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Hépatite : une maladie silencieuse qui mérite toute notre attentionSouvent négligée, parfois mal comprise, l’hépatite es...
06/08/2025

Hépatite : une maladie silencieuse qui mérite toute notre attention

Souvent négligée, parfois mal comprise, l’hépatite est pourtant une réalité bien présente dans de nombreuses communautés. Derrière ce mot se cache une inflammation du foie, qui peut être provoquée par différents virus, notamment les types A, B, C, D et E. Et le plus inquiétant, c’est que beaucoup de personnes vivent avec l’hépatite sans même le savoir.

Ce qui rend cette maladie si dangereuse, c’est son silence. Dans ses premières phases, elle ne provoque parfois aucun symptôme. Pas de fièvre, pas de douleur. Pourtant, le foie, lui, subit déjà les dégâts. Petit à petit, s’il n’y a pas de prise en charge, cela peut évoluer vers des complications graves comme la cirrhose ou même le cancer du foie.

Certaines formes se transmettent par l’eau contaminée (comme l’hépatite A et E), d’autres par le sang ou les relations sexuelles non protégées (comme les hépatites B et C). Ce qui signifie que des gestes simples peuvent faire toute la différence : boire de l’eau propre, se faire vacciner, utiliser des préservatifs, éviter de partager du matériel comme les seringues ou les rasoirs.

Heureusement, il existe aujourd’hui des vaccins efficaces, notamment contre l’hépatite B. Il y a aussi des traitements pour d’autres types, comme l’hépatite C, qui peuvent permettre de guérir complètement si le diagnostic est fait à temps.

Mais pour ça, encore faut-il oser faire le test. Trop souvent, par peur, par manque d’informations ou par négligence, des gens évitent les consultations, laissant la maladie progresser sans bruit. Pourtant, une simple prise de sang peut suffire à détecter le virus.

Prendre soin de son foie, c’est prendre soin de sa santé générale. C’est lui qui filtre, qui nettoie, qui joue un rôle central dans l’équilibre du corps. Lorsqu’il va mal, c’est tout l’organisme qui en souffre.

Alors que ce soit pour soi ou pour ses proches, il est important de parler de l’hépatite, de s’informer, de se protéger et de se faire dépister. Parce que ce n’est pas une question de honte, mais de santé. Et plus on en parle, plus on sauve de vies.

Dans certaines circonstances, répondre peut empirer une situation, tandis que se taire peut désamorcer un conflit, apais...
06/08/2025

Dans certaines circonstances, répondre peut empirer une situation, tandis que se taire peut désamorcer un conflit, apaiser une tension ou tout simplement montrer qu’on prend le temps de réfléchir. Le silence devient alors un langage en soi, un espace où mûrissent les réponses les plus justes.

Écouter, c’est un art. Et savoir se taire au bon moment, c’est de la maturité.

Thomas James : le vendeur, l'artisan du clairin et entrepreneur passionnéÀ l'entrée de l'Université Unasmo, au 65 Delmas...
05/08/2025

Thomas James : le vendeur, l'artisan du clairin et entrepreneur passionné

À l'entrée de l'Université Unasmo, au 65 Delmas, Thomas James, un jeune entrepreneur, attire les regards sous l'ombre d'un bel arbre. Il y vend une variété de clairins, notamment bwa kochon, kleren blan, asosi, dezewo, zodevan, polay, ti ofizyez, Blue, ainsi que des ci******es. Après avoir perdu son emploi, Thomas a lancé ce commerce en 2023, inspiré par un ami, Lisnel Cemé, qui l'a encouragé à se lancer dans l'entrepreneuriat. Bien que Lisnel ait quitté le pays, Thomas lui est profondément reconnaissant pour son soutien. Grâce à sa détermination, il a transformé une période difficile en véritable opportunité de succès, devenant ainsi un exemple pour de nombreux jeunes de sa communauté.

