15/09/2024
💔😭APRÈS M’AVOIR BIEN MOUGOU,VOICI CE QU’IL M’A FAIT😭💔
Bonjour Tata Chocolat,
Je m'appelle Virginie, j’ai 32 ans et je vivait a Douala au Cameroun.
L’histoire que je vais te raconter, c'est mon histoire. Une histoire qui me hante, qui me déchire, et qui a fini par me laisser dans un gouffre sans fond.
Il y a plusieurs années, j'étais une jeune femme pleine de rêves et d'espoir. À cette époque, il y avait un garçon dans ma classe, Samuel ( 34 ans aujourd’hui)Il n'arrêtait pas de me faire la cour, chaque jour, sans relâche.
Pendant six ans, Samuel n'a jamais manqué une occasion de me dire combien il m'aimait, combien j'étais la femme de sa vie.
Mais moi, j'étais concentrée sur mes études, je ne voyais pas au-delà de mes livres.
Je l'appréciais, mais je n'étais pas prête à m'engager. Le temps est passé, nos chemins se sont séparés, et finalement, j'ai rencontré un autre homme, quelqu'un de bien, qui est devenu mon mari.
Ensemble, nous avons eu deux beaux enfants.
Mais la vie, tu sais, elle n'est jamais linéaire. Les premières années de notre mariage étaient idylliques, comme un conte de fées.
Mais avec le temps, les choses ont commencé à changer. Mon mari a perdu son travail, les tensions ont commencé à se faire sentir dans notre foyer, et l'amour que nous avions partagé a peu à peu laissé place aux disputes, aux reproches, et au silence.
Un jour, alors que j'étais au marché avec mon fils, j'ai décidé d'entrer dans une boutique pour acheter du riz. C'est là que je l'ai vu. Samuel. Le même Samuel qui, des années auparavant, m'avait promis monts et merveilles.
Je ne pouvais pas y croire. Lui non plus d'ailleurs. Ses yeux brillaient comme autrefois, et il a recommencé à me faire la cour, comme si le temps ne s'était jamais écoulé.
Au début, je me suis dit que c'était juste une coïncidence, un vieux souvenir qui refaisait surface.
Mais avec les problèmes à la maison, les disputes incessantes avec mon mari, la présence de Samuel est devenue un baume pour mon cœur meurtri.
Il m'écoutait, il me comprenait, il me faisait rire. Peu à peu, j'ai commencé à me laisser aller, à croire que peut-être, c'était lui, l'homme que j'avais toujours cherché.
Après tout, qui fait la cour à une femme pendant six ans sans avoir des sentiments sincères ?
Nous avons commencé à nous voir en secret. Au début, c'était juste pour discuter, puis petit à petit, c'est devenu plus. Il m'a emmenée dans des hôtels, il m'a fait des promesses. Des promesses de bonheur, de paix, de sécurité.
J'ai fini par céder, par croire en lui. Nous avons partagé des moments intenses, des moments où je me sentais vivante, aimée, désirée.
Samuel était tout ce que je voulais, tout ce dont j'avais besoin.
Chaque jour qu’on se voyais on devais mougou. Samuel pouvait me mougou 4 heures sans se fatiguer.
J’aimais Samuel de tout mon corps et mon âme. Mon mari ne me disais plus rien; je ne le laissais plus me toucher. A la maison je préparais juste pour les enfants.
M’apprêtai et allais à mon render-boys avec Samuel.
Alors, dans un moment de folie, ou peut-être de désespoir, j'ai décidé de quitter mon mari pour lui. J'ai pris mes enfants, et je suis partie.
Samuel m'a trouvé une maison, il m'a promis de prendre soin de moi, de nous.
Au début, il venait me voir tous les soirs.
Lorsque le soleil se couchait et que l'obscurité enveloppait la maison, un nouvel univers naissait. Samuel, tel un spectre envoûtant, apparaissait chaque soir.
Ses visites étaient devenues une constante, un rituel clandestin qui faisait battre mon cœur à un rythme effréné.
Dès que les enfants sombraient dans le sommeil, une tension électrique prenait possession de chaque recoin de la maison.
Je l'attendais avec une excitation mêlée de crainte, le souffle court, mes pensées virevoltantes. Le souffle de Samuel, je pouvais presque le sentir avant même qu’il ne franchisse la porte.
Il me trouvait parfois dans le salon, parfois dans la cuisine, mais c'était sous l'eau de la do**he que sa présence se faisait la plus brutale, la plus impérieuse.
