Afrique///Tchad-Niger-Libye=Toubou

Afrique///Tchad-Niger-Libye=Toubou Nul n'a le droit d'effacer une page d'histoire d'un peuple car un peuple sans histoire est un monde sans âme

Le Tibesti réclame les droits qui lui reviennent, comme de toute autre province du pays.Suite à l’intégration récente de...
27/05/2025

Le Tibesti réclame les droits qui lui reviennent, comme de toute autre province du pays.
Suite à l’intégration récente des jeunes diplômés chômeurs à la fonction publique, décidée par le Président de la République, chaque province a bénéficié de quotas selon ses droits.Toutes,sauf le Tibesti est negligé.La province du Tibesti continue d’être marginalisée et n’est toujours pas traitée à égalité avec les autres, notamment par l’absence totale de ses ressortissants dans l’appareil du ministère de la Fonction publique. Tout y est décidé unilatéralement, sans considération pour le Tibesti.
Dans presque tous les départements ministériels, les intellectuels originaires du Tibesti sont absents. Les jeunes diplômés de cette province sont ignorés et exclus depuis longtemps.
Les avantages légitimes du Tibesti sont détournés. Un exemple flagrant est le quota de 5 % sur l’exploitation de l’or, censé revenir à la province selon les textes, mais totalement confisqué par la direction de la SONAMIC. La population du Tibesti n’est informée de rien, nul n’ose interroger un directeur de la sonamic intouchable. Même le comité chargé de veiller à l’application de ce quota ne connaît rien des revenus generé de cette exploitation, et il est traité avec mépris, comme un groupe de quémandeurs selon les rumeurs.
L’or du Tibesti et le quota d’intégration des jeunes ne doivent pas faire l’objet de telles mascarades. Tôt ou t**d, justice devra être faite conformément aux règles établies par l’État.
Nous demandons au Président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, d’intervenir fermement pour que la direction de la SONAMIC respecte le droit de 5 % au Tibesti, et que la gestion de ces revenus soit menée dans la transparence.
Presque 70 % des revenus de la SONAMIC proviennent directement de l’exploitation de l’or du Tibesti. Pourquoi alors les droits légitimes de cette province sont-ils ignorés ? Voilà maintenant environ trois ans que cette direction génère des sommes colossales sur les terres ancestrales du Tibesti, tout en refusant toute transparence.

Hagrami Salah

🚨🚨 Tibesti oublié : l’exclusion de trop Une fois de plus, nous constatons avec amertume l’exclusion quasi systématique d...
26/05/2025

🚨🚨 Tibesti oublié : l’exclusion de trop

Une fois de plus, nous constatons avec amertume l’exclusion quasi systématique des diplômés originaires de la province du Tibesti. Sur les 1 715 postes récemment pourvus dans la fonction publique, à peine un seul a été attribué à un ressortissant de notre région. Cette réalité, aussi choquante qu’injuste, n’est malheureusement pas nouvelle.

Médecins, infirmiers, enseignants… ces filles et fils du Tibesti, brillamment formés, continuent de payer le prix d’un système qui les ignore. Depuis trop longtemps, ils sont les oubliés de la République, relégués à la marge comme si leurs compétences, leur mérite et leur dévouement comptaient moins que ceux des autres.

Nous ne pouvons plus nous taire.

Nous appelons, avec force et détermination, nos élus – sénateurs, députés, conseillers – à sortir de leur silence et à interpeller sans délai les ministres concernés. Il est temps d’exiger des réponses claires, des actions concrètes, et surtout, le rétablissement de quotas justes et équitables pour le Tibesti. Cette injustice récurrente alimente une frustration profonde et un sentiment d’abandon dans toute la région.

