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14/02/2023

Interview exclusive avec le chargé d'affaires et chef de coopération de l'Ambassade de Suisse en Haïti, M. Fabrizio Poretti

Nous sommes à l’air de la mondialisation et de la globalisation. La terre est devenue un village planétaire. Les nations ont tendance à se rapprocher tant par la politique, l’économie, le commerce, l’éducation que par la culture. Les rapports diplomatiques et consulaires constituent, de ce fait, le maillon fort de cette forme de solidarité, de partage et d'échanges entre les peuples. Pour ne pas créer d’incidents diplomatiques, une série de principes, de normes et de règles ont été édictés. Les ambassades et les consulats se voient toujours en situation de taire leurs actions posées dans les domaines de la culture et de l’éducation particulièrement. En ce sens, AYITI Feedback croit qu’il est important que le monde soit informé de ce qui se passe dans ce cercle souvent fermé au grand public. D’où l’intérêt de son équipe à aller à la rencontre des ambassadeurs accrédités en Haïti et les consuls.

En ce sens, pour ce premier numéro, AYITI | Feedback propose une interview exclusive avec le chargé d'affaires et chef de coopération de l'Ambassade de Suisse en Haïti, M. Fabrizio Poretti, sur ses actions en Haïti. Ses explications.

https://youtu.be/53mvRFXdUBg

Le Premier ministre, , n’a pas démissionné. Une information que confirme le bureau de la Primature à travers un communiq...
07/10/2022

Le Premier ministre, , n’a pas démissionné. Une information que confirme le bureau de la Primature à travers un communiqué. Ce sont des affabulations soutient le communiqué.

04/10/2022
Coup de grâce et coup de maître pour la langue et la culture créole au Chili Comme prévu, le coup d’envoi de la deuxième...
04/10/2022

Coup de grâce et coup de maître pour la langue et la culture créole au Chili

Comme prévu, le coup d’envoi de la deuxième édition du Festival International Créolofolie / Kreyolofoli est donné, le weekend écoulé, au Chili. Une dynamique visant à sauvegarder, renforcer et/ou recoller les morceaux de ce qui reste de la langue et de la culture créole.

Ils sont avant tout, des haïtiens et des haïtiennes, ceux qui, particulièrement, ont fui la réalité sociale, politique, économique et sécuritaire d’Haïti, en quête de mieux-être, ceux qui restent encore attachés à la terre des ancêtres, à se rassembler, les 1er et 2 octobre 2022, dans les locaux du « Centro Cultural de Cerrillos Tío Lalo Parra », au Chili, pour prendre part aux festivités devant marquer l’ouverture officielle de la deuxième édition du Festival International Créolofolie/Kreyolofoli, déroulé, cette année, autour du thème : « le Créole, l’un des outils pour le développement d’Haïti ». Ils sont aussi des chiliens et chiliennes, amis des haïtiens, des curieux mais aussi et surtout des avisés, à faire également le déplacement. Ils ont voulu eux aussi découvrir et/ou apprécier, savourer les richesses de la langue et de la culture créole.

D’entrée de jeu, l’équipe du Chili, composée de jeunes haïtiens ayant quitté le pays pour des raisons diverses, ont pris le soin de préparer et concocter un menu riche et très diversifié à l’intention des participants venus en grande foule. Conférences-débats, discussions et échanges très pointus sur l’importance, la richesse et la valeur de la langue et de la culture créole ; exposition d’œuvres picturales réalisées spécifiquement par des artistes et peintres haïtiens ; foires artisanales et gastronomiques ; performance très rythmée d’un groupe de « Rara » et interprétation très osée d’une chanson en créole par un chanteur Chilien ont marqué ces deux belles et agréables journées.

« Je ne m’attendais pas à une aussi grande participation. Cela prouve, dans une large mesure, comment les haïtiens portent la langue et la culture créole dans leur sang, leur âme et leur cœur. L’important, aujourd’hui, est de travailler en vue de redonner vie à notre patrie commune. La langue et la culture créole est tout ce qui nous reste. » Elle est tout ce qui peut nous aider à nous rapprocher davantage, a fait savoir l’un des organisateurs de l’équipe du Chili.

Aussi, ils ont été nombreux les participants, notamment les haïtiens à témoigner leur appréciation quant à la réalisation et la tenue de ces deux journées consacrées à la langue et la culture créole. Une dynamique qui, disent-ils, leur rapproche davantage de leur terre natale. Une terre qui connait aujourd’hui des moments difficiles. Ils restent convaincus que la situation s’améliorera et que les fils et filles d’Haïti pourront y retourner et prendre du bon temps avec les siens et pourquoi pas, travailler pour le développement national.

