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*Journée mondiale de l’environnement 2025 : la jeunesse universitaire mobilisée autour de la restauration des écosystème...
07/06/2025

*Journée mondiale de l’environnement 2025 : la jeunesse universitaire mobilisée autour de la restauration des écosystèmes.*

À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée le jeudi 5 juin 2025, les étudiants de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’Université Épiscopale d’Haïti (UNEPH), sous le leadership de OGÉ Wiskenby et Bithovens ELIAMEAU, ont organisé une conférence-débat de grande envergure autour du thème:

*Restaurer les écosystèmes : une responsabilité commune pour un avenir durable.*

L’événement s’est déroulé en ligne via Google Meet , en présence de plus de 80 jeunes universitaires et professionnels haïtiens, tous engagés pour la cause environnementale et le développement durable.

Intervenant principal : Dr Aladji MOUSTAPHA

Spécialiste internationalement reconnu en développement territorial et en économie de l’environnement, Dr MOUSTAPHA est :

Docteur en économie et en développement territorial
Chercheur au BETA MINEA (UR 7486)
Chercheur à l’Université de Guyane
Chercheur associé au Centre de Recherche Institutionnel de l’Université Bernardo O’Higgins (Chili)
Conseiller municipal à la Ville de Cayenne

Dans son intervention, il a souligné l’importance cruciale des actions locales pour restaurer les écosystèmes, insistant sur la responsabilité partagée entre citoyens, institutions, collectivités et gouvernements.

Modérateur : Vladimir LAMBERT

Étudiant finissant en Sciences Agronomiques à l’Université Épiscopale d’Haïti.

*Une synergie d’acteurs engagés*

Cette initiative ambitieuse a été portée par les étudiants en Sciences Agronomiques de l’Université Épiscopale d’Haïti, sous le leadership de Wiskenby OGÉ et Bithovens ELIAMEAU, avec le soutien de plusieurs partenaires engagés dans la protection de l’environnement et la promotion du développement durable :

Fondation Cœur Propre
KLASIK
Nouvelle Orientation pour l’Émergence Agricole et Environnementale (NOEAE)
EmmApicole
VP
École Sainte Trinité
École de Musique Sainte Trinité
DOCUPRO Services.

*Une jeunesse engagée pour un avenir durable*

Cette conférence-débat s’inscrit dans une dynamique de sensibilisation, d’action locale et de mobilisation citoyenne, dans un contexte où les enjeux environnementaux sont cruciaux pour l’avenir d’Haïti.
Elle marque une étape importante dans l’implication de la jeunesse universitaire haïtienne dans la construction d’un avenir écologique, solidaire et durable.

Ministère de l'Environnement Haïti
Nouvelle Orientation pour l'émergence Agricole et Environnementale-NOEAE
Primature de la République d'Haïti
Ministère de l'Agriculture Haiti
Présidence d'Haïti
ANAP-Haiti
Shneider Laurent Ricard Antoine
RTVoix Durable

Ce mercredi 4 juin, en prélude à la Journée mondiale de l’environnement, l’organisation nationale Nouvelle Orientation p...
07/06/2025

Ce mercredi 4 juin, en prélude à la Journée mondiale de l’environnement, l’organisation nationale Nouvelle Orientation pour l’Émergence Agricole et Environnementale (NOEAE) a organisé une conférence-débat sur les impacts des changements climatiques sur l’agriculture en Haïti.

Cette conférence, très intéressante et enrichissante, a été présentée par Christin CALIXTE, Ingénieur-Agronome, titulaire d’un master en développement et spécialiste en gestion de l’environnement.
Elle a été modérée par Claudine DALEGRAND, agronome, étudiante en Lettres modernes à l’ENS, et responsable de la communication de l’organisation NOEAE.

L’événement a connu une participation très active, avec environ 50 jeunes et professionnels venus de tout le territoire haïtien, ainsi que la présence de quelques jeunes Africains.

Ministère de l'Environnement Haïti
Ministère de l'Agriculture Haiti
Tchenn Audate
Nouvelle Orientation pour l'émergence Agricole et Environnementale-NOEAE

28/05/2025
La conservation de la nature
24/05/2025

La conservation de la nature

Non
24/05/2025

Non

24/05/2025

🌍🐟 Journée mondiale de la biodiversité : investir dans la nature, c'est investir dans notre avenir !

Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée mondiale de la biodi ersité, l'Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD) rappelle que la préservation de la biodiversité nécessite des engagements politiques forts et leur mise en œuvre grâce à une mobilisation accrue des financements dédiés.
Face à l'effondrement de la biodiversité, les besoins en mesures et financements sont immenses. C'est pourquoi l'IFDD agit pour :
✅ Transcrire les engagements internationaux en mesures et solutions nationales et locales,
✅ Accompagner les pays francophones pour un meilleur accès aux mécanismes de financement durables,
✅ Valoriser les solutions fondées sur la nature et promouvoir des investissements responsables.
Investir dans la biodiversité, c'est renforcer la résilience de notre planète, de nos sociétés et de nos économies.

À travers ses actions, l'IFDD contribue à créer une Francophonie où le capital naturel est respecté, protégé et valorisé.

Journée internationale des abeilles : une mobilisation académique et écologique à l’UNEPH.À l'occasion de la Journée int...
23/05/2025

Journée internationale des abeilles : une mobilisation académique et écologique à l’UNEPH.

À l'occasion de la Journée internationale des abeilles, des étudiants finissants en Sciences Agronomiques à l’Université Épiscopale d’Haïti (UNEPH), sous le leadership de Wiskenby OGÉ et Bithovens ELIAMEAU, ont organisé la deuxième édition de leur grande conférence sur les abeilles. L’événement a été réalisé en collaboration avec la Fondation Cœur Propre, l’organisation Nouvelle Orientation pour l’Émergence Agricole et Environnementale (NOEAE), l’entreprise Emmapicole, et le Klèb Akademik ak Sosyokiltirèl Kanj (Klasik).

Deux conférenciers de haut niveau ont captivé l’assistance par la richesse de leurs interventions. L’ingénieur agronome Shneider Laurent Ricard ANTOINE a intervenu sur le thème : « La disparition des abeilles, gardiennes de la biodiversité : quelles conséquences pour la survie de la planète ? ». De son côté, l’agronome Emmanuel JOSEPH a présenté une communication intitulée « Apprendre à vivre comme une colonie d’abeilles pour avoir une vie de miel ».
La modération de la conférence a été brillamment assurée par la jeune agronome finissante Meseda ESTINFORT.

Environ 100 participants, issus de plusieurs universités du pays notamment l’UNEPH, l’UEH, l’UNIKA, l’Université Quisqueya et l’ENGA ont répondu présents à cette journée d’échanges scientifiques et citoyens. L’événement a aussi été marqué par la présence du Recteur de l’Université Épiscopale d’Haïti, le Dr Révérend Père Roldano AUGUSTE, du Révérend Père Ricot GEFFRARD, responsable de l’École Sainte Trinité, ainsi que des responsables de Klasik-Kanj, de NOEAE et de l’administrateur d’Emmapicole l’agronome Val Techelet. Leur présence témoigne du soutien et de l’encouragement apportés à cette initiative portée par de jeunes engagés.

Cette conférence a souligné avec force l'importance des abeilles pour l’humanité et la biodiversité. Les participants ont enrichi leurs connaissances sur la biologie des abeilles, leur rôle dans la pollinisation des cultures vivrières, leur importance écologique, leur mode de vie, et la nécessité de protéger ces espèces indispensables à la survie de l’humanité.

Dans un pays durement touché par une crise sociopolitique persistante, cet événement lance un message fort : il est temps de s’inspirer de l’organisation des colonies d’abeilles pour bâtir une société solidaire, prospère et harmonieuse.

Ministère de l'Environnement Haïti
Ministère de l'Agriculture Haiti
Nouvelle Orientation pour l'émergence Agricole et Environnementale-NOEAE
Primature de la République d'Haïti
Université Episcopale d'Haïti

18/05/2025

CHANT NATIONAL D’HAÏTI avant La Dessalinienne

Quand nos aïeux brisèrent leurs entraves

Paroles : Oswald Durand
Musique : Occide Jeanty

Quand nos aïeux brisèrent leurs entraves,
Dans les éclairs des orages d’airain,
Ils ne comptaient que sur leurs bras esclaves
Pour affronter les bataillons d’airain.
Au cri sacré de liberté, d’honneur,
Ils s’élancèrent géants pleins de vigueur
Et, le tyran roulant sous la poussière,
Un peuple noir se dressa libre et fier !

Refrain :
Gloire au passé, salut à la bannière
Où l’avenir s’écrit en pleins rayons !
Haïtiens, debout ! debout pour la lumière !
Debout pour l’œuvre et pour les grandes moissons !

Ni l’étranger ni le maître perfide
Ne règneront sur notre sol dompté ;
Nous saurons bien, d’une main forte et guide,
Fouler aux pieds la honte et la fierté.
Le sang versé, les sacrifices faits
Sont nos jalons vers les plus nobles faits.
Nous écrirons l’histoire de notre ère
Par le travail, les droits et le savoir !

