Metula News Agency

Metula News Agency La Ména - Metula News Agency - est une agence de presse fondée en mai 2000, dotée d’une directi Les objectifs de la Ména, vous le voyez bien, sont conséquents.

A la Ména, nous avons compris très tôt que seule une information professionnelle, faite par des professionnels du meilleur niveau, pouvait servir nos objectifs. Nous n'avons jamais non plus dissimulé la nature de nos finalités, elles consistent à exploiter au mieux notre connaissance du Moyen Orient, ainsi que le fait que nous en faisons partie de manière homogène, qu'il nous accueille, nous tarau

de et nous nourrit. La Ména, de son nom complet la Metula News Agency, est dirigée au plan rédactionnel depuis le village israélien de Métula qui lui donne son nom. Ce village est le plus septentrional de l'État d'Israël, il est en fait l'aboutissement géographique d'un isthme politique entre le Sud-Liban et la Syrie. D'où que nous regardions depuis les fenêtres de l'agence, nous ne distinguons que les maisons de ces États voisins, leurs montagnes et leurs neiges en hiver. Là ne s'arrête pas la particularité de la Ména pour autant, puisque nous sommes la seule agence de presse dont la direction rédactionnelle se situe en Israël, qui emploie en permanence des correspondants dans les pays et territoires arabes, que sont le Liban, la Jordanie et la Palestine. Notre correspondant principal au Liban, par exemple, Michaël Béhé, joue un rôle prépondérant dans la réinformation des Libanais de la diaspora, aussi bien que pour ceux qui subissent au pays la domination syro-iranienne, par Hezbollah interposé. Le chef de la Ména palestinienne, quant à lui, Sami El-Soudi, fait partie de la tendance Sari Nusseiba, qui prône une approche réaliste à la solution du conflit régional, qui soit basée sur la reconnaissance et le respect mutuel et qui prenne en compte les droits légitimes de son peuple. Sami, par son langage simple, par une honnêteté intellectuelle sans concessions, a trouvé le moyen d'accéder directement au cœur et à la réflexion de ses lecteurs par chacun de ses articles. La Ména est constituée d'une mosaïque d'analystes et de commentateurs, qui respirent l'air de tous les pays de la région et dont les idées vont de l'anarchisme déclaré d'Ilan Tsadik au néo-conservatisme pro américain d'un Guy Millière. Ce qui les a fait se rencontrer, c'est d'abord le grand talent d'hommes qui les anime mais surtout leur refus de la fatalité de la discorde entre des personnes appartenant à des cultures différentes. Aussi, au lieu de laisser leur conviction en jachère, ils ont décidé de servir cet espoir commun, en faisant se réunir leur expression professionnelle dans la même agence. A la Ména nous sommes en effet persuadés que la paix repose, entre autres choses, sur trois paramètres pratiques : La connaissance de la réalité de l'autre - qui est largement exposée dans les articles de l'agence. L'analyse rationnelle, à laquelle nous nous livrons quotidiennement afin d'éliminer du chemin de la compréhension l'écueil du manque de réalisme, et la réinformation. La réinformation est un terme que j'ai inventé, au détour d'une digression avec Sami El-Soudi, et qui signifie que nous nous attelons ici au rééquilibrage des informations erronées ou tronquées qui parviennent à l'étranger sur ce qui se passe chez nous. Nos journalistes s'employant à véhiculer les informations oubliées, tronquées, dénaturées, manquantes ou omises, qu'ils jugent nécessaires à la perception des bases et des péripéties de notre conflit. Tous, en effet, autant que nous sommes à la Ména, sommes persuadés de ce qu'aucune percée substantielle en direction la paix n'est possible, tant que les habitants de la région seront soumis à la propagande haineuse et tant que les citoyens des pays occidentaux, si nécessaires dans leur rôle de modérateurs, recevront une information fabriquée au fil des intérêts étroits de leurs gouvernants. Neuf ans d'une activité intensive, dans la poursuite de ces objectifs, ont déjà aménagé à la Ména une place réservée dans la culture médiatique francophone. Aujourd'hui, la lecture des analyses de notre agence est devenue un passage obligé pour des centaines de politiciens européens, ainsi que pour des milliers d'informateurs des media francophones, qu'ils collaborent au quotidien Le Monde ou au Figaro, à la Télévision Suisse Romande, à TF1 mais aussi aux radios périphériques et FM et aux magazines hebdomadaires. Plus d'un diplomate et d'un éditorialiste connus se sont retrouvés au centre de scandales qu'ils avaient suscités et que la Ména a découverts et démontrés. Ils s'appellent Jean Daniel, Charles Enderlin, Dominique Vidal, Bernard Pivot et de Villepin, entre autres, ceux dont les démarches publiques ont mérité les foudres redoutées de nos rédacteurs. Redoutées d'autant plus, que nos critiques et nos analyses se distinguent de la plupart des autres par leur exhaustivité et par leur précision, à tel point qu'en neuf ans d'existence, il n'est pas encore arrivé qu'aucun de nos détracteurs ne mette en doute l'exactitude de nos développements, soit encore la crédibilité de nos sources ! Leur réalisation demande une organisation sans failles et des moyens techniques, en plus de la bonne volonté et du talent de nos auteurs. C'est pour cela que les abonnés de la Ména sont invités à participer aux frais de l'agence, en s'acquittant d'un paiement mensuel raisonnable. Ceux qui connaissent l'agence auront compris que la masse du travail concédé nécessite des moyens et que la Ména n'a d'avenir, face des méga agences publiques comme l'AFP, que si elle continue à être gérée comme une entreprise commerciale. 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GRANDE OFFENSIVE DU GOUVERNEMENT ISRAÉLIEN CONTRE… L’ETAT D’ISRAËL Attention : à partir de maintenant, l’accès aux artic...
10/06/2025

