16/07/2025
Twamaya Infos : "DROIT DE RÉPONSE DE SHÉMIR KAMOULA À JÉRÔME LESAFFRE, PRÉSIDENT DU GROUPE COFIPRI ET ACTIONNAIRE ÉGALEMENT DE MORONI TERMINAL AGL.
JÉRÔME LESAFFRE PORTE ATTEINTE À L’HONNEUR DE LA JUSTICE COMORIENNE EN TENANT DES PROPOS DE DÉNIGREMENT PARTICULIÈREMENT GRAVES À SON ENCONTRE.
Le communiqué publié par Maître Gérald Pandelon a pour but de défendre la réputation de M. Shémir Kamoula, actuellement visé par des accusations publiques de M. Jérôme Lesaffre actionnaire de moroni terminal AGL
et de son groupe COFIPRI.
L’avocat affirme que ces accusations sont infondées. Il précise que :
M. Kamoula a payé ses dettes seul, alors que, normalement, ses associés dans la société NICOM auraient dû partager cette responsabilité, selon le droit OHADA.
Il a toujours défendu ses droits de façon légale et légitime devant la justice.
Il a remporté plusieurs procès, y compris en matière pénale, ce qui prouve qu’il ne fuit pas ses obligations judiciaires.
Il n’a jamais été condamné pour escroquerie ou pour un quelconque acte délictueux.
Concernant les procès en cours, Maître Pandelon précise que :
Aucune décision définitive ou irrévocable n’a pour l’instant donné totalement raison au groupe COFIPRI contre M. Kamoula.
Plusieurs affaires judiciaires restent ouvertes dans différents pays : Luxembourg, Mayotte, Comores, Dubaï.
Particulièrement à Dubaï, M. Lesaffre aurait tenté, selon Maître Pandelon, de faire exécuter un jugement déjà réglé en France, pour obtenir un double paiement sur une dette déjà éteinte. Le tribunal de Dubaï, le 11 mars 2025, a rejeté cette manœuvre en la qualifiant de tentative de fraude procédurale proche d’une escroquerie.
Enfin, Maître Pandelon met en garde : si des informations mensongères continuent à être diffusées publiquement contre son client, des poursuites judiciaires pourront être engagées, notamment pour diffamation, dénonciation calomnieuse et atteinte à l’image ou au crédit commercial.
Le communiqué conclut en demandant que la justice puisse travailler dans la sérénité et sans pression médiatique pour trancher ces différends."
Infos, le 16 juillet 2025, depuis les Comores