Radici - la Revue pour les passionnés d'Italie

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Radici - la Revue pour les passionnés d'Italie RADICI la r***e pour les passionnés d'Italie. Parution bimestrielle Vente livres et r***es consacrés à l’Italie

Radici, en bref. Mais pas en surface.Petits faits, grandes mutations.Dans chaque numéro, la rubrique Brevi dall’Italia d...
31/07/2025

Radici, en bref. Mais pas en surface.

Petits faits, grandes mutations.
Dans chaque numéro, la rubrique Brevi dall’Italia dessine un pays en mouvement, loin des clichés et proche du réel.
On y croise Boccace et Manzoni, une expression idiomatique pleine d’ironie, une Vespa qui a trouvé refuge en France, une ville qui compte ses jours de soleil… et une justice qui, parfois, avance plus vite que la politique.

Entre histoire et quotidien, anecdotes et signaux faibles, ces pages invitent à écouter ce qui change en Italie — même quand on ne l’entend pas encore très bien.

RADICI 139-140 — Le pays réel a des choses à dire. Il faut juste tendre l’oreille.

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💡 Et puis franchement, pour 47 € par an… on a vu des abonnements bien plus bruyants, et bien moins éclairants.

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Nouvelles et curiosités par l’Italie

Il décidait.Elles obéissaient.Pendant des siècles, la famille italienne a fonctionné ainsi.Un homme au centre. Des règle...
31/07/2025

Il décidait.
Elles obéissaient.

Pendant des siècles, la famille italienne a fonctionné ainsi.
Un homme au centre. Des règles. Des silences.
Du pater familias romain au chef de famille fasciste, le patriarcat n’était pas un concept : c’était la norme.

Puis sont venues les lois, les réformes, les ruptures.
Mais une structure aussi ancienne ne disparaît pas en un vote.
Elle se transforme. Elle se glisse ailleurs.
Dans les mots, les habitudes, les hiérarchies discrètes.
Et parfois, dans les violences qui ne crient plus — mais qui blessent toujours.

Dans ce numéro, Rocco Femia retrace l’histoire longue de la famille italienne, du pouvoir masculin enraciné aux évolutions contemporaines.
Une démarche lucide, engagée, qui explore ce que la loi a changé… et ce que la société n’a pas encore osé renverser.

RADICI 139-140 — Un numéro essentiel, à lire et à faire lire.

S’abonner, c’est soutenir un média libre, indépendant, passionné.
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pour une mémoire vivante, indépendante, italienne.
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Un clic, un partage, un abonnement… et une manière de dire : ça compte.

C’était il n’y a pas si longtemps.Un été d’insouciance, de cris dans les rues, d’étreintes entre inconnus.L’Italie gagna...
29/07/2025

C’était il n’y a pas si longtemps.
Un été d’insouciance, de cris dans les rues, d’étreintes entre inconnus.
L’Italie gagnait l’Euro, et l’on croyait encore au pouvoir magique d’un ballon rond.

Mais depuis, il y a eu l’hiver.
L’élimination, l’oubli, les regrets.
Et ce moment silencieux où même la victoire passée ne réchauffe plus rien.

Dans L’ultima estate felice, Lorenzo Tosa ne parle pas seulement de football.
Il parle de ce que nous étions.
D’une joie partagée que nous avons perdue, peut-être pour longtemps.

Un texte qui fait mal — comme tous ceux qui disent vrai — et qui rappelle que le sport, parfois, est la forme la plus simple et la plus fragile du bonheur collectif.

Mais il reste la grâce.
Celle d’un revers de Jannik Sinner à Wimbledon, celle d’un but oublié dans un championnat provincial, celle d’un enfant qui rejoue l’Euro 2021 dans une cour d’immeuble.

Tant qu’il y aura des jeux, il y aura des raisons d’y croire encore.

RADICI 139-140 — Parce que même une défaite peut mériter qu’on s’en souvienne.

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Elles sont partout. Dans les placards, les souvenirs, les dimanches en famille.Elles se plient, se roulent, se nouent, s...
29/07/2025

Elles sont partout. Dans les placards, les souvenirs, les dimanches en famille.
Elles se plient, se roulent, se nouent, se cassent.
Elles prennent la forme des régions, des fêtes, des mains qui les font.
Et elles reviennent toujours.

Les pâtes, en Italie, ne sont pas qu’un plat.
Ce sont des mots qu’on pétrit, des gestes qu’on répète, des silences partagés.
Elles racontent une géographie, un héritage, une manière de vivre.

Dans ce numéro, RADICI vous emmène dans ce voyage au cœur des blés durs, des sauces lentes, des dialectes savoureux.
Un voyage qui ne demande ni valise ni passeport.
Juste un peu d’eau, de farine… et de mémoire.

