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22/07/2025
La Galilée d'aujourd'hui: une démographie à part  article archives 2014Même les plus fervents sionistes ne parlent plus ...
18/07/2025

La Galilée d'aujourd'hui: une démographie à part article archives 2014

Même les plus fervents sionistes ne parlent plus de judaïser la Galilée, mais d'y créer un équilibre. Une région arabophone où la police a une politique très sélective d'application de la loi et où les facteurs terroristes se renforcent. Parler de souveraineté israélienne? Le "politiquement correct" ne le permettrait pas.

Dans le Talmud (4e siècle de l'ère vulgaire), traité de Baba Métsia, la Michna (1er siècle) nous enseigne que si l'on trouve un gros morceau de viande en Galilée, on suppose que celui-ci est certainement Cacher car "Quelle personne non juive pourrait-elle se trouver en Galilée?" Qui pourrait émettre un avis pareil de nos jours? Il n'y a rien d'agréable à parler de la démographie de cette région. Chez les plus idéalistes on ne parle plus que d'équilibre, abandonnant l'idée d'une contrée à majorité juive. La Galilée d'aujourd'hui parle arabe et les Juifs y vivent en minorité. D'aucun pourront poser la question: "Et alors?"
Les projets des pères du pays et ceux des années 70, les "Mitspé", création de villages éparpillés sur toute la région, n'ont pas connu un grand succès. Ces projets avaient été conçus pour faire barrage et éviter une autonomie nationaliste arabe. En 2014 il est difficile de reprendre ces idées et ces termes. Le " politiquement correct" fait taire ceux qui désirent y assoir une souveraineté juive-israélienne et démocratique. Cette souveraineté n'existe pas dans certaines zones, dû à l'application sélective de la loi par la police et aux liens tissés par la population avec des groupes terroristes.
Le "Grand" nord, une minorité juive évidente
La région est très vaste. Du Golan à Bet-Shean, en passant par Akko et Tsfat, entre la frontière syrienne et la mer les juifs ne sont que 43.4% de la population. Sans Bet-Shean et le Golan: 34%. Le déséquilibre démographique cause une instabilité et une inégalité dans de nombreux domaines comme l'économie, l'industrie, les taxes, la loi et l'identification au drapeau national. Les villes et villages arabes se sont construits avec très peu de planifications urbaines, les rues sont sans noms. Dans un vide étatique le mouvement islamiste s'infiltre. Est-ce que le rêve sioniste se termine au bout de la route 6? 67 ans après la décision de l'O.N.U. du partage de la Palestine, le partage est bien là. L'absence de l'administration se fait remarquer: constructions sans permis, carrières pirates faisant disparaitre des collines entières et le tout sans gêne et sans crainte aucune. On se souvient aussi en octobre 2000 que les chars de Tsahal ont dû apporter pain et lait à travers champs, aux habitants des villages juifs, les routes avaient été barrées! Quand nous, habitants du centre du pays, avons déjà oublié, dans la Galilée la confiance demande à être restaurée. La région est assez sûre mais les sources de tensions sont bien présentes.

