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AFFAIRE «KOCC BARMA »Le doyen des juges «fouille» les sociétés «Mba autorithy»et «My Burger Sarl »Dans le cadre de l’aff...
10/08/2025

AFFAIRE «KOCC BARMA »
Le doyen des juges «fouille» les sociétés «Mba autorithy»
et «My Burger Sarl »
Dans le cadre de l’affaire El Hadji Babacar Dioum, le doyen des juges a demandé aux enquêteurs de la Dsc des diligences concernant deux sociétés.
El Hadji Babacar Dioum écroué pour association de malfaiteurs, stockage et diffusion de données à caractère personnel, d’images contraires aux bonnes mœurs et pédopornographiques, at‐ teinte à le vie privée, extorsion de fonds, menaces, chantage, blanchiment de capitaux mais aussi faux sur des documents publics administratifs, le doyen
des juges s’intéresse particulièrement à deux sociétés. Il s’agit des sociétés «My Burger Sarl » (devenue Eddy’s restaurant) et «Mba autorithy », qui s’active dans l’importation et la vente de véhicules.
Le magistrat instructeur suspecte les deux entreprises d’être des sociétés‐écrans ayant servir à la blanchir les fonds issus de la sextorsion.
D’ailleurs, les policiers avaient saisi, sur le parking d’El Hadji Babacar Dioum, situé à Liberté 3, des véhicules de marques respectives Mitsubishi Outlander, Jeep Wrangler et deux Bmw X5. Le mis en cause avait soutenu que les voitures, qui seraient en réparation dans son parking, ne lui appartiendraient pas. Libéra‐ tion a appris qu’une demande de restitution des véhicules a été introduite auprès du doyen des juges qui l'a rejetée.
Dans le cadre de la délégation judiciaire, le juge demande aux policiers d’adresser à l’ensemble des établissements de cré‐ dit des réquisitions afin d’identifier tous les comptes ouverts au nom d’El Hadji Babacar Dioum, de ses proches, de «My Burger Sarl » et de Mba autorithy. Le doyen des juges a re‐ quis les mêmes diligences, auprès de la Direction générale des impôts et domaines, de la Sicap et de la Sn Hlm pour identifier tous les biens immobiliers enregistrées au nom de El Hadji Babacar Dioum et de ses deux sociétés.

FOIRAIL DE DIAMÉGUÈNE SICAP MBAOLe boucher Assane Touré surpris avec deuxchèvres tuéesparétouffementCe jeudi, vers 09h, ...
10/08/2025

FOIRAIL DE DIAMÉGUÈNE SICAP MBAO
Le boucher Assane Touré surpris avec deuxchèvres tuéesparétouffement
Ce jeudi, vers 09h, les éléments de la brigade de recherches ont inter‐ pellé aux alentours du parc des grands ruminants de Diamaguène Sicap Mbao un individu, pour possession de deux chèvres mortes par étouffement en vue de la vente de leur viande impropre à la consommation.
Il s’agit du nommé Assane Touré (26 ans), boucher établi au foirail de Diamaguène Sicap Mbao. Le mis en cause a été repéré à bord d’une moto «Jakarta » par les élé‐ ments qui effectuaient une patrouille aux abords du foirail. Ainsi, leur attention a été attirée par l’attitude d’un individu qui déchargeait avec précipitation, deux sacs un peu lourds et suspects. Lorsqu’ils se sont approchés de lui pour une vérifica‐ tion, ils ont découvert à l’intérieur des sacs, deux chèvres mortes et non égorgées. Interrogé sur la provenance des animaux, le mis en cause a déclaré les avoir achetées à 60.000 Fcfa auprès d’un individu inconnu pour les revendre. Il a été placé en garde à vue.
Libération

ENTRETIEN SPECIAL: Le Sénégal au cœur de la géopolitique mondiale.
04/08/2025

ENTRETIEN SPECIAL: Le Sénégal au cœur de la géopolitique mondiale.