Notre silence serait une trahison. Notre indignation est légitime. Et notre mobilisation, plus que nécessair

Mahamat Ahmat Darkallah

27/03/2025

Synthèse des allégations et contexte relatif à la SONEMIC et au Tibesti

Les réproches émis contre la SONEMIC soulèvent des enjeux majeurs de gouvernance, de transparence et de justice sociale. Le Directeur Général de la SONEMIC, Abdelkerim Charfadine Mahamat (dit Beguera), est accusé de gérer l’institution comme une "entreprise familiale", sans rendre compte aux autorités locales ou au ministère des Mines. Cette situation s’inscrit dans un contexte plus large où la SONEMIC, bien que théoriquement sous tutelle étatique, échapperait au contrôle de l’État.
La SONEMIC générerait des centaines milliards de FCFA via l’exportation d’or (notamment vers Dubaï) et l’exploitation de minerais comme l’antimoine, sans déclaration fiscale ni traçabilité des revenus.
La société dispose d’une force armée de plus de 400 hommes, renforçant son autonomie vis-à-vis des institutions étatiques.

La SONEMIC est accusée d’exploiter illégalement l’or et l’antimoine au Tibesti, en contournant le cadre légal :
Plus de 20 tonnes d’or seraient exportées annuellement via la Libye, selon des responsables du ministère des Mines. L’antimoine, un minerai stratégique, est extrait à Aouzou (Tibesti) sans études d’impact environnemental ni autorisations officielles, puis acheminé vers la Turquie et la Chine via la Libye.
Ces activités exacerbent les tensions dans une région déjà fragilisée par des conflits entre orpailleurs et communautés locales.


Le décret (n°228/PT/PM/MFB/2024) prévoyait l’allocation de 5 % des revenus miniers au comité provincial du Tibesti. Cependant, ce comité n’aurait reçu aucun fonds, et le décret a été révoqué la semaine passée. Cette situation prive la province productrice de retombées économiques, alors que la SONEMIC encadre officiellement l’orpaillage dans des "couloirs légaux" depuis 2023.
Aucun mécanisme de redistribution clair n’est mis en œuvre, malgré les promesses de développement local.

Les pratiques de recrutement de la SONEMIC sont dénoncées comme favorisant les proches de Beguera au détriment des géologues qualifiés, notamment ceux originaires du Tibesti :
Des jeunes géologues travaillent avec des "notes de service" sans contrat formel, risquant un licenciement arbitraire à tout moment.

Face à ces dysfonctionnements, un audit indépendant s’impose pour :
Les centaines des milliards de FCFA générés par la SONEMIC échappent au Trésor public, alimentant des circuits opaques .
L’exploitation minière sauvage menace les écosystèmes et les populations du Tibesti, sans mesures compensatoires.

Conseil provincial du Tibesti doit : Exiger l’application immédiate des 5 % de revenus miniers, conformément à la loi sur les ressources naturelles.
Société civile et médias devraient documenter et dénoncer les abus, comme le fait TchadOne, qui révèle des preuves d’exploitation illégale.

La SONEMIC, conçue pour moderniser le secteur minier tchadien, est devenue un symbole de prédation économique et de gouvernance défaillante. Les réformes annoncées, comme le système Chad Ex-Min Control , restent lettre morte face à la réalité décrite. Une restructuration urgente, associée à un contrôle citoyen, est nécessaire pour transformer les ressources minières en leviers de développement équitable.

La rédaction

🚨 : Le peuple tchadien avait espéré voir son pays se transformer en un État de droit, mais malheureusement, c'est tout l...
16/02/2025

🚨 : Le peuple tchadien avait espéré voir son pays se transformer en un État de droit, mais malheureusement, c'est tout le contraire qui s'est produit.

En effet, Mahamat Baradine Hissein, l'un des violeuts de Zouhoura Mahamat Yosko, a été nommé Directeur Général Adjoint (DGA) à la direction du personnel et des équipements du ministère de l'Environnement. Pour rappel, cette jeune fille mineure a été victime d'un viol collectif par des fils de généraux en 2016, qui n'ont jamais été traduits en justice en raison de leur appartenance au clan au pouvoir.

