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21/08/2025
18/02/2025

Dani de Paris

Moussa Sinko Coulibaly, ancien ministre de l’Administration territoriale et président de la Ligue démocratique pour le c...
22/01/2025

Moussa Sinko Coulibaly, ancien ministre de l’Administration territoriale et président de la Ligue démocratique pour le changement (LDC), appelle une nouvelle fois à un retour sans délai à l’ordre constitutionnel.

« Pour un pays qui veut rester démocratique, il faut aller le plus rapidement possible vers un retour à l’ordre constitutionnel », a-t-il déclaré, lors de la célébration du 7ème anniversaire de son parti. Le Général démissionnaire a insisté sur la nécessité de mettre fin à une Transition militaire qui s’éternise. « Nous sommes dans une Transition, et nous souhaitons qu’elle se termine le plus rapidement possible, nous avons déjà fait quatre années, bientôt cinq. Pour une Transition, c’est une durée exceptionnellement longue », a-t-il rappelé.

Rendez vous
22/01/2025

Rendez vous

Batouly Gates arrive, vous pouvez visiter son site internet déjà 💪💪💪💪💪
29/12/2024

Batouly Gates arrive, vous pouvez visiter son site internet déjà 💪💪💪💪💪

12/11/2024

🇲🇱Investissements Publics au Mali : Classement des Présidents

1. Amadou Toumani Touré: 12,75%
2. Moussa Traoré: 10,13%
3. Ibrahim Boubacar Keïta: 7,63%
4. Alpha Oumar Konaré: 7,02%
5. Bah N'Daw (transition): 6,48%
6. Amadou Toumani Touré (transition): 5,20%
7. Assimi Goïta (transition): 4,49%
8. Dioncounda Traoré (transition): 4,12%
9. Modibo Keïta: Données indisponibles

Ce classement est basé sur la moyenne de la "Formation brute de capital fixe, secteur public (% du PIB)" durant le mandat de chaque président. Cet indicateur représente la part des investissements publics dans l'économie du pays, reflétant l'effort de l'État pour développer les infrastructures et les services publics.

Méthodologie: Calcul de la moyenne de l'indicateur "Formation brute de capital fixe, secteur public (% du PIB)" pour chaque président en utilisant les données disponibles pour leurs mandats respectifs.

🇬🇶 Mercredi 6 novembre, Baltasar Ebang Engonga a été révoqué de ses fonctions de directeur de l'Agence nationale d'inves...
07/11/2024

🇬🇶 Mercredi 6 novembre, Baltasar Ebang Engonga a été révoqué de ses fonctions de directeur de l'Agence nationale d'investigation financière par décret présidentiel.
"Bello", comme on le surnomme en Guinée Équatoriale, serait l'auteur de 400 sextapes tournées à des dates inconnues dans différents lieux - dont son bureau au ministère des Finances - et avec différentes partenaires, dont des épouses de dignitaires locaux.



Source : Brut Info

30/10/2024

Vente d’un champ de 05 Hectares à Mouzzou, village situé à 15km du goudron de Ségou.
Prix : 70.000.0000F
Investissements :
- 1 grillage d’une longueur de 2 hectares
- 2 poulaillers de 25 / 10
- 2 cuvettes d’eau de 50m3 pour la pisciculture
- 1 forage de 7m3 d’eau avec une pompe Lorense
- 1 bâtiment de 4 chambre
- 1 bâtiment de 4 chambres pour l’élevage de ruminants
- 8 panneaux solaires

Contact : + 223 76 20 82 08, +221 78 869 46 57

21/10/2024

Bouba Fané et Del Fro

*Cher Dirigeant Maliens* Prenez la peine de descendre dans la rue, dans les cités et vous verrez la misère des gens rien...
11/10/2024

