WestAf-Médias

WestAf-Médias www.westafmedias.com
La chaîne Westaf-Médias

Rejoignez-nous dès maintenant sur Westaf-Médias et découvrez tout ce que nous avons à offrir
+22373385608

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, Brenda Biya, la fille du président camerounais, affirme qu’elle ne vote...
19/09/2025

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, Brenda Biya, la fille du président camerounais, affirme qu’elle ne votera pas pour son père et appelle les Camerounais à en faire de même. Paul Biya, aujourd’hui âgé de 92 ans, est au pouvoir depuis presque 43 ans et brigue un 8ᵉ mandat présidentiel.

Brenda Biya dit regretter que son père ait, selon elle, causé tant de souffrances à la population.

"Ne votez pas Paul Biya, pas par rapport à moi, mais parce qu’il a fait souffrir trop de gens. J’espère qu’on aura un autre président ", a-t-elle déclaré.

Une prise de position qui relance les débats autour de la candidature du chef d'Etat camerounais, qui détient le record mondial de longévité des présidents.

🇫🇷 🇲🇱 La France a suspendu sa coopération antiterroriste avec le Mali et sommé deux diplomates maliens de quitter son te...
19/09/2025

🇫🇷 🇲🇱 La France a suspendu sa coopération antiterroriste avec le Mali et sommé deux diplomates maliens de quitter son territoire, en réponse à l'arrestation en août à Bamako d'un agent diplomatique français, a appris l'AFP vendredi de source diplomatique française.

Les deux diplomates, membres de l'ambassade et du consulat du Mali à Paris, ont été "déclarés persona non grata et ont jusqu'à samedi pour quitter le territoire", a déclaré cette source.

Gbagbo Laurent interpelle pour la dernière fois Alassane Ouattara pendant qu'il est temps de se ressaisir :".....Je deme...
18/09/2025

Gbagbo Laurent interpelle pour la dernière fois Alassane Ouattara pendant qu'il est temps de se ressaisir :

".....Je demeure convaincu qu’il est encore temps de privilégier la PAIX, et d’ouvrir la voie à un DIALOGUE SINCÈRE.

Mais je reste tout aussi ferme , il ne peut et ne doit pas y avoir de 4 ÈME MANDAT.
...Je souhaite rappeler au Président ALASSANE OUATTARA que notre dernière CONFRONTATION ÉLECTORALE a été DOULOUREUSE pour la CÔTE D'IVOIRE, précisément parce que la CONSTITUTION n’avait pas été RESPECTÉE.
.... Les CICATRICES de cette période ne se sont pas encore refermées et nous savons, tous, quel prix le PAYS a payé à ce manquement au droit.

Aujourd’hui encore, il est de notre RESPONSABILITÉ HISTORIQUE, de TRANSMETTRE à ce PAYS une Côte d’Ivoire en PAIX, RÉCONCILIÉE et RESPECTUEUSE de ses PROPRES RÈGLES.
....Le Président HENRI KONAN BÉDIÉ n’est plus. Parmi ceux qui ont eu la charge suprême de conduire la NATION, il ne reste désormais que moi et ALASSANE OUATTARA.
....Cette RÉALITÉ crée un devoir supplémentaire. Car l’histoire RETIENDRA non seulement ce que chacun a fait quand il était au POUVOIR, mais aussi ce qu’ils auront LÉGUÉ au moment de le QUITTER.
..Il ne faut pas croire que l’on est FORT parce que l’on tient momentanément les INSTITUTIONS et les AR.MES....
.....On n’est jamais FORT tout le temps. Et surtout, on n’est jamais plus FORT que le PEUPLE.

Les RÉGIMES qui l’ont oublié, partout dans le monde, ont fini par s’effondrer. Le peuple, lui, demeure toujours.

