Pejin'i Mi

Pejin'i Mi Gagner du temps. LA MEILLEURE FAÇON d’apporter ma contribution au développement de votre entreprise c’est l’ORGANISATION.

Plus précisément, il s’agit des process que j’ai mis en place (que j’ai fait valider par le directeur, évidemment) pour le traitement de la plupart des tâches : de la création d’un compte/dossier client au suivi/relance de facturation.

02/12/2025

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🤔 Au début, on ne sait pas quoi faire de "CE CALME-là". 🙆‍♀️
Un calme qui n'écrase pas, qui ne nous surveille pas, qui accueille tout simplement... Et on se dit que c'est déjà trop pour un corps qui a passé sa vie en alerte. 🔔
On cherche les failles, les signes, les raisons de fuir, par habitude, par peur ou par réflexe, mais rien ne vient. 👣

On ne sait pas comment réagir face à ceux qui ne nous forcent pas à nous défendre, à deviner leurs mots et leurs pensées, à ne pas nous excuser d'exister. 🤔 Et sans se rendre compte, on se surprend à respirer sans attendre "l'impact".

Alors, on comprend qu'un amour sain ne cherche pas toujours à nous couper le souffle, mais nous rappeler de respirer. Et pourtant, on doute parce que ça ne fait pas mal. On se surprend à chercher la tempête, à attendre le frisson du manque. 😏Comme si l'amour devait faire peur pour être vrai. 🧐

🙄 Et je crois qu'il faut du temps pour enfin croire qu'on mérite ce qui ne blesse pas. On se rend compte que ce n'est pas de l'amour dont on a peur, mais c'est de ne pas en être digne. Comme s'il était trop bien pour nous... 👑

Peut-être parce que quand on était enfant, on n'a jamais vraiment appris comment faire... Ou peut-être parce qu'à force de ne pas s'être choisi.e, on finit par croire qu'on ne méritait pas.
Mais ce qu'il est sûr c'est qu'il est difficile de reconnaître quelque chose dont on n'a pas pris l'habitude. 🖤

01/12/2025

Toi seule sais…

Tes batailles muettes de chaque jour, tes larmes versées en secret avant de sourire comme si de rien n’était.

Toi seule sais la fatigue qui marque ton regard, et pourquoi tu dois sans cesse expliquer l’évidence.

Toi seule connais tes véritables frontières, celles qu’il ne faut jamais franchir.

Tu te connais, et c’est déjà un merveilleux commencement.

26/11/2025

Je suis fatiguée au point que le mot exaspérée ressemble à une plume posée sur un cœur déjà trop lourd. Les choix que j’ai faits pèsent comme un sac de pierres sur mes épaules frêles, et chaque pas me rappelle que je n’ai peut-être pas choisi le bon compagnon pour traverser ce chemin.

Ma charge mentale s’est doublée, étouffée, bien plus pesante que lorsque j’avançais seule ou entourée de ceux qui savaient, un minimum, tendre la main. Aujourd’hui, je ne vois plus vraiment ce qui me retient dans ce "couple", si ce n’est l’amour infini que je porte à ma fille.

Chaque jour, je comprends mieux ces femmes qui préfèrent la solitude à l’écho vide d’une relation à sens unique. L’amour, le vrai, c’est censé être un souffle qui réchauffe même au cœur des tempêtes ; un geste tendre qui dit je suis là, quand les mots ne savent plus quoi faire.

Mais chez moi, ce souffle s’est éteint. Je reçois plus d’attention d’une silhouette presque inconnue que de celui avec qui je partage ma vie. Et c’est peut-être cela, le plus grand chagrin : sentir son cœur battre plus fort en dehors de son propre foyer.

23/11/2025

Parfois, ce n’est pas le décor qui cloche.
C’est juste que, sur ce chemin qu’on croyait partagé, on découvre peu à peu que l’âme qui marche à nos côtés n’était peut-être pas faite pour avancer avec la nôtre.

Alors on plie, on s’étire, on se tord pour préserver l’illusion, on s’accroche parce qu’on nous répète que l’amour demande d’avaler ce qu’on ne digère pas, de fournir des efforts que l’autre n’aurait jamais faits pour nous.

Et un jour, la vérité se pose : ce n’est pas le monde autour de nous qui vacille, c’est simplement que ce voyage là n’était pas le bon compagnon, pas la bonne route, pas la bonne manière d’aimer.