GRANDE OFFENSIVE DU GOUVERNEMENT ISRAÉLIEN CONTRE… L’ETAT D’ISRAËL

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Par Stéphane Juffa

Dans l’Etat de droit, la gouvernance est régie par des lois dont la fonction est d’établir les limites et la surveillance du pouvoir gouvernemental.

Et également, de faire en sorte que les décisions et les légiférations à tous les niveaux de l’Etat suivent des procédures transparentes, assurant qu’elles s’inscrivent dans l’intérêt du public et qu’elles respectent un certain nombre de critères fondamentaux de la démocratie.

Les deux paragraphes très simples qui précèdent expliquent qu’un chef de l’exécutif, un gouvernement élu ou une majorité parlementaire ne se voient pas décerner le privilège de décider de tout et sur tout, mais qu’ils sont tenus d’agir en stricte conformité avec les lois et les règles.

Cela garantit, outre la bonne marche de l’Etat, que les décisions se prennent dans la légalité, dans le respect des minorités politiques, ethniques et religieuses, ainsi que dans celui des populations affaiblies, incapables de défendre efficacement leurs intérêts.

Il est clair que les lois dont il est question ici possèdent un effet limitatif sur la marge de manœuvre des décideurs, et c’est précisément le principe de l’Etat de droit, par opposition aux pouvoirs discrétionnaires dérobés par un individu.

Or, c’est la propension des dictateurs et des régimes totalitaires de s’affranchir de l’obligation d’agir dans le cadre de ces lois restrictives, notamment en les modifiant illégalement – sans passer par les procédures prévues pour modifier la constitution ou les lois fondamentales dans les régimes qui n’ont pas de constitution.

Le plus souvent, les autocrates justifient ce genre de mesures en arguant, pour ceux ont été élus, qu’ils représentent les choix du peuple, et que c’est le fait de s’opposer à leur volonté et aux changements arbitraires qu’ils imposent qui serait antidémocratique (opposés à la volonté du peuple).

Cela équivaut, dans le courant d’une partie de football, de décider, sans en référer aux instances qui régulent ce sport, qu’à partir de tout de suite, il sera permis aux joueurs de s’emparer du ballon avec les mains, et que l’une des équipes aura le droit d’évoluer avec deux joueurs de plus que l’autre.