C’est pourquoi, j'appelle à la RESPONSABILITÉ.
... GOUVERNER, ce n’est pas s’éterniser au POUVOIR au risque de BRISER la NATION. GOUVERNER, c’est PRÉPARER la PAIX et la RÉCONCILIATION pour l’avenir.
....GOUVERNER, c’est RESPECTER la CONSTITUTION, respecter le PEUPLE et accepter que le POUVOIR ne soit pas une PROPRIÉTÉ PERSONNELLE, mais une charge temporaire confiée par la SOUVERAINETÉ populaire.

Je tiens à préciser que ma VOLONTÉ n’est pas de CONTESTER nos INSTITUTIONS.

Bien au contraire. Il s’agit de leur RAPPELER que leur F.ORCE et leur LÉGITIMITÉ ne viennent pas d’elles-mêmes mais du PEUPLE, et du PEUPLE seul...
.. Elles agissent en son nom, et c’est du PEUPLE qu’elles tirent leur AUTORITÉ. Oublier cela, c’est TRAHIR l’esprit même de la République.

J'INSISTE AVEC FORCE, IL N’EST PAS TROP T**D.
.. Il est encore temps de ROMPRE avec cette LOGIQUE de CONFISCATION...

Il est encore temps de REVENIR aux fondamentaux de la démocratie : la SOUVERAINETÉ du PEUPLE, l’égalité de tous devant la loi, et la VÉRITÉ des URNES.

Le PEUPLE IVOIRIEN doit être celui qui décide.
... Lui seul détient le droit de dire qui doit le GOUVERNER. Ce droit ne peut pas être CONFISQUÉ, encore moins MARCHANDÉ.
Le lui retirer, c’est CONDAMNER notre PAYS à l’instabilité.

Le lui restituer, c’est OUVRIR la voie à la PAIX, à la RÉCONCILIATION et à la DIGNITÉ NATIONALE.
C’est UNIS, que nous serons plus F.ORTS que la PEUR.
DÉTERMINÉS, nous serons plus F.ORTS que la RÉPRESSION.

MOBILISÉS, NOUS SERONS PLUS FORTS QUE TOUTES LES MANŒUVRES..."

Souley DeParis B-52 🦅 🦅 🦅

18/09/2025

Le neveu du président français aurait prétendument été arrêté au Burkina Faso alors que son jet privé survolait clandestinement le pays... avec 3,7 millions d’euros en billets à bord. Analyse avec Les Observateurs - France 24

DECLARATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO Abidjan, le 18 septembre 2025 Mesdames et Messieurs de la presse nationale et in...
18/09/2025

DECLARATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO
Abidjan, le 18 septembre 2025
Mesdames et Messieurs de la presse nationale et internationale,
Son Excellence le Président Laurent Gbagbo tient tout d’abord à vous remercier d’avoir répondu à cette invitation, preuve de l’importance que vous accordez à la vie démocratique de notre pays et à la nécessaire information de nos concitoyens.
Il tient à préciser que cette rencontre est la première mais ne sera pas la dernière. Il tient à ce qu’un point détaillé vous soit fait régulièrement quant à l’évolution de la situation politique du pays.
Par cette déclaration, Son Excellence le Président Laurent Gbagbo, Ancien Président de la République de Côte d’Ivoire, Président du PPA-CI souhaite faire le point des activités menées ces derniers jours, notamment les consultations qu’il a engagées avec de nombreux acteurs politiques à la suite de la décision du Conseil Constitutionnel rendue le 8 septembre dernier. En sa qualité d’ancien Chef d’État et de candidat déclaré à l’élection présidentielle, il a tenu à échanger avec plusieurs des personnalités dont les dossiers ont été déclarés irrecevables, afin de recueillir leurs analyses, leurs préoccupations et leurs propositions face à cette décision lourde de conséquences.
De ces discussions, deux principales options ont été évoquées :
§ D’une part, l’idée de prendre le régime RHDP à son propre piège en soutenant collectivement l’un des candidats retenus. A cet égard, le Président Laurent Gbagbo tient à rappeler qu’il n’avait jamais soutenu, ni de près ni de loin, un prétendu « plan de précaution » ;
§ D’autre part, la nécessité de résister, par des actions démocratiques, pour exiger des élections inclusives et le respect de la Constitution.
Le Président Laurent Gbagbo a entendu chacune de ces propositions. La première, bien que pertinente en théorie, n’a pas prospéré : elle ne faisait pas l’unanimité, ni parmi les candidats exclus, ni parmi nos concitoyens. De plus, il faut le dire clairement, les candidats retenus par le Conseil constitutionnel ne sont pas ceux investis par les grands partis politiques du pays.
Dès lors, il n’y avait ni consensus, ni légitimité suffisante pour bâtir une telle stratégie.
La seconde option, celle d’actions démocratiques et pacifiques, s’est imposée comme la voie à suivre. Car notre véritable adversaire, ce n’est pas tel ou tel candidat : c’est le régime RHDP, avec à sa tête Monsieur Alassane Ouattara, qui semble vouloir transformer la Côte d’Ivoire en un royaume personnel, où la Constitution n’est plus une boussole mais un obstacle à contourner.
Le Président Laurent Gbagbo affirme que la véritable responsabilité des démocrates n’est pas de chercher une échappatoire, mais de tenir debout face à l’épreuve. Ce n’est pas une question de posture, mais l’essence même du combat : garantir une alternance démocratique, préserver les libertés publiques et assurer la dignité du peuple ivoirien.
Aujourd’hui, ce qui est en jeu dépasse la seule élection présidentielle. Ce qui est en jeu, c’est la survie de notre démocratie, c’est le respect de nos libertés publiques, c’est l’avenir même de notre Nation. En validant un quatrième mandat anticonstitutionnel et en écartant 55 candidats, dont ceux des principaux partis d’opposition, c’est le principe d’égalité devant la loi qui a été foulé aux pieds. Et ainsi on a privé le peuple de son droit souverain de choisir librement son dirigeant.
Ce vers quoi on avance aujourd’hui ressemble à tout sauf à une élection inclusive et transparente. La liste électorale est contestable. La Commission électorale indépendante est décriée. Le processus électoral actuel n’offre aucune garantie de transparence ni de crédibilité.
Le Président Laurent Gbagbo demeure convaincu qu’il est encore temps de privilégier la paix, et d’ouvrir la voie à un dialogue sincère. Mais il reste tout aussi ferme : il ne peut et ne doit pas y avoir de quatrième mandat.
Le Président Laurent Gbagbo souhaite rappeler au Président Alassane Ouattara que leur dernière confrontation électorale a été douloureuse pour la Côte d’Ivoire, précisément parce que la Constitution n’avait pas été respectée. Les cicatrices de cette période ne se sont pas encore refermées et nous savons, tous, quel prix le pays a payé à ce manquement au droit.
Aujourd’hui encore, il est de leur responsabilité historique, de transmettre à ce pays une Côte d’Ivoire en paix, réconciliée et respectueuse de ses propres règles.
Le Président Henri Konan Bédié n’est plus. Parmi ceux qui ont eu la charge suprême de conduire la nation, il ne reste désormais que deux hommes : Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Cette réalité crée un devoir supplémentaire. Car l’histoire retiendra non seulement ce que chacun a fait quand il était au pouvoir, mais aussi ce qu’ils auront légué au moment de le quitter.
Il ne faut pas croire que l’on est fort parce que l’on tient momentanément les institutions et les armes. On n’est jamais fort tout le temps. Et surtout, on n’est jamais plus fort que le peuple.
Les régimes qui l’ont oublié, partout dans le monde, ont fini par s’effondrer. Le peuple, lui, demeure toujours.
C’est pourquoi, le Président Laurent Gbagbo en appelle à la responsabilité. Gouverner, ce n’est pas s’éterniser au pouvoir au risque de briser la nation. Gouverner, c’est préparer la paix et la réconciliation pour l’avenir. Gouverner, c’est respecter la Constitution, respecter le peuple et accepter que le pouvoir ne soit pas une propriété personnelle, mais une charge temporaire confiée par la souveraineté populaire.
Le Président Laurent Gbagbo tient à préciser que sa volonté n’est pas de contester nos institutions. Bien au contraire. Il s’agit de leur rappeler que leur force et leur légitimité ne viennent pas d’elles-mêmes mais du peuple, et du peuple seul. Elles agissent en son nom, et c’est du peuple qu’elles tirent leur autorité. Oublier cela, c’est trahir l’esprit même de la République.
Le Président Laurent Gbagbo insiste avec force : il n’est pas trop t**d. Il est encore temps de rompre avec cette logique de confiscation. Il est encore temps de revenir aux fondamentaux de la démocratie : la souveraineté du peuple, l’égalité de tous devant la loi, et la vérité des urnes.
Le peuple ivoirien doit être celui qui décide. Lui seul détient le droit de dire qui doit le gouverner. Ce droit ne peut pas être confisqué, encore moins marchandé.
Le lui retirer, c’est condamner notre pays à l’instabilité.
Le lui restituer, c’est ouvrir la voie à la paix, à la réconciliation et à la dignité nationale.
Son Excellence le Président Laurent Gbagbo tient à rappeler que c’est unis, que nous serons plus forts que la peur.
Déterminés, nous serons plus forts que la répression.
Mobilisés, nous serons plus forts que toutes les manœuvres.
Ainsi s’achève la déclaration faite au nom du Président Gbagbo.
Je vous remercie.
Pour le Président Laurent Gbagbo
Me Habiba TOURE
Porte-Parole du Président GBAGBO LAURENT

