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24/07/2025

L'Expert en charge de l’accompagnement des PME et du développement d’écosystème entrepreneurial Danda Diallo, a réagi suite à la fermeture de plusieurs unités de production d’eau non conformes, par le ministère en charge du commerce et de l'industrie.

Selon lui, l'objectif visé est salutaire mais il faut plutôt formaliser, régulariser et renforcer ces unités de production capables de répondre aux standards de qualité, de créer de l’emploi, et de contribuer durablement à l’économie du pays.

Plus loin, cet expert a préconisé une approche intelligente, de catégorisation, d’accompagnement et de structuration.

L’Expert en charge de l’accompagnement des PME et du développement d’écosystème entrepreneurial Danda Diallo, a réagi suite à la fermeture de plusieurs unités de production d’eau non conformes, par le ministère en charge du commerce et de l’industrie. Selon lui, l’objectif visé e...

24/07/2025

Six (6) citoyens Guinéens ont été tués. Une dizaine d’autres ont été grièvement blessés. Des maisons ont été incendiées, des familles brisées, des vies mutilées à jamais.

Le Président du district, Nyankoye KOLIE, fut atteint à la gorge par une gr***de. Il est mort sur le coup. Siba KPELEYAI, Foromo TOKPA, Nazouo KOLIE, Moriba Tokpa KOLIE ont été abattus. Pokpa Zaoro LOUA est décédé plus t**d à l’hôpital.

La liste des blessés, dont certains porteront à vie les stigmates de cette nuit tragique, est longue, douloureuse, accablante.

Dans la foulée, plusieurs citoyens furent arrêtés, molestés, torturés. Des agents de sécurité travaillant pour la société Vale, fils du village, furent accusés à tort d’être les instigateurs des protestations et livrés à la répression sur ordre d’un officier supérieur de gendarmerie.

Treize années se sont écoulées. Et rien. Aucune poursuite. Aucun procès. Aucun acte de reconnaissance officielle. Rien.

Dans la nuit du 03 au 04 août 2012, alors que tout dormait à Zowota, des éléments des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ont semé la terreur dans ce paisible village de la région forestière. À bord de véhicules appartenant à l’armée, à la gendarmerie et à la police, ils ont dé...

24/07/2025

Après la région de Boké, c’est autour de la savane guinéenne d’être au cœur de l’action. À la tête de la délégation, le Directeur Général de l’ORASPC, M. Moussa Tatakourou Diawara, a ouvert la séance en mettant en lumière :

1️⃣ Le cadre juridique du secteur de la sécurité privée à travers les décrets et arrêtés ;
2️⃣ Les missions de l’ORASPC ;
3️⃣ Les obligations des sociétés de sécurité privée ;
4️⃣ Les infractions fréquentes dans les sociétés de sécurité privée et également dans les entreprises disposant des services internes de sécurité, notamment les entreprises minières ;
5️⃣ Le rôle central de la police nationale dans la régulation du secteur de la sécurité privée ;
6️⃣ Les réformes majeures engagées depuis la création de l'ORASPC.

Le mercredi 23 juillet 2025, l’Office de Régulation des Agences de Sécurité et de Protection Civile (ORASPC) a tenu une importante rencontre avec les autorités policières de la région administrative de Kankan, dans la salle de conférence du chef lieu de la région. Objectif de la rencontre ...

24/07/2025

La nomination de Djénabou Touré à la tête de la Direction Générale des Elections ce mardi 22 juillet par le président de la transition, continue de susciter des réactions notamment au sein des partis politiques à Conakry. Le RPG arc-en-ciel ne déroge pas à la règle. L’ex parti au pouvoir n’approuve pas la décision.

La nomination de Djénabou Touré à la tête de la Direction Générale des Elections ce mardi 22 juillet par le président de la transition, continue de susciter des réactions notamment au sein des partis politiques à Conakry. Le RPG arc-en-ciel ne déroge pas à la règle. L’ex parti au pouvo...

24/07/2025

A travers un décret lu à la télévision nationale le mercredi 23 juillet 2025, le Président de la Transition a procédé à la nomination de hauts cadres au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique.