Après le Chili, le cap est mis sur Haïti les 8 et 9 octobre prochain. Mais rien n’est encore sûr quant à la réalisation des festivités qui devront se dérouler à la Bibliothèque Michèle Tardieu, à Pétion-Ville. La situation politique et sécuritaire due à la crise de carburant, la cherté de la vie, les fréquentes manifestations et les mouvements de protestation dans les rues des différentes villes du pays et les aléas existentiels de l’Haïtien ne laissent entrevoir aucune issue plus prometteuse en dépit de la préparation, la planification et les prévisions de l’équipe d’Haïti. Entre temps, pour le lancement, l’ouverture et la réalisation des deux journées de la deuxième édition du festival international Créolofolie/Kreyolofoli au Chili, le pari est gagné.

Joe Antoine Jn Baptiste

25/09/2022
[Les commentaires d’AYITI | FEEDBACK]La Pilule du Dr. Ariel HenryPendant plus de dix jours, toutes les activités ont été...
24/09/2022

[Les commentaires d’AYITI | FEEDBACK]

La Pilule du Dr. Ariel Henry

Pendant plus de dix jours, toutes les activités ont été paralysées. Des scènes de pillage ont été enregistrées dans presque toutes les villes du pays. Toutes les institutions de la République ont dû fermer leurs portes. Des pneus enflammés et des barricades de tout genre ont été dressés un peu partout à travers les rues. La Police Nationale d’Haïti, pour dissuader les protestataires-manifestants ont, par endroit, utilisé un bras de fer. Déclarations incendiaires. Altercations. Arrestation de plusieurs dizaines de personnes. Affrontements. Jets de pierres. Voitures et maisons incendiées. Bref… Le tout, pour forcer le gouvernement de Ariel Henry à revoir sa décision.

Dans son adresse à la nation, le dimanche 18 septembre, le Premier ministre, Ariel Henry, a, semble-t-il, mis de l’huile sur le feu. Il a maintenu sa position, malgré toutes les perturbations ayant secoué la République pendant environ six jours. Selon lui, les dégâts enregistrés auraient été l’œuvre d'hommes armés opérant pour le compte d’un groupe économique. Une affirmation qu’a soutenue le Secrétaire général de l’Organisation des Nations-Unies qui, à la veille de la 77è Assemblée générale, intervenait, en exclusivité, sur France 24. Antonio Guterres reste convaincu qu’il faut subventionner les familles mais pas le carburant. Dans la foulée, il persiste à croire qu’une « force robuste » doit être mise en place pour contrecarrer les gangs armés.

« Ce sont les acteurs économiques qui financent le mouvement des rues. Ils ne vivent pas en Haïti. Ils ont des manoirs dans différentes parties du monde. Pourtant, ce sont eux qui paient pour que les gens investissent les rues », a, en début de semaine, fait savoir Juan Gonzalez, directeur principal du Conseil de sécurité nationale pour l’hémisphère occidental et assistant spécial du Président Joe Biden. Une autre affirmation, plus détaillée, qui soutient fermement le Premier ministre dans sa démarche.

Malgré tout, les rues ont connu une deuxième semaine de « Lock » jusqu’au jeudi 22 septembre, où, timidement, les activités paraissent avoir été reprises. Les forces de l’ordre tentent d’enlever les barricades. Des tirs sporadiques et des rafales ont été entendus un peu partout dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Dans certains endroits, les résidents replacent et/ou renforcent les barrages empêchant aux véhicules, mêmes ceux de l’Etat, de traverser. Une situation chaotique portant les esprits avisés à ne pas entrevoir une lueur d’espoir pour Haïti et envisager le pire dans les jours à venir.

Le silence des autorités gouvernementales pèse lourd. Un silence qui en dit long. Peut-être le chef du gouvernement joue-t-il sur la carte du temps. Il a la certitude qu’un peuple qui a faim ne peut pas se battre indéfiniment. Il attend sans doute que les réserves soient épuisées pour un retour au calme et au dialogue. Un souhait qu’il renouvelle à chaque prise de parole. L’important est d’attendre. Pour combien de temps ? Personne ne sait.

