17/11/2025
Lu et copié sur le mur Zebro journaliste Burkinabe: voilà la réalité
LE JNIM N'EST PLUS QU'UNE OMBRE
Depuis juin 2025, la DGSE, pleinement consciente de l'effondrement irréversible du JNIM (Jama'at Nasr al-Islam wal Muslimin), tente désespérément une mutation stratégique, mais en vain.
Ses agents ont mobilisé tous leurs canaux de manipulation habituels pour « blanchir » l'image d'Iyad Ag Ghaly et de son groupe, en les présentant fallacieusement comme une alternative politique viable, capable d'apporter apaisement et sécurité au Sahel.
Cette opération de propagande vise à masquer la réalité crue : le JNIM n'est plus qu'une coquille vide, un fantôme de ce qu'il fut.
La vérité est impitoyable : le JNIM a été brisé de l'intérieur. Son commandement vertical a été pulvérisé, transformant cette organisation terroriste jadis structurée en une myriade de groupuscules isolés, esseulés et manipulés au gré des besoins par leurs sponsors occidentaux.
C'est ce spectacle pathétique que l'on observe au Burkina Faso et au Mali. Au Burkina, pour camoufler leur débâcle à Djibo, un imposteur nommé Ousmane Dicko s'est autoproclamé porte-parole et a annoncé une prise fictive de la ville.
Quelques mois plus t**d, pour dissimuler l'anéantissement de leur unité à Diapaga, un autre faux porte-parole, un certain Barry Ali, a revendiqué une victoire imaginaire sur le terrain.
Pour ceux qui l'ignorent : traditionnellement, le JNIM n'avait qu'un seul porte-parole officiel pour l'ensemble du groupe, chargé d'annoncer les coups d'éclat majeurs.
Depuis 2024, cette structure unifiée a été détruite par la neutralisation de plus de 35 hauts cadres du commandement, suivie de l'élimination de plus de 50 chefs opérationnels.
Cette hécatombe a définitivement rompu la chaîne de commandement, isolant des cellules survivantes qui opèrent à l'aveugle, sans logistique conséquente, sans organisation tactique, sans renseignement fiable.
Réduits à racketer les villageois pour subsister, ces rescapés ne sont plus que des marionnettes exploitées par les sponsors occidentaux dans leur plan machiavélique de déstabilisation du Sahel.
Au Mali, juin 2025 marque le point de rupture absolue. Le JNIM, manipulé par ses parrains, lance un plan désespéré : 7 attaques coordonnées pour plonger le pays dans le chaos généralisé.
Résultat ! Tous les groupuscules mobilisés sont exterminés, leurs corps exposés au monde entier.
Même leur communicant attitré, Wassim Nasr, est contraint d'admettre un « échec inédit » une formule pudique pour masquer la catastrophe.
Pourtant, un énième faux porte-parole, un certain Mohamed Salam, ose revendiquer un « succès » malgré les pertes colossales : des centaines de terroristes neutralisés, visibles à l'œil nu sur le terrain.
Ces événements scellent l'effondrement concret du JNIM dès juin 2025, déclenchant une vague de défections massives au Mali, au Burkina.
Entre-temps, tentative pathétique de repeuplement : des éléments de Boko Haram sont infiltrés pour regonfler les rangs. Peine perdue. Ils sont balayés lors d'offensives et contre-offensives sur l'ensemble du territoire de l'AES (Alliance des États du Sahel).
Au Niger, la traque est si implacable que tous les chefs JNIM et Boko Haram sont neutralisés, forçant des dizaines de combattants à se rendre avec armes et bagages aux FAN (Forces Armées Nigériennes).
Depuis le lancement de leur nouveau plan machiavélique fin octobre 2025, pour saboter la deuxième rencontre des chefs d'État de l'AES en décembre 2025; Les sponsors occidentaux brandissent une illusion grotesque : le JNIM serait « puissant » et « s'imposerait » au Mali.
La réalité ! En trois jours seulement, l'armée malienne anéantit les rescapés esseulés et maintient une pression étouffante dans leur coin de replis à Kolondieba, et à Baoulé.
Les opérations unifiées de l'AES verrouillent les trois frontières, formant un bouclier impénétrable contre tout repeuplement, tout renfort logistique. Preuve éclatante : un hélicoptère ennemi abattu avec tous ses occupants.
Désormais, attendez-vous à une pluie d'articles mensongers dans les médias occidentaux. Leur objectif : Redonner du moral aux combattants terroristes épuisés, traqués de toutes parts, au bord de la reddition.
Ces publications ne visent pas l'information : elles sont des outils de guerre psychologique pour éviter les défections et les redditions massives des terrotistes laisser à leur sort macabre dans l'AES.
Exemple flagrant : les articles de Jeune Afrique, qui dépeignent un JNIM « influent» et « s'impose comme une alternative». Ne vous y trompez pas : ce ne sont que des bobards destinés à embobiner les terroristes, à les retenir dans une cause perdue.
Une certitude s'impose : le JNIM est en décadence terminale. Il ne tient plus aucun front. Les armées de l'AES se sont fixé un délai clair : son extermination définitive est en cours.
Wangnin Zerbo journaliste révolutionnaire
Écrivain burkinabè
Adepte de la RPP