Père de trois enfants, Thomas parvient à subvenir aux besoins de sa famille grâce à son activité de vente de clairins. Cela lui permet de financer l’éducation de ses enfants, de payer son loyer et de répondre à d'autres obligations. Même si son commerce est modeste, il lui apporte une satisfaction indéniable. « Menm si mwen pa gen gwo boutèy babankou, mwen kwè yon jou, m'ap ka vann gwo boutèy wonm tankou tout lòt moun kap vann yo nan biznis pa yo », affirme-t-il, témoignant ainsi de sa détermination et de son espoir pour l’avenir.

La motivation principale de Thomas réside dans sa clientèle. De nombreux clients viennent de loin pour acheter ses clairins, attirés par la qualité de sa préparation. « Se mwen menm ki prepare kleren yo », souligne-t-il avec fierté. Cette attention au détail lui permet de se distinguer de ses concurrents. Chaque jour, Thomas réalise des ventes comprises entre 1 000 et 2 000 gourdes, un signe de l’appréciation de ses clients.

L'impact de Lisnel Cemé sur la vie de Thomas est incontestable. Celui-ci lui a offert le coup de pouce nécessaire pour se lancer. Thomas voit son activité comme un hommage à leur amitié. « Sim te ou, mwen tap fè biznis wap fè a », lui a dit Lisnel, illustrant la solidarité qui les unit.

Malgré les défis, Thomas est devenu un modèle pour les jeunes de sa communauté. Il prouve qu'avec détermination et travail acharné, il est possible de surmonter les obstacles. Son rêve est d’élargir son entreprise et d’ouvrir un autre commerce un jour, mais pour l’instant, il se consacre pleinement à son activité de vente de clairins.

Thomas James adresse un message puissant à ses clients : « Map kontinye tann nou, paske kleren mwen yo se bon bagay menmke ou pa fò nan bwè, men wap renmen pam yo. » Convaincu de la qualité de son travail, il espère que de plus en plus de clients découvriront ses produits.

Thomas James, jeune entrepreneur à Delmas 65, inspire sa communauté en transformant des défis en opportunités grâce à sa détermination et à son activité de vente de clairins, soutenu par son ami Lisnel Cemé.

Pierre Wilkenson Frédérique

« July 7 » : Quand le cinéma haïtien enquête, le vodou répondLe film « July 7: Who Killed the President of Haiti? » frap...
05/08/2025

« July 7 » : Quand le cinéma haïtien enquête, le vodou répond

Le film « July 7: Who Killed the President of Haiti? » frappe fort. D’un côté, un thriller haletant, où Shedlyne Jacques, étudiante en science politique à New York, revient en Haïti pour enquêter sur l’assassinat du président Renel Moïse (évidente référence à Jovenel Moïse). De l’autre, une immersion saisissante dans les profondeurs de l’âme haïtienne, incarnée par une présence assumée et maîtrisée du vodou.

Réalisé par Robenson Lauvince, produit par Clearshot Entertainment et Aldea Studio, et coécrit par l’écrivain renommé Gary Victor, ce long-métrage marque un tournant dans le cinéma haïtien. Il est le premier film haïtien à être distribué internationalement dans les salles de cinéma, avec des premières aux États-Unis en mai 2025 et au Canada le 7 juillet, date hautement symbolique.

Mais au-delà de l’enquête, ce qui retient l’attention, c’est la manière dont le film convoque, assume et valorise la culture vodou. Les hounfors , les « potomitan », les chants liturgiques, les rôles des loas, les consultations spirituelles — tout est là, mais sans folklore. Le vodou n’est pas décor, il est langage, mémoire, force de narration.

Shedlyne, dans sa quête de vérité, ne se contente pas des documents d’archives ou des témoignages officiels. Elle descend dans les profondeurs de l’histoire haïtienne, où la politique se mêle au sacré, où les esprits sont encore les meilleurs témoins, et où les silences du passé se dénouent parfois dans la fumée d’un encens, à la lueur d’une bougie dans un hounfor.

Le choix d’impliquer Gary Victor comme scénariste n’est pas anodin. L’auteur, connu pour ses récits où le quotidien haïtien croise le surnaturel et le tragique, insuffle ici une charge symbolique et politique puissante. Quant à Lauvince, il revendique un film « fait par des Haïtiens, raconté par des Haïtiens, pour les Haïtiens et pour le monde ». Un film qui refuse que d’autres racontent notre douleur à notre place.