L'économie, l'instruction et la politique
Il faut savoir que le niveau d'études supérieures parmi la population arabe est relativement élevé mais n'est pas exploité. 20% seulement des diplômés en sciences et technologies travaillent dans leurs branches. La grande majorité des 500 détenteurs de B.A. en High-Tech chaque année n'y sont pas intégrés. A Carmiel 10% des résidents sont des arabes qui désiraient améliorer leur niveau de vie. Presque tous exercent des professions libérales: médecins, avocats, experts comptables. Parallèlement les citadins souffrent d'une criminalité venant des villages avoisinants. Cambriolages, agressions sexuelles, voitures volées. Carmiel est une île entourée de dix villages arabes. En chiffres: 80% face à 20% de Juifs. A cela vient s'ajouter la lutte des familles bédouines qui se sont établies illégalement sur le territoire administratif de la ville. Une ordonnance des tribunaux pour le démantèlement de cette installation menace telle une allumette à côté d'un baril de poudre. Les députés arabes, qui viennent manifester contre "l'injustice" faite aux Bédouins, poussent vers un conflit national. Edy Eldar, le maire de Carmiel depuis 25 ans tient des propos clairs: "Je ne cherche pas à judaïser les arabes. Je ne suis pas contre les arabes, je suis pour les Juifs. Je veux voir plus de Juifs autour de moi. Il y a de nombreux exemples dans le monde où une minorité au plan national, majoritaire dans une province, a exigé son autonomie. Les frontières d'un Etat ne sont pas seulement fixées par des lignes tirées sur une carte. La région où il n'y aura pas de Juifs sera perdu pour notre pays". Eldar note aussi des différences, avec le temps, dans les mentalités. Comme par exemple la célébration de la "Nakhba" et le fait de brandir les drapeaux de l'O.L.P.
Les députés arabes, là aussi, entretiennent une "conscience nationale", encouragent l'espoir d'un renversement et d'une entité aux couleurs O.L.P. Edy Eldar prône le retour à la terminologie des années 70: un mouvement de la population juive vers la Galilée, développer les villes et villages juifs afin de restreindre la mainmise illégale d'autres populations sur le territoire national. Et enfin empêcher le départ des Juifs. Nazareth Elite connait pire encore. La ville a perdu 20% de sa population juive, remplacée aussitôt par des locataires ou acheteurs arabes. Ses problèmes sociaux- économiques sont parmi les pires du pays.

Et pourtant. Il n'y a pas de guerre. Nous parlons de citoyens israéliens légitimes. Pourquoi est-il si difficile de trouver une formule? Dans une autre région la situation est plus nette: La Judée et la Samarie, où vivent deux camps bien distincts. Certains émettent l'avis d'une très probable analogie entre les deux régions d'ici 10 ans. Et que dans ces mêmes 10 ans l'Etat d'Israël ne sera plus limitée qu’à la région de Tel-Aviv avec 20 km au nord et 20 km au sud.

Les solutions, les projets, les rêves et l'action.
Avec un chômage de 9.2% (6.4% moyenne israélienne), les jeunes sont souvent sous employés ou quittent cette province et cherchent à gagner leur vie dans le centre du pays. Chez les leaders galiléens les idées et les projets fusent. Chacun a ses propositions, ses solutions: une réforme du programme urbain au plan national, améliorer les transports publiques, édifier une école prémilitaire (Mekhina kedam Tsvaït) à orientation industrielle, orienter l’Alya vers la Galilée, stabiliser le centre de Peki'in et l'installation de panneaux de signalisation dans les villes et villages arabes. Le tout, main dans la main avec le gouvernement, ses ministères et ses institutions. D'autres n'attendent pas le gouvernement et sa lourdeur administrative. Réaya Strauss en est l'exemple. Elle transforme la Galilée en puissance touristique. Son vision: le tourisme encourage l'immigration, crée des emplois et peut changer l'image de marque de la région. 400 commerces ont été fondés par son intermédiaire. Réaya les encourage et leur apporte aussi un soutien publicitaire et commercial. L'association "Ofakim laAtid" de la communauté Druze où l'on se rencontre autour de projets, et où l'on renforce son identité Druze israélienne. Les initiatives là aussi fusent. Ils n'attendent pas qu'on leur donne. Ils vont chercher, ils créent.
Une mission nationale
A Nazareth Elite aujourd'hui 80% des appartements d'un quartier, qui a été construit spécialement pour les militaires de carrière, sont habités par des arabes. Le poids énorme de ces familles, ajoutées aux autres déjà présentes, pèse sur les services sociaux et éducatifs. Les données de la police et du Shabak (services de sécurité israéliens) montrent clairement la participation à des actes terroristes. L'absence du bras de l'Etat en est la cause.
Ofir Shick, initiateur du projet de développement "Lev Hagalil": "La question est être ou ne pas être. On peut baisser les bras, abandonner la Galilée. J'espère que non. Je crois que c'est un peu comme la finale jouée par Maccabi Tel-Aviv: contre les lois de la nature, nous gagnerons de toute façon à la fin ici!"
Emilie Amroussi par Haïm Bismuth

