Solidarité des Femmes Haitiennes Journalistes _sofehj

Solidarité des Femmes Haitiennes Journalistes  _sofehj Favoriser une meilleure représentativité des femmes dans les médias par l'encadrement intellectuel et socioprofessionnel convenable.

28/10/2025
Nan okazyon Jounen Entènasyonal Lang ak Kilti Kreyòl la, SOFEHJ salye tout pitit peyi DAyiti ak tout moun ki pale kreyòl...
28/10/2025

Nan okazyon Jounen Entènasyonal Lang ak Kilti Kreyòl la, SOFEHJ salye tout pitit peyi DAyiti ak tout moun ki pale kreyòl toupatou sou latè.
Lang kreyòl la se pa sèlman yon mwayen pou nou pale, men se rasin, idantite, ak fyète nasyonal nou. Se ak li nou chante, nou ri, nou reve, nou pyafe, e nou pataje istwa pèp nou ak zansèt nou.

SOFEHJ, kwè nan valè kilti ak lang kreyòl la kòm zouti pou devlopman, inite, ak egalite fanm ak gason. Nou ankouraje tout fanm, jèn, ak kominote yo pou yo kontinye sèvi ak kreyòl nan lekòl, nan travay, nan medya , nan tout kichòy chak jou, paske se lang ki pote lavi ak limyè nan lespri nou.
Menm jan fanm pote lavi, se konsa fanm se gadyèn lang ak kilti yon pèp.

Ann selebre kreyòl nou ak fyète.

Kreyòl se fòs, se eritaj, se lanmou!

SOFEHJ, pou yon Ayiti pi bèl.














Contre le cancer du sein, restons forts et solidaires.
19/10/2025

Contre le cancer du sein, restons forts et solidaires.










17 oktòb jou lanmò  🇭🇹 papa Jean-Jacques Dessalines, Papa fondatè nasyon nou an, ewo libètè, modèl detèminasyon ak diyit...
17/10/2025

17 oktòb jou lanmò
🇭🇹 papa Jean-Jacques Dessalines, Papa fondatè nasyon nou an, ewo libètè, modèl detèminasyon ak diyite.

Pou SOFEHJ memwa Dessalines pa sèlman make nan listwa. Se yon apèl vivan pou n kontinye goumen pou verite, jistis, ak dwa fondamantal tout moun, espesyalman fanm.

Papa Dessalines te kwè nan libète san kondisyon. Nou menm nan SOFEHJ, nou kwè nan yon sosyete kote fanm yo jwenn plas yo, kote yo pa mete baboukèt nan bouch laprès, kote tout fanm ka pale lib e libè pou di sa ki bon ak sa ki jis.

Jodi a, nap mache sou tras rèv Papa Dessalines nan, pandan nap kontinye leve vwa nou pou defann verite, pou fè limyè sou enjistis, epi pou bay lespwa atravè chak mo prononse.

Onore Dessalines, se lite pou verite ak egalite.

Viv memwa Dessalines !
Viv fanm angaje !
Viv laprès lib nan yon Ayiti kote diyite ap taye banda.


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Nan okazyon Jounen Entènasyonal Tifi, Solidarite Fanm Jounalis Ayisyèn (SOFEHJ) leve vwa li pou l felisite, ankouraje, e...
11/10/2025

Nan okazyon Jounen Entènasyonal Tifi, Solidarite Fanm Jounalis Ayisyèn (SOFEHJ) leve vwa li pou l felisite, ankouraje, epi defann dwa tout tifi atravè mond lan espesyalman tifi nan peyi Dayiti a.

Tifi jodi a, se fanm lidè demen. Yo merite viv san vyolans, san diskriminasyon, epi ak tout opòtinite pou yo grandi ak diyite. Nou kwè nan fòs, talan ak kapasite chak tifi pou pote chanjman pozitif nan sosyete a.

SOFEHJ rete angaje pou kontinye sèvi kòm vwa tifi yo, denonse tout fòm abi, epi mete limyè sou istwa yo, rèv yo, ak reyalite yo.