*Cher Dirigeant Maliens*

Prenez la peine de descendre dans la rue, dans les cités et vous verrez la misère des gens rien que dans les yeux et ils ne font qu'observer.Ne suivez pas les rapports que vous font vos collaborateurs dans chaque secteur car rien ne marche pour l'équipement militaire d'accord c'est la seule chose qu'on peut dire dieu merci.La foi et l'espoir se sont envolés et beaucoup prétendent ne croire en rien et vivent au jour le jour.
Toutes les personnes qui essayent de faire des choses biens sont écartées, vilipendées, calomniées et salies et on a l'impression que vous êtes pris en otage sans savoir comment en sortir.
Nous prions pour vous et surtout pour notre pays afin que les choix à venir soient tous judicieux et pertinents pour un Mali prospère et retrouvé

*Baissa Koné Président du Parti VNDA*

09/10/2024

*Crise dans les forces de l’ordre au Mali : un gendarme incendie une tente à l’école Balla Koné*

Le 8 octobre 2024, un événement inédit et révélateur s’est produit à l’école de la gendarmerie Balla Koné, au Mali. Un gendarme, visiblement excédé par un régime qu’il ne supporte plus, a incendié une tente abritant les élèves auxiliaires, détruisant ainsi 46 lits. L’intervention chaotique des sentinelles, prises de panique, a donné lieu à des tirs aveugles, blessant trois élèves. Cet acte de défiance n’est pas seulement un signe de la nervosité croissante au sein des casernes, mais aussi la preuve que la contestation, autrefois cantonnée aux civils, gagne désormais les rangs d’une armée supposée être le dernier rempart du régime militaire. Ceux-là mêmes qui servent de bras armé et de relais de renseignement pour le pouvoir en place commencent à craquer.

Loin d’être un incident isolé, cette flambée de colère survient dans un contexte de délitement généralisé, où l’armée, au pouvoir depuis le putsch de 2020, voit ses troupes se dérober chaque jour un peu plus, quittant les lignes de front à la première occasion. L’échec retentissant de l’offensive à Tinzaouatène, suivi d’un repli humiliant sur Kidal, démontre, si besoin était, l’incapacité des autorités à contenir le chaos. En parallèle, le pays subit une inflation galopante, des inondations dévastatrices et une répression croissante de toute forme de dissidence. Les arrestations arbitraires de figures politiques et la traque des leaders d’opinion, souvent poussés à l’exil, achèvent de peindre le tableau d’un régime à bout de souffle.

À l’international, le Mali se retrouve de plus en plus isolé. La scène des Nations unies, autrefois plateforme de communication diplomatique, est devenue un champ de bataille. L’Algérie, visiblement agacée, a ouvertement qualifié les autorités maliennes de « privilégiées ingrat », tandis que les relations avec les anciens partenaires occidentaux se dégradent, ces derniers dénonçant une dérive autoritaire sans précédent. Cette posture agressive, loin de renforcer la souveraineté nationale, précipite l’isolement diplomatique et économique du pays.

L’incendie de l’école Balla Koné et la réaction désordonnée des forces sur place marquent un tournant. Jusqu’ici, la grogne était l’apanage des civils, épuisés par des conditions de vie qui se détériorent et des libertés de plus en plus restreintes. Aujourd’hui, la révolte s’infiltre dans les casernes, touchant directement ceux qui, en théorie, devraient garantir la stabilité du régime. Les gendarmes, pourtant censés être les fidèles serviteurs du pouvoir, n’hésitent plus à exprimer leur ras-le-bol.

La multiplication des vidéos de « lanceurs d’alerte », ces soldats et agents qui exposent les magouilles d’un État en pleine décomposition, en dit long sur l’état de déliquescence du régime. Le Mali prend l’eau de toutes parts, et déjà, les premiers rats quittent le navire. L’intervention pathétique du conseiller du CNT, Albert Maïga, sur une radio locale, n’a fait que confirmer l’incapacité des militaires à trouver des solutions concrètes aux problèmes pressants des Maliens.

Officiellement, les autorités se murent dans le silence face à ce nouvel incident, promettant toutefois des enquêtes pour identifier et sanctionner les responsables. Mais qui peut encore croire que ces enquêtes changeront quoi que ce soit à la situation explosive du pays ? Face à une armée qui se désolidarise, un peuple exaspéré, et un isolement international grandissant, le régime malien semble courir à sa perte, incapable de redresser la barre. À ce rythme, l’effondrement n’est plus qu’une question de temps.

*DDS*

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Kita

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