Entre temps, la situation sociale, économique, politique et sécuritaire du pays est détériorée. A environ quinze jours de la réouverture des classes, le 3 octobre prochain, le bât blesse. Le carburant n’est toujours pas disponible dans les stations de service. Dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux, le Chef des G9 a fait savoir que le Premier ministre doit l’abattre pour que le terminal Varreux puisse acheminer le carburant dans les stations de service. La population est aux abois. Le prix des produits de première nécessité grimpe encore. Celui du transport en commun aussi. Pénurie d’eau potable dans certains quartiers de la capitale. Depuis dimanche, de longues files d’attente se dessinent devant les stations de gaz propane. Certaines boutiques de provisions alimentaires sont en rupture de stock. Personne ne sent l’implication et la volonté du gouvernement à matérialiser les promesses qu’il a faites au peuple haïtien pour pallier la situation sociale et économique du pays. Par-dessus tout, le problème de l’insécurité reste entier.

Plus de dix jours de « Lock » se sont écoulés. Pour quel résultat ? Les vrais problèmes de la nation, ont-ils été résolus ? Le prix du carburant à la pompe, a-t-il été revu ? Le Premier ministre, Ariel Henry, a-t-il démissionné comme l’exigeaient les manifestants protestataires ? L’ordre, va-t-elle enfin régner ? Peut-on s’attendre au pire ? Que l’on veuille ou non, la population haïtienne se verra en situation d’avaler « la pilule Ariel Henry » qui, pour alléger la situation socio-économique de la population, avait promis la mise en place des programmes d’apaisement sociale pour les plus faibles, la relance des restaurants communautaires de la région métropolitaine capables de fournir 40 mille plats chauds par jour. Une promesse qui a été déjà faite, il y a près de dix mois.

La Rédaction

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« Ce sont les acteurs économiques qui financent le mouvement des rues. Ils ne vivent pas en Haïti. Ils ont des manoirs d...
21/09/2022

« Ce sont les acteurs économiques qui financent le mouvement des rues. Ils ne vivent pas en Haïti. Ils ont des manoirs dans différentes parties du monde. Pourtant, ce sont eux qui paient pour que les gens investissent les rues », a fait savoir Juan Gonzalez, directeur principal du Conseil de sécurité nationale pour l’hémisphère occidental et assistant spécial du président Joe Biden. Une affirmation qui renforce la position du Premier ministre, Ariel Henry, qui, dimanche soir, lors de son adresse à la nation, a souligné que ce qui se passe à Port-au-Prince et dans les villes de province est l’œuvre des hommes armés.

Antonio Guterres opte pour une « force robuste » en vue de mettre fin à l’action des gangs en Haïti« Il faut subventionn...
18/09/2022

Antonio Guterres opte pour une « force robuste » en vue de mettre fin à l’action des gangs en Haïti

« Il faut subventionner les familles et pas le carburant. Cela leur permet d’obtenir les ressources dont elles ont besoin. […] Cela ne se traduit pas dans un bénéfice pour les combustibles fossiles. Aussi, il faut absolument réintroduire une sécurité sérieuse. Il faut un programme international d’appui à la formation et à l’équipement de la Police. Mais, il faudra aussi une « force robuste » capable de mettre fin à l’action des Gangs.[…] Une force qui puisse mettre de l’ordre dans le pays contrôlé par des gangs. » C’est ce qu’a déclaré le Secrétaire Général de l’Onu, ce week-end, à Exclusive, sur France 24, à la veille de la prochaine assemblée Générale de l’Onu.

18/09/2022

En Exclusivité, sur France 24, le secrétaire général de l’ , Antonio GUTERRES, réagit sur la situation actuelle d’Haïti

[NÒT POU LAPRÈS]FANM YO PALEDepi kèk jou sityasyon peyi dayiti ap dejenere e daprè rapò oganizasyon dwa moun yo  robinèt...
15/09/2022

[NÒT POU LAPRÈS]

FANM YO PALE

Depi kèk jou sityasyon peyi dayiti ap dejenere e daprè rapò oganizasyon dwa moun yo robinèt san an louvri pi laj. Pèp ayisyen an, san li pa nan lagè ap viktim chak jou ki jou, kote pwòp frè nou ap tire, boule, rache pwòp ayisyen parèy yo. viktim yo se manman, papa, pitit kap mouri e ki mete dlo nan je ak lapenn anndan tout yon fanmi.

Sitiyasyon an dejenere nèt lè gouvènman an anonse li pral monte pri gaz la, ki malouk anpil pou tout yon popilasyon ki te deja pat ka manje, e ki pat wè kouman poul te voye pitit li lekol, paske pwodwi premye nesesite yo ki te deja tèt nèg pral monte ankò. Sa vin lakòz anpil barikad, kawoutchou, bal kap tire tribò pa bò, moun pa ka al nan okipasyon yo depi de (2) jou.