Note de la SOFEHJ à propos de l’étude sur le genre réalisé dans le cadre de la Revue sectorielle conjointe d’éducation (...
02/10/2025

Note de la SOFEHJ à propos de l’étude sur le genre réalisé dans le cadre de la Revue sectorielle conjointe d’éducation (2025) d’Haïti

La SOFEHJ salue, par la présente, le travail réalisé et présenté par le MENFP , en matière de genre, dans le cadre de la revue sectorielle conjointe d’éducation d’Haïti, lors des assises tenues du 23 au 25 septembre 2025. Il s’agit d’une initiative encourageante qui mérite d’être soulignée et à laquelle l’association accorde la plus grande importance.
La SOFEHJ regrette, en revanche, que le rapport ne s’est pas concentré davantage sur des indicateurs spécifiques mesurant l'accès, l'équité et la gouvernance en fournissant des données désagrégées par genre pour tous les sous-secteurs tant au niveau de l’éducation formelle que de l’éducation non formelle afin de proposer un système de suivi et d'évaluation sensible au genre pour assurer l'allocation efficace des ressources et corriger les inégalités existantes.
La SOFEHJ souhaite ainsi que le rapport soit bonifié avec des indicateurs précis qui précisent par sous-secteur et pour tous les cycles ce qui a été constaté et ce qui est prescrit en rapport aux inégalités entre Homme-Femme (H/F) et Garçons/Filles (G/F) tant du côté de l’offre que de la demande d’éducation :
 En matière d’accès dont le taux de scolarisation par genre dans les différents cycles éducatifs, le taux d'abandon scolaire par genre et par région.
 En matière d’équité : la proportion de filles dans les filières techniques et scientifiques, le taux de réussite aux examens par genre ainsi que la répartition des enseignants par genre au sein des écoles.
La SOFEHJ partage tout à fait l’idée que la proportion de femmes dans les postes de direction des établissements scolaires, la participation des femmes aux instances de décision du plan sectoriel constitue des indicateurs clés permettant en ce qui concerne la mesure de la gouvernance d’un point genré. Néanmoins, elle fait remarquer :

(i) La nécessité d’éviter que des mesures de discrimination positive en faveur des femmes ne soient pas détournées à des fins politiciennes. Sans la mise en place de mécanismes permettant de renforcer la transparence et le contrôle démocratique, d'assurer que ces mesures soient basées sur des données objectives et des objectifs clairs, et de maintenir une vigilance continue grâce à la société civile et aux médias, ces nécessaires mesures de discrimination positive peuvent ouvrir les portes à la non-qualification et à l’incompétence.
(ii) Que la gouvernance, en matière de genre en éducation peut, tout aussi bien être mesurée par : e taux de participation des femmes aux conseils d’écoles ou aux associations de parents d'élèves, la présence de politiques de lutte contre les discriminations sexuelles et le harcèlement au sein du système éducatif.

La SOFEHJ demande aux acteurs/actrices du système éducatif d’adopter des mesures concrètes permettant de poursuivre le travail entamé en favorisant la mise en place d’un plan opérationnel annuel, au niveau des structures départementales d’éducation. Elle encourage la mise en place des méthodes de collecte et d'analyse qui permettent de distinguer les données entre filles et garçons, entre femmes et hommes à partir d’indicateurs précis dont ceux qui vont au-delà des chiffres globaux pour révéler et comprendre les raisons profondes les inégalités entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes

Fructueuse année Scolaire à toutes et a tous.
01/10/2025

Fructueuse année Scolaire à toutes et a tous.

Nous reprenons ici cet Interview de Solenne Gaucher, lauréate 2024 du prix L’Oréal Unesco pour les femmes et la science....
28/09/2025

Nous reprenons ici cet Interview de Solenne Gaucher, lauréate 2024 du prix L’Oréal Unesco pour les femmes et la science. Bonne lecture !

