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14/08/2025
Snap'Tsaky - toerana finanana tsakitsaky eo Mahamasina akaiky Bazar du Quartier. Mandalova fa tsy Dia ratsy lay concept....
12/08/2025

Snap'Tsaky - toerana finanana tsakitsaky eo Mahamasina akaiky Bazar du Quartier. Mandalova fa tsy Dia ratsy lay concept. Snap'Tsaky

"RH 2.0"Pendant longtemps, la réponse était "au fond du couloir, à côté de la compta". Un service de support, utile mais...
11/08/2025

"RH 2.0"
Pendant longtemps, la réponse était "au fond du couloir, à côté de la compta". Un service de support, utile mais loin du cœur du réacteur.
Cette image est aujourd'hui le symptôme d'une entreprise qui risque de passer à côté de l'essentiel : son capital humain.
Parce que le vrai sujet n'est plus de "gérer" le personnel, mais de le transformer en levier de performance. C'est le rôle du HR Business Partner (HRBP).
Le HRBP, c'est celui ou celle qui a fait sortir les RH du bureau administratif pour les asseoir à la table des décisions stratégiques.
✅ Il parle "résultats" avec la direction financière.
✅ Il coache les managers pour décupler l'engagement de leurs équipes.
✅ Il conseille sur l'organisation à mettre en place pour atteindre les objectifs de demain.
Arrêtons de voir la fonction RH comme une simple obligation légale et administrative.
Commençons à la considérer pour ce qu'elle doit être : un des piliers de la réussite de l'entreprise.
Nous ne voulons plus seulement des experts en droit du travail.
Nous voulons des partenaires business, capables de connecter la stratégie humaine à la stratégie financière.
Le/la HRBP qui a changé votre vision de la fonction RH, c'est qui ? Taguez-le/la en commentaire !
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🔍 COMESA, SADC : Ces marchés régionaux que les entreprises malgaches ignorent (à tort)Madagascar fait partie de deux gra...
11/08/2025

🔍 COMESA, SADC : Ces marchés régionaux que les entreprises malgaches ignorent (à tort)

Madagascar fait partie de deux grands blocs économiques africains, le COMESA et la SADC, qui offrent un accès à des centaines de millions de consommateurs avec des avantages douaniers et logistiques. Pourtant, les entreprises locales restent peu présentes sur ces marchés par méconnaissance et manque de préparation. Il est temps de saisir ces opportunités pour une croissance plus inclusive et tournée vers l’Afrique !

1. Introduction Dans un monde où la mondialisation s'accompagne de blocs économiques de plus en plus influents, Madagascar semble parfois naviguer à contre-courant.

🇲🇬 On a voulu écrire un article, et puis on a changé d'avis...Pour les 65 ans de l'indépendance de Madagascar, notre pre...
25/06/2025

🇲🇬 On a voulu écrire un article, et puis on a changé d'avis...

Pour les 65 ans de l'indépendance de Madagascar, notre premier réflexe chez Ekonomika a été d'écrire une analyse économique.

Faire le bilan, voir où nous en sommes... ce que vous savez déjà. 📊

Mais nous nous sommes arrêtés.
Et si, pour une fois, on ne se concentrait pas sur les difficultés ? Et si on se rappelait qu'il y a eu de bons souvenirs, et surtout, qu'il y a un avenir à construire ?

Alors voilà ce qu'on a vraiment envie de vous dire aujourd'hui :
L'indépendance n'est pas qu'un souvenir, c'est une histoire à écrire. Le chemin est encore long, mais rien n'est une fatalité.

L'enjeu est de transformer cette commémoration en un symbole puissant : celui d'un pays debout, maître de son destin, où chaque citoyen vit l'indépendance au quotidien.

L'avenir de Madagascar est à inventer. Et c'est à nous tous, ensemble, de prendre la plume. ✍️

Joyeuse fête du 26 juin ! Unissons nos forces pour l'avenir. ❤️🤍💚

Et si Madagascar devenait un havre de paix dans un monde en crise ?Juin 2025. Le monde retient son souffle. Les écrans d...
21/06/2025

Et si Madagascar devenait un havre de paix dans un monde en crise ?
Juin 2025. Le monde retient son souffle. Les écrans d'information crépitent, déversant un flot continu d'images de villes en ruines et de populations déplacées. Le conflit entre Israël et l'Iran a franchi un nouveau seuil, embrasant le Moyen-Orient et menaçant les routes maritimes vitales. En Europe de l'Est, la guerre en Ukraine s'éternise, devenue une plaie béante qui draine les ressources et exacerbe les tensions entre les grandes puissances.

