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Une vérité qui dérange : le cri de la planète
14/07/2025

Une vérité qui dérange : le cri de la planète






Mamoudou Nagnalen Barry soutient brillamment sa thèse de doctorat en Business Administration à ParisLe président du Cons...
13/07/2025

Mamoudou Nagnalen Barry soutient brillamment sa thèse de doctorat en Business Administration à Paris

Le président du Conseil d'administration du Transguinéen, Mamoudou Nagnalen Barry, a soutenu sa thèse de doctorat en Business Administration ce samedi 12 juillet à Paris. Cette soutenance s’est tenue dans le cadre d’un programme de BEM Dakar en collaboration avec l’Académie des sciences de management de Paris.

L’ancien ministre de l’Agriculture a profité de sa page Facebook pour exprimer sa reconnaissance envers toutes celles et ceux qui l'ont soutenu durant son parcours académique. Il a notamment remercié le président de la République, le général des forces armées, ainsi que son épouse Saran Kaba et sa belle-sœur Hadja Fanta Kaba, dont le soutien a permis d’assurer la garde des enfants pendant ses périodes de recherche.

Docteur Barry a également salué l’appui moral et constant de ses parents, ainsi que l’implication de ses collègues et amis pour la relecture, les entretiens et leur participation aux enquêtes en ligne.

Chaîne de valeur minière : un levier pour le développement local
13/07/2025

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Notre unique maison : protégeons-la !
13/07/2025

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Déchets plastiques européens : l’Afrique, poubelle du Nord ?
12/07/2025

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Déchets en Afrique : le scandale silencieux des exportations européennes
11/07/2025

Déchets en Afrique : le scandale silencieux des exportations européennes





Semia Gharbi, la sentinelle verte de la TunisieUne femme, un combat, un message pour la jeunesse africaineDétentrice du ...
11/07/2025

Semia Gharbi, la sentinelle verte de la Tunisie
Une femme, un combat, un message pour la jeunesse africaine

Détentrice du prestigieux Prix Goldman pour l’environnement, considéré comme le "Nobel Vert", Semia est devenue aujourd’hui une icône dont le nom résonne bien au-delà des frontières tunisiennes.
Ce prix vient également saluer une victoire citoyenne historique contre le trafic de déchets toxiques venus d’Europe.

Semia Gharbi est une figure qui a dit non aux pratiques déloyales (dumping) en Afrique.

En 2020, plus de 6 000 tonnes de déchets ménagers italiens sont illégalement débarqués au port de Sousse, en Tunisie, sous le prétexte de "recyclage plastique".
Face à ce scandale, Semia Gharbi se lève, enquête, mobilise, alerte. Son combat débouche sur :
• le renvoi des déchets vers l’Italie,
• l’arrestation de 40 responsables,
• et le limogeage du ministre tunisien de l’Environnement.

Militante dans l’âme, cette experte en sciences de la vie, géologie et gestion de l’environnement assure la formation d’enseignants et de formateurs à travers l’Association d’Éducation à l’Environnement pour les Générations Futures (AEEFG), qu’elle a fondée en 2011.

Semia Gharbi œuvre à éduquer les jeunes sur les dangers des polluants toxiques, des plastiques et des déchets industriels. Grâce à ses efforts, son association collabore aujourd’hui avec le Ministère tunisien de l’Éducation.

Semia est une source d’inspiration vivante, un modèle qui en inspire plus d’un.
Son action locale a eu un impact retentissant, entraînant des réformes jusqu’au niveau européen et relançant le débat sur les Conventions de Bâle et de Bamako, qui visent à interdire l’exportation de déchets dangereux vers les pays africains.

Lors de la remise de son Prix Goldman, Semia Gharbi a déclaré :

« En Tunisie, comme dans de nombreux autres pays, nous recevons des déchets illégaux en provenance de pays développés. En tant que membres de la société civile nationale et internationale, nous refusons d'être considérés comme un simple pays où d'autres déversent leurs déchets. Nous devons mettre fin au colonialisme des déchets ! »
— Semia Gharbi, Prix Goldman 2024

La Guinée, pays riche en ressources minières, fait face à des défis environnementaux majeurs : pollution des eaux par les industries, déforestation, décharges sauvages, manque d’éducation à l’environnement.