Solenne Gaucher, post-doctorante statisticienne, au CREST-GENES a récemment obtenu le prestigieux prix L’Oréal Unesco pour les femmes et la science. Elle s’intéresse principalement à l’apprentissage séquentiel et aux problèmes de décision séquentielle, ainsi qu’à l’apprentissage automatique équitable.
Au sein du CREST, Solenne travaille avec Vianney Perchet, chercheur en statistique et enseignant à l’ENSAE Paris sur le projet FairPlay, en partenariat avec l’INRIA.
Nous avons saisi l’occasion de ce prix pour en savoir un peu plus sur Solenne, son parcours et son travail au CREST.
Félicitations pour ce prix prestigieux ! Que représente pour vous le fait de recevoir le prix L’Oréal Unesco pour les femmes et la science ?
Je suis profondément honorée de recevoir ce prix, décerné par un jury aussi prestigieux. Au-delà de la reconnaissance de mes travaux, ce prix s’accompagne d’une responsabilité que je prends à cœur. En tant qu’ambassadrice de la Fondation L’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science, je souhaite soutenir activement sa mission : promouvoir une plus grande inclusion des femmes dans le domaine scientifique, qui est un enjeu fondamental pour l’égalité des genres.
A votre avis, quelles sont les raisons de la sous-représentation des femmes en science, et quel impact une meilleure représentativité pourrait-elle avoir ?
Le nombre de femmes dans les domaines scientifiques reste alarmant. En France, elles ne représentent que 29% des chercheurs en sciences, et cette proportion chute encore davantage dans des disciplines comme les mathématiques, où seulement 22% des enseignantes-chercheuses à l’université sont des femmes. Ces chiffres, bien qu’ils reflètent la faible présence des femmes dans les filières scientifiques, en sont également une des causes.
Je suis convaincue que le manque de modèles féminins visibles dans l’enseignement supérieur peut freiner les ambitions des étudiantes, les poussant à douter de leur légitimité. A cela s’ajoutent d’autres facteurs :
• Un soutien insuffisant de l’entourage pour s’engager dans des carrières scientifiques ;
• Un sentiment d’illégitimité dans un environnement perçu comme très masculin ;
• Une aversion plus marquée pour la compétition, qui peut éloigner certaines jeunes femmes de filières considérées comme élitistes.

Cette situation est préoccupante, car elle freine l’égalité des genres dans notre société. Les études scientifiques ouvrent les portes à des carrières parmi les plus prestigieuses et les mieux rémunérées. Pour y remédier, il est indispensable de mener des actions ciblées tout au long du parcours des jeunes femmes, dès la petite enfance, en luttant contre les stéréotypes de genre, et jusqu’aux études supérieures, en les conseillant sur leur orientation et en les encourageant activement à se tourner vers des carrières scientifiques.
Comment pensez-vous que ce prix influencera votre carrière et vos projets de recherche futurs ?
En tant que jeune chercheuse, ce prix apporte à la fois une reconnaissance et une visibilité précieuse à mes travaux. Plus matériellement, ce prix conséquent me donne une certaine indépendance financière, et me permettra notamment de financer un séjour de recherche à l’étranger, de voyager pour présenter mes travaux et nouer des collaborations avec des chercheurs de divers horizons. Ce prix ouvre donc de nouvelles perspectives pour mes projets de recherche.
Vous avez obtenu ce prix dans le cadre de votre travail sur l’équité algorithmique. Pouvez-vous nous présenter ces travaux ?
Mes travaux portent sur les enjeux d’équité dans les algorithmes d’apprentissage automatique, ou machine learning. Pour comprendre pourquoi ces algorithmes peuvent produire des réponses biaisées, il est essentiel de comprendre leur fonctionnement : ils apprennent à partir de larges jeux de données à repérer des relations entre différents éléments décrits par ces données. Par exemple, un logiciel de génération de texte associe certains mots à des contextes spécifiques et reproduit ces associations dans ses réponses.
Cependant, si les données d’entraînement contiennent des biais, les algorithmes risquent de les reproduire, voire de les accentuer. Par exemple, des journalistes de Reuters ont rapporté qu’un algorithmes de recrutement d’ingénieurs, entraîné sur des données historiques de recrutement, reproduisait les biais présents dans les données en discriminant les candidatures féminines. De tels cas illustrent un consensus croissant parmi les scientifiques : les algorithmes de machine learning, lorsqu’ils sont formés sur des données biaisées, peuvent perpétuer ou aggraver les discriminations déjà présentes.
Mes recherches visent à mesurer et prévenir les discriminations des algorithmes. La complexité du sujet dépasse son aspect purement mathématique : une décision juste dans un contexte peut sembler injuste dans un autre, ce qui nécessité de développer différentes approches complémentaires. A court terme, le souhaite étudier certains critères d’équité spécifiques, et en particulier comprendre les conséquences de ces contraintes, et comment les intégrer dans les algorithmes. A long terme, mes recherches visent à contribuer à l’élaboration d’un boîte à outils documentée d’algorithmes équitables. Celle-ci fournirait aux décideurs des méthodes pratiques pour mettre en œuvre tel ou tel critère tout en expliquant les conséquences et les effets néfastes potentiels de ces choix.
Pouvez-vous nous expliquer ce qui vous a motivé à explorer le domaine de l’équité dans les algorithmes d’intelligence artificielle ?
Ce domaine de recherche présente deux intérêts majeurs à mes yeux. D’une part, il permet de répondre à un problème ayant un impact sociétal significatif, où les mathématiciens et mathématiciennes ont un rôle clé à jouer. D’autre part, il s’agit d’un champ de recherche émergeant et particulièrement dynamique. De nombreuses questions fondamentales restent ouvertes, et ce domaine présente des défis mathématiques vraiment captivants.
Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir une carrière de chercheuse en statistiques et en mathématiques appliquées ?
J’ai choisi de faire une carrière scientifique par passion pour les mathématiques. Je n’avais pas de métier précis en tête en commençant mes études, et pas d’autre but en tête que celui de continuer à pratiquer des sciences. Je ne visais pas un métier en particulier, mais je savais que ces études m’ouvraient de nombreuses portes. J’ai suivi, à chaque choix d’orientation, la voie qui me permettait de continuer à faire des mathématiques, qui me plaisaient particulièrement. J’ai donc assez naturellement fait un master de recherche, qui m’a conduit à faire une thèse.
J’aime particulièrement la liberté que le métier de chercheuse m’offre. En premier lieu, la liberté de travailler sur les problèmes qui m’intéressent, et de continuer à apprendre de nouvelles techniques, à découvrir de nouveaux sujets. Et, bien sûr, la liberté de choisir avec qui travailler. C’est aussi un métier qui procure un vrai plaisir intellectuel : celui de modéliser un problème réel en termes mathématiques, de réfléchir et de raisonner, de comprendre !

« La déconstruction suppose une prise de conscience, un positionnement, sans lesquels le changement souhaité n’arrivera ...
20/09/2025

« La déconstruction suppose une prise de conscience, un positionnement, sans lesquels le changement souhaité n’arrivera pas », déclaration de Mme Colette Lespinasse, communicatrice sociale, journaliste et militante des droits humains, dans son intervention sur le Rôle des médias et déconstruction des stéréotypes médiatiques lors du premier atelier sur la masculinité positive à l’intention des journalistes des deux sexes, organisé par la SOFEHJ le 12 septembre dernier.

Au lancement de ce programme appuyé par le ministère à la condition féminine et aux droits des femmes (MCFDF) et Onu femmes, plusieurs thématiques ont été abordés notamment Masculinité positive, normes sociales, et changement de comportement ; contribution des médias publics et privés à la transformation sociale

SOFEHJ s’adonne à encourager les journalistes des deux sexes ainsi que les médias à se joindre à la vulgarisation de ce concept de masculinité positive qui fait référence à un ensemble d’attitudes et de comportements masculins, qui promeuvent le respect, l’égalité des genres, l’empathie et le bien-être individuel et communautaire.

La lutte pour une société juste, égalitaire et dénuée de violences basées sur le genre est l’affaire des hommes et femmes.

Revivez en images cet atelier de lancement !

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14 , Rue Borno
Port-au-Prince
HT6140

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