Ses mains expertes se frayaient un chemin sur ma peau, et chaque caresse provoquait un frisson délicieux, laissant dans son sillage une trace de feu indélébile.
Aucun endroit ne demeurait secret pour lui. Là, sous la lumière tremblante, il prenait son temps, savourant chaque instant, chaque parcelle de ce que j’ai entre les cuisses.
Samuel aimait m’épiler lui-même, prunelle d’un désir sauvage dans le regard.
Chaque mouvement de va et vient de son gros membre dans mon V - A - G - I - N suscitait en moi un tourbillon de sensations incommensurables, et chaque soir devenait une odyssée nouvelle, un voyage dans les profondeurs d'une passion effrénée.
Cependant, une part de cette entente illicite commençait à me peser. Une angoisse sourde s’insinuait, troublant la sérénité des journées, rendant chaque instant avec mes enfants teinté d’une culpabilité acerbe.
Était-ce là un amour authentique ou une illusion née des ombres?
À chaque rencontre, les questions s'amoncelaient, jusque-là jamais osées, et un malaise croissant commençait à prendre le dessus.
Un soir, dans l’étreinte de ses bras, je fus traversée par un frisson différent, la froideur d’une révélation. Samuel et moi étions au sommet du bonheur carné; son gros membre dans moi faisais des va et vient mais en bas, un abîme s'ouvrait.
Mais ce soir-là, il se passa quelque chose de différent. Samuel repoussa doucement une mèche de mes cheveux et me regarda dans les yeux, une intensité inhabituelle dans son regard. « Il faut que je te parle », murmura-t-il. Et avant qu'il ne puisse en dire plus, un bruit sourd retentit depuis l'étage. Mon cœur manqua un battement. Était-ce un signe?
Notre causerie fut remise à plus t**d. Samuel continua son va et vient dans moi jusqu’à exploser.
Mais après trois mois, tout a changé. Samuel a commencé à devenir distant, à éviter mes appels, à ne plus passer me voir.
Je me suis demandée ce qui se passait, ce que j'avais fait de mal.
Puis, un soir, alors que je lui demandais ce qui n'allait pas, il m'a dit la vérité.
Samuel était marié. Marié depuis des années avec 4 enfants et il ne pouvait pas quitter sa femme. Il
aimait beaucoup sa femme.
Ce n'était qu'un jeu pour lui. Une aventure pour satisfaire une envie de la jeunesse . Selon lui, toutes ses années du lycée, il avait toujours voulu me mougou.
Il ne comptait jamais s'engager, jamais me donner ce que j'attendais.
Je me suis retrouvée seule, abandonnée avec mes deux enfants. Et maintenant je viens de découvrir que je suis enceinte.
J'avais quitté mon mari, détruit mon foyer, pour suivre une illusion.
Samuel ne voulait plus payer la maison, il ne voulait plus de moi.
Il ne voulait pas non plus entendre parler de ma grossesse.
Je ne savais plus quoi faire. Comment pouvais-je retourner auprès de mon mari que j'avais trahi ?
Comment pouvais-je m'occuper de mes enfants sans toit, sans soutien ?
Aujourd'hui, je suis perdue. J'ai tout perdu à cause de mes choix.
Mon mariage, ma dignité, ma sécurité.
Et je ne peux m'empêcher de me demander, encore et encore : comment en suis-je arrivée là ?
Qu'est-ce que je vais faire maintenant ?
Je me retrouve prisonnière de mes propres erreurs, de mes propres illusions. Et quel que soit le chemin que je prends, il n'y a que des larmes, que de la douleur au bout.
Je me retrouve à genoux, priant pour un miracle, mais en moi, je sais qu'il n'y en aura pas. C'est fini.
Après cette révélation, mon monde s'est effondré. Le choc de la trahison m'a paralysée.
Samuel, cet homme que j'avais placé sur un piédestal, avait tout simplement joué avec moi, avec mes sentiments, avec mon corps, avec ma vie.
Je me sentais vide, trahie, et désespérément seule.
J'ai passé des jours à pleurer, enfermée dans cette maison que Samuel avait trouvée pour nous, cette maison qui désormais ressemblait plus à une prison qu'à un refuge.
Chaque recoin me rappelait les promesses brisées, les espoirs déçus. Mes enfants me regardaient avec des yeux inquiets, ne comprenant pas pourquoi leur maman était devenue une ombre d'elle-même.
Et cette grossesse que je portais.