A travers un décret lu à la télévision nationale le mercredi 23 juillet 2025, le Président de la Transition a procédé à la nomination de hauts cadres au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique. Ci-dessous la liste des cadres nommés : 1. Inspecteur général de la Santé: Docteur...

24/07/2025

Conakry : renforcement de capacités du personnel de la direction des Guinéens de l’étranger

Mardi 22 juillet 2025, le personnel de la direction générale des Guinéens établis à l’étranger a bénéficié d’une session de renforcement de capacités axée sur le projet SABATY. Ce projet, dont le lancement est prévu dans les prochaines semaines, vise à mobiliser davantage la diaspor...

23/07/2025

CRIEF : les procès en appel de Dr Kassory et Dr Diané prévus ce jeudi

L’ex-premier ministre et l’ancien ministre de la défense nationale d’Alpha Condé sont attendus demain jeudi 24 juillet 2025 devant la chambre des appels de la Cour de Répression des Infractions Economiques et Financières (CRIEF). Les dossiers sont déjà enrôlés. Pour Dr Ibrahima Kassory...

23/07/2025

« J'avoue que c'est une nomination méritante. Djenabou Touré mérite ce poste. Ça ne pouvait pas en être autrement. C'est elle qui a suivi, qui a mené le processus jusqu'à date. Donc, je crois qu'il fallait récompenser cet effort. Moi aussi, c'était mon choix. Je n'ai pas été surpris de la voir prendre la tête de cette direction », a affirmé Taliby Dabo lors d'un entretien téléphonique qu'il a accordé à votre quotidien électronique, ce mercredi.

Taliby Dabo, membre influent du RPG Arc-en-ciel, a réagi à la nomination de Dame Djenabou Touré à la tête de la direction générale des élections (DGE) en Guinée, à travers un décret lu à la télévision nationale mardi. Pour Monsieur Dabo, cette nomination est non seulement méritée mai...

23/07/2025

Pour une meilleure compréhension du rôle de nos sages et imams (Par I. Diallo)

On observe une regrettable tendance aux dérapages verbaux de certains internautes envers nos sages et imams. Certains expriment leur colère envers les autorités morales et religieuses, les accusant d’inaction ou d’indifférence face à la situation sociopolitique de la Guinée. D’autres vont même jusqu’à les accuser de complaisance envers les autorités responsables des dérives autoritaires et de leurs conséquences.

Avant d’en appeler à la responsabilité et à la retenue de ceux qui persistent dans cette voie, j’aimerais apporter quelques précisions essentielles.

Le rôle d’ouverture et d’accueil de nos imams et sages :

Nos imams et sages ont pour vocation de recevoir tout le monde : pouvoir, opposition, société civile. Cette ouverture n’implique en aucun cas un soutien direct à un projet politique ou aux agissements des personnes et entités qu’ils accueillent. Il est d’ailleurs de coutume, dans toutes les régions de la Guinée, qu’un visiteur, qu’il s’agisse d’une autorité, d’un responsable politique ou d’un acteur de la société civile, rende visite aux autorités morales et religieuses de la localité.

À titre d’exemple, Elhadj Badrou a toujours ouvert ses portes aux leaders du FNDC que nous sommes, ainsi qu’à tout visiteur à Labé, sans distinction politique ou sociale.

Des interventions souvent discrètes mais efficaces :

Toutes les prises de position et interventions de nos imams et sages, qu’elles soient adressées aux autorités du pays ou qu’elles concernent les voies de sortie de crise, ne sont pas toujours publiques. Bien souvent, elles se font officieusement, avec la manière, directement auprès des personnes concernées.

Je peux en témoigner personnellement. Lorsque j’étais en prison avec mes camarades en 2023, j’ai échangé avec le coordinateur de Halpoular, qui m’a proposé son intervention auprès de la junte pour notre libération. Je l’ai remercié à l’époque, lui expliquant avec politesse et tact que je souhaitais sortir de prison par la voie judiciaire, ce qui était essentiel pour moi, mon combat et mon avenir. Je lui ai alors suggéré d’aider mon jeune frère Guido Fulfé dans ce sens.

Il convient de noter qu’ils ne disposent d’aucun moyen de coercition sur les autorités sociopolitiques en cas de refus de leurs recommandations de sortie de crise.

