02/03/2024
La situation socio-économique de notre mère l’Afrique n’est vraiment plus à démontrer, mais plutòt à déplorer. La pauvre et la misère se lisent dans les tous les coins et recoins des espaces ruraux et urbains. Les populations se battent comme elles peuvent pour sortir le nez de l’eau, face au regard que je ne réussis pas à qualifier des pouvoirs publics. Comment comprendre qu’un continent avec tant de richesse reste le plus enclavé du monde ? comment comprendre qu’après plus de 60 ans d’Independence on dépend toujours autant de l’extérieur. Et ceci en tout : tout se passe comme ci on copie seulement les tendances, lorsque les autres parle d’Agriculture durable, nous aussi on en parle alors que même l’Agriculture de subsistance reste un vaste chantier, et semble ne pas être un chantier de l’heure mais d’avenir. Lorsque les autres parlent de digitalisation, on en parle aussi alors que nos systèmes de gestion et base de données de nos états civils restent détenu par les étrangers, genre nous sommes incapable de développer nous-même nos propres systèmes informatiques ; quand les autres parlent des autoroutes, nous on se vente des pistes goudronnées qu’on appelle affectueusement nationale numéro X. bref tous les secteurs d’activité économique sont concernés par ce fléau. Le sociale aussi, l’assistance sociale existe que nom, malgré la fonction ministériel associée à ce t’autre chantier de notre développement. Des politiques publiques qui ne répondent pas aux problématiques quotidiennes des populations, on a l’impression qu’elles sont pensées par des gens qui ne sont pas au courant des réalités qu’ils tentent de trouver des solutions, quand bien même elles semblent locales ces politiques finissent par se confondre à de l’improvisation. Comme quelqu’un, voyant qu’il est sur le point de mourir se rend compte de n’avoir pas fait quelque chose, improvise du mieux qu’il peut pour la faire ; dans ces cas le plus important c’est qu’on reconnaisse qu’il a quand même fait même ci la médiocrité dont qu’il fait montre fini par devenir un autre problème à résoudre plus t**d. Comme créer une institution qui n’a ni infrastructure, ni un plan d’action bien pensé, à la fin elle devient un gouffre financer pour le contribuable.
A cette stagnation on a un ou plusieurs alibis : c’est le colonialisme, non mieux le néocolonialisme ; non disons simplement la main mise des ex pouvoir coloniaux dans nos économies, moi je vois plutôt avec Kako Nukbupo que c’est de la servitude volontaire.
O mon dieu ! comment les gens peuvent autant aimer le sommeil ? Nous sommes dans un sommeil intellectuel. N’est-il toujours pas l’heure de se réveiller ? pendant combien de temps encore resterons nous endormi ?