16/07/2025

Le livre 7 octobre : La nouvelle guerre d’Israël d’André Darmon est un essai journalistique détaillé et très documenté sur l’un des jours les plus tragiques de l’histoire récente d’Israël, marqué par l’invasion du Hamas le 7 octobre 2023.
Approche factuelle et contextualisée : Darmon revient sur les racines de l’événement, ancrant son récit dans l’histoire politico-militaire d’Israël sur les 75 dernières années, tout en détaillant la vie quotidienne avant la catastrophe.
Analyse critique de Tsahal : il dresse un portrait paradoxal de l’armée israélienne — technologiquement avancée, mais selon lui en partie instrumentalisée par ses officiers et généraux pour leur carrière politique .
Témoignages et révélations : l’ouvrage est nourri d’enquêtes approfondies, de récits de survivants et de révélations sur les failles sécuritaires et politiques du 7 octobre .
Structure riche et ambitieuse : plus de 300 pages organisées en chapitres thématiques abordant à la fois la surprise de l’attaque, l’implication des forces, la société civile, et l’impact politico-judiciaire ultérieur

📚 Réception critique
Selon Tribune Juive, l’ouvrage a été salué comme « époustouflant », alliant rigueur factuelle, style au-dessus de la moyenne, témoignages poignants, et révélations inédites. Les lecteurs y voient une « analyse objective » et un remarquable « travail de fourmi »
Tribune JuiveMon analyse
Points forts : une approche journalistique solide, équilibrée entre récit et analyse, bien ancrée dans le contexte sociopolitique israélien. Darmon, fort de son expérience francophone et de ses contacts en Israël, livre une vision documentée et intelligente. L’accent mis sur les « failles militaires » et le rôle de Tsahal peut être perçu comme biaisé pour certains, surtout dans un contexte de forte polarisation politique en Israël. La critique sur la politisation de l’armée soulève des débats éthiques délicats. conseillé pour les lecteurs francophones intéressés par une plongée immersive dans l’histoire récente d’Israël, autant qu’à ceux qui cherchent à comprendre comment un État très structuré a pu être surpris de manière aussi brutale.
En résumé
Un essai essentiel, documenté, puissant, et souvent courageux. Darmon ne se contente pas de décrire; il questionne, analyse, révèle — avec un style solide et un ancrage politique clair. Pour qui veut comprendre ce traumatisme national et ses conséquences, c’est une lecture majeure — à condition d’aborder ses critiques avec un esprit nuancé. Photo Oren Cohen a commander sur le site www.israelmagazine.co.il

Documentation de l'activité de l'armée de l'air pendant la guerre avec l'Iran // Photo : porte-parole de TsahalLa décisi...
16/07/2025

