règne et le début d'une nouvelle ère pour le royaume des Francs. À ma mort, le 27 novembre, le royaume que j'avais unifié et agrandi fut partagé entre mes quatre fils, selon la tradition salique¹².

Thierry, mon fils aîné né d'une union précédente, reçut la part la plus importante, comprenant les terres de l'Austrasie et des régions conquises en Aquitaine, ainsi que les anciennes provinces des deux Belgiques et des deux Germanies². Il s'installa à Metz, prêt à défendre le royaume contre les Burgondes et les Germains⁴.

Clodomir, Childebert et Clotaire, mes fils avec Clotilde, héritèrent de territoires moins vastes mais stratégiques. Clodomir devint roi d'Orléans, contrôlant le Poitou et la vallée de la Loire². Childebert prit le contrôle de Paris et des terres s'étendant jusqu'à l'Armorique². Clotaire, le benjamin, reçut le royaume de Soissons, l'ancien pays des Francs Saliens².

Ce partage ne signifiait pas la division définitive du royaume. Bien que chaque fils s'intitulât Rex Francorum et régnât sur son propre territoire, ils savaient s'unir face aux ennemis extérieurs et poursuivre l'œuvre d'expansion que j'avais commencée². Le royaume fut brièvement réunifié sous Clotaire de 558 à 561⁵.

Source : conversation avec Copilot, 2024-06-27

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