La présence du vodou dans « July 7 » n’est pas simplement un retour aux racines. C’est un acte de réhabilitation, une reconnaissance de ce que le vodou a été pour Haïti : un ferment de liberté, un refuge, une école, une matrice culturelle et politique. Le film appelle, en creux, à un retour aux services, à une reconquête de soi.

Ce cinéma-là ne triche pas. Il porte un pays tout entier, avec ses blessures, ses combats, ses silences et ses esprits. « July 7 », c’est Haïti qui se regarde dans le miroir, et qui ose poser la question : « Qui a tué le président ? » Mais surtout : « Qui sommes-nous pour que l’on continue à nous tuer ? »

Obligasyon pitit pote non papa a: kilti oswa presyon?Nan anpil sosyete, sitou nan tradisyon ayisyèn, li nòmal pou pitit ...
05/08/2025

Obligasyon pitit pote non papa a: kilti oswa presyon?

Nan anpil sosyete, sitou nan tradisyon ayisyèn, li nòmal pou pitit pote non papa yo. Se sa nou aprann, sa nou wè, sa yo fè nou konprann kòm “lòd natirèl” lavi a. Men eske se yon chwa natirèl, oubyen yon presyon sosyete mete sou fanm ak timoun yo?

An Ayiti, depi pitit fèt, premye kesyon se: “Ki kote papa l ye?” Apre sa, yo presize: “Se pou papa l mete l sou non.” Mete pitit sou non papa a vin tankou yon prèv responsabilite gason an, men li vin tounen tou yon chay sosyal sou fanm ki, pafwa, ta ka chwazi yon lòt non, oswa mete pitit la sou non pa yo pou divès rezon.

Anpil moun kwè pote non papa a se yon fòm respekte desandan, fè pitit la “santi l soti nan yon fanmi.” Men sa pa toujou reflete reyalite a. Gen papa ki pa janm asime wòl yo, men timoun nan toujou pote non yo. Gen lòt ki refize bay non yo, e sa vin afekte timoun nan nan aspè legal, edikatif, emosyonèl ak sosyal.

E si nou te mete plis valè sou enpòtans lanmou, edikasyon, ak swen nou bay timoun yo olye de sèlman gade ki non yo pote? Se pa non ki fè timoun grandi ak bon jan prensip, men se responsablite moun ki pran swen yo chak jou.

Diskisyon sou non pitit dwe ouvè. Fanm yo merite gen dwa chwazi mete non pa yo sou pitit yo san yo pa santi se yon rebèl, oswa y ap fè wont fanmi. Nan fen jounen an, non pa defini valè yon timoun, men se jan nou leve li ki pi enpòtan.

Rodri, rêve presque impossible du Real Madrid pour succéder à KroosUn an après le départ à la retraite de Toni Kroos, et...
05/08/2025

Rodri, rêve presque impossible du Real Madrid pour succéder à Kroos

Un an après le départ à la retraite de Toni Kroos, et quelques semaines après l’adieu émouvant de Luka Modric, le Real Madrid tourne définitivement la page d’un milieu de terrain légendaire. Casemiro, Kroos, Modric le trio magique qui a régné sur l’Europe pendant près d’une décennie n’est désormais plus qu’un souvenir doré dans les mémoires des supporters madrilènes.

Si la relève semble déjà bien assurée avec les jeunes pépites comme Arda, Jude Bellingham, Federico Valverde, Eduardo Camavinga ou Aurélien Tchouaméni, la Maison Blanche garde un œil attentif sur une recrue potentielle qui incarne, aux yeux de beaucoup, la perfection au poste de milieu relayeur : Rodri, l’homme fort de Manchester City et de la Roja.

Il est difficile de trouver un joueur aussi complet que Rodri dans le football moderne. Stratège, calme sous pression, doté d’une qualité de passe exceptionnelle et d’une vision de jeu rare, le natif de Madrid coche toutes les cases pour devenir le nouveau métronome du Real. À bien des égards, il rappelle justement Toni Kroos, par sa capacité à dicter le tempo d’un match et à orienter le jeu avec une précision chirurgicale.