Ca n’est plus du football. Et ces modifications, lorsqu’elles interviennent dans la direction d’un pays, sont toujours adoptées sans que celui qui les impose n’ait le droit de le faire, et dans le seul intérêt de son équipe ou de ses dirigeants.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01100625

Photo :

L’architecte de l’offensive contre la démocratie libérale israélienne, Yariv Lévine, le ministre de la Justice, et sa plus brillante adversaire, la Procureure Générale Gali Baharav Miara

LA NAUSÉEAttention : à partir de maintenant, l’accès aux articles complets de la Ména est réservé aux abonnés à jour de ...
07/06/2025

LA NAUSÉE

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Par Ilan Tsadik

On annonce pour mercredi prochain le vote de défiance proposé par les formations messianiques-edennistes : le parti du Judaïsme Unifié de la Torah (JUT), qui dispose de 7 sièges dans l’actuelle Knesset, et le Shas, le parti edenniste séfarade, qui en compte 11.

Il faut 61 voix pour faire adopter une loi, sur les 120 députés de la Knesset, et la majorité actuelle se monte à 68 députés.

Le vote prévu en première lecture concerne l’exigence de ces forces politiques de voir adopter par le parlement une loi d’exemption du service militaire pour les jeunes Juifs ultra-orthodoxes.

Actuellement, environ 80 000 hommes messianistes-edennistes âgés de 18 à 24 ans sont éligibles pour le service militaire et refusent de s’enrôler, alors que la plupart des réservistes ont effectué plus de 350 jours sous les drapeaux depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023 qui a déclenché la guerre à Gaza.

Et que 922 militaires ont été tués, dont de nombreux Israélites pratiquants, mais quasiment pas de membres des communautés messianiques-edennistes des cours hassidiques, du mouvement lithuanien et du Shas.

L'armée se déclare confrontée à une pénurie de militaires et affirme avoir actuellement besoin d’au moins 12 000 soldats supplémentaires, dont 7 000 combattants.

Nous observons que l’engagement de Netanyahu de faire passer cette loi envers ces formations date du pacte de coalition à la fin 2022, et qu’il a été suivi d’une multitude de promesses ultérieures non tenues.

Des efforts frénétiques sont déployés concurremment par Binyamin Netanyahu et ses partisans afin de sauver sa coalition, mais il est impossible de prédire s’ils suffiront à convaincre les messianiques-edennistes d’abandonner leur projet, voire de ne pas entériner la motion de défiance lors des lectures successives.

Ce que BN tente de faire consiste à persuader les rabbins de lui octroyer encore quelques semaines pour parvenir à un texte de consensus entre eux et le reste des parlementaires du Likoud, dont un grand nombre exige toujours que tous les citoyens israéliens effectuent leur devoir militaire, et que les déserteurs soient traduits en justice ; qu’ils soient privés de subsides et d’aides de la part de l’Etat.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01070625

Photo :

Quatre des huit soldats morts cette semaine pour occuper Gaza
Leurs visages hantent notre conscience

JOURNÉES CRITIQUES POUR LA BOMBE ATOMIQUE IRANIENNE ET, PARTANT, POUR LE DESTIN DU MONDEAttention : à partir de maintena...
02/06/2025

JOURNÉES CRITIQUES POUR LA BOMBE ATOMIQUE IRANIENNE ET, PARTANT, POUR LE DESTIN DU MONDE

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Par Jean Tsadik

LA THÉOCRATIE IRANIENNE VA REJETER L’OFFRE DE TRAITÉ DE WITKOFF

Un haut diplomate iranien, proche de l'équipe de négociation d’un accord avec les Etats-Unis sur le nucléaire de la Théocratie chiite, a déclaré à Reuters que son pays était en train de "rédiger une réponse négative à la proposition américaine, qui pourrait être interprétée comme un rejet de cette offre".

Il réagissait ainsi à la proposition de traité préparée par l'envoyé du Président Donald Trump au Moyen-Orient Steve Witkoff, qui a été remise à la junte cléricale iranienne samedi à Téhéran par le ministre des Affaires Etrangères d'Oman, Sayyid Badr Albusaidi, dont le pays sert de médiateur entre les deux protagonistes.