Qui allait accepter une femme avec deux enfants et enceinte d’un autre homme?
Les factures s'accumulaient, la nourriture venait à manquer, et je n'avais personne vers qui me tourner.
Ma famille, mes amis, tous m'avaient mise en garde contre Samuel. Mais aveuglée par le désespoir et l'envie d'un renouveau, je n'avais écouté personne. Maintenant, je payais le prix fort. Tout le
Monde m’avait fuit. Personne ne répondais plus à mes appels
Un soir, après avoir couché mes enfants, je me suis assise dans le noir, le silence de la maison pesant sur mes épaules comme un lourd fardeau.
Mes pensées tournaient en boucle. Retourner vers mon mari avec cette grossesse ?
L'idée même me semblait impossible. Comment pouvais-je lui demander pardon après ce que j'avais fait ?
J'avais détruit notre mariage, trahi sa confiance. Même si je trouvais le courage de lui parler, comment pourrait-il m'accepter de nouveau ?
Et même si par miracle il le faisait, comment pourrais-je vivre avec moi-même, sachant ce que j'avais fait ?
Et puis, il y avait Samuel. Samuel qui avait non seulement brisé mon cœur, mais aussi volé mon avenir.
Il m'avait laissée dans cette situation sans un mot, sans une explication, comme si je n'étais rien.
Une part de moi voulait se venger, le confronter, lui faire payer ce qu'il m'avait fait. Mais à quoi bon ? Que gagnerais-je à cette confrontation, sinon davantage de douleur ?
Les jours passaient, et je continuais à m'enfoncer dans le désespoir.
Je savais que je devais faire quelque chose, mais chaque option me paraissait plus désastreuse que la précédente.
Les enfants avaient besoin de moi, ils dépendaient de moi, mais comment pouvais-je être forte pour eux quand je ne savais même pas comment survivre moi-même ?
Alors, un matin, je me suis levée, les yeux encore rougis par les larmes de la nuit, et j'ai pris une décision.
Je devais affronter ma réalité, aussi douloureuse soit-elle. Je ne pouvais plus me cacher derrière les souvenirs, les regrets, ou les espoirs déchus.
Je me suis rendue chez mon mari. Le cœur battant, j'ai frappé à la porte, sans savoir s'il me laisserait entrer, sans savoir ce que j'allais lui dire.
Quand il a ouvert, ses yeux étaient durs, pleins de colère et de peine. Je n'ai pas essayé de m'excuser, les mots semblaient inutiles. Je me suis juste effondrée devant lui, incapable de parler, laissant mes larmes couler.
Je lui ai raconté tout, la rencontre avec Samuel, la trahison, ma grossesse, ma souffrance.
Je ne cherchais pas son pardon, je voulais simplement qu'il sache ce qui s'était passé.
Il m'a écoutée en silence, puis il m'a demandé de partir. Il n'avait plus rien à me dire, plus rien à me donner.
Et c'est là que j'ai compris que j'avais tout perdu, pour de bon. Mon mariage était fini, mes rêves étaient détruits, et il ne me restait plus que moi-même, seule face aux conséquences de mes choix.
J'ai quitté sa maison, les épaules affaissées, le cœur en miettes. Je ne savais pas où aller, quoi faire.
Ma vie était un champ de ruines, et je n'avais plus d'espoir pour l'avenir. Mais je savais une chose : je devais trouver une manière de me relever, pour mes enfants, pour moi-même. Parce qu'aussi douloureux que soit ce chemin, je ne pouvais pas abandonner.
J’ai pris mes deux enfants et je suis rentré au village; chez ma vielle maman.
Aujourd'hui, je vis un jour à la fois.
Je vend des arachides devant un bar du village.
Je n'ai pas encore trouvé toutes les réponses, je suis encore perdue par moments, mais j'essaie de reconstruire ce que j'ai détruit, petit à petit. Ce n'est pas facile, et parfois je doute de pouvoir y arriver.
Mais je me bats. Parce que malgré tout, je suis encore là, et tant que je suis en vie, il y a encore une chance, aussi infime soit-elle, de redonner un sens à cette existence brisée.
Mais au fond de moi, une question me hante toujours : comment faire pour ne plus jamais tomber dans ce piège, pour ne plus jamais permettre à quelqu'un de me détruire ainsi ?
Et chaque jour, je cherche la réponse, espérant qu'un jour, je la trouverai.
J’attend beaucoup de conseils de vous. Vous êtes mon dernier espoir.
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