Le Real Madrid rêve donc de rapatrier l’un des meilleurs milieux de terrain du monde, formé en Espagne et à l’apogée de sa carrière à 28 ans. Mais ce rêve semble, pour l’instant, bien difficile à concrétiser.

Conscient de la valeur inestimable de son numéro 16, Manchester City prépare une offre de prolongation de contrat pour Rodri, assortie d'une augmentation significative de salaire. Selon plusieurs sources proches du club, le joueur serait très réceptif à cette démarche. Déjà sous contrat jusqu’en 2027, l’international espagnol n’a jamais caché son attachement à City, un club avec lequel il a tout remporté, y compris la Ligue des Champions en 2023.

Pep Guardiola, qui voit en lui un joueur clé de son système, compte bien le conserver comme leader du milieu pour les années à venir. Autant dire que les chances de voir Rodri rejoindre le Real Madrid à court terme sont minces, à moins d’un retournement de situation majeur.

Ce revers potentiel n’est toutefois pas une fin en soi pour le Real Madrid. Le club dispose déjà de plusieurs talents capables d’assurer l’avenir au milieu. Jude Bellingham, élu meilleur jeune joueur en Liga et à l’Euro, a déjà pris une dimension spectaculaire. Tchouaméni et Camavinga continuent leur progression, tandis que Valverde apporte sa polyvalence et son intensité dans l’entrejeu.

Mais Florentino Pérez ne renonce jamais facilement à ses ambitions. Si la piste Rodri se complique, d’autres noms circulent dans les bureaux du Santiago Bernabéu. Le marché reste ouvert, et le Real n’a pas dit son dernier mot.

En cherchant à recruter Rodri, le Real Madrid poursuit un objectif clair retrouver un patron du milieu de terrain, capable d’incarner la continuité après Kroos. Mais entre rêve et réalité, il reste une montagne à gravir convaincre City et le joueur lui-même. Pour l’instant, l’hypothèse semble éloignée, mais avec le Real Madrid, tout est toujours possible même ce qui paraît irréalisable.

Cette citation de Pelé résume parfaitement la réalité derrière toute réussite durable. Le succès ne tombe pas du ciel : ...
05/08/2025

Cette citation de Pelé résume parfaitement la réalité derrière toute réussite durable. Le succès ne tombe pas du ciel : il est le fruit d’efforts constants, d’une passion profonde pour ce que l’on fait, et surtout d’une persévérance inébranlable face aux obstacles.

Le talent seul ne suffit pas. Ce sont les heures d’entraînement silencieux, les sacrifices invisibles, les échecs surmontés et la foi en sa vision qui construisent réellement la réussite. Pelé en est lui-même un exemple vivant : discipline, humilité, endurance.

Un rappel puissant que derrière chaque victoire éclatante, il y a des années de lutte silencieuse.

Que reste-t-il de Louis Jean Baugé dans notre mémoire collective ?Dans les ruelles de Port-au-Prince, sur les mornes de ...
04/08/2025

Que reste-t-il de Louis Jean Baugé dans notre mémoire collective ?

Dans les ruelles de Port-au-Prince, sur les mornes de Jérémie, dans les places publiques ou les « lakou », un nom circule encore à voix basse, comme une invocation ou un avertissement : Louis Jean Baugé. Tantôt présenté comme un homme réel, tantôt comme une figure symbolique, il incarne dans la mémoire populaire haïtienne une forme de rébellion brute, d’autorité naturelle et de courage indomptable. Mais qui était-il vraiment ?

Les témoignages les plus fréquents à son sujet ne proviennent pas d’archives officielles, mais de récits oraux, de discussions dans les quartiers, de publications anonymes sur les réseaux sociaux. On dit de lui qu’il était un homme « qu’on ne pouvait pas commander ». Une sorte de titan social, au caractère tranchant, qui refusait l’ordre établi et imposait sa présence par la force de sa voix, de ses actes, et parfois de ses poings.