Le diplomate p***e, qui a refusé de révéler son identité, a expliqué que "dans cette proposition, la position américaine sur l'enrichissement sur le sol iranien reste inchangée, et il n'y a aucune explication claire concernant la levée des sanctions".

Il semble que le différend principal réside dans l’exigence de la Maison Blanche de voir l’Iran abandonner totalement l'enrichissement de l'uranium dans le cadre d’un accord, alors que le régime des ayatollahs exige de pouvoir maîtriser la technologie nucléaire à "des fins pacifiques".

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01020625

Photo :

Le président iranien Masoud Pezeshkian (2ème à droite avec les cheveux blancs) et le chef de l'Organisation Iranienne de l'Energie Atomique, Mohammad Eslami (tout à droite), lors de la "Journée nationale de la technologie nucléaire", à Téhéran, le 9 avril dernier [source : présidence iranienne]

ENTRE ISRAËL ET LA SYRIE IL EST DÉJÀ QUESTION DE NORMALISATIONAttention : à partir de maintenant, l’accès aux articles c...
30/05/2025

ENTRE ISRAËL ET LA SYRIE IL EST DÉJÀ QUESTION DE NORMALISATION

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Par Michaël Béhé

Il se passe quelque chose d’important pour la région au niveau stratégique, avec des discussions en tête-à-tête entre des officiels syriens et israéliens.

Selon des sources concordantes et crédibles, nous en sommes à la sixième réunion entre les parties ; celles-ci se déroulent alternativement dans les territoires contrôlés par les deux pays.

Damas est représentée par Ahmad al Dalati, le gouverneur de la province limitrophe de Quneitra sur le plateau du Golan, qui vient également d’être nommé responsable de la sécurité dans la province de Soueïda, à l’extrême sud de la Syrie, où vit la minorité druze.

Côté israélien, sur la base d’informations non vérifiables officiellement, la délégation aux discussions est composée d’un officier du Shin Bet (contre-espionnage) et d’un autre, du Mossad (espionnage).

Les meetings se déroulent selon nos informateurs dans une atmosphère détendue, presque cordiale.

Officiellement, ils sont consacrés à des sujets techniques, destinés à réduire le risque d’embrasement sur le plateau du Golan, notamment en réduisant les points de friction ainsi que l’effectif des troupes se faisant face.

Les envoyés de Jérusalem s’assurent en outre que les populations druze et chrétienne de la zone de Déraa-Soueïda, le long de la frontière jordanienne, ne sont pas menacées par les forces du régime intérimaire du Président Mohammad al Joulani, alias Ahmed al Shara.

En retour, Tsahal préserve ses miliciens appartenant à l’organisation islamique Hayat Tahrir al Sham [ara.: Organisation de Libération de la Syrie (ou du Levant, c’est le même mot), connus sous l’abréviation HTS.

Ces consultations ont été rendues possibles et même opportunes par plusieurs facteurs : au premier plan desquels on trouve les Emirats Arabes Unis, qui ont joué le rôle d’entremetteurs.

Ces échanges font également suite à des réunions intensives entre des officiels turcs et israéliens, elles-mêmes plébiscitées par l’administration Trump.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01300525

Photo :

Hier à Damas : Le ministre syrien des Affaires Etrangères Asaad Hassan al Shibani et l'envoyé américain pour la Syrie, Thomas Barrack, hissant le drapeau américain à la résidence de l'ambassadeur américain

IL EST À NOUVEAU QUESTION DE L’INCAPACITÉ DE GOUVERNER DE NETANYAHUAttention : à partir de maintenant, l’accès aux artic...
28/05/2025

IL EST À NOUVEAU QUESTION DE L’INCAPACITÉ DE GOUVERNER DE NETANYAHU

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Par Stéphane Juffa

Le torchon brûle déjà entre Binyamin Netanyahu et le Général Eyal Zamir, qu’il a nommé au poste de chef d’état-major de Tsahal pas plus t**d que le 6 mars dernier.