Ces secousses géopolitiques ne sont pas lointaines. Leurs ondes de choc frappent chaque recoin du globe. Les chaînes d'approvisionnement sont rompues, le prix de l'énergie explose, et l'insécurité alimentaire gagne du terrain. Pour les nations vulnérables comme Madagascar, l'impact est brutal. L'inflation galopante rend les produits de première nécessité inaccessibles, le tourisme, vital pour l'économie, est en berne, et l'aide internationale se raréfie, détournée par les urgences guerrières.

Et je rêvais… Je rêvais de Madagascar, non pas comme une victime collatérale de ce chaos, mais comme un phare imperturbable au milieu de la tempête. Une île-sanctuaire dont la lumière douce et constante percerait les ténèbres de la discorde, offrant un repère à une humanité déboussolée. Une terre où le bruit des vagues se brisant sur les récifs coralliens couvrirait le fracas des bombes, et où le chant des lémuriens remplacerait les sirènes d'alarme.

Ce rêve n'est pas une simple utopie. Il est un potentiel à portée de main. Madagascar possède en son sein les graines pour devenir ce symbole de stabilité, de paix et de terre d'investissement que le monde recherche désespérément. Au lieu de subir l'histoire, la Grande Île peut choisir de l'écrire, en proposant une alternative : celle de la résilience, de l'harmonie et de la sagesse.

Les fondations d'un havre de paix
Pourquoi Madagascar ? Parce que derrière ses fragilités se cachent des atouts uniques qui, s'ils sont cultivés, peuvent la transformer en un pôle très attractif.
** Une attractivité économique repensée : Dans un monde où les investissements fuient les zones de conflit, Madagascar peut offrir ce qui devient le luxe suprême : la prévisibilité et la durabilité. En garantissant un État de droit solide et en luttant contre la corruption, elle peut attirer des capitaux en quête de sécurité. Imaginons une économie verte, pionnière dans les énergies renouvelables, l'agro-écologie et l'écotourisme responsable, devenant un modèle de développement qui réconcilie l'homme et sa nature exceptionnelle.
** Une image internationale unique : Madagascar n'est impliquée dans aucun conflit majeur. Elle ne porte pas le fardeau d'un passé impérialiste ou d'une politique agressive. Son image est celle d'une biodiversité unique au monde, d'une culture riche et d'un peuple résilient. Ce capital sympathie est un formidable outil de soft power. En se positionnant comme une « terre de dialogue », elle peut devenir la Suisse de l'océan Indien, un lieu neutre où les nations peuvent se rencontrer pour négocier la paix.
** Un leadership régional à incarner : Au sein de la SADC et de la Commission de l'Océan Indien, Madagascar peut passer du statut de membre passif à celui de leader proactif. Elle peut initier des pactes régionaux de non-agression, promouvoir la coopération sur les enjeux climatiques et la sécurité maritime. En devenant un pilier de stabilité dans sa propre région, elle gagnerait une crédibilité immense sur la scène internationale.

Un rêve à partager
Certes, le chemin est long et les obstacles nombreux. Mais les plus grands voyages commencent toujours par un premier pas, et les plus belles constructions par un rêve. Le rêve d'un Madagascar fier, debout, qui, au lieu de subir les crises du monde, lui offre une boussole. Un pays qui transforme sa singularité en force et sa résilience en inspiration.

Ce n'est pas seulement le rêve d'un avenir pour Madagascar. C'est un espoir pour un monde qui en a cruellement besoin. Alors, partageons ce rêve. Portons-le dans nos cœurs, nos paroles et nos actions.

Et si ce rêve, notre rêve, commençait aujourd'hui ?

Les Partenariats Public-Privé à Madagascar : Entre Ambitions et Défis Juridiques ComplexesMadagascar, dans sa quête de d...
05/06/2025

Les Partenariats Public-Privé à Madagascar : Entre Ambitions et Défis Juridiques Complexes

Madagascar, dans sa quête de développement accéléré de ses infrastructures et services publics, a misé sur les Partenariats Public-Privé (PPP). La loi n°2015-039 et ses décrets d'application, notamment le décret n°2017-149, ont instauré un cadre juridique et institutionnel ambitieux. Cependant, malgré cette volonté affichée, la concrétisation des projets PPP se heurte à d'importants défis juridiques, exacerbés par un environnement parfois instable, qui freinent leur efficacité et leur attractivité pour les investisseurs privés.

Un Cadre Juridique et Institutionnel en Place
Selon la loi malgache, un Partenariat Public-Privé est un contrat par lequel une autorité publique confie à un partenaire privé, pour une période déterminée en fonction de la durée d'amortissement des investissements ou des modalités de financement retenues, une mission globale ayant pour objet la conception, le financement, la construction ou la transformation, l'entretien, la maintenance, l'exploitation ou la gestion d'ouvrages, d'équipements ou de biens immatériels nécessaires au service public.
Plusieurs acteurs institutionnels sont impliqués dans la gouvernance des PPP :
• Le Comité National PPP (CNPPP) : organe d'orientation stratégique et de validation des projets.
• L'Unité PPP (UPPP) : rattachée à la Présidence ou à la Primature (selon les configurations gouvernementales), elle assure l'appui technique, la promotion et le suivi des projets.
• Le Ministère de l’Economie et des Finances (MEF) : joue un rôle crucial dans l'évaluation de la soutenabilité budgétaire, le contrôle des engagements financiers de l'État et l'approbation finale de certains aspects.
• Les autorités sectorielles (ministères techniques) : responsables de l'identification des besoins, de la préparation initiale des projets et de leur suivi technique.