🔴 DIRECT: ENTRETIEN SPECIAL: Du 04/08/2025 avec CHEIKH DIABY Le Sénégal au cœur de la géopolitique mondiale.

04/08/2025
Élu président de la Fédération sénégalaise de football au terme de l’Assemblée générale élective tenue le dimanche 3 aoû...
03/08/2025

Élu président de la Fédération sénégalaise de football au terme de l’Assemblée générale élective tenue le dimanche 3 août à Diamniadio, Abdoulaye Fall accède au sommet du football sénégalais après un long parcours discret mais constant au sein du comité exécutif de la FSF.

Inspecteur du Trésor et ancien trésorier général à la Direction de la comptabilité publique et du Trésor, Abdoulaye Fall, âgé de 56 ans, a été réélu le 1er juillet dernier pour un troisième mandat consécutif à la tête de la Ligue régionale de football de Diourbel. Il est également président de l’AS Bambey, club évoluant en Ligue 2, qu’il a contribué à faire progresser dans le championnat local.

Dans le milieu du football, il est considéré comme un acteur de proximité, engagé pour le développement des structures locales. Sous sa direction, la Ligue de Diourbel a bénéficié d’un meilleur accompagnement en équipements et subventions. Il a aussi soutenu de nombreuses manifestations sportives à travers le pays, consolidant son ancrage dans le football de base.

Longtemps discret sur ses ambitions, Abdoulaye Fall a vu sa candidature à la présidence de la FSF prendre forme grâce au soutien de figures influentes du football sénégalais comme Cheikh Seck, président du Jaraaf, l’homme d’affaires Elimane Lam, ainsi que plusieurs membres sortants du Comité exécutif (COMEX), clubs et ligues.

Ensemble, ils ont porté une dynamique de consensus autour de sa candidature, baptisée ”Manko”, en référence au mouvement qui avait soutenu Maître Augustin Senghor en 2021.

Fort de cette large adhésion, Abdoulaye Fall succède donc à Augustin Senghor avec l’ambition de bâtir une nouvelle ère pour le football sénégalais. Il entend prioriser la construction d’infrastructures, la formation des jeunes talents et la promotion d’une culture sportive forte, dans une logique inclusive.

‘’Tout est urgent dans le football sénégalais’’, a déclaré l’ancien président de la commission des Finances de la FSF après son élection à la tête de l’instance dirigeant du football.

Au terme du premier tour, Abdoulaye Fall est arrivé en tête avec 304 voix. Mady Touré a recueilli 116 voix, suivi du président sortant, Maître Augustin Senghor, avec 92 voix. Le candidat Oumar Ndiaye a obtenu une seule voix.

Le président de Génération Foot, Mady Touré, son principal concurrent au deuxième tour de l’élection à la présidence de la Fédération sénégalaise de football (FSF), s’était retiré du processus électoral dans la nuit de samedi à dimanche, dénonçant des cas de corruption imputés au camp d’Abdoulaye Fall.

DÉLÉGATION JUDICIAIRELa Dsc à l’assaut des appareils de «Kocc Barma »Deux faits majeurs sont survenus hier dans l’affair...
29/07/2025

DÉLÉGATION JUDICIAIRE
La Dsc à l’assaut des appareils de «Kocc Barma »