Documentation de l'activité de l'armée de l'air pendant la guerre avec l'Iran // Photo : porte-parole de Tsahal
La décision iranienne qui a surpris Israël : « Ils savaient que nous arrivions »
Alors que les tensions avec Israël s'intensifiaient, Téhéran a compris qu'une attaque était imminente et a déployé des batteries de missiles sol-air pour défendre la frontière. L'armée israélienne a identifié la menace et a trouvé un moyen sophistiqué de la contrer.
Jusqu'à récemment, les plans israéliens d'attaque contre l'Iran étaient relativement modestes. « Ces vingt dernières années, nous avons commis l'erreur de constamment préparer une attaque de type "tête d'épingle" contre l'Iran », explique un haut responsable de la défense. « Il s'agissait parfois d'une opération du Mossad, parfois d'une opération aérienne. Mais il s'agissait toujours d'une opération, pas d'une campagne. »
Dès ses premiers jours de mandat, Halevi aurait soumis un document au Premier ministre et au ministre de la Défense, cherchant à modifier la perspective d'une attaque contre l'Iran, passant d'une simple opération à une campagne. À cette fin, le nouveau chef d'état-major s'est fixé l'objectif ambitieux d'obtenir la supériorité aérienne de l'Iran, afin de permettre aux avions de chasse d'agir à leur guise dans le ciel iranien et d'ouvrir la voie à Téhéran. « Dès qu'un quatuor de F-15 survole Téhéran, on est dans un état d'esprit totalement différent, physiquement et psychologiquement », explique une source militaire.
Pour élaborer le plan opérationnel, l'armée de l'air a constitué une « équipe gagnante », selon les termes de l'un des acteurs du processus. Le quartier général opérationnel de l'armée de l'air a été modifié de manière à concentrer ses ressources et ses effectifs sur la question iranienne, avec notamment la création d'un département dédié à l'Iran et de sous-équipes chargées de questions telles que la supériorité aérienne et le ravitaillement. Parallèlement, les escadrons ont commencé à dispenser des entraînements incluant des vols long-courriers .
Dès les premières phases du plan, l'armée de l'air avait défini la nécessité d'opérer au-dessus de l'Iran pendant 7 à 14 jours consécutifs, sachant que cela permettrait d'obtenir les meilleurs résultats possibles. La supériorité aérienne était au cœur de cette question. Mais avec l'intensification des tensions avec Israël, les Iraniens ont compris qu'ils devaient affronter le pire et ont commencé à déployer de plus en plus de batteries de missiles sol-air (SAM) pour défendre la frontière occidentale face à Israël. Cette opération a été rendue possible grâce à l'augmentation de la production industrielle iranienne. « L'Iran savait que nous arrivions », explique une source de l'armée de l'air, « et ils se sont préparés. »
Les « trous » dans la défense iranienne
Le plan de l'armée de l'air pour obtenir la supériorité aérienne en Iran reposait sur une attaque ciblée du seul système de défense aérienne le long de la frontière occidentale, et non sur sa destruction complète. La nuit de la première attaque, les avions de chasse israéliens ont concentré leurs efforts de manière à ouvrir des voies d'entrée en Iran exemptes de missiles, dans des zones frontalières d'où il était plus facile d'atteindre Téhéran. Il n'en fallait pas plus. Par exemple, la partie sud de la frontière, adjacente au Golfe Persique, n'a pas été attaquée du tout.
Le directeur général du ministère de la Défense : « Nous identifions les tentatives de réhabilitation de l'Iran »
Ces « trous », chacun large de plusieurs centaines de kilomètres, étaient suffisants pour permettre aux avions de chasse de pénétrer profondément dans le territoire iranien.
Le lendemain de la première frappe, les avions ont continué à « nettoyer » la zone jusqu'à Téhéran et, la deuxième nuit de l'opération, ils ont finalement détruit tous les systèmes antiaériens au-dessus de la capitale iranienne. Dans les endroits où les avions avaient des difficultés à opérer, des escadrons du Mossad ont été appelés en renfort, attaquant plusieurs batteries antiaériennes à l'aide de missiles placés sur le sol iranien.

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15/07/2025

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PHOTO MALKA Ministère de la Défense Khamenei en confrontation directe avec GalantL'ancien ministre de la Défense Yoav Ga...
15/07/2025