Les Défis Juridiques Majeurs : Un Parcours d'Obstacles
Malgré ce dispositif, la mise en œuvre des PPP à Madagascar est jalonnée de difficultés juridiques significatives :

1. Complexité et Lourdeur des Procédures :
La multiplicité des étapes de validation (études de faisabilité technique et économique, évaluations de la soutenabilité financière, contrôles budgétaires) et la nécessité d'une coordination entre les divers organes (CNPPP, UPPP, MEF, ministères sectoriels) engendrent des délais considérables. Cet allongement des phases de préparation et de signature des contrats décourage les investisseurs et augmente les coûts de transaction.

2. Gestion des Risques et des Engagements Financiers :
L'identification, la quantification et la répartition équitable des risques entre les partenaires publics et privés s'avèrent complexes. L'absence fréquente d'une matrice des risques claire et exhaustive dès le départ, couplée au manque de standardisation des modèles contractuels, crée des incertitudes. La prise en charge des engagements conditionnels de l'État (garanties, subventions d'équilibre) reste un point sensible, souvent mal défini et potentiellement lourd pour les finances publiques.

3. Contrôle et Transparence : Un Impératif Souvent Négligé :
La réussite et la légitimité des PPP reposent sur une transparence accrue, notamment dans les processus de passation des contrats et la gestion des engagements financiers. La loi impose la publication des engagements directs et conditionnels de l'État. Cependant, le non-respect des procédures de passation ou un manque de clarté dans les engagements peuvent entraîner des risques de nullité des contrats et alimenter la méfiance.

4. Capacités Institutionnelles Limitées :
Un défi majeur réside dans le manque d'expertise et de ressources humaines spécialisées au sein des administrations concernées. Le montage, la négociation, le suivi et l'évaluation des projets PPP requièrent des compétences techniques, financières et juridiques pointues qui font souvent défaut. Un besoin criant de formation continue et d'accompagnement technique se fait sentir.

5. Sécurité Juridique des Contrats et Influence du Risque Politique :
La pérennité des projets PPP est menacée par l'insécurité juridique des contrats. Les risques de contentieux sont élevés, que ce soit en raison de l'interprétation divergente des clauses contractuelles, de la gestion des modifications ou résiliations anticipées. À cela s'ajoute le poids significatif du risque politique et de l'instabilité institutionnelle. Des changements de gouvernement ou d'orientations politiques peuvent fragiliser la continuité des engagements de l'État, remettre en cause les termes des contrats signés par des administrations précédentes et affecter la confiance des investisseurs dans la sanctuarisation des accords sur le long terme. Cette incertitude constitue un frein majeur à l'investissement privé. La protection des intérêts financiers de l’État dans ces scénarios complexes est également une préoccupation constante.
Enjeux et Perspectives d'Amélioration
La concrétisation du potentiel des PPP à Madagascar passe inéluctablement par la levée de ces obstacles juridiques et la création d'un environnement plus stable.
• Renforcement du Cadre, des Capacités et de la Stabilité : Il est impératif de consolider le cadre juridique pour le rendre plus clair, plus prévisible et plus agile. Parallèlement, le renforcement des capacités des institutions (UPPP, MEF, ministères sectoriels) par la formation et le recrutement d'experts est crucial. Fondamentalement, l'amélioration de la stabilité politique et institutionnelle est une condition sine qua non pour rassurer les investisseurs et sécuriser les engagements sur la durée.
• Vers des Outils Opérationnels : L'élaboration et la diffusion de guides opérationnels, de manuels de procédures simplifiés et de modèles contractuels types (tout en gardant une flexibilité nécessaire) pourraient grandement faciliter la compréhension et l'application des textes, réduisant ainsi les délais et les incertitudes. Des clauses de stabilisation, dans la mesure du possible et dans le respect de la souveraineté de l'État, pourraient être envisagées pour mitiger certains risques politiques.
• Le Rôle Central du Ministère de l'Économie et des Finances : Le MEF doit pleinement assumer son rôle clé dans la validation de la soutenabilité budgétaire, le contrôle rigoureux des engagements financiers (directs et conditionnels) et le suivi ex-post des performances des projets PPP. Une meilleure anticipation des impacts budgétaires est essentielle, y compris ceux liés aux ruptures potentielles de contrat.