Eyal Zamir remplace le Général Herzi Halevi écarté par BN pour avoir refusé de soutenir la loi exemptant les edennistes de faire leur service militaire, et soutenu que la priorité nationale consistait en la libération négociée des otages détenus à Gaza.

Netanyahu pensait trouver en Zamir un chef d’état-major plus malléable que son prédécesseur, mais le nouveau venu partage le point de vue d’Halevi et de 80 pour cent de ses compatriotes sur la priorité absolue de libérer les otages par un accord.

Il est tout aussi ferme sur l’exigence d’enrôler tous les citoyens israéliens concernés par l’obligation légale de servir sous les drapeaux.

Depuis la semaine dernière, les relations se sont détériorées avec Netanyahu, lorsque ce dernier a nommé David Zini au poste de directeur du contre-espionnage israélien, l’avertissant brièvement cinq minutes avant l’annonce publique de cette promotion. Le commandant en chef de l’Armée ignorait même que ce dernier était pressenti pour cette fonction.

Or selon la loi israélienne, le chef d’état-major de Tsahal est le supérieur hiérarchique de tous les officiers et soldats en exercice, y compris naturellement David Zini, et aucun d’entre eux ne dispose du droit de s’entretenir avec un responsable politique sans avoir préalablement demandé et reçu l’autorisation du commandant en chef.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01280525

Photo :

Ronen Bar (g) et Eyal Zamir, le 13 courant, dirigeant une opération à Gaza. Le Shin Bet et Tsahal sont naturellement unis comme deux doigts d’une même main

NOMBREUSES FRAPPES DE TSAHAL SUR DES POSITIONS DU HEZBOLLAH AU LIBANAttention : à partir de maintenant, l’accès aux arti...
22/05/2025

NOMBREUSES FRAPPES DE TSAHAL SUR DES POSITIONS DU HEZBOLLAH AU LIBAN

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Depuis 20h00 ce jeudi soir et jusqu’à maintenant, les éclairs et les bruits des explosions se succèdent au Liban-Sud et ils sont visibles et audibles depuis notre rédaction de Métula.

Le Khe’l Avir, l’Aviation israélienne, frappe des positions du Hezbollah dans lesquelles la milice chiite au service de l’Iran tente de se réinstaller ces derniers jours.

Ainsi, à Toul [carte], un bâtiment situé au centre de la localité a été visé par un missile, donnant lieu à une série impressionnante de déflagrations secondaires.

Préalablement à cette attaque, le Colonel Avichay Adraee, le porte-parole de Tsahal en langue arabe, dont nous retranscrivons le message ci-dessous, avait averti les habitants de cette bourgade sur X.

Celui-ci a été suivi d’un tir de missile inoffensif que nous surnommons toc-toc, pour avertir que la frappe était imminente.

Grâce à ce type de précautions, on ne signale qu’une seule victime, un milicien du Hezbollah anéanti sur une route près du village de Markaba [carte], à 1.25 km à l’ouest de la frontière israélienne.

"Urgent avertissement aux habitants du village de Toul dans le sud du Liban, en particulier à toute personne se trouvant dans le bâtiment marqué en rouge [sur la carte jointe à l’avertissement. Ndlr.]", a écrit le porte-parole arabophone de l’Armée israélienne, le Colonel Avichay Adraee sur X. "Vous vous trouvez à proximité d'installations appartenant au Hezbollah terroriste. Pour votre sécurité et celle des membres de votre famille, vous êtes tenus d'évacuer immédiatement ces bâtiments et de vous en éloigner à une distance d'au moins 500 mètres".

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01220525

Photo :

Le poster géant de tout le commandement, militaire et politique, du Hezbollah éliminé par l’Armée israélienne, accroché à la façade d’une maison du Sud-Liban elle-même criblée de balles

LA BONNE NOUVELLE DU CONCOURS DE L’EUROVISION : LES EUROPÉENS NE SONT NI ANTISÉMITES NI NAÏFS Attention : à partir de ma...
19/05/2025

LA BONNE NOUVELLE DU CONCOURS DE L’EUROVISION : LES EUROPÉENS NE SONT NI ANTISÉMITES NI NAÏFS

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Par Ilan Tsadik

Yuval Raphael est une jeune femme exceptionnelle : le 7 octobre 2023, alors qu’elle participait à l’événement musical Nova avec des amis, des terroristes palestiniens du Hamas ont attaqué les festivaliers, tuant 370 personnes.