(Refrain)

18/05/2025

En ce jour symbolique du 18 mai, Fête du Drapeau et de l’Université, nous lançons un appel vibrant à la jeunesse de la République d’Haïti :
Écoutons, chantons et méditons sur l’Hymne de la Jeunesse Haïtienne, symbole de courage, d’unité et d’espérance.

Le Congrès de l’Arcahaie, tenu le 18 mai 1803, marque un tournant décisif vers la proclamation de l’indépendance de la p...
18/05/2025

Le Congrès de l’Arcahaie, tenu le 18 mai 1803, marque un tournant décisif vers la proclamation de l’indépendance de la première république noire libre du monde.
222 ans plus t**d, cet événement demeure un jalon majeur dans l’histoire de l’humanité.
À cette occasion, Radio Télé Voix Durable RTVoix Durable rend hommage à nos héros et héroïnes qui, dans un élan de résistance et d’unité, ont façonné le premier drapeau, un symbole fort d’espoir et de détermination sur le chemin menant à la proclamation de la première république noire indépendante.

Quartier Mapou, oublié par l’État : 38 ans d’attente pour devenir une communeDepuis 1987, les habitants de Mapou, dans l...
18/05/2025

Quartier Mapou, oublié par l’État : 38 ans d’attente pour devenir une commune

Depuis 1987, les habitants de Mapou, dans l’arrondissement de Belle-Anse, attendent la concrétisation d’une promesse administrative. Érigé en Quartier administratif par le gouvernement provisoire de l’époque, ce territoire stratégique remplit pourtant tous les critères pour devenir une commune. Mais l’État t**de à officialiser son statut.

Trente-huit ans se sont écoulés depuis que le Conseil National du Gouvernement provisoire a accordé à Mapou le statut de Quartier administratif. Présenté à l’époque comme une étape transitoire vers son érection en commune, ce statut n’a jamais été suivi d’un arrêté officiel. Depuis, la population attend, interpelle, espère.

Le gouvernement de transition de 1987 avait posé les bases de ce projet dans l’arrondissement de Belle-Anse. Mais de gouvernement en gouvernement, les démarches sont restées inachevées. Le flou administratif dans lequel se trouve aujourd’hui Mapou limite sa capacité à attirer des investissements publics et à bénéficier pleinement des politiques de développement territorial.

Un territoire stratégique et riche en ressources, mais sans structures communales

Le complexe Mapou-Pichon, proposé pour devenir une commune, couvre environ 117,24 km² et compte 28 habitations, pour une population estimée à plus de 25 000 habitants. Ce territoire regorge de ressources naturelles et agricoles : des grottes, la plus grande cascade du département, une partie du Parc National Lagon des Huîtres, une portion du Parc National Forêt des Pins (Unité 2), ainsi qu’une vaste plaine fertile( la Plaine Mapou) considérée comme la plus grande zone agricole de l’arrondissement.

Situé entre le massif de la Selle au Nord, la mer des Caraïbes au Sud, la commune de Grand-Gosier à l'Est et la commune de Belle-Anse à l'Ouest, Mapou présente un relief et un écosystème exceptionnels, renforçant son importance écologique, économique et stratégique.

Une économie rurale dynamique mais freinée

L’économie de Mapou repose principalement sur l’agriculture. On y cultive du maïs, du sorgho, du pois Congo, du haricot, de l’arachide, du café, du cacao, de la canne à sucre, des tubercules comme la patate douce, le manioc, l’igname, des fruits ainsi que des légumes, surtout dans les zones montagneuses.

L’élevage, notamment de volailles, de caprins, de bovins, de porcs et d’abeilles, représente une autre source importante de revenus. Le complexe possède d’ailleurs le plus grand cheptel de caprins de tout l’arrondissement.

Dans les zones côtières, la pêche constitue l’activité principale, tandis que dans les régions intérieures, l’agriculture et le commerce sont les piliers de la subsistance et du développement local. Malgré ce dynamisme, l’absence de statut communal officiel affaiblit les structures administratives locales et limite l’accès aux services de base.

Un appel au Conseil Présidentiel de Transition

Face à cette situation, les habitants de Mapou interpellent aujourd’hui le Conseil Présidentiel de Transition (CPT), pour qu’il signe enfin l’arrêté érigeant leur territoire en commune. Pour eux, il s’agit non seulement d’un droit légitime, mais aussi d’une urgence pour assurer une meilleure gouvernance locale et sortir de l’ombre un territoire riche en potentiel, qui dépend actuellement administrativement d'autres communes sans bénéficier des services sociaux de base.

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