Je n’ai rien contre les posts "motivants" ou les ondes positives qu’on aime partager sur les réseaux.Mais entre nous… ce...
02/11/2025

Je n’ai rien contre les posts "motivants" ou les ondes positives qu’on aime partager sur les réseaux.
Mais entre nous… ce que je n’aime pas, c’est quand on fait croire que tout est toujours parfait. 🙄

Quand on oublie de parler des galères, des moments de doute, de fatigue, ou de découragement : ceux qui, pour moi, font pourtant partie du chemin. 🥱

Quand on poste seulement quand tout va bien, comme si c’était interdit de dire que parfois, ça ne va pas. 😏

Mon problème avec les contenus “100 % positifs”, c’est qu’ils finissent par créer l’effet inverse de ce qu’ils recherchent.
Parce qu’être adulte, c’est pas toujours être au top.😒
Parce qu’être parent, c’est parfois avoir besoin de silence, de pause, ou simplement d’un café qu’on boit chaud, sans culpabilité ! 🙄

Et j’aimerais dire à tous ceux qui se sentent “moins” à cause de ça :

C’est ok de ne pas se lever tôt tous les jours.
C’est ok de ne pas toujours avoir l’énergie de tout faire.
C’est ok de faire une pause, de laisser pour demain, et de juste respirer.

L’essentiel, c’est d’essayer (encore et toujours) de faire et d’être un peu mieux. 🫵👌

29/10/2025

PARDON.
Un mot si court, et pourtant si lourd à porter.

Pardon pour ce départ sans bruit, sans un regard en arrière, sans même un semblant d’au revoir.
Je n’ai pas su trouver les mots, ni le courage d’expliquer pourquoi je partais.

Pardon d’avoir voulu recoller les morceaux d’une histoire qui n’existait peut-être que dans ma tête.
D’avoir cru qu’à force d’y croire, quelque chose renaîtrait.

Pardon d’avoir lâché cette main qui m’a offert un peu de douceur, à l’un des moments les plus fragiles de ma vie.
Tu as été une accalmie dans ma tempête, et pourtant, j’ai tourné le dos.

Pardon de ne pas avoir su ce que je voulais avec toi.
D’avoir navigué entre le manque et la peur, entre le besoin d’aimer et celui de me retrouver.

Pardon pour mes silences, mes absences, mes contradictions.
Elles n’étaient pas du mépris, mais la maladresse d’une âme en reconstruction.

Aujourd’hui, j’apprends à devenir.
À me détacher sans fuir, à aimer sans me perdre.
À être une version de moi plus vraie, plus consciente… peut-être plus loyale.

07/10/2025

Je me blinde contre ces jardiniers de l'âme qui me pointent du doigt, jugeant ma clôture trop haute, alors que leur moralité n'est qu'un miroir déformé de leurs propres peurs.

Face à leur sermon, je cultive mon propre sol : mon égoïsme est le puits dont je tire l'eau pour n'abreuver que mon cercle et ma propre floraison.

Je rejette ces sacs de pierres que l'on tente de me faire porter : le poids de leurs vies inaccomplies, l'ombre de tous les "non" qu'ils n'ont pas eu le courage de prononcer ailleurs.

Ils veulent faire de moi le pilier de leurs échecs, mais je refuse d'être leur bouc émissaire.

Et, par-dessus tout, j'exècre ces moissonneurs d'amertume : ceux à qui j'ai ouvert les portes de ma maison intérieure, révélant mes faiblesses, et qui ont allumé une fête cynique sur les ruines de mon malheur.

Ils ont vu mes blessures comme un motif de joie, et leur trahison brûle comme une cicatrice visible.

28/08/2025

Tu ne sauras de moi
que ce que j’aurai choisi de laisser couler,
comme une eau discrète entre deux pierres.

En quelques instants, le monde peut basculer,
tout comme une vie entière peut s’étirer
sans qu’il ne se passe rien.

Oui, j’avoue, tu as raison :
il y a un peu de malice en moi.
Je le confirme pourtant :
ma porte reste entrouverte,
et mes bras accueillent sans réserve
le peu qu’on m’offre,
tant qu’il m’est donné sans détour.

Je garde mon souffle
dans cette fugue encombrée de « je dois ».
Ni toi ni moi ne changerons d’un seul réveil.
Alors, chacun avance, pas à pas,
avec ses efforts minuscules.

Moi, j’apprends à réduire mes « oui » :
une balade devient un simple salut,
un sourire suffit à répondre à un compliment.

