La préfecture du rire

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12/08/2025

Gabon, pays d’hospitalité… Eh ben voilà où l’hospitalité nous mène ! Aujourd’hui, si tu oses défendre tes droits, vu que nos autorités roupillent, tu passes direct pour… comment ils disent déjà ? Ah oui, un xénophobe merci.

12/08/2025
Il y a des gens qui pensent que leur carnet d’adresses, leur influence ou leur apparence les place au-dessus des autres....
11/08/2025

Il y a des gens qui pensent que leur carnet d’adresses, leur influence ou leur apparence les place au-dessus des autres. Moi, je n’ai ni fortune, ni beauté, ni réseau. Je n’ai personne derrière moi, mais j’ai quelque chose que vous ne pourrez jamais acheter : la liberté de parler et d’agir sans craindre vos menaces. Si vous venez m’affronter, sachez que je n’ai rien à perdre. Et quelqu’un qui n’a rien à perdre, c’est dangereux.

Vous croyez qu’ignorer vos intimidations, c’est de la faiblesse ? Non. C’est juste que je choisis mes batailles. Mais quand vous dépassez les limites, je vous regarde droit dans les yeux. J’ose. Et je continuerai à oser, parce que ce qui est injuste doit être dénoncé. Pas pour plaire, mais pour rappeler que la peur n’est pas une monnaie d’échange.

Je n’ai pas besoin de votre reconnaissance. La seule couronne que je porte, c’est celle que m’a donnée ma mère : celle de sa fierté. Les applaudissements du reste du monde ne m’intéressent pas. Alors, que vous soyez blessés par mes mots ou dérangés par mon existence, c’est votre problème, pas le mien. Je ne me tairai pas pour flatter vos égos.

Je sais que beaucoup attendent ma chute. Elle viendra, comme la chute de toute personne sur cette terre. Mais sachez une chose : je tomberai debout. Et quand ce jour viendra, je serai encore plus libre que maintenant, parce que ma valeur n’a jamais dépendu de vous. Continuez à attendre, mais en attendant… moi, je continue à parler.

11/08/2025

Les autorités gabonaises, si ce pays va mal, c’est parce que vous êtes à l’image de nos pires défauts collectifs. Vous profitez de notre laxisme comme des charognards profitent d’une carcasse. Vous vous servez de notre inconscience pour piller nos ressources, vendre nos intérêts et trahir notre avenir. Vous êtes censés être des exemples, mais vous êtes devenus des modèles de corruption, d’égoïsme et d’incompétence. Le peuple n’est pas composé uniquement d’idiots : il y a ici des femmes et des hommes de valeur, avec des principes solides et un sens du bien commun. Pourtant, vous les ignorez, car vous préférez vous entourer de complices et de suiveurs prêts à tout pour un billet glissé sous la table.

À vous voir agir, on croirait que certaines autorités ont été mal éduquées au point de vendre le Gabonais au plus offrant. Et pour quoi ? Un pot-de-vin ? Un petit confort personnel ? Une reconnaissance étrangère qui ne vaut rien ? On dirait que certains d’entre vous ont été mentalement domestiqués, réduits à servir les intérêts des autres au détriment de votre propre peuple. Mais comprenez bien ceci : votre soumission n’est pas éternelle. Chaque trahison que vous commettez creuse la tombe de votre crédibilité, et le jour viendra où même votre position ne vous protégera plus de la colère de ceux que vous avez écrasés.

11/08/2025

Les autorités gabonaises qui acceptent les pots-de-vin des étrangers… Qu’est-ce qui se passe dans vos têtes ? C’est de la mendicité ? Je ne comprends pas. J’ai envie de comprendre. Parce que les mêmes problèmes qu’on a dénoncés il n’y a même pas longtemps, il y a 14 ans, 7 ans à peine , vous recommencez les mêmes pratiques. Pourquoi ? Comment est-ce que ces autorités peuvent autant mettre à mal les populations ?

Déjà, entre nous, on ne s’aime pas beaucoup, ça, il faut le dire. Mais ce sont pourtant nos parents, nos amis, nos proches qu’on place là-bas pour faire changer les choses. Et vous, vous faites tout pour freiner l’avancée du pays. Je ne sais pas si on va s’asseoir tous ensemble, repartir au stade pour un dialogue. Chaque province, chaque ethnie, chacun nomme un chef et dirige sa région. Parce que là, ça devient grave.

C’est triste de voir que le Gabonais se plaint toujours, sans arrêt. On se plaint pour les autres, mais ouvrir une entreprise au Gabon, c’est difficile. Le Gabonais, surtout le plus pauvre, est confronté à la corruption. Et dès qu’il essaie de s’en sortir, on veut le faire tomber.

Nous, on connaît des gens bien placés, qui travaillent correctement, mais qui ne t’appellent que pour te donner un verre, jamais pour parler d’opportunités ou de travail. Parce qu’ils ne peuvent pas te proposer de profiter du système sans te faire souffrir. Alors les choses passent par nos petites sœurs, qui elles cherchent à vivre du paraître, à la quête du superficiel.

C’est quoi ce pays, au juste ? Changeons de mentalité, prenons conscience du mal qui nous ronge. Ce que vous faites, c’est mauvais pour nous tous.