Quelques mois plus t**d, elle raconta devant le Conseil des droits de l'homme des Nations unies, comment elle avait survécu au massacre, se réfugiant avec d'autres festivaliers dans un abri-refuge contre les bombardements près du kibboutz Be'eri.

Blessée aux jambes par des éclats de grenades lancées par des terroristes islamiques dans le refuge, elle a survécu en se faisant passer pour morte suivant l’adjuration de son père joint par téléphone, et se dissimulant sous des cadavres pendant 8 heures.

Un peu plus d’un an et demi après ce traumatisme, Yuval obtenait la seconde place du concours Eurovision de la chanson à Bâle, à l’occasion du plus grand événement médiatique de la Planète réunissant au moins 250 millions de téléspectateurs et d’internautes.

C’est bien davantage que l’audience du Super Bowl, la finale du championnat de football américain de cette année, qui a atteint 183 millions de personnes.

La performance de l’artiste âgée de 24 ans est d’autant plus remarquable qu’elle n’était pas une chanteuse professionnelle, et que sa performance de samedi dernier devant les 6 500 spectateurs de l’arène Saint-Jacques à Bâle était pratiquement sa première apparition publique.

Ce, hormis le concours de qualification à la télévision israélienne, qui s’était déroulé devant un parterre sensiblement plus clairsemé.

Il faut ajouter à cet exploit l’hostilité extrême affichée par des militants propalestiniens et anti-israéliens. Plusieurs centaines d’entre eux se heurtaient à la police helvétique au cœur de la cité rhénane pendant que Yuval interprétait New Day Will Rise [ang.: un nouveau jour va se lever].

Un nouveau jour va se lever :
https://www.youtube.com/watch?v=_7zHp51j2WM

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01190525

Photo :

Chanter pour 250 millions de téléspectateurs

PENDANT QUE TRUMP REGARDE VERS L’AVENIR, NETANYAHU REGARDE VERS GAZAAttention : à partir de maintenant, l’accès aux arti...
17/05/2025

PENDANT QUE TRUMP REGARDE VERS L’AVENIR, NETANYAHU REGARDE VERS GAZA

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Par Stéphane Juffa

Voici les faits saillants de la visite de trois jours au Moyen-Orient du Président Trump :

Pour les Saoudiens, le droit d’enrichir de l’uranium chez eux et des contrats pour six cents milliards de dollars [soit deux fois les recettes nettes du budget général de la France en 2025. Ndlr.], dont cent trente-cinq milliards pour des achats d’armes et de technologie [soit le déficit budgétaire annuel de la France. Ndlr.], et aucune obligation de normaliser leurs relations avec Israël.

Avec les Qataris, les banquiers du Hamas, et les Emirats Arabes Unis, il a enregistré des engagements d’achats pour près de quatre mille milliards de dollars.

Il a concédé l’annulation de toutes les sanctions contre la Syrie de Mohammad el Joulani et a réservé une rencontre cordiale à cet ancien terroriste djihadiste, sans aucun engagement formel de sa part d’épargner les minorités druze, chrétienne, kurde et alaouite.

A Erdogan, la vente de chasseurs-bombardiers F-35, en dépit de ses attaques racistes et de ses menaces bellicistes redondantes contre Chypre, Israël et la Grèce.

Des discussions directes des représentants de l’administration Trump avec ceux de l’organisation terroriste islamique palestinienne du Hamas.

La conclusion d’un cessez-le-feu permanent séparé avec les terroristes Houthis, ayant conduit à une cessation des attaques américaines contre la partie du Yémen qu’ils contrôlent, et à l’arrêt des agressions des Houthis contre les navires U.S. croisant en mer Rouge.

Et des négociations avancées avec la Théocratie persane en vue d’aboutir à un traité sur les activités nucléaires de ce régime dictatorial et clérical.