PHOTO MALKA Ministère de la Défense
Khamenei en confrontation directe avec Galant
L'ancien ministre de la Défense Yoav Galant et le guide suprême iranien Ali Khamenei se sont affrontés directement et de manière inhabituelle. Galant a écrit : « Ce réseau ne nous a pas encerclés. Il a échoué », a répondu Khamenei : « Propagande. »
Vendredi dernier, l'ancien ministre de la Défense Yoav Galant a écrit une lettre ouverte au guide suprême iranien Ali Khamenei , le raillant pour sa guerre contre Israël. Aujourd'hui, et c'est inhabituel, Khamenei lui répond.
Gallant a écrit : « Nous ne nous sommes jamais rencontrés, mais je suis sûr que nous en savons beaucoup l'un sur l'autre. Je vous connais depuis près de trois décennies et j'ai étudié chaque moment critique de votre leadership. »
J'ai suivi vos décisions, votre doctrine et l'architecture par procuration que vous avez mise en place dans la région. Je vous ai vu remplacer Khomeini, accroître votre pouvoir politique et tenter d'asseoir l'hégémonie régionale iranienne. J'ai compris non seulement vos objectifs, mais aussi les méthodes que vous pensiez pouvoir y parvenir.
Il a ajouté : « En tant que ministre de la Défense, j'ai été chargé de transformer des décennies de renseignements, de capacités aériennes et de perception stratégique israélienne en un plan militaire coordonné. Ce plan a tranché votre « Ceinture de feu » comme un couteau brûlant dans du beurre et a finalement provoqué son effondrement. Ce plan a abouti à la guerre de 12 jours menée par Israël et les États-Unis contre le programme nucléaire iranien, la défense aérienne, la production de missiles et les hauts gradés de l'armée. »
Ce qui s'est passé en juin 2025 n'était pas seulement une campagne militaire. C'était l'effondrement stratégique d'un système que vous aviez mis quatre décennies à bâtir. Votre ceinture de feu était destinée à encercler Israël de points de pression et de diversions : le Hamas au sud, le Hezbollah au nord, la Syrie et l'Irak à l'est, et les Houthis au sud-est. (Heureusement, la mer Méditerranée se trouve à l'ouest.)
En conclusion, Gallant a écrit : « Vous aviez prévu d'utiliser des mandataires (proxis) et de mener une guerre d'usure contre Israël tout en développant des armées terroristes pour un jour le conquérir et le détruire. Vous avez cherché à construire un arsenal de missiles lourds, précis et à longue portée pour provoquer une destruction à grande échelle dans une attaque coordonnée.
Au cœur de cette architecture se trouvait votre principal objectif : développer une arme nucléaire qui garantirait à l’Iran l’immunité contre tout changement de régime et lui permettrait d’asseoir sa domination et sa dissuasion régionales, d’abord avec Israël, puis avec d’autres. Mais cet anneau ne nous a pas encerclés. Il a échoué.

Comme mentionné, le bureau de Khamenei a répondu directement à la lettre, la qualifiant de propagande et d'« opération d'influence à grande échelle ».
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des questions?  0542544520   de France 0757990613n Photo et graphisme Israël Magazine
11/07/2025

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IMAGE ISRAEL MAGAZINEDans le secret des bunkers de survie de "L’Etat-major fantôme" : La ligne de vie secrète et strateg...
11/07/2025

IMAGE ISRAEL MAGAZINE
Dans le secret des bunkers de survie de "L’Etat-major fantôme" :
La ligne de vie secrète et strategique de Tsahal face à un scénario d’effondrement du commandement
Andre Darmon
Le gouvernement israélien a autorisé la révélation partielle pour des raisons de guerre psychologique. En dévoilant son existence, Tsahal lance un message dissuasif : même décapitée, l’armée israélienne peut se réorganiser en quelques minutes. Aucune frappe n'interrompra l’autorité stratégique d’Israël. Et cette annonce est à la fois une réponse à l’Iran, mais aussi un avertissement adressé à l’intérieur : la résilience est en place.
Dans les entrailles d’un complexe classé secret-défense, enfoui loin des regards, le bunker est situé dans une zone montagneuse, protégée par un , technologique de défense anti-drones et protégé par les systèmes de sécurité les plus sophistiqués du pays. Là se tient prêt un état-major alternatif de Tsahal, Invisible, silencieux, mais en veille opérationnel. Il constitue le cœur d’un plan de survie stratégique .pour faire face à l’impensable : la décapitation de la chaîne de commandement militaire israélienne en cas de guerre totale. Les bunkers de commandement sont généralement situés dans des zones stratégiques, souvent sous des bases militaires existantes ou dans des régions montagneuses (comme près de Jérusalem ou dans le nord d’Israël) pour une protection accrue contre les frappes. La dispersion géographique est probable pour éviter qu’une seule attaque ne paralyse l’ensemble du système de commandement.
Israël a pleinement intégré dans sa doctrine une hypothèse jusqu’alors réservée à la science-fiction : la paralysie instantanée du commandement militaire par frappe de missile de précision, opération cyber ou assaut ciblé. Depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023, les failles structurelles du commandement ont été analysées à froid. Résultat : une stratégie de résilience de haut niveau, intégrée désormais dans le schéma de guerre multidimensionnelle.
Alors que l’ombre de l’Iran s’est épaissie sur l’horizon stratégique, avec un front Nord en ébullition, les Houthis en embuscade en mer Rouge, et les réseaux pro-iraniens actifs de l’Irak à la Syrie, l’armée israélienne a activé, dans le plus grand secret, un protocole d'urgence sans précédent : "l’état-major fantôme". Son existence, révélée récemment, témoigne d’une doctrine de résilience inédite, fruit des leçons apprises depuis la guerre du Kippour jusqu’au 7 octobre 2023. Lors d’une opération contre une base iranienne près de Deir ez-Zor en Syrie, le dispositif a été activé à titre réel durant plusieurs heures. Une simulation grandeur nature, avec communication sécurisée, ordres de frappe, coordination interarmes. Le test fut concluant. Le commandement fantôme a pu s’intégrer dans la chaîne sans rupture, comme une pièce déjà huilée.