Deux faits majeurs sont survenus hier dans l’affaire «Kocc Barma ».
Selon nos informations, El Hadji Babacar Dioum a été extrait de prison hier dans le cadre de la poursuite des investi‐ gations. Principalement, c’était pour l’exploitation technique de son téléphone portable de marque Iphone pro max et de des deux autres ordinateurs re‐ trouvés chez lui lors d’une perquisition. Mais, l’audition a été finalement reportée à aujourd’hui pour 11 heures et El Hadji Babacar Dioum réintégré en cellule. Comme révélé par Libération, après avoir constaté sur pv le refus d’El Hadji Babacar Dioum de donner les accès de son ordina‐ teur personnel dans lequel 9000 fichiers compromettants ont été découverts, les enquêteurs avaient déjà procédé à une «ouverture non consentie » de l’appareil. Une procédure totalement légale en matière de flagrance et couverte par l’article 45 et sui‐ vants du Code de procédure pénale relatifs aux pouvoirs de l’officier de police judiciaire en matière de flagrance.
Intercepté par la Dsc à l’Aibd jeudi soir alors qu’il tentait de quitter le pays, El Hadji Assane Demba a été présenté au doyen des juges ce lundi pour association de malfaiteurs, collecte illicite de données, diffusion de données à caractère personnel, atteinte à l’intimité de la vie privée, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, pornographie enfantine, pédo‐ philie, extorsion de fonds et complicité de ces chefs. C’est finalement aujourd’hui que le pré‐ sumé complice de «Kocc » sera édifié sur son sort. L’enquête de la Dsc l’a mouillé et jusqu’au cou même avec des révélations explosives. Nous y reviendrons.
CMG

MAFIA QNETUn réseau démantelé encore à NiacoulrapLa Brigade de recherches de Keur Massar a procédé, jeudi dernier, au dé...
29/07/2025

MAFIA QNET
Un réseau démantelé encore à Niacoulrap
La Brigade de recherches de Keur Massar a procédé, jeudi dernier, au démantèlement d’un réseau Qnet à Niacoulrap. Cette in‐ tervention fait suite à l’exploi‐ tation d’un renseignement ayant permis d’identifier la maison suspecte.
Les investigations menées ont permis l’arrestation, en flagrant délit, de plusieurs individus.
Ces derniers se trouvaient en pleine séance de présenta‐ tion du système de vente communément appelé «Qnet», devant une vingtaine de personnes de diverses nationalités.
Dans le cadre de cette enquête, quatre individus ont été arrêtés pour association de malfaiteurs, escroquerie, et trafic de migrants. Les gendarmes ont aussi saisi un téléviseur 15 pouces ; une clé Usb contenant des vidéos de présentation ; un album explicatif du projet ; un tableau de présentation ; divers produits proposés aux recrues; et des carnets de reçus rela‐ tifs aux versements effectués.

DIAMNIADIOLa gendarmerie neutralise une bande spécialisée dans les cambriolagesAla suite d’une plainte déposée pour camb...
29/07/2025

DIAMNIADIO
La gendarmerie neutralise une bande spécialisée dans les cambriolages

Ala suite d’une plainte déposée pour cambriolage, la brigade de gendarmerie de Diamniadio a ouvert une enquête qui a abouti au déman‐ tèlement d’un réseau de malfaiteurs. Pour rappel, au courant de la semaine du 16 au 24 juillet 2025, un domicile situé à la Cité Port 3, dans la commune de Diamniadio, a été la cible d’un vol par effraction, au cours duquel la somme de 1.500.000 Fcfa a été dérobée.
Les investigations ont vite permis de localiser un domicile sus‐ pect situé à environ 500 mètres du lieu des faits.
Une opération menée le vendredi 25 juillet 2025 a été concluante avec l’interpellation de dix (10) individus impliqués dans cette affaire. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, vol en réunion commis de nuit, menaces de violences sur des particuliers, et mise en danger de la vie d’autrui.
La perquisition du domicile a permis la saisie de huit (08) téléphones portables de différentes marques ; trois (03) couteaux de cuisine ; un (01) tournevis ; une (10) pince ; et plusieurs bouteilles d’alcool vides. L’enquête se poursuit.
CMG

ESCROQUERIE FONCIÈRE PRÉSUMÉEHabib Niang placé engarde à vueL'ancien chef du bureau du Cadastre de Guédiawaye est dans d...
29/07/2025

ESCROQUERIE FONCIÈRE PRÉSUMÉE
Habib Niang placé engarde à vue

L'ancien chef du bureau du Cadastre de Guédiawaye est dans de beaux draps. Selon nos informations, Habib Niang a été placé en po‐ sition de garde à vue à la Division des investigations criminelles (Dic) pour escroquerie