Adoptons une approche respectueuse et constructive :

Nous devons comprendre et intégrer le rôle de nos autorités morales et religieuses, et nous inscrire dans une logique de dialogue et d’interpellation respectueuse et pleine de considération.

En tant que citoyens soucieux de la stabilité de notre pays, nous pouvons solliciter leur implication dans la résolution des crises en Guinée, en adoptant toujours une démarche appropriée. Souvent, les meilleures résolutions et actions naissent dans l’ombre, loin des projecteurs.

J’en appelle à la sagesse et à la compréhension de chacun quant au rôle de nos autorités religieuses et morales. Si nous avons des critiques à leur égard, transformons-les en interpellations constructives. Allons à leur rencontre pour dialoguer avec eux et leur soumettre nos préoccupations.

Les leaders du FNDC ont été parmi les nombreuses victimes directes des dérives autoritaires du pouvoir ces dernières années. pourtant, nous nous sommes toujours abstenus de faire porter cette responsabilité aux leaders religieux et communautaires. Nous sommes toujours allés à leur rencontre pour discuter avec eux, leur faire des recommandations et solliciter leur implication dans la résolution des crises.

Nos imams et sages ne mèneront pas notre combat à notre place :

Il ne faut pas laisser le désespoir nous faire croire qu’il incombe à nos autorités morales et religieuses de mener notre combat à notre place. Notre lutte est la nôtre.

Concentrons-nous sur notre combat et ne nous trompons pas de cible.

Ibrahima Diallo

23/07/2025

Mourana Soumah, l’homme au cœur de la refondation économique et politique de la Transition (Opinion)

Dans cette période de transition historique que traverse la République de Guinée, marquée par une volonté ferme de refondation de l'État, des voix fortes émergent. Des voix discrètes mais puissantes, des hommes d’action qui préfèrent les résultats aux projecteurs. Parmi eux, le Ministre Mourana Soumah s’impose comme un pilier incontournable du changement impulsé par le Président de la Transition, le Général Mamadi Doumbouya.

▪︎ Un stratège au service d’une refondation ambitieuse

Nommé à la tête du Ministère de l’Économie et des Finances à un moment où le pays avait besoin d’un cap clair et d’un engagement sans faille, Mourana Soumah s’est révélé être l’un des esprits les plus rigoureux et les plus méthodiques du gouvernement de transition.

Son action, loin des slogans, repose sur une vision claire : assainir les finances publiques, restaurer la crédibilité budgétaire, renforcer la gouvernance économique et jeter les bases d’une souveraineté financière réelle. Il œuvre à une transformation structurelle de l’État, portée par des réformes profondes et durables.

▪︎ Une efficacité sans bruit, des résultats visibles

Ministre de terrain et homme de dossier, Mourana Soumah a privilégié une approche de gouvernance sobre mais redoutablement efficace. Il a assaini, recentré, modernisé. Sous sa direction, les finances publiques connaissent une meilleure discipline ; les projets sont mieux ciblés, les dépenses mieux maîtrisées, et la transparence érigée en principe.

Sous sa direction :

• La dette publique a été contenue à moins de 40 % du PIB, consolidant la viabilité macroéconomique du pays.

• Les sociétés publiques ont enregistré une hausse significative des dividendes reversés à l’État, signe d’une meilleure performance.

• Le taux d’absorption des projets sous financement extérieur dépasse désormais 46 %, contre moins de 20 % auparavant, un bond majeur en termes de capacité de gestion des ressources extérieures.

• La croissance économique autour de 6% traduit une capacité de résilience de notre économie sous son leadership

Sa ligne de conduite est claire : agir avec rigueur, décider avec discernement, rendre compte avec honnêteté.

▪︎ L’homme qui rassure et rassemble la Basse-Côte

Originaire de la Basse-Côte, Mourana Soumah est aujourd’hui la figure qui rassure et qui fédère dans cette région stratégique du pays. Dans une époque où les repères sont souvent brouillés, il incarne la stabilité, la cohérence et le lien entre les aspirations locales et les grandes orientations nationales.

Auprès des jeunes, des femmes, des sages, des leaders d’opinion de toute tendance, comme des cadres locaux, son nom inspire respect, espoir et loyauté. Sa capacité à rassembler sans diviser, à écouter sans juger, à agir sans bruit, fait de lui un véritable point d’ancrage social et politique dans toute la Basse-Côte.