Grand KANEM 24 dénonce cette nomination qui bafoue le droit et l'honneur de la femme tchadienne. Nous appelons les autorités à revoir leur manière de gouverner ce pays. Le peuple tchadien ne doit pas rester les bras croisés face à cette injustice.

Mahamat Idriss Déby ne se contente pas de bafouer le droit à la justice de Zouhoura ; il fait également preuve de mépris envers toutes les jeunes filles mineures et les femmes sans défense en honorant et en promouvant son cousin, auteur de viol, au poste de DGA au ministère de l'Environnement.

Après 34 ans de clanisme, de corruption, d'assassinats, de mensonges et de viols collectifs, nos filles et femmes tchadiennes continuent de subir des violences sexuelles, tandis que ce régime clanique élève ces prédateurs sexuels à des postes de responsabilité sur une base purement clanique.

Cette nomination est une insulte envers les jeunes filles mineures et les femmes violées, qui vivent dans la honte et le silence, ainsi qu'à toutes les femmes tchadiennes en général.

GRAND Kanem 24

Tibesti et les 5 % des recettes minières : Entre promesses gouvernementales et désarroi d’une population  Le 18 mars 202...
13/02/2025

Tibesti et les 5 % des recettes minières : Entre promesses gouvernementales et désarroi d’une population

Le 18 mars 2024, un décret instaurait le comité provincial de gestion des recettes minières destiné à la province du Tibesti. Ce décret, censé concrétiser un droit légal, devait marquer un tournant pour notre province riche en or mais frappée par une pauvreté endémique. Pourtant, des questions brûlantes persistent : pourquoi le Tibesti ne perçoit-il pas ce qui lui est dû, malgré des ressources exploitées à hauteur de 2 milliards de FCFA annuels par la SONAMIC ? Le problème relève-t-il du non-respect des engagements de l’État ou d’une défaillance du comité nouvellement créé ?

Le code minier dispose que 5 % des revenus issus de l’exploitation des ressources naturelles doivent être reversés aux provinces concernées. Une règle respectée ailleurs, comme au Logone Oriental ou au Chari-Baguirmi, provinces pétrolières où les populations perçoivent régulièrement leur part. Pourquoi le Tibesti est-il l’exception ? Alors que l’or extrait de son sous-sol alimente les caisses nationales, les infrastructures de base y sont quasi inexistantes. L'hôpital provincial de Bardaï mal équipé, un taux de mortalité alarmant. Les écoles délabrées, un système éducatif à l’abandon. Pas de routes praticables, isolant davantage les paisibles citoyens.

« Nous vivons comme au Moyen Âge, tandis que notre or enrichit d’autres régions », dénonce un habitant de Bardaï, sous couvert d’anonymat.

La SONEMIC extrait chaque année plus de 2 milliards de FCFA d’or du Tibesti. Pourtant, aucune trace de ces revenus ne se concrétise sur le terrain. Deux hypothèses sont avancées :
1. Un manque de volonté politique : Le gouvernement ignorerait-il délibérément ses obligations envers le Tibesti ?
2. Une gestion défaillante : Le comité de gestion, récent, serait-il déjà paralysé par des lourdeurs administratives ou des conflits d’intérêts ?

La population pointe un paradoxe : comment une structure créée pour garantir la transparence peinerait-elle à agir dès ses premiers mois ?

La population du Tibesti, excédée, exige des comptes. Où va l’argent ? Les chefs traditionnels réclament un audit indépendant des flux financiers liés à l’or, ainsi qu’une clarification du rôle du comité de gestion. « Sans transparence, ce comité ne sera qu’un outil de plus pour enterrer nos droits », accuse le Bougoudi.
La société civile locale existe :
- Publication immédiate des rapports d’activité et financiers du comité.
- Implication du Derdé dans la gestion des fonds.
- Suspension des activités minières tant que les 5 % ne sont pas versés.