À Jérémie, d’où certains situent son origine, on le décrit comme un homme charismatique, d’une autorité naturelle, respecté et craint à la fois. Il aurait été impliqué dans des luttes contre les abus de pouvoir, sans jamais chercher une reconnaissance officielle. L’expression créole « Se yon Louis Jean Baugé », entendue ici et là, désigne d’ailleurs une personne intrépide, difficile à dominer, presque indomptable.

Ce qui frappe, c’est le silence des archives. Aucun document académique, aucune notice biographique fiable ne vient confirmer son existence ou retracer sa vie. Pas de date de naissance, pas de procès, pas de discours rapporté. Et pourtant, son nom persiste. Pourquoi ?

Peut-être parce que Louis Jean Baugé est moins un homme qu’un symbole. Il représente la figure de l’Haïtien debout, l’homme qui dit non, qui n’accepte ni la misère, ni l’injustice, ni les humiliations ordinaires de la vie postcoloniale. Il est un écho des nègres marrons, un descendant spirituel des révolutionnaires oubliés, un frère lointain de Mackandal ou de Charlemagne Péralte, mais sans papier d’identité.

Sur les réseaux sociaux, certains le présentent comme un militaire, d’autres comme un chef populaire. Les rares photos partagées ne permettent pas de confirmer quoi que ce soit : floues, sans contexte, parfois issues d’autres époques. À défaut de preuves, le peuple a fait de lui un mythe fonctionnel : une légende qui sert à dire quelque chose de vrai sur Haïti, même si elle n’est pas historiquement vérifiable.

Et ce quelque chose, c’est l’idée qu’un homme, seul, peut incarner la dignité collective. Dans une société où le pouvoir est souvent perçu comme brutal et illégitime, Louis Jean Baugé devient l’homme qui résiste, qui n’a pas peur, qui ose dire ce que d’autres murmurent.

Aujourd’hui, son nom est utilisé comme référence dans certaines conversations politiques ou culturelles. Non pas pour raconter sa biographie – que nul ne connaît vraiment – mais pour invoquer un esprit. Celui d’un Haïtien libre, fier, entier. Dans ce pays où les figures mythiques prennent souvent plus de place que les héros documentés, Louis Jean Baugé a trouvé sa place : dans le cœur et l’imaginaire d’un peuple.

Èske w te konnen  nan peyi  Japon, anplwaye yo gen dwa fè ti dòmi  nan travay pou amelyore pwodiktivite yo?Explication:A...
04/08/2025

Èske w te konnen nan peyi Japon, anplwaye yo gen dwa fè ti dòmi nan travay pou amelyore pwodiktivite yo?

Explication:

Au Japon, il existe une tradition appelée “inemuri”, qui signifie littéralement “être présent tout en dormant”. Cela consiste à faire de courtes siestes sur son lieu de travail ou dans les transports en commun. Cette pratique est socialement acceptée et même valorisée, car elle montre que la personne travaille dur au point d’être épuisée, mais qu’elle reste néanmoins engagée.

Les courtes siestes aident à améliorer la concentration, la vigilance et la productivité. Au lieu d’être vues comme un signe de paresse, ces siestes sont perçues comme un moyen efficace de recharger ses batteries pendant une journée de travail intense.

Source: https://www.soinsonline.be/blogs/blog/inemuri-la-sieste-japonaise-qui-stimule-la-product/

L’EMHAJ : cinq ans de passion et d’engagement au service de la jeunesse jacmélienneLe 3 août dernier, une soirée musical...
04/08/2025

L’EMHAJ : cinq ans de passion et d’engagement au service de la jeunesse jacmélienne

Le 3 août dernier, une soirée musicale s’est tenue au Congo Night Club à Jacmel pour souligner un moment important : cinq ans d’existence de l’École de Musique Harmonie d’Asaph. Ce n’était pas une simple fête, mais une occasion pour la communauté de se rassembler autour des sons, des voix et des rêves nourris par cette institution locale. Musiciens formés sur place, familles, anciens élèves et invités ont répondu présents, dans une ambiance chaleureuse où les notes ont parlé plus fort que les mots. L’événement a rappelé combien cette école contribue à éveiller des vocations, à renforcer les liens sociaux et à mettre la culture en avant à travers l’éducation artistique.