En conclusion, si les PPP représentent une opportunité indéniable pour Madagascar de combler son déficit en infrastructures, leur succès dépendra de la capacité du pays à surmonter les défis juridiques actuels et à offrir un environnement d'investissement plus stable et prévisible. Des réformes ciblées, un investissement dans le capital humain, une volonté politique affirmée de garantir la transparence, la sécurité juridique et la continuité de l'État sont indispensables pour rendre le dispositif PPP plus efficace, plus attractif pour les investisseurs et, in fine, plus bénéfique pour le développement durable du pays.

Madagascar : des signaux positifs pour l’investissement malgré les défis structurelsL’EDBM affiche un bilan encourageant...
04/06/2025

Madagascar : des signaux positifs pour l’investissement malgré les défis structurels

L’EDBM affiche un bilan encourageant pour 2024 : une croissance solide, une hausse notable des investissements étrangers et des avancées dans la digitalisation de la promotion économique. L’agriculture et les télécommunications tirent la croissance, tandis que la confiance des investisseurs étrangers se traduit par une augmentation des flux d’IDE de 16 %.

Si le climat des affaires reste marqué par des défis persistants, notamment dans l’énergie et les infrastructures, les réformes engagées portent leurs fruits, facilitant la création d’entreprises et les échanges commerciaux. L’EDBM confirme ainsi son rôle de locomotive du développement économique, positionnant Madagascar comme une destination de plus en plus attractive pour les investisseurs internationaux.

Savez - vous que la loi anti-concurrence existe à Madagascar ? Et ce depuis 2005. En effet, le pays s’est doté d’un cadr...
04/06/2025

Savez - vous que la loi anti-concurrence existe à Madagascar ? Et ce depuis 2005. En effet, le pays s’est doté d’un cadre juridique strict pour lutter contre les pratiques anticoncurrentielles, protégeant ainsi à la fois les consommateurs et l’économie nationale.

Les pratiques anticoncurrentielles à Madagascar
La loi n°2005-020 du 17 octobre 2005, renforcée par la loi n°2018-020, encadre la concurrence et interdit de nombreuses pratiques commerciales jugées préjudiciables au libre jeu du marché. Selon ces textes, une pratique est réputée anticoncurrentielle lorsqu’elle a pour objet ou pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser la concurrence sur un marché.

Principales pratiques interdites
Les ententes et cartels : Il s’agit d’accords entre entreprises visant à fixer les prix ou à se répartir les marchés. L’article 21 de la loi interdit formellement ces pratiques, car elles faussent la concurrence et entraînent souvent une hausse artificielle des prix pour les consommateurs.

L’abus de position dominante : Lorsqu’une entreprise en position de force sur un marché utilise cet avantage pour éliminer ou restreindre la concurrence, par exemple en pratiquant des prix prédateurs pour évincer les concurrents plus petits, cela constitue un abus sanctionné par la loi.

La fixation verticale des prix : Cette pratique survient lorsque des fournisseurs imposent un prix de vente minimal à leurs distributeurs, limitant ainsi leur liberté de fixer les prix. La loi malgache garantit la liberté des prix et considère cette fixation comme une entrave à la concurrence.

Sanctions prévues par la loi
Pour garantir l’efficacité de ce cadre, Madagascar prévoit plusieurs types de sanctions contre les entreprises reconnues coupables de pratiques anticoncurrentielles :

Sanctions pécuniaires : Les amendes peuvent aller de 500 000 à 50 000 000 ariary selon la gravité de l’infraction et les dommages causés à l’économie. Le Conseil de la concurrence détermine le montant en tenant compte de la situation de l’entreprise, de la gravité des faits, et de la récidive éventuelle.

Mesures conservatoires : Pour limiter les dommages immédiats, le Conseil de la concurrence peut ordonner des mesures temporaires, comme l’arrêt de certaines ventes ou pratiques jusqu’à la fin de l’enquête.

Injonctions de cessation : Le Conseil peut exiger l’arrêt immédiat des pratiques illégales. Le non-respect de ces injonctions expose l’entreprise à des sanctions supplémentaires, voire à des poursuites pénales.

Objectifs et portée de la loi
L’objectif fondamental de la législation malgache est de garantir la liberté et la loyauté de la concurrence, de promouvoir la compétitivité des entreprises locales, et d’assurer le bien-être des consommateurs. Toutes les entreprises, qu’elles soient publiques ou privées, sont concernées par ces règles, et les autorités compétentes disposent de pouvoirs étendus d’enquête et de sanction.

En résumé, Madagascar dispose d’un arsenal juridique solide pour prévenir, détecter et sanctionner les pratiques anticoncurrentielles. Il est donc essentiel pour toute entreprise opérant sur le territoire malgache de respecter ces règles, sous peine de lourdes sanctions et de mesures coercitives.

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