08/04/2025
L’histoire a une étrange manière de se répéter lorsque ses leçons ne sont pas apprises.
Paul Kagame et Jonas Savimbi, deux figures emblématiques des rébellions africaines, ont écrit des chapitres sanglants dans l’histoire de leur continent. Tous deux ont pris les armes au nom d’un idéal, mais ont fini par sombrer dans le piège de la soif du pouvoir—menant à la mort de millions d'innocents pour leur propre gain personnel. Aujourd'hui, le monde observe : l'emprise de Kagame sur le pouvoir s'affaiblit. Isolé, contesté, et exposé au grand jour alors que les masques tombent.
Paul Kagame finira-t-il comme Savimbi ?
Très probablement. Car il y a 31 ans, il a emprunté exactement le même chemin que l'ex-leader de l'UNITA en Angola : un chemin pavé de manipulation, de répression et du refus de céder le pouvoir.
L’histoire n’oublie pas. Et au final, elle exige toujours un prix.
Pendant des années, de nombreux Africains se sont demandés comment nos ancêtres—malgré leur sagesse, leur pouvoir et leurs connaissances spirituelles—ont fini par être vendus en esclavage, dépouillés de leur dignité, et emmenés vers l’Occident en chaînes.
Mais en observant les actions de dirigeants africains comme Paul Kagame—marquées par la trahison, l’ambition égoïste et la quête de validation occidentale—il devient évident que beaucoup de nos ancêtres ont été trahis et vendus par leurs propres frères.
Poussés par l’ego, par le désir de dire “Choisissez-moi, je suis meilleur que mes frères,” certains se sont tournés contre leurs proches. Cette même mentalité destructrice perdure aujourd’hui.
Depuis plus de 30 ans, Paul Kagame a été utilisé comme un outil d’oppression—employé pour massacrer son propre peuple et déstabiliser les nations voisines. Il a joué un rôle clé dans l'orchestration du génocide rwandais, non seulement contre les Tutsis, comme le laisse entendre le récit officiel, mais aussi contre les Hutus et les Twa, qui ont été massacrés en plus grand nombre. Cependant, une fois au pouvoir, Kagame a réécrit l’histoire pour positionner uniquement les Tutsis comme victimes—instrumentalisant le traumatisme pour solidifier son emprise sur le pouvoir.
Mais la vérité ne peut rester cachée éternellement. Le monde commence à se réveiller, et ton temps est compté.
Avant de partir, Paul Kagame, puisse-tu avoir le courage de faire ce que peu de tyrans ont osé : enregistrer une vidéo, confesser tes crimes, et demander pardon. Pas aux puissances mondiales, mais aux peuples dont le sang macule tes mains.
Tu peux tromper le monde un moment, mais pas éternellement.
Que cela serve d’avertissement et de leçon pour tes pairs : les Congolais que tu as jadis moqués et humiliés ne sont plus les mêmes.
Nous sommes éveillés, nous nous élevons, et nous ne tolérerons plus l’humiliation sur notre terre. Le Congo, la terre des Congolais, appartient à son peuple—et non aux marionnettes étrangères ni aux collaborateurs africains.
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