Le cas du Tibesti est un révélateur criant des inégalités territoriales au Tchad. Alors que N’Djamena mise sur l’exploitation minière pour relancer son économie, le traitement réservé à cette province pourrait saper la confiance en l’État. Sans justice redistributive, les décrets resteront des coquilles vides, et les populations, des laissées-pour-compte. Le gouvernement a désormais l’obligation de prouver que le Tibesti n’est pas une colonie minière, mais une province tchadienne à part entière.

Restez informés pour suivre les développements de cette affaire cruciale.

Goukouni Weddeye honoré par le Président Faure Essozimna Gnassingbé à l'occasion du 20ᵉ anniversaire de la disparition d...
06/02/2025

Goukouni Weddeye honoré par le Président Faure Essozimna Gnassingbé à l'occasion du 20ᵉ anniversaire de la disparition de Gnassingbé Eyadéma

Le 5 février 2025, à Kara, au Togo, l’ancien président tchadien Goukouni Weddeye a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’ordre du mérite togolais par le Président Faure Essozimna Gnassingbé. Cette distinction honorifique a été décernée dans le cadre des commémorations du 20ᵉ anniversaire du décès de Gnassingbé Eyadéma, ancien président togolais et figure emblématique de l’unité africaine. Cette cérémonie solennelle a mis en lumière les liens d’amitié et de solidarité qui unissaient Goukouni Weddeye au défunt président Eyadéma, ainsi que leur engagement commun pour la paix et l’intégration régionale.

Un révolutionnaire dévoué, Goukouni Weddeye, natif du Tibesti, est un révolutionnaire de la première heure. Dès les années 1970, il s’est engagé dans la lutte pour l’émancipation de son pays, vice-président de FROLINAT et jouant un rôle clé dans la guerre civile tchadienne. Son parcours politique, marqué par des alliances complexes et des défis majeurs, témoigne de son dévouement inconditionnel à la cause de son peuple. Malgré les épreuves, il est resté un homme humble et discret, incarnant les valeurs de résilience et de persévérance.

La distinction accordée à Goukouni Weddeye souligne non seulement son amitié avec Gnassingbé Eyadéma, mais aussi son rôle dans la promotion de l’unité africaine. Eyadéma, considéré comme un père de la nation togolaise, a œuvré sans relâche pour la consolidation de la paix et l’intégration économique du continent. Les deux hommes partageaient une vision commune d’une Afrique unie et solidaire, capable de surmonter les défis internationaux. Cette cérémonie a également été l’occasion de rappeler les efforts d’Eyadéma en tant que médiateur dans plusieurs crises régionales, notamment au Libéria, en Côte d’Ivoire et en Sierra Leone.

La cérémonie de Kara a rassemblé de nombreuses personnalités africaines, témoignant de l’aura de Gnassingbé Eyadéma et de l’importance de son héritage. Outre Goukouni Weddeye, l’ancien président béninois Nicéphore Soglo a également été honoré. Ces distinctions rappellent l’importance de préserver la mémoire des leaders qui ont façonné l’histoire du continent et renforcer les liens de fraternité entre les nations africaines.

À l’occasion de cette distinction, nous souhaitons à Goukouni Weddeye, ce vétéran de la politique africaine, une longue vie et une santé de fer. Son parcours exemplaire et son engagement pour la paix et la justice continuent d’inspirer les générations futures. Que cette reconnaissance soit un hommage mérité à un homme qui a tout donné pour son pays et pour l’Afrique.

En conclusion, cette cérémonie marque non seulement un hommage à Gnassingbé Eyadéma, mais aussi une célébration des valeurs d’unité, de solidarité et de fraternité qui doivent guider l’Afrique vers un avenir meilleur.