RADICI 139-140 — L’Italie, à feu doux.
Et toujours al dente.

Et si vous sentez que ce genre d’Italie mérite mieux qu’un clic ou qu’un like, alors abonnez-vous.
Pour que ce goût, cette voix, ce lien ne se perdent pas dans le bruit.
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Avant d’être une République, l’Italie fut une monarchie.Mais que savons-nous vraiment des rois qui l’ont façonnée ?Du Pi...
28/07/2025

Avant d’être une République, l’Italie fut une monarchie.
Mais que savons-nous vraiment des rois qui l’ont façonnée ?

Du Piémont savoyard à Rome capitale, des campagnes du Risorgimento à la guerre de 1940, la monarchie a accompagné — et parfois dirigé — les mutations les plus profondes de l’Italie contemporaine.

Souvent réduite à une image figée, celle des uniformes et des bustes poussiéreux, elle fut en réalité un pouvoir en tension, pris entre modernisation, nationalisme et accommodements avec la dictature.

Dans ce numéro de RADICI, l’historien Philippe Foro retrace cette histoire dans toute sa complexité.
Un récit sans nostalgie ni simplification, pour comprendre comment la monarchie a pesé — jusqu’au bout — sur la construction politique et symbolique de l’Italie moderne.

RADICI 139-140 — Parce que comprendre le passé, ce n’est pas le rejouer.
C’est éviter de l’effacer.

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S’abonner à RADICI, ce n’est pas un choix. C’est une forme supérieure de bon goût.😉😉

De 1861 à 1946, l’Italie est une monarchie marquée par deux phases distinctes : d’abord, une période libérale qui s’étend jusqu’à l’instauration de la dictature fasciste ; ensuite, une seconde phase d’une vingtaine d’années qui voit le fascisme gouverner l’Italie, mais dont le...

On croit que c’est juste une cafetière.Mais en Italie, ce petit objet est une révolution.Avant elle, il fallait du temps...
28/07/2025

On croit que c’est juste une cafetière.
Mais en Italie, ce petit objet est une révolution.

Avant elle, il fallait du temps, du feu, un peu de hasard.
Avec elle, tout est devenu plus rapide, plus accessible, plus… démocratique.

La cafetière moka, icône du XXe siècle italien, a transformé des millions de cuisines en petits cafés familiaux.
Et changé à jamais la façon de vivre (et de partager) le café.

Dans ce numéro, RADICI raconte l’histoire de cette invention qui en dit long sur l’Italie : son génie technique, son amour du rituel, et sa capacité à rendre l’ordinaire extraordinaire.

RADICI 139-140 — Là où l’objet devient culture.
Et où le café devient récit.

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Cent mots pour dire un pays.Cent mots pour ne pas le perdre.En 1925, naissait la Treccani.Un siècle plus t**d, l’encyclo...
27/07/2025

Cent mots pour dire un pays.
Cent mots pour ne pas le perdre.

En 1925, naissait la Treccani.
Un siècle plus t**d, l’encyclopédie italienne célèbre cet anniversaire avec un projet simple et fort : choisir 100 mots pour raconter l’Italie.
Pas celle des slogans, mais celle des gestes, des idées, des saveurs, des luttes et des doutes.

Dans ce numéro, Rocco Femia revient sur cette initiative lumineuse et grave à la fois.
Un texte sur le pouvoir des mots, leur mémoire, leur silence parfois.
Et sur ce qu’ils disent, en creux, de l’Italie d’hier et de celle d’aujourd’hui.

RADICI 139-140 — Parce que les mots aussi ont une histoire.
Et qu’elle mérite d’être transmise.

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In occasione del suo centenario, l’Istituto dell’Enciclopedia Italiana, la Treccani, ha lanciato il progetto Le parole del centenario, consultabile sul sito treccani.it. Quest’iniziativa racconta un secolo di storia italiana attraverso cento parole, una per ogni anno dal 1925 al 2024. Ogni ter...

Un médecin sicilien. Un journaliste allemand.Un secret. Deux continents. Et une blessure à vif.Dans son premier roman, L...
26/07/2025

Un médecin sicilien. Un journaliste allemand.
Un secret. Deux continents. Et une blessure à vif.

Dans son premier roman, L’Autre, Pippo Pollina quitte la scène musicale pour s’aventurer dans le territoire de la littérature.

Ce n’est pas un simple polar. C’est une traversée.
De la Sicile des années sombres à l’Allemagne des contradictions.
Un voyage entre mémoire et vengeance, culpabilité et pardon.
Un livre où tout est fiction… et pourtant tout est vrai.