PHOTO TSAHAL L'annexion de terres en Judée Samarie n'est pas contraire au droit internationalpar Michel Calvo 27 mai 202...
09/07/2025

PHOTO TSAHAL L'annexion de terres en Judée Samarie n'est pas contraire au droit international

par Michel Calvo 27 mai 2020 ART 27 PHOTO IDF

La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (« la Déclaration »), adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 13 septembre 2007, à la majorité de 144 États favorables, 4 qui ont voté contre et 11 qui se sont abstenus (A/RES/61/295), a reconnu que les peuples autochtones ont droit aux terres, aux territoires et aux ressources qu'ils possèdent et occupent traditionnellement ou qu'ils ont utilisés ou acquis (Art. 26.1) et qu'ils ont le droit de ne faire l'objet, dans l'exercice de leurs droits, d'aucune forme de discrimination (Art.2).

Avec les pratiques des États, le statut juridique et les droits des peuples autochtones ont évolué et se sont cristallisés en « droit coutumier international ». Par exemple, la Commission interaméricaine des droits de l'homme a déclaré qu'«il existe une norme internationale de droit coutumier qui affirme les droits des peuples autochtones sur leurs terres traditionnelles». La Cour africaine des droits de l'homme et des peuples a affirmé que les droits fonciers des peuples autochtones sont protégés et que ces droits sont des « principes généraux de droit ».

La France, l'Angleterre, la Belgique, le Luxembourg, l'Allemagne, etc... ont voté en faveur de la Déclaration. Depuis 2007, l'Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis qui ont voté contre ont officiellement approuvé la Déclaration en 2010. Dans leurs relations avec Israël (qui a également voté en faveur de la Déclaration), ces États ne peuvent prétendre que la Déclaration ne s'applique pas aux Juifs israéliens, car une telle position équivaudrait à une discrimination raciale flagrante.[1]

Selon le droit international, les Juifs sont le peuple autochtone, aussi connus sous le nom de peuple premier, peuple indigène, ou peuple natif de la terre appelée Judée-Samarie, Palestine ou Terre Sainte, et remplissent donc les critères exigés par le droit international. Les Juifs sont le peuple qui était le peuple de la Judée-Samarie il y a 3 500 ans, lorsque la Terre a été accordée aux Juifs par le Tout-Puissant. Les dirigeants du monde, qui ont choisi de faire abstraction de l'histoire, se réfèrent de manière trompeuse à la Judée-Samarie comme la « Cisjordanie » ou la Rive occidentale du Jourdain (qui comprend Israël) ou les « Territoires palestiniens occupés ».

La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine

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09/07/2025

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Gaza la juive, 20 ans après: Le Goush Katif, les n***s et le négatif identitaire

Isaac Attia* PHOTO GPO

Contrairement à l’idée que le plan de "désengagement" du Goush Katif ne serait qu’une simple péripétie dans le "processus de paix", donc un combat essentiellement politique, j’aimerais montrer en quoi il me semble qu’il s’agit-là, au contraire, d’un tournant dans ce processus et du passage d’un combat politique à un combat identitaire. Même s’il pourrait sembler que l’identité d’Israël aurait pu se sentir davantage interpellée par les concessions territoriales déjà en partie acceptées sur She’hem (Naplouse) ou Hébron, par exemple, il me semble que c’est justement Gaza qui représente le point le plus bas que notre peuple puisse atteindre dans la négation de son identité. En deux mots, si l’on prend conscience que les Palestiniens de Gaza sont le "négatif identitaire" d’Israël, qui prétend être nous-mêmes, à notre place, c’est justement à la source, à Gaza, qu’il faut démasquer l’usurpation d’identité.