▪︎ Préparer demain, sous la houlette du Général Mamadi Doumbouya

Engagé sans réserve aux côtés du Président de la Transition, Mourana Soumah traduit en actes, la vision d’une Guinée souveraine, capable de prendre son destin en main, sans compromission.

Il travaille à réconcilier les citoyens avec leurs institutions, à bâtir un climat de confiance durable entre l’État et le peuple, et à réaffirmer la mission première du service public : servir et non se servir.

▪︎ Un homme d’État, un repère pour la République

Mourana Soumah n’a jamais cherché la lumière. Ce qu’il recherche, c’est l’efficacité, la justice et la performance dans l’action publique. Son parcours, son humilité, sa compétence et son engagement inébranlable font de lui l’un des repères solides de cette transition.

Dans une Guinée en pleine reconstruction, des hommes et des femmes tracent les lignes de notre avenir commun. Mourana Soumah est de ceux-là. Il inspire par sa constance, il rassure par sa loyauté, il agit avec rigueur et discrétion.

La refondation a trouvé en lui un moteur. La République, un serviteur.

M. A. Touré

23/07/2025

Nouvelle Constitution : De Gaoual à Koundara, le Porte-parole du Gouvernement au contact des citoyens

Les étapes de Gaoual (lundi 21 juillet 2025) et de Koundara (mardi 22 juillet 2025, aprèsmidi) ont marqué un temps fort de la tournée nationale d’information sur le projet de nouvelle Constitution. Conduite par Ousmane Gaoual Diallo, Ministre des Transports et Porteparole du Gouvernement, la mission a misé sur la proximité : déplacement sur le terrain, explications en français et en langues locales, réponses directes aux questions des populations. Partout, la même dynamique : forte participation, signes visibles d’adhésion et volonté d’en savoir plus avant le référendum.
Arrivée à Gaoual : terrain, sons et signes d’adhésion
À l’approche de la ville, la route était déjà occupée. Des groupes de mot**ds ouvraient la voie, moteurs lancés, klaxons répétés en rafale pour signaler le passage de la délégation. Des femmes alignées au bord de la chaussée entonnaient des chants d’accueil, accompagnés de cris de joie. Plusieurs jeunes portaient des teeshirts blancs imprimés d’un large « OUI » en rouge, suivi de la mention « à la nouvelle Constitution » en dessous : visuel simple, lisible, répété dans la foule comme un mot d’ordre.
Dispositif terrain
Les cadres qui l’accompagnement étaient reconnaissables à leurs gilets de campagne, affichant également la mention « OUI à la nouvelle Constitution » associée au visuel Simandou 2040, rappelant les grands projets structurants portés par l’État et la vision de développement à long terme. Ce marquage double institutionnel a facilité l’identification des relais officiels dans la foule.
Le ministre, sobre et accessible
Sur le terrain, Ousmane Gaoual Diallo portait une tenue bleu nuit unie : tunique à patte de boutonnage frontale et fin liseré tonsurton, pantalon assorti. Chaussures noires cirées. Casquette bleu foncé ornée d’un marquage rouge, lunettes fumées, montre poignet gauche. Une présentation simple et fonctionnelle, adaptée au déplacement routier comme aux rencontres publiques. Son choix de rester debout, au même niveau que les citoyens lors de plusieurs arrêts intermédiaires, a renforcé la perception de proximité.
Séance citoyenne à la Maison des jeunes de Gaoual
La réunion publique s’est tenue devant une affluence importante. Les interventions introductives ont été brèves afin de réserver du temps aux échanges. Puis le ministre a posé le cadre : la Constitution proposée est destinée aux citoyens et non à un cercle institutionnel restreint.
« Ce n’est pas une Constitution du président du CNT, Dr Dansa Kourouma. Ce n’est pas une Constitution du Premier ministre Bah Oury. Ce n’est pas une constitution du Gouvernement. C’est une Constitution pour le peuple de Guinée. »
Il a résumé la philosophie générale de la réforme : un texte rassembleur, enraciné. « Le point que j’ai cité tout à l’heure est un des points que nous avons résumés dans le slogan de la Constitution : c’estàdire une Constitution qui nous ressemble et qui nous rassemble. »
Diversité reconnue, inclusion renforcée
Au fil des échanges, plusieurs thèmes sont revenus : place des cultures locales, équité entre territoires, droits sociaux. Le ministre a rappelé les orientations prévues dans le projet.
« Nos traditions et nos langues sont valorisées dans la Constitution. L’équité, le partage, l’équilibre sont magnifiés dans cette Constitution. Les personnes handicapées sont prises en compte ici. La promotion des femmes est une obligation incluse dans cette Constitution. »
Il a également mis en avant deux mesures très attendues : « La couverture santé universelle, l’école gratuite du primaire à l’Université : ce sont d’immenses progrès qui sont contenus dans cette Loi. »
Méthode de vulgarisation : expliquer avec des cas concrets
Le travail pédagogique conduit à Gaoual reprend une trame testée à Pita puis à Labé : présentation partielle en français, large reprise en langues locales, exemples tirés de la vie quotidienne : scolarité des enfants, gestion des terres, participation au scrutin, accès aux soins, représentativité des femmes.
Cette approche vise à dissiper l’idée que la Constitution serait un document réservé aux juristes. Elle permet à chacun de relier le texte à sa propre réalité.