Dans ce numéro de RADICI, Rocco Femia signe un portrait littéraire de Pippo Pollina : l’artiste, l’écrivain, l’exilé volontaire.
Un texte comme une conversation intime avec celui qui, depuis toujours, préfère la complexité au confort.

RADICI 139-140 — Lire aussi, c’est résister à l’oubli.

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À l’occasion de la publication en français de son premier roman, l’auteur-compositeur-interprète Pippo Pollina se raconte en vingt réponses directes, sincères et sans filtre : la mafia, les pères, l’amour qui blesse, les femmes qui changent, l’Europe qui vacille. Et une idée qui revie...

Il fut un été où l’Italie entière est partie à la mer.Avec des valises pleines, un bikini neuf… et l’espoir d’un vrai re...
25/07/2025

Il fut un été où l’Italie entière est partie à la mer.
Avec des valises pleines, un bikini neuf… et l’espoir d’un vrai repos.
Avant les années 60, les vacances étaient un luxe.
Puis le boom économique, la Fiat 500, la paye en hausse…
Et soudain, le peuple italien a découvert la mer.
Avec ses parasols rayés, ses pâtes à l’ombre des pins, ses plages partagées entre familles, conquêtes estivales, juke-box et transats.
C’était joyeux, un peu fou, parfois étouffant.
Mais c’était nouveau, libre, coloré.
Et pour la première fois, collectif.
Dans ce numéro de RADICI, Biagio Picardi raconte cette bascule historique, sociale et intime.
Un récit à hauteur de serviette de plage… et de mémoire nationale.

RADICI 139-140 — L’Italie comme on ne vous l’a jamais racontée.

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Gaza, aujourd’hui.Un peuple privé de tout. Des enfants qui meurent de faim. Un silence européen assourdissant.Dans cette...
24/07/2025

Gaza, aujourd’hui.
Un peuple privé de tout. Des enfants qui meurent de faim. Un silence européen assourdissant.
Dans cette tribune implacable, notre directeur Rocco Femia signe un j’accuse contre l’horreur en cours, mais aussi contre l’indifférence, l’hypocrisie et la complicité diplomatique.

À lire. À partager. Parce que se taire serait déjà une forme de renoncement.

SI C'EST UN GOUVERNEMENT

Ces derniers jours, j'ai écrit sur la censure et la liberté, sur des orchestres muselés, des théâtres fermés pour des raisons géopolitiques, des chefs d'orchestre disparus de la programmation pour le simple fait d'appartenir à un pays devenu indésirable. Cela me semblait urgent, et ça l'était. Mais aujourd'hui, nous sommes au-delà. Au-delà du tolérable. Au-delà de la mesure. Au-delà même de l'indignation. Nous sommes entrés dans l'indicible.

Alors il ne suffit plus de dénoncer. Il faut accuser. Il ne suffit plus de montrer. Il faut choisir. Parce que nous sommes entrés dans cette zone obscure de l'Histoire où l'horreur est documentée en temps réel, sans que cela suffise à l'arrêter. Et l'impuissance que je ressens — même en écrivant ces lignes — ne m'absout pas : elle m'oblige.

Les images publiées aujourd'hui, 24 juillet 2025, à la une du Fatto Quotidiano et dans les pages suivantes, font déjà partie de notre Histoire — même si beaucoup feront tout pour les oublier. Des corps d'enfants réduits à presque rien, des mères qui serrent le vide entre leurs bras, des regards venus d'un autre temps, d'un autre enfer, d'une faim qui ne trouve de justification que dans la cruauté. Et ce n'est pas un dommage collatéral. C'est une stratégie.

C'est ce qu'a dit avec une clarté implacable Francesca Albanese, rapporteuse de l'ONU pour les territoires palestiniens occupés, dans l'entretien publié le même jour dans ce même journal. Elle a dit ce que beaucoup savent mais que peu osent énoncer : "C'est un crime scientifiquement calculé, voulu et planifié par Israël pour convaincre les Palestiniens que leur seule chance de survivre est de partir. C'est l'un des génocides les plus cruels de l'Histoire, car perpétré avec les moyens et la technologie du XXIe siècle."

Et encore : "Des enfants mangent de la terre et des cailloux. Ils pleurent des heures avant de s'endormir d'épuisement. Les dommages seront irréversibles, même pour ceux qui survivront." Puis cette phrase, qui devrait être gravée à l'entrée de chaque chancellerie européenne : "La distribution de l'aide humanitaire est confiée à l'État même qui commet le génocide."

