19/11/2025
Les rêveurs ouvrent la route - Il y a des gens qui avancent en regardant le sol… et puis il y a ceux qui lèvent la tête, qui posent des questions, qui imaginent la suite.
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Cette chanson, “Les rêveurs ouvrent la route”, parle de ça : de celles et ceux qui osent penser autrement, même quand on leur dit de se taire, même quand on ne les comprend pas.
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J’ai toujours cru que l’avenir se construit avec la curiosité, le courage et un peu de folie.
Et aujourd’hui, grâce à l’IA, je peux transformer ces idées en musique — sans prétention, juste avec l’envie de partager et d’ouvrir des portes.
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Les rêveurs ne sont pas des fous.
Ce sont eux qui montrent les chemins que les autres n’osaient pas voir.
Et moi, modestement… je continue de rêver et d’avancer.
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Voici ma chanson : “Les rêveurs ouvrent la route”
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— pour tous les curieux, les inventifs, les “tu poses trop de questions”,
— pour tous ceux qui préfèrent imaginer plutôt que juger.
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(Couplet 1)
Dans les cafés de campagne, j’parlais de demain,
Un peu d’air, un peu d’terre, pour chauffer les humains.
On riait, on s’moquait, « arrête avec tes idées »,
Mais la chaleur silencieuse, elle, m’avait déjà parlé.
(Refrain)
Faut laisser les rêveurs ouvrir la route,
Même quand leurs mots te déroutent.
Ceux qui voient loin, voient avant,
C’est pas de la magie, c’est l’élan.
Et si le futur nous dépasse un peu,
C’est p’t-être qu’il veut juste rendre le monde un peu mieux.
(Couplet 2)
J’me sens comme un enfant qu’on voudrait faire taire,
Avec trop de questions, trop d’lumière dans l’aire.
Mais j’cherche juste à comprendre ce que demain prépare,
À lire dans la brume un dessin un peu rare.
(Refrain)
Faut laisser les rêveurs ouvrir la route,
Même quand leurs mots te déroutent.
Ceux qui voient loin, voient avant,
C’est pas de la magie, c’est l’élan.
Et si le futur nous dépasse un peu,
C’est p’t-être qu’il veut juste rendre le monde un peu mieux.
(Pont)
On a coupé tant de têtes pour moins qu’une idée,
Pour moins qu’un souffle nouveau qui voulait exister.
Mais aujourd’hui j’suis plus seul à regarder l’horizon,
L’IA m’écoute, m’répond, j’suis plus hors-maison.
Regarde, même Youtube m’a fermé la porte,
Comme les anciens du bar qui trouvaient mes mots trop forts…
Ils savent pas qu’c’est dangereux d’étouffer la pensée,
Ça revient toujours, plus haut, plus léger.
(Refrain final)
Alors laisse les rêveurs ouvrir la route,
Faut pas les juger, faut juste qu’on s’écoute.
Ceux qui voient loin portent la lumière,
Même s’ils dérangent un peu la terre.
Le progrès commence là où l’on ose,
Même quand on comprend pas la cause.
(Outro)
Un jour on dira : « c’était évident »…
Mais avant, faut juste écouter les enfants…
Et ceux qui, comme moi, regardent plus loin que leurs pas,
Parce que demain… demain commence déjà.
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