La préfecture du rire

04/10/2025

Octobre Rose… Chez nous, ça devient Octobre Hypocrisie. Tout le monde sort le ruban, le selfie, le hashtag, « suçons les seins » , mais dès qu’il faut vraiment sensibiliser, y’a plus personne. On confond prévention avec présentation. C’est pas la lutte contre le cancer du sein, c’est le concours de la plus belle pose de soutien-gorge rose.

Et pendant que le vrai combat se perd, nos jeunes, elles, s’autoproclament « influenceuses ». Mais influenceuses de quoi, au juste ? De la vacuité ? De la flemme ? Elles influencent plus de filtres que de cerveaux. Elles pensent que l’anneau lumineux, c’est un diplôme. Elles vendent du rêve, mais elles dorment dans la réalité. Toujours à prêcher la réussite, mais incapables de réussir à être vraies.

Elles s’habillent comme des pubs, elles parlent comme des légendes Instagram, et elles vivent pour les vues, pas pour la vision. Le pire, c’est qu’elles appellent ça “motiver la jeunesse”. Non ma sœur, c’est pas de la motivation, c’est de la désorientation. Parce que pendant que toi tu fais des transitions TikTok, la vie, elle, fait sa transition sur toi.

Et pendant ce temps, le peuple reste abonné à l’ignorance Premium. Pas d’éducation, pas de santé, mais beaucoup de slogans. Chez nous, même la misère a appris à sourire pour la photo officielle. On fait semblant d’être bien alors qu’on survit mal.

Bref. Moi, Octobre Rose, je ne porte pas le ruban : je porte la vérité. Et elle gratte. Parce qu’à force de se mentir, on va finir par croire que le mensonge, c’est notre culture nationale.

04/10/2025

30/09/2025

Les élections au Gabon, c’est toujours la même chanson. Boycott d’un côté, accusations de trucage de l’autre… et au final, le citoyen reste spectateur d’un film qu’il a déjà vu cent fois. On nous vend le changement, mais les méthodes ne changent pas. Ceux qui crient aujourd’hui étaient aux commandes hier, et ceux qui critiquent demain referont peut-être pareil.

Le vrai problème, c’est cette répétition sans fin. On se bat plus pour les fauteuils que pour les idées, plus pour des intérêts que pour le bien commun. Résultat : le peuple se lasse, la confiance s’érode, et le pays avance à pas de tortue. On aurait presque envie de dire : que le Président nomme directement ses hommes et qu’on arrête de faire semblant de voter, si c’est juste pour tourner en rond.

Mais au fond, la solution n’est pas si compliquée : chacun doit jouer sa partition. Gouvernants comme gouvernés. Refuser le mensonge, refuser la manipulation, refuser de répéter les erreurs d’hier. Car le vrai changement ne viendra pas d’un bulletin glissé dans une urne seule, mais d’une volonté collective d’écrire une autre histoire. À bon entendeur, salut.

Je vois la vie en jaune actuellement hein✌🏾✌🏾✌🏾

29/09/2025

Bsr

19/08/2025

J'ai une question, s'il vous plaît. Le président du Cameroun a 25 ans, non ? Si je ne me trompe pas hein

19/08/2025

Si je parle on va dire que j’écris beaucoup ou j’aime la polémique

Bon on va devoir subir c’est mieux bonne journée aux autorités

18/08/2025

À la communauté béninoise vivant au Gabon, je rappelle d’abord que vous êtes nos frères et sœurs, et que le respect mutuel doit primer en toutes circonstances. Toutefois, les insultes proférées contre le Président de la République et même les menaces proférées à l’endroit de notre pays ne peuvent être tolérées. Le recours aux provocations et à l’intimidation ne contribue en rien à la paix ni à la bonne cohabitation entre nos peuples.

Je vous invite donc à faire preuve de retenue et de responsabilité. Si certains parmi vous ne se sentent plus en sécurité ou en harmonie ici, votre propre ministre des Affaires étrangères a déjà mis des avions à disposition pour le rapatriement. Il n’est pas question que vous cherchiez à imposer vos lois ou vos pratiques au Gabon. La cohabitation repose sur le respect de la souveraineté du pays qui vous accueille.

Face à cette situation qui s’envenime, j’en appelle aux autorités compétentes ‘ le ministère de l’Intérieur, celui de la Défense et celui des Affaires étrangères ,afin qu’elles prennent les dispositions nécessaires pour éviter tout débordement. Le Gabon a toujours été un pays tolérant et pacifique, mais que nul n’interprète notre patience comme une faiblesse. Si les provocations persistent, il faudra des mesures fermes pour garantir la sécurité et la dignité de la nation.

18/08/2025

Mes frères, mes sœurs, on a vu la note des autorités : plusieurs métiers de l’informel sont désormais interdits aux étrangers. Très bien. Mais maintenant, il faut que ce ne soit pas seulement des mots sur du papier. Il faut que les forces de l’ordre ne ferment pas les yeux pour un billet de 2000 glissé sous la table. Il faut qu’elles protègent l’avenir des Gabonais, pas les poches de quelques individus. Si on veut encourager nos compatriotes à travailler, à se lever, à entreprendre, alors il faut leur donner l’espace qu’on a toujours laissé aux autres.

Et puis, soyons clairs : si on a commencé à toucher aux foyers étrangers qui monopolisent certains petits commerces, on peut aussi toucher les multinationales. Oui, c’est possible. On peut aussi regarder en face ces pays européens, ceux qui se disent nos amis mais qui exploitent nos richesses depuis des décennies. C’est là que le vrai combat commence. Parce que protéger le Gabon, ce n’est pas seulement réglementer le petit marché du coin, c’est aussi défendre nos ressources, notre économie, notre souveraineté.