Organisé par Maestro Eddy Antoine, fondateur de l’EMHAJ, le concert a présenté une variété de styles musicaux, allant de la musique classique à des morceaux contemporains. Ce mélange a su captiver le public et créer une atmosphère festive et dynamique. La participation de figures emblématiques du monde musical a enrichi l'événement, ces artistes ayant encouragé les jeunes musiciens tout en soulignant l'importance de l'éducation musicale dans le développement culturel.

Les anciens élèves ont également partagé leurs expériences, témoignant de l'impact durable de l’EMHAJ sur leur parcours musical. Ce concert a offert une plateforme propice aux échanges entre les différents acteurs de la musique à Jacmel, permettant aux parents et amis de se rassembler pour célébrer les réussites de leurs proches. Ainsi, l'événement a renforcé le tissu social de la communauté, illustrant comment la musique peut unir les gens.

Eddy Antoine a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette célébration. Il a rappelé que c'est grâce à la collaboration et au soutien de chacun que l’EMHAJ a pu s’épanouir au cours de ces cinq dernières années. Ce concert n’a pas seulement marqué un anniversaire, mais a également mis en lumière l'importance de l'éducation musicale comme vecteur de culture et de cohésion sociale.

L’EMHAJ continue de jouer un rôle essentiel dans la vie musicale de Jacmel, et cet événement a renforcé son engagement envers la promotion des talents locaux. Les cinq ans d’existence de l’EMHAJ annoncent une nouvelle ère prometteuse pour la musique à Jacmel, rappelant à chacun le pouvoir de la musique dans la construction d’une communauté unie et dynamique.

Pierre Wilkenson Frédérique

Le rire, ce petit réflexe qui fait de grands miraclesIl ne guérit pas tout, mais il aide à traverser bien des choses. Le...
04/08/2025

Le rire, ce petit réflexe qui fait de grands miracles

Il ne guérit pas tout, mais il aide à traverser bien des choses. Le rire, souvent sous-estimé, a pourtant des effets concrets sur la santé du corps comme celle de l’esprit. Dans un quotidien chargé de stress, de pression et parfois de découragement, il agit comme une bouffée d’air inattendue.

Quand on rit, le corps ne reste pas indifférent. Tout s’active doucement : les muscles se détendent, la respiration devient plus profonde, le cœur s’ajuste. C’est comme une gymnastique naturelle. Et plus qu’une simple réaction, c’est une réponse du corps pour évacuer la tension accumulée.

Le cerveau, lui aussi, y trouve son compte. Rire déclenche la production d’endorphines, ces substances qu’on appelle souvent “hormones du bonheur”. Résultat : une sensation de bien-être, une baisse du stress, une humeur plus stable. Certains chercheurs comparent même le rire à une forme douce de méditation en mouvement.

Sur le plan social, il crée du lien. Un fou rire partagé, même bref, casse la glace, allège l’ambiance, renforce les relations. Il suffit parfois d’un sourire échangé pour redonner un peu d’humanité dans une journée froide ou tendue.

Ce qui est intéressant, c’est que les bienfaits du rire ne dépendent pas d’un contexte parfait. On peut rire même dans des périodes difficiles. Et c’est peut-être là son plus grand pouvoir : apporter un peu de légèreté quand tout semble lourd.

Alors, sans chercher à forcer les choses, il est bon de s’entourer de ce qui fait du bien : des gens drôles, des souvenirs joyeux, des films légers, des instants simples. Rire ne résout pas les problèmes, mais il rend souvent leur poids plus supportable.

C’est une ressource gratuite, à portée de souffle. Une façon discrète mais puissante de prendre soin de soi.

Parfois, on attend trop longtemps que tout soit parfaitement aligné avant d’agir. Mais cette citation nous rappelle que ...
04/08/2025

Parfois, on attend trop longtemps que tout soit parfaitement aligné avant d’agir. Mais cette citation nous rappelle que le plus important, c’est de commencer. Même si on ne voit pas la suite, même si le chemin semble flou, il suffit de faire ce premier pas. Petit à petit, les choses deviennent plus claires. C’est souvent ce premier geste qui déclenche le reste. Ça c'est Bon ça c'est le pantalon ça va

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