Trump a non seulement rappelé à ceux qui avaient tendance à l’oublier, qu’il est l’homme le plus puissant de la Planète, à la tête de la nation la plus puissante, mais il a également assuré du travail pour des millions de ses compatriotes durant la décennie à venir.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01170525

Photo :

The King : il a fait son boulot de président des USA. En ne pensant qu’aux USA

IDAN ALEXANDER : BIEN DAVANTAGE QUE LA LIBÉRATION D’UN SEUL OTAGEAttention : à partir de maintenant, l’accès aux article...
12/05/2025

IDAN ALEXANDER : BIEN DAVANTAGE QUE LA LIBÉRATION D’UN SEUL OTAGE

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Par Ilan Tsadik

Idan Alexander, l’ex-otage désormais libéré ce lundi soir, est actuellement en vol à bord d’un hélicoptère, de la base avancée de Tsahal à Re’em en direction de l’hôpital Ichilov au cœur de Tel-Aviv après 584 jours de captivité dans les tunnels du Hamas.

La confusion autour du prénom de ce soldat de la division Golani illustre parfaitement les tensions qui règnent autour de cette libération : comme mentionné dans le paragraphe précédent, son prénom est Idan - I-dann -, un nom israélien très répandu.

Dans ces conditions, pourquoi la plupart des media non israéliens l’écrivent Edan ?

Parce qu’Edan est l’orthographe américaine, le e se prononçant i en anglais. Dans cette langue, Idan se prononce Eydan.

Cette erreur démontre à quel point la libération du soldat est une affaire conclue directement entre l’administration Trump et la milice terroriste islamique palestinienne Hamas sans aucune participation du gouvernement israélien.

A son insu devrions-nous dire, puisque dimanche, Netanyahu ignorait qu’Idan Alexander allait être relâché, y compris, par conséquent, où et quand.

Quand Netanyahu a envoyé Ron Dermer, le ministre aux Affaires Stratégiques (un intitulé pompeux pour un tout petit ministère) et son homme de confiance, sur les rives du Potomac la semaine dernière, et qu’il a été reçu par Donald Trump, les Américains ne lui ont pas parlé de la négociation en cours avec le Hamas.

A tel point que l’Armée israélienne ne savait pas, ce matin encore, à quel endroit du territoire de Gaza elle devait se préparer à recevoir Alexander des mains de la Croix Rouge. Elle n’en fut avertie que dans le courant de la journée, ne bénéficiant que de quelques heures pour mettre sur pied une opération réclamant une importante logistique ainsi que des dizaines de dispositions sécuritaires.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01120525

Photo :

Alexander, au moment de son transfert du Hamas à la Croix Rouge

ISRAËL DISCUTE AVEC LE LIBAN ET LA SYRIE AU NORD ET VA DEVOIR PRENDRE UNE DÉCISION AU SUJET DE L’IRAN SANS SE SYNCHRONIS...
09/05/2025

ISRAËL DISCUTE AVEC LE LIBAN ET LA SYRIE AU NORD ET VA DEVOIR PRENDRE UNE DÉCISION AU SUJET DE L’IRAN SANS SE SYNCHRONISER AVEC DONALD TRUMP

Vendredi, 07h20 à Métula, 06h20 à Sault dans le Vaucluse

L’intervention de Stéphane Juffa au micro d’Ilana Ferhadian dans le Journal matinal de Radio J et pour Ména TV.

Au sommaire de l’interview :

Israël nettoie en profondeur les positions abandonnées du Hezb au Liban, sans doute en coordination avec l’Armée du pays aux cèdres.

Jérusalem discute également avec Mohammed al Joulani, le président syrien par intérim. Joulani manque de combattants pour contrôler la Syrie, il n’en a que 30 000 et tous ne sont pas fiables ; il est donc très intéressé par un large accord avec Israël, déjà pour stabiliser la situation au sud de son pays. Et ne pas se laisser enfermer dans son isolement comme ce fut le cas pour Bashar al Assad, avec les conséquences que l’on sait.