Madame Amouna Ali Sougui , une candidature inspirante pour les élections sénatoriales pour le compte de la province du T...
25/01/2025

Madame Amouna Ali Sougui , une candidature inspirante pour les élections sénatoriales pour le compte de la province du Tibesti

C’est avec fierté et optimisme que nous saluons la candidature de Madame Amouna Ali Sougui aux élections sénatoriales sous la bannière du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), pour représenter la province du Tibesti. Son parcours exceptionnel, marqué par l’expertise administrative, l’engagement citoyen et le leadership politique, fait d’elle une candidate idéale pour porter les aspirations d’une région riche en potentiel, mais confrontée à des défis complexes.

Madame Amouna Ali Sougui mérite des éloges pour les réalisations qui jalonnent sa carrière au service de l’État et de la société civile tchadienne :
Directrice des Matériels et de la Logistiqu au ministère de l’Administration territoriale, où elle a optimisé la gestion des ressources publiques avec rigueur.
Directrice Générale Adjointe de l’Administration du Territoire, rôle dans lequel elle a contribué à renforcer la sécurité administrative et la cohésion des politiques publiques.
Directrice Générale Adjointe de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANATS), où elle a modernisé les systèmes de délivrance de documents, renforçant ainsi la crédibilité de l’État.

Son implication dans le Dialogue National Inclusif et Souverain (DNIS), en tant que membre du présidium, illustre son attachement au dialogue et à la stabilité nationale. Par ailleurs, son rôle de trésorière générale au sein de "Jeunesse Engagée pour le Tchad (JET)", en soutien à la candidature du Maréchal Mahamat Idriss Déby, témoigne de sa volonté de mobiliser la jeunesse autour d’un projet national unificateur. Enfin, en tant que présidente de l’Association Ziloul Arch, elle promeut le développement social et culturel, ancrant son action dans les réalités locales.

Si la province du Tibesti peut se réjouir d’être représentée par une personnalité aussi chevronnée, cette candidature appelle aussi une réflexion sur les attentes et les priorités de la province. En tant que future sénatrice, Madame Amouna Ali Sougui pourrait s’appuyer sur ses atouts pour :
1. Prioriser la sécurité et la paix : Forte de son expérience au ministère de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et de la bonne Gouvernance, elle pourrait œuvrer à la sécurisation des zones fragiles et à la médiation des conflits locaux, en collaboration avec les autorités civiles, militaires et traditionnelles.
2. Désenclaver la province : Le Tibesti, région isolée, a besoin d’infrastructures routières, sanitaires et éducatives. Son expertise en logistique et gestion publique sera un atout pour plaider en faveur de projets structurants.
3. Promouvoir l’autonomisation des femmes et des jeunes : En lien avec son engagement associatif, elle pourrait impulser des programmes de formation et d’accès au crédit, notamment pour les femmes rurales, moteurs essentiels du développement local.

La candidature de Madame Amouna Ali Sougui est une opportunité pour le MPS de renforcer son ancrage dans le Tibesti, mais aussi pour les populations de la province de se faire entendre au plus haut niveau. Nous l’encourageons à :
- Consulter largement les chefs traditionnels et organisations locales pour incarner une représentation inclusive.
- Collaborer avec la jeunesse, en s’inspirant de son expérience au sein du JET, afin d’intégrer leurs innovations et leurs défis dans son agenda politique.

Madame Amouna Ali Sougui incarne une nouvelle génération de leaders africains, alliant compétence technique, engagement citoyen et sens du service public. Son parcours est une source d’inspiration pour les femmes tchadiennes, prouvant que la détermination et l’intégrité ouvrent les portes des plus hautes responsabilités.

Au seuil de cette nouvelle étape, nous lui adressons nos plus chaleureuses félicitations. Que son mandat, soit guidé par la même passion qui a illuminé son parcours jusqu’ici.

La rédaction.

22/01/2025


Hier, 21 janvier 2025, la ville historique de Zouar a été le théâtre d’un événement d’une envergure exceptionnelle : la cérémonie d’ouverture des Journées culturelles et de solidarité des Houktia. Sous un ciel serein et une ambiance empreinte de convivialité, cette rencontre a rassemblé des participants venus de tous horizons, dans une célébration magistrale de la culture, de l’unité et de la fraternité.