18/09/2025

Panot rend un hommage à SANKARA, le père du Panafricanisme Burkinabè.

Écoutez la Dame forte de la France .

Vive L’ , Vive la révolution Progressiste et populaire .

Hamari Traoré, un capitaine écarté pour avoir réclamé justice ?La récente mise à l’écart de Hamari Traoré, capitaine emb...
18/09/2025

Hamari Traoré, un capitaine écarté pour avoir réclamé justice ?

La récente mise à l’écart de Hamari Traoré, capitaine emblématique des Aigles du Mali, continue de susciter une vive polémique dans le monde sportif national. Selon plusieurs sources concordantes, la Fédération malienne de football (FEMAFOOT) aurait pris cette décision après que le joueur a exprimé, avec courage, la nécessité d’améliorer la situation des internationaux maliens.

Arrière droit expérimenté et respecté, Hamari Traoré n’est pas seulement un cadre technique de la sélection. Il est aussi une voix écoutée dans le vestiaire, symbole de discipline et d’engagement. Son exclusion est perçue par beaucoup comme une sanction injuste contre un joueur qui n’a fait qu’assumer son rôle de capitaine : défendre les intérêts de ses coéquipiers et appeler à plus de considération pour les Aigles.

Dans un contexte où le football malien a besoin d’unité, cette décision soulève des interrogations : peut-on priver l’équipe nationale de ses leaders pour des prises de position légitimes ? Loin d’être une affaire personnelle, ce débat met en lumière la relation entre dirigeants et joueurs, ainsi que la nécessité d’un dialogue constructif pour l’avenir du football malien.

De nombreux supporters, sur les réseaux sociaux et dans les stades, réclament déjà son retour immédiat. Pour eux, écarter Hamari, c’est affaiblir l’équipe et nier les valeurs mêmes de justice et de patriotisme qu’il incarne.

Aujourd’hui, une chose est claire : le peuple sportif malien mérite des explications. Car l’équipe nationale ne peut grandir qu’en s’appuyant sur ses meilleurs éléments et en respectant ceux qui la portent avec fierté.

Ladji Thiero

LES ÉCHOS DU SPORT

𝐂𝐚𝐫𝐧𝐞𝐭 𝐝’𝐚𝐮𝐝𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞//𝐃𝐎𝐆𝐎𝐍𝐒 𝐅𝐀𝐒𝐇𝐈𝐎𝐍 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐭  𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐢𝐱! J’ai reçu en audience, ce 18 ...
18/09/2025

𝐂𝐚𝐫𝐧𝐞𝐭 𝐝’𝐚𝐮𝐝𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞//𝐃𝐎𝐆𝐎𝐍𝐒 𝐅𝐀𝐒𝐇𝐈𝐎𝐍 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐢𝐱!