11/08/2025

Arrêtez de chauffer de l'eau dans les marmites avant de vous laver,je suis dans un taxi voilà qu’une maman a odeur de feuilles de manioc avec le sucre
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11/08/2025

Comme je le dis souvent : quand le peuple souffre, on pointe du doigt les autorités. Mais soyons honnêtes… nous-mêmes, on est responsables de ce qui nous arrive.

Je vais m’adresser aux chrétiens du Gabon oui, chrétiens , parce que visiblement, la logique vous échappe. Nos autorités, celles-là mêmes qu’on accuse de piller le pays, viennent dans vos églises avec leurs pots-de-vin, leurs “dons” et leur hypocrisie, et vous les accueillez comme des rois.

Vous leur donnez de la valeur. Vous les blanchissez. Vous les bénissez même. Et après, vous vous plaignez de la misère ?

Moi je vous le dis : si le Président me donne juste sa main pendant trois jours, je peux devenir ministre de l’Intérieur. Églises, mosquées, tous ces lieux où on couvre la corruption, je fermerais tout. Parce que quand je vous observe, je ne vois pas des gens qui veulent sauver le pays. Je vois des gens qui se servent eux-mêmes.

Et le pire ? Les mêmes politiciens que vous traitez de francs-maçons, d’homosexuels, de lesbiennes, de corrompus, ce sont eux que vous recevez avec tapis rouge. Hypocrisie XXL.

Alors, oui, je vous parle cash : tant que vous continuerez à servir vos petits intérêts au lieu de défendre le peuple, vous resterez des crétins. Et malheureusement, vous êtes nombreux.

11/08/2025

Nous vivons dans un pays où la première urgence n’est pas de trouver des solutions… mais de prendre conscience. Conscience de nos priorités, conscience de nos valeurs, conscience que tant qu’on restera endormis, rien ne changera. Ici, l’eau coûte plus cher que l’alcool, la jeunesse est abandonnée à elle,même, et ceux qui devraient nous guider qu’ils soient dans les églises ou dans les hautes sphères s’autorisent à semer le désordre. Les autorités censées protéger le peuple sont parfois les premières à piller ses richesses. Et nous, que faisons-nous ? On ferme les yeux. On s’habitue. On accepte.

Dans ce désordre, chacun fait comme il veut, sans se soucier de l’intérêt commun. On rêve de réussite, mais on oublie qu’aucune réussite n’a de valeur si elle se bâtit sur les ruines des autres. Et quand quelqu’un ose parler, oser pointer du doigt ce qui dérange, on cherche à le faire taire, à l’humilier, à l’écraser. On préfère abattre la voix qui dérange plutôt que de réparer le problème qu’elle dénonce.

Je ne suis peut-être pas un exemple. Et c’est justement parce que je ne suis pas un exemple que je me permets de parler. Je ne parle pas pour moi seul, je parle pour tous ceux qui n’ont pas de micro, pas de tribune, pas de visibilité. Pour tous ceux qu’on fait taire avant même qu’ils aient fini leur première phrase. Et chaque jour, je lis, j’observe… et je suis déçu. Pas parce que je me crois plus intelligent que les autres , je ne le suis pas ,mais parce que certains commentaires me font comprendre que beaucoup ont renoncé à réfléchir, à s’indigner, à rêver même.

Alors je vous souhaite bonne nuit, chers abonnés. Mais avant de fermer les yeux, posez-vous cette question : dans quel monde voulons-nous nous réveiller demain ? Un monde où l’on continue de rire nerveusement devant nos malheurs ? Ou un monde où l’on se relève, où l’on s’écoute, où l’on ose dire “ça suffit” ? Dormez bien… mais ne dormez pas sur votre conscience. Parce que c’est vraiment dommage.

10/08/2025

Les enfants chéris de Jésus supportent si mal la critique que même les sourds-muets savent mieux écouter qu’eux.
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Je disais : vous avez le stade, mais chaque année c’est la même histoire. Vous faites vos répétitions, vous bloquez les ...
10/08/2025

Je disais : vous avez le stade, mais chaque année c’est la même histoire. Vous faites vos répétitions, vous bloquez les routes, et on revit toujours le même scénario au défilé. Franchement, vous n’allez pas nous faire subir ça éternellement.

En plus, vous ne communiquez même pas. On découvre sur place que les gars sont en pleine répétition. Ce n’est pas normal. Ça ralentit l’économie, ça gêne tout le monde. Imagine : tu dois aller livrer un téléphone, et boum… route fermée, parce qu’il faut défiler.

Et quand je parle de manque de communication, je veux dire que communiquer, ce n’est pas une seule annonce perdue quelque part. Il faut répéter, rappeler, pour que l’info reste dans la tête des gens. La répétition, c’est la mère des sciences, pas la mère des surprises désagréables.

Alors que vous avez tout un stade, là-bas, qui dort. Utilisez-le ! Faites vos défilés là-bas, et laissez les routes aux gens qui travaillent le dimanche nous ne rend pas riches on veut juste manger ,dormir et se soigner.

Après l’amour c’est pas la guerre Faites un tour la mif Maison iPhone
09/08/2025

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08/08/2025

Vos enfants, qui se prennent pour des stars sur les réseaux, sont mêlés aux réseaux de placement avec vos homosexuels d’Akanda.

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