Face à cela, il n'y a plus de place pour le silence, ni pour les déclarations d'équilibriste, ni pour l'ambiguïté qui sent la lâcheté. En Italie, aucune voix institutionnelle n'a eu le courage de nommer les choses comme elles sont. Aucune. Sauf Albanese. Et c'est pourquoi — comme par hasard — on cherche à la réduire au silence, à la délégitimer, à la mettre hors jeu. Sa voix solitaire est devenue un obstacle pour ceux qui négocient, commercent, s'inclinent, signent des protocoles "top secret" avec ceux qui affament des enfants.

C'est pourquoi il ne suffit plus de parler de "complicité morale". Ceux qui, ces derniers mois, ont continué à soutenir sans distinction le gouvernement israélien, ceux qui ont banalisé une violence systémique, ceux qui ont transformé le peuple palestinien en variable négligeable de la diplomatie, ne représentent plus nos valeurs. Et peut-être ne les ont-ils jamais représentées.

Si un gouvernement — le nôtre — serre la main de ceux qui bloquent 952 camions d'aide, qui laissent mourir de faim quinze personnes par jour, qui utilisent la famine comme une arme de destruction, alors ce gouvernement ne nous représente pas : il incarne le crime lui-même. Si toute une Europe assiste sans réagir, si elle continue à peser les tragédies avec la balance de ses intérêts, si elle fait semblant de ne pas voir lorsque les morts ont le mauvais nom, la mauvaise langue, la mauvaise religion, alors elle a perdu le droit de parler des droits. Et la mémoire — celle des camps, des génocides, des persécutions — devient un alibi pour les cérémonies officielles.

Ce à quoi nous assistons n'est pas un conflit. C'est un projet d'annihilation. Un laboratoire de déshumanisation méthodique, et non un "fragile équilibre géopolitique". Et pendant que tout cela se produit, nos dirigeants politiques, médiatiques, diplomatiques — au mieux — se taisent, ou bien bégazent. Ils butent sur les mots, se réfugient dans les formes, s'abandonnent à l'indifférence. Et ce faisant, ils signent leur propre faillite éthique.

Ce n'est pas seulement Gaza qui meurt. C'est aussi notre idée même de civilisation. C'est l'humanisme européen. C'est la force du droit contre le droit du plus fort. C'est la possibilité de regarder un enfant qui souffre sans baisser les yeux.

En 1944, Primo Levi écrivait : "Si c'est un homme."
En 2025, nous sommes forcés de demander : "Si c'est un gouvernement."
Et plus encore : "Si c'est encore une Europe."
Pas celle des discours, des commémorations, des journées mémorielles. L'autre. Celle qui devrait réagir quand la dignité humaine est piétinée sous nos yeux.

Que ceux qui ont encore une voix s'en servent. Pas par pitié, mais par vérité.
Que ceux qui ont encore une conscience la réveillent. Pas pour sauver leur âme, mais pour ne pas perdre le sens.
Que ceux qui ont encore un lambeau d'humanité l'exposent. Pas pour se consoler, mais pour rendre justice.

Même s'il est trop t**d.
Surtout parce qu'il est encore trop t**d.

Il y eut des Italiens qui choisirent la paix.Sans effets spéciaux, mais avec courage.Dans l’Italie du XXe siècle, on a s...
23/07/2025

Il y eut des Italiens qui choisirent la paix.
Sans effets spéciaux, mais avec courage.

Dans l’Italie du XXe siècle, on a souvent célébré les héros de la guerre. RADICI préfère parfois donner la parole à ceux qui ont osé désobéir à la violence.
Aldo Capitini, Danilo Dolci, Lanza del Vasto : trois noms, trois trajectoires, une même foi dans l’action non-violente.
Ils n’ont jamais défilé avec les puissants. Ils ont refusé les armes, la haine, les compromis. Et ils l’ont payé au prix fort.
Cet article rend hommage à ces figures oubliées d’un pacifisme radical, enraciné, sans slogans — mais non sans éclat.

À lire dans le nouveau numéro 139-140 de RADICI.
Pour se souvenir que la paix, elle aussi, a ses résistants.

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Et si vous redonniez du sens au mot "voyage" ?Loin des applis, des valises à roulettes et des files à la gelateria.Dans ...
22/07/2025

Et si vous redonniez du sens au mot "voyage" ?
Loin des applis, des valises à roulettes et des files à la gelateria.

Dans ce numéro d’été, RADICI vous emmène à travers le Piémont… mais pas celui des guides.
Ici, on prend le train, on grimpe plus de 2500 marches, on cherche les traces d’une synagogue oubliée ou d’un marquisat flamboyant.

Fenestrelle, Pinerolo, Torre Pellice, Saluzzo, Asti… autant d’escales humaines, historiques ou spirituelles, reliées par le fil discret de la mémoire.

Un itinéraire à petite vitesse.
Mais à haute intensité.

RADICI 139-140, le goût de l’Italie vivante.
À découvrir, lire ou offrir.

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