J’ai reçu en audience, ce 18 septembre 2025, une délégation de l’Association Fraternité Dogon et Sympathisants, conduite par son président Moïse Aré Sangala.

Au cours de notre rencontre, la délégation m’a présenté en détail l’organisation de la 2ᵉ édition de DOGONS FASHION, prévue le 28 octobre 2025 au CICB, à la suite du succès de la première édition.

Je me réjouis d’être associé à cet événement à venir en tant qu’invité d’honneur, qui célébrera et valorisera la richesse et la diversité de la culture dogon, un héritage qui témoigne de l’histoire et des traditions de notre pays.

Placée sous le signe du dialogue culturel et de l’ouverture interculturelle, cette édition mettra en lumière la mode traditionnelle dogon, avec la participation des communautés invitées, notamment les Peulh et les Bwa.

Cet événement illustre parfaitement la capacité de la culture à rassembler, et à promouvoir le vivre-ensemble, la cohésion sociale et l’unité nationale.

𝐌𝐨𝐬𝐬𝐚 𝐀𝐆 𝐀𝐓𝐓𝐀𝐇𝐄𝐑,
𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑴𝒂𝒍𝒊𝒆𝒏𝒔 𝑬𝒕𝒂𝒃𝒍𝒊𝒔 à 𝒍’𝑬𝒙𝒕é𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍’𝑰𝒏𝒕𝒆𝒈𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑨𝒇𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏𝒆

18/09/2025

Mohamed Cherif Président du CSDM n'a pas été arrêté

🇸🇳sénégalaises saisissent 272 kg de cocaïneLes douanes sénégalaises ont saisi 272 kg de cocaïne, d’une valeur de près de...
18/09/2025

🇸🇳sénégalaises saisissent 272 kg de cocaïne

Les douanes sénégalaises ont saisi 272 kg de cocaïne, d’une valeur de près de 21,8 milliards de francs CFA (33,2 millions d’euros), lors d’une opération dans le sud du pays.
"Le Bureau des douanes de Kalifourou a opéré une saisie de 240 plaquettes de cocaïne d’un poids total de 272,25 kg, précise un communiqué publié sur X par l’administration. La contrevaleur totale de la drogue saisie est de 21 milliards 780 millions de francs CFA."

18/09/2025

IL EST 18H A PARIS ET C'EST FINI , LE CAHOS TOTAL

VIVE LA RÉVOLUTION PROGRESSISTE POPULAIRE MALIENNE

18/09/2025

- : | À la rencontre des éléments de la mission d'escorte des cars et des camions citernes sur les différentes artères vitales de l'économie .

Mise en Ligne : Cheick Abdoul Aziz Coulibaly
Coordination : Tamsir DIABATE

Adresse

Bamako

Téléphone

+22375778636

Site Web

https://www.youtube.com/@westafmedias4781, https://www.tiktok.com/@westafmedias?lang=fr, http

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque WestAf-Médias publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à WestAf-Médias:

Partager

C’EST TOI QUE JE PARLE

C’EST TOI QUE JE PARLE JEUNE D’AFRIQUE

-L'heure est venue de te soulever, de te révolter, de te défendre, de défendre ta dignité, ton honneur, ta vie. Et ton continent AFRIQUE

- L'heure est venue pour sauver ton EXISTENCE, pour secouer ou plutôt châtier très sévèrement les Profiteurs, les corrompus, les voleurs de tes biens, les menteurs, les assassins criminels qui tuent ton développement, ton épanouissement, lesquels depuis 55 ans ne font que te cracher dessus.

-L'heure est venue pour punir cette MAFIA au pouvoir qui te saigne, les Prévaricateurs fonctionnaires, ces politiques « Françafrique » sans Foi ni Loi qui vident au quotidien ton SANG, avec délectation.