Il faut comprendre l’enjeu d’une approche identitaire par rapport à une approche territoriale. Lorsque l’on dit : « On ne fait la paix qu’avec ses ennemis », cela sous-entend que deux parties sont en conflit sur un objet précis et ils peuvent décider de négocier un arrangement. Cela peut concerner des conflits territoriaux, économiques, politiques. Or, lorsqu’il s’agit d’un conflit identitaire absolu, lorsqu’un peuple se revendique d’un même espace, d’une même histoire, d’une même identité qu’un autre peuple, aucune négociation n’est possible puisque c’est la totalité de l’autre qui est visée et non pas une zone de litige circonscrite. C’est "l’être" et non "l’avoir" qui est en jeu. Une guerre identitaire ne permet aucun concession : soit l’imposteur reconnaît son imposture, dans le meilleur des cas, soit l’usurpé accepte de renoncer à être lui-même, dans le pire des cas.

Nazisme et palestinisme

Les Arabes de Gaza constituent-ils, non pas un peuple à part entière, mais un "négatif identitaire" d’Israël ? Cette question audacieuse ne me serait jamais venue à l’esprit si je n’avais étudié assidument un autre ennemi célèbre du peuple juif, les n***s, et si je n’avais lu sous la plume antisémite de Jean Genet, un rapprochement étonnant entre les Palestiniens et les n***s, dans leur acharnement à détruire Israël. Ce point charnière a été mis en lumière par le philosophe Eric Marty, dans l’analyse qu’il fait du texte de Jean Genet intitulé Quatre heures à Chatila (Bref séjour à Jérusalem, Gallimard, 2003). Marty nous présente un Jean Genet subjugué par le spectacle de la mort et des corps nus des fedayins palestiniens. Dans le camp de Chatila, après le massacre perpétré par les phalanges chrétiennes, il est avec Leïla Chaïd et en fait une description hallucinante. Viennent se superposer toutes les pulsions de Jean Genet : la transsexualité dans la mort, la fascination pour le crime, le culte de Caïn et de Sodome, et plus que tout, la superposition du n***sme et du palestinisme, seuls capables de se dresser devant Israël considéré avec horreur comme le Bien originel à effacer du monde.

Les n***s assoient leur identité sur trois composantes : Reich pour mille ans, espace vital et race supérieure. Ce triptyque totalitaire englobe ainsi les notions de temps, d’espace et d’être. Et soudain, surgit dans notre esprit le triptyque d’Israël : l’éternité (le temps), la terre promise (l’espace) et le peuple élu (l’être). En réalité, l’analogie n’est pas fortuite et le détail de l’idéologie nazie nous montrera à quel point il s’agit d’un miroir déformant du judaïsme jusque dans les moindres détails.

Un Reich pour mille ans

Le 1er pilier de l’idéologie nazie affirme l’établissement d’un empire (le Reich) pour mille ans. On pourrait considérer qu’il s’agit là d’une formule métaphorique traduisant le souhait que le régime dure le plus longtemps possible. Or, cette compréhension première est contredite par ce que les n***s appellent "la politique de la vie". En effet, l’objectif n’est pas de durer mais de créer une race humaine immortelle. Un Reich "pour mille ans" est, en ce sens, un empire pour l’éternité. Dans ce but, des expériences médicales sont menées sur les jumeaux, des projets de clonages sont imaginés, la semence humaine est sélectionnée dans des "Centres de naissance" où des Allemands donneurs "purs" et des mères porteuses polonaises donnent naissance à des enfants dont on analyse la robustesse et la "pureté de la race". A l’opposé, tout ce qui est considéré comme un affaiblissement de l’espèce humaine est éliminé du "corps social" sous forme d’euthanasie ou de stérilisation. Cette monstrueuse sélection de l’espèce humaine que les idéologues n***s ont appelée le "darwinisme social" a pour objectif avoué d’atteindre l’éternité.

La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine numéro 300

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