Rehaussée par la présence éminente de l’ancien président de la République, Son Excellence Goukouni Weddey, cette cérémonie a également accueilli plusieurs personnalités de marque, parmi lesquelles des figures politiques, des chefs traditionnels, des intellectuels et des leaders communautaires. Leur présence a conféré à cet événement un éclat particulier, témoignant de l’importance accordée à cette initiative qui valorise les riches traditions et les valeurs de solidarité des Houktia.

Dans un décor magnifique, au cœur des montagnes du Tibesti, les discours prononcés ont souligné le rôle essentiel de la culture comme vecteur d’unité et de développement. Les orateurs ont appelé à une mobilisation collective pour préserver et transmettre cet héritage précieux aux générations futures. Des chants traditionnels, des danses spectaculaires et des expositions artisanales ont émerveillé l’assistance, rappelant la richesse et la diversité de ce patrimoine ancestral.

Cette première journée s’est inscrite sous le signe de l’harmonie et de la coopération, jetant les bases d’un dialogue fécond entre les générations et les communautés. Elle témoigne également de l’engagement des Houktia à promouvoir un avenir de paix, de cohésion sociale et de développement durable.

À Zouar, ce jour restera gravé dans les mémoires comme un moment unique de communion et de fierté, unissant les cœurs et les esprits autour de la beauté et de la force d’un héritage qui transcende le temps et les frontières.
M.I. Halikimi

🚨URGENT NIGER : Agadem, une armée meurtrière Quatre jeunes Toubous ont été exécutés par l'armée Nigerienne à Agadem.Une ...
21/01/2025

🚨URGENT NIGER : Agadem, une armée meurtrière

Quatre jeunes Toubous ont été exécutés par l'armée Nigerienne à Agadem.

Une tragédie horrible s'est déroulée ce soir 21 janvier 2025 dans la zone pétrolière du Niger où l'armée censée sécuriser les citoyens, a ôté délibérément la vie à quatre jeunes hommes de la communauté Toubou.
Une exécution sommaire perpétrée contre 4 jeunes à fleurs d'âge. Cette pratique de moyen âge, longtemps abolie revient au galop avec la gestion chaotique d'une horde des soldatesques ayant pris le pays en otage.

Parmi les victimes, deux ont été ligotées avant d'être abattues à bout portant, preuve d'une exécution délibérée.

Les victimes ont été identifiées comme suit :
1-Sidi Tunna (photo jointe)
2-Hissen Gourdé
3-Mahamoud Gourdé
4-Bougoudi Kalli-Kosso

Selon les récits des témoins sur place, les corps des victimes gisent encore à l'air libre.

Les villageois présents, ainsi que les soldats lors des constations des faits ainsi que les parents des victimes, confirment unanimement que les responsables de cette exécution sont les membres de l'armée nigérienne.

Ces derniers sont à bord de deux véhicules - un pick-up et une Hardtop blanche.

Cependant, pour dissimuler les preuves, les militaires revenus sur les lieux, après avoir été sollicités par les parents des victimes, ont ramassé les douilles des balles laissées sur place avant de quitter les lieux. Ils ont ensuite sommé les habitants d'enterrer immédiatement le corps des victimes.

Ce drame soulève de vives inquiétudes quant aux respects des droits humains et à l'impunité des forces armées dans cette région.

Nous suivons de près cette affaire et fournirons davantage de détails dans les prochaines heures !

La page condamne avec la dernière énergie cet assassinat lâche et barbare d'une autre époque. Elle tient pour responsable les autorités militaires d'Agadem.
Paix à l'âme des défunts !

18/01/2025

Le forum Hûktia s'annonce en grande pompe à Zouar.

18/01/2025

La délégation de N'djamena a répondu présent au rendez-vous Hûktia.

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