Extension de la tournée : étape de Koundara (mardi 22 juillet, aprèsmidi)
Ce mardi, 22 juillet 2025, la mission gouvernementale s’est rendue à Koundara. L’entrée dans la commune urbaine s’est déroulée dans une ambiance proche de celle observée à Gaoual : cortège de motos, banderoles locales, slogans appelant au vote. Là encore, les teeshirts « OUI à la nouvelle Constitution » étaient visibles dans la foule. Les autorités préfectorales ont accueilli la délégation avec honneur avant un échange public.
La séance de Koundara comme les juridictions précédentes, a mis l’accent sur plusieurs points: représentation des collectivités dans les institutions, accès aux services sociaux de base, et prise en compte des zones frontalières dans la planification nationale.
À ces points s’ajoutent les grandes innovations portées par le projet de nouvelle Constitution : institution de la candidature indépendante à toutes les élections, qu’elles soient nationales ou locales, création d’une seconde chambre parlementaire (Sénat) pour renforcer la représentation et l’équilibre institutionnel, mise en place de la couverture santé universelle, afin de garantir un accès aux soins pour tous, gratuité de l’éducation et maintien obligatoire des enfants, filles comme garçons, à l’école jusqu’à l’âge de 16 ans, valorisation des langues nationales, avec leur enseignement obligatoire et la traduction en ces langues de toutes les lois et actes officiels, protection et bien-être des personnes en situation de handicap, incluant leur accès facilité aux infrastructures publiques et aux moyens de transport collectif.
Appel aux relais territoriaux
En clôture des deux séquences, Ousmane Gaoual Diallo a adressé un message aux responsables à la base : présidents de district, délégations spéciales, services déconcentrés de l’État... Il leur a demandé de poursuivre la vulgarisation jusque dans les villages enclavés, afin que chaque citoyen puisse entendre, interroger et se prononcer en connaissance de cause lors du référendum.

23/07/2025

Effondrement du pont de Bondabon : l’AGEROUTE entreprend l'aménagement d'une déviation pour les citoyens

C'est déjà connu. Le pont qui relie Bondabon au centre-ville de Dubréka a fini par s'effondrer sous le poids des grandes pluies. Cependant, la bonne nouvelle est que les difficultés des citoyens de cette localité sont prises en compte par les autorités à travers l’Agence de Gestion des Routes.

Le directeur général de ce service s'est lui-même rendu sur le terrain ce mardi 22 juillet 2025 en compagnie d’une équipe. Moïse Sidibé et ses hommes ont constaté de visu la rupture du trafic dans cette zone à cause de l'effondrement du pont.

La direction générale de l’AGEROUTE ne s’est pas contentée du simple constat. Elle a aussitôt pris des mesures immédiates en engageant l’aménagement d’une déviation dans le but de rétablir temporairement la circulation en attendant la reconstruction complète d’un nouvel ouvrage.

Sékou Diatéya