Ce portrait de cette éducatrice verte de la génération future est une invitation aux jeunes filles guinéennes à se former, à s’engager, à dénoncer, à éduquer et à militer pour un développement durable et respectueux de notre environnement.

Abdoul Gadiri Wagué
Journaliste engagé pour une Guinée durable, juste et responsable.







L'eau se raréfie, l'Afrique s'assèche : agissons maintenant !
11/07/2025

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Un geste pour la planète, une goutte pour l’avenir
10/07/2025

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Plastiques en folie : la planète étouffe sous 430 millions de tonnes !
09/07/2025

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TRIBUNE — Le Piège de la bauxite brute: la Guinée face à ses responsabilités "La Guinée est un scandale géologique", nou...
09/07/2025

TRIBUNE — Le Piège de la bauxite brute: la Guinée face à ses responsabilités

"La Guinée est un scandale géologique", nous rappelait le père de l’indépendance, feu Ahmed Sékou Touré.

La République de Guinée est un pays minier par nature et par excellence. Toutes les matières premières semblent s’y être données rendez-vous : bauxite, fer, or, diamant, cobalt, métaux de base et de construction…

Aujourd’hui, elle est le deuxième pays exportateur mondial de bauxite, juste derrière l’Australie, avec des réserves estimées à plusieurs milliards de tonnes, parmi les plus importantes au monde.

Mais derrière l’excitation des chiffres, une dépendance sérieuse se profile. Selon les données croisées de la Banque africaine de développement (2024) et du FMI (2023), plus de 90 % des exportations minières guinéennes reposent sur la seule bauxite.

Ce modèle est peu profitable, car il repose sur une matière brute que nous n’avons jamais véritablement su maîtriser. Cette exportation unique, aussi massive que peu diversifiée, affaiblit notre souveraineté économique.

Le moindre ralentissement de la demande chinoise, la moindre crise géopolitique ou une simple baisse des cours mondiaux peut suffire à paralyser l'économie nationale.

Alors , que faisons-nous pour sortir de ce cercle vicieux ? Malheureusement, bien trop peu.

Le paradoxe est frappant : la Guinée ne dispose toujours pas d’un Institut national de la Bauxite.
Aucun centre de recherche appliquée, aucune école d’ingénierie dédiée à ce minerai.
Comment un pays détenteur des plus grandes réserves mondiales peut-il rester aussi dépendant des savoirs et des chaînes de valeur étrangères notamment: laChine?

Un Institut de la Bauxite ne serait pas un luxe, mais simplement une urgence nationale. Il permettrait :

• La formation d’une élite technique nationale dans les métiers de l’alumine, de l’aluminium et des technologies minières avancées ;

• La production de données fiables et stratégiques, pour mieux négocier avec les multinationales ;

• L’appui à une politique industrielle ambitieuse, tournée vers la transformation locale ;

• Et surtout, la construction d’une véritable souveraineté minière, au service du développement.

Le projet Simandou, le Transguinéen, la pression démographique, le chômage des jeunes…
Tout nous pousse à repenser notre modèle économique.

Il est temps de sortir de la logique extractiviste léguée de la colonisation, et d’entrer dans une ère de valorisation nationale des ressources.

La Guinée ne doit plus se contenter d’être le réservoir brut du monde.
Elle doit devenir un acteur souverain, capable d’ajouter de la valeur, de former sa jeunesse, de protéger son environnement, et de prendre le contrôle de son avenir.

Créer un Institut national de la Bauxite, c’est poser un acte politique fort.
Un choix stratégique. Un tournant historique.

Comme le disait un penseur africain :
« Le véritable développement commence lorsque la matière première cesse d’être une malédiction. »
Alors, il revient à l'Etat, aux universités, et aux partenaires techniques de faire de cet institut une priorité nationale. Car sans maîtrise de notre bauxite, il serait difficile d'amorcer un développement souverain.

Abdoul Gadiri Wagué
Journaliste engagé pour une gouvernance minière durable

Mines vs Biodiversité : Pourquoi il faut agir maintenant !
08/07/2025

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