Echange de menaces entre les dirigeants israéliens et iraniens, mais à quelques semaines de la bombe atomique persane, le temps n’est plus aux palabres. Israël doit décider de ce qu’elle va faire – elle est directement menacée et l’Europe également -. La décision est rendue très complexe par le choix de Trump de conclure dès la semaine prochaine une paix séparée avec Téhéran et un accord avec Riad duquel nous serons exclus.

© Metula News Agency et Radio J

Analyse radiophonique du vendredi 9 mai.

Cliquer ici pour accéder à l’émission :
https://youtu.be/-wZHQLBCeJs

Ilana Ferhadian et Stéphane Juffa

Stéphane Juffa au micro d'Ilana Ferhadian

LE KHE’L AVIR A FRAPPÉ DES POSITIONS ILLICITES DU HEZBOLLAH SOUS LES FENÊTRES DE NOTRE RÉDACTIONAttention : à partir de ...
08/05/2025

LE KHE’L AVIR A FRAPPÉ DES POSITIONS ILLICITES DU HEZBOLLAH SOUS LES FENÊTRES DE NOTRE RÉDACTION

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Ce jeudi matin à 11h30, nous avons été aux premières loges, pour assister depuis notre rédaction principale de Métula au bombardement par l’Armée israélienne de plusieurs sites du Hezbollah au Sud-Liban, à partir desquels il "gérait ses dispositifs de tir et de défense", selon le communiqué de Tsahal.

Nous avons identifié deux groupes d’objectifs, le premier, distant de 5.5 kms de notre village de Métula, le point le plus proche en territoire israélien, le second, à 11 kms environ, les deux par le nord-ouest.

Tous deux sont situés sur des reliefs, entre des altitudes allant de 500 à 1 000 mètres et se trouvant à proximité immédiate de la forteresse de Beaufort [Qala'at ash-Shqif, en arabe], un château fort du Moyen-Orient, reconstruit au XIIIème siècle et appelé "Beau fort" par les croisés et Belfort par certains géographes.

Les deux sites, qui, selon le porte-parole de l’Armée, abritaient des tunnels et des dépôts d’armes de la milice terroriste chiite, ont été oblitérés par notre aviation dans un immense feu d’artifice.

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01080525

Photo :

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© Metula News Agency

ISRAËL BOMBARDE L’AÉROPORT DE SANAA PENDANT QUE TRUMP CONCLUT UNE PAIX SÉPARÉE AVEC LES HOUTHISAttention : à partir de m...
06/05/2025

ISRAËL BOMBARDE L’AÉROPORT DE SANAA PENDANT QUE TRUMP CONCLUT UNE PAIX SÉPARÉE AVEC LES HOUTHIS

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Le Khe’l Avir - l’Armée de l’air israélienne - a mis l'aéroport de Sanaa, contrôlé par les Houthis, hors d’état de fonctionner à l’occasion d’un raid aérien massif sur la capitale yéménite, ce mardi en milieu d’après-midi.

Dans un communiqué, Tsahal a indiqué que "ces frappes sont intervenues pour le deuxième jour consécutif en réponse aux attaques répétées de missiles et de drones contre Israël par la milice houthie, soutenue par l'Iran, dont un missile a explosé dans l'enceinte de l'aéroport Ben Gourion dimanche".

Une trentaine de chasseurs-bombardiers, selon nos estimations, sans compter les avions avitailleurs, ceux assurant la suprématie aérienne et les appareils d’observation, ont participé à l’opération, larguant une cinquantaine de projectiles sur leurs objectifs.

Des centrales électriques de première importance, une cimenterie et des cibles stratégiques ont également été visées et oblitérées durant l’attaque.

Selon les autorités locales, quatre personnes ont par ailleurs péri lors des bombardements.

Le porte-parole de l’Armée a également déclaré que "l'aéroport était utilisé par les Houthis pour transférer des armes et des agents, et qu'il était régulièrement exploité par le régime houthi à des fins terroristes".

Lire l’article : https://menapress.org/articles/01070525

Photo :

Tsahal a eu la main lourde cet après-midi au Yémen

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