Et si demain s’écrit pour nous
sous la forme d’un adieu,
d’un « il n’y a plus rien à faire »,
alors je saurai que je n’ai pas fermé de portes en vain

28/08/2025

Pour la millième aube,
nous rallumons une chandelle déjà consumée,
espérant qu’elle éclaire plus loin que ses propres cendres. 🕎

Nos promesses sont des pierres
jetées dans un puits sans fond :
elles résonnent longtemps,
mais ne touchent jamais le sol. 🫨

Tes mots sont des labyrinthes,
tes silences, des orages,
et j’apprends à déchiffrer
dans tes éclats de voix
un fragile « je tiens à toi »
que tu ne confesseras jamais. 🤐

Moi, je tends des ponts
au-dessus de ravins invisibles,
mais je rêve d’un jour
où tu viendras sans que je t’appelle,
où l’élan naîtra de toi
et non de ma main tendue.🫴🫳

Peut-être m’aimes-tu comme une forteresse :
murée, fière, sans fissure,
alors que je t’aime comme une flamme,
instable, brûlante, insatiable. 🪨🔥

Nous sommes l’eau et le feu,
condamnés à nous détruire ou à nous étouffer,
jamais sûrs de savoir
si nos contraires nous complètent
ou nous consument.♨️💦

Et tandis que tu bâtis des murs de promesses,
ailleurs la douceur m’appelle
comme un vent tiède au cœur de l’hiver.
Mais franchir ce seuil serait briser le sort,
ouvrir la porte à l’irréversible. 🚫

Alors j’attends, encore,
au bord de cette falaise,
les yeux rivés sur une mer agitée
où chaque accalmie n’est qu’un mirage
avant le retour des vagues anciennes.🌊

Pejin'i Mi ©️

18/08/2025

À mesure que les saisons m’alourdissent de leurs années 🍂⏳
je comprends mieux les âmes glacées ❄️,
celles qui se drapent d’une armure de givre 🛡️
pour ne pas saigner sous les griffes du monde 🐺.

Je préfère qu’on me nomme amère 🍋,
plutôt que de sourire aux loups déguisés en agneaux 🐑🐺.
Car la lumière d’un cœur pur ✨❤️ attire toujours
ceux qui veulent s’y réchauffer sans jamais donner de flamme 🔥.

Alors parfois, je me surprends à endosser le rôle de l’âpre 🪨,
à jouer la pierre rugueuse pour qu’on n’oublie pas ma solidité 💪.
Comme si, pour être respectée 🙇‍♀️,
il fallait revêtir le masque de la « mauvaise » 🎭
et gronder 🌩️ plutôt que tendre la main 🤲.

Le monde a ses lois cruelles 🌍⚖️ :
certains réclament des couronnes 👑 sans jamais se courber,
exigent l’honneur qu’ils refusent d’offrir 🚫,
tendent la paume ✋ pour mieux te dérober le bras entier 💔.

Mais moi, je le répète, encore et encore 🔁 :
nul ne devrait mendier un respect 🙏
qu’il n’a jamais semé dans le champ des autres 🌱.

La vie, en vérité, n’est pas si obscure 🌌 —
ce sont les hommes qui tordent ses lignes 🌀,
feignant l’ignorance 😶‍🌫️
là où seul leur confort les guide 🛋️.

16/08/2025

J’ai laissé mon histoire courir comme une phrase interminable, là où il aurait fallu poser un point final. ✒️

J’ai enchaîné des virgules, traînant des pensées sans souffle, quand une phrase brève et lumineuse aurait suffi à dire ma vérité. 🗣️

J’ai mis des guillemets autour de mes espoirs, comme si j’avais besoin d’un mode d’emploi pour comprendre ce qui, au fond, était limpide. 💭

Alors, aujourd’hui, j’ouvre une parenthèse — discrète, fragile, mais mienne. Une parenthèse dans ce livre de silence et d’indifférence. Je la fermerai un jour… ou peut-être jamais. ( ) 🫧💬

Comment ai-je pu croire que ce que je cherchais n’existait pas ? 🤔

Comment ai-je pu avaler l’idée que l’amour n’est qu’un mythe, un conte de fée réservé aux pages des livres ? 📚✨

Comment ai-je pu me contenter de ramasser des miettes au sol, quand je savais que celui qui les laissait tomber avait, entre ses mains, la capacité de pétrir le pain entier ? 🍞

Je refuse que ma vie s’achève sur un goût d’inachevé. 🤗
Je refuse de me dire, au dernier souffle, que ce bonheur n’était pas pour moi. 🍀
Non, je veux y goûter, pleinement, intensément, avant que l’encre de mon histoire ne sèche pour de bon. 🕊️

14/08/2025

Je préfère être ce rocher abrupt qu’on accuse d’être froid, plutôt que de laisser la moindre fissure où s’infiltreraient les marées pour m’éroder.

Dans cette mer où la douceur est souvent prise pour de la faiblesse, je choisis d’être la tempête dans leur récit.

Je préfère naviguer le gouvernail en main, alignée avec mon cap, mon âme et ma boussole intérieure, quitte à lever un drapeau rouge sans explications, plutôt que d’agiter un drapeau blanc en murmurant ma colère dans le vent.

Je n’aime pas cette façon qu’ont certains navigateurs de croire que je flotte au hasard, dès que je laisse entrevoir un peu de ma houle paisible.

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