
01/06/2025
Voici 10 bonnes raisons pour ne pas élire un nonagénaire de 94 ans à la tête d’un État :
1. **Capacité cognitive affaiblie** : À cet âge, les fonctions cognitives déclinent naturellement, ce qui peut affecter la prise de décision et la lucidité.
2. **Santé fragile** : Un président doit être en mesure de supporter un rythme extrêmement exigeant. À 94 ans, les risques de problèmes médicaux graves sont élevés.
3. **Déconnexion générationnelle** : Un dirigeant aussi âgé peut avoir du mal à comprendre et à répondre aux préoccupations des jeunes générations (emploi, technologie, environnement, etc.).
4. **Résistance au changement** : Les personnes très âgées peuvent être plus réticentes aux réformes innovantes, par attachement aux anciens modèles.
5. **Durée de mandat incertaine** : À cet âge, l’espérance de vie est limitée, ce qui pose un problème de stabilité politique et de continuité gouvernementale.
6. **Fatigue accrue** : Même avec une santé relativement bonne, l’énergie nécessaire pour gouverner un pays est difficile à maintenir à 94 ans.
7. **Dépendance accrue à l’entourage** : Le risque d’être influencé par des conseillers ou des proches est plus grand, ce qui peut affaiblir l’autorité présidentielle.
8. **Image internationale** : Un chef d’État très âgé peut donner une impression de faiblesse ou de sclérose aux autres dirigeants mondiaux.
9. **Manque de réactivité en cas de crise** : En situation d’urgence nationale (conflit, catastrophe, crise économique), une grande vigueur physique et mentale est indispensable.
10. **Symbolique du renouveau** : Un pays a besoin d’une vision tournée vers l’avenir, et un dirigeant nonagénaire peut incarner malgré lui un certain immobilisme.
Ces arguments ne visent pas à discriminer sur l’âge, mais à souligner l’importance d’une condition physique et mentale optimale pour exercer une fonction aussi exigeante que la présidence d’un État.