Fanm ki ansent, moun ki fè kansè, moun kap soufri ki bezwen yon piki ki pou soulaje doulè kap pete fyèl yo, pa ka al lopital, doktè pa ka soti rive kote yo pou bay malad laswenyay, madan sara yo paka rive nan mache pou pote lamanjay vann, malere ki pat gen anyen nan men yo pou yo viv ap mouri grangou pou nou site sa yo sèlman.

Nan moman latwoublay sa yo, fanm yo ki se poto mitan lafanmi ak sosyete a pran kouraj yo ak de men pou yo mande yon chita pale, pou la pè ak sekirite retounen tabli nan mitan popilasyon an.

Poutèt sa, Fanm yo mande :

1. Pou gouvènman an tounen sou desizyon monte gaz la pou kounye a, malgre nou konnen se sèl ayiti ki vann gaz a pri li ye a sou mache entenasyonal. Moman an pa mande sa ;

2. Pou moun kap simen latwoublay yo aksepte chita pale ak gouvènman an plas la pou jwenn yo antant paske wè pa wè, ayiti se peyi nou, nou pa ka tonbe boulel, kraze, epi tou, si se pou pèp la, pa gen sakrifis ki twòp;

3. Pou moun ki nan lari yo jwe jwèt entèlijan pou yo dakò bay yon tan pou chita pale a fèt paske nou deja montre sa nou kab fè e pi pa kite yo monte nou youn kont lòt, se pa sa ki vrè solisyon an, gen moun se enterè pòch yo ak biznis yo yap defann, se pa pou enterè popilasyon an, ni pou jèn ki pa gen travay yo, ni pou sa ki pi fèb yo;

4. Pou kominote entenasyonal la sèvi medyasyon paske vle pa vle, match pa konn jwe san abit.

Fanm yo mande nou yon moman kalmi pou o mwen uit (8) jou pou gouvènman an, kominote entènasyonal la ak opozan yo jwenn yon antant. Paske ayiti se peyi nou li ye, nou pa ka krazel, e se bak nap kontinye fè, san yon chita pale sensè, san ipokrizi, san enterè pèsonèl, nou ka jwenn yon solisyon.

Fanm se lavi, se manman, se poto mitan lasosyete, se vwa bondye, nou mande tout moun tanpri souple, fe yon poze, bay yon tan pou yon solisyon ka jwenn, nou kapab si nou vle. Ann bay chans ak sa ki ret lakay yo ki pa gen senk (5) kòb pou yo manje, paske o final tout moun ap regle enterè pèsonèl yo, se nou ki pou montre nou entèlijan pandan nap met ansanm pou n defann enterè pa nou.

Ansanm nou fò. Ansanm nap rive nan bout koridò a pou fè nwa kaba pou limyè parèt, epi pou nou rive viv ansanm. Pa gen anyen ki vo lavi, alò ann chwazi lavi.

Dokiman sa a, se pwodiksyon Karavàn Fanm Pou Chanjman.

La radio Model FM a subi de sérieux dommages au cours de la journée de mobilisation et de protestation de ce mardi 13 se...
14/09/2022

La radio Model FM a subi de sérieux dommages au cours de la journée de mobilisation et de protestation de ce mardi 13 septembre, pour dénoncer la montée du prix du carburant à la pompe et la cherté de la vie. Le bâtiment a essuyé des jets de pierres et un employé de la boîte en est sorti blessé. Une situation qui devient monnaie courante.

tient à renouveler son plein support à tous les amis et confrères de la Radio Model FM

La nouvelle fait l’effet d’une bombe. L’ancien Premier ministre a.i., Claude Joseph, est, semble-il, logé à la même ense...
09/09/2022

La nouvelle fait l’effet d’une bombe. L’ancien Premier ministre a.i., Claude Joseph, est, semble-il, logé à la même enseigne que les bandits notoires en Haïti par la République dominicaine. Le Président , a appliqué l’article 15 de la loi 285-04 sur l’immigration pour déclarer Claude Joseph, ancien ministre des affaires étrangères sous la présidence de Jovenel Moise, persona non grata en République voisine. Son nom figure dans la même liste constituée de treize bandits de grands chemins opérant dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince et des environs.

En réaction, le Dr. , via un tweet, affirme que le Président dominicain a pris cette décision parce qu’il voit en la personne de Claude Joseph un défenseur d’Haïti et des haïtiens et qu’il s’est opposé aux projets des dirigeants dominicains à vouloir faire du pays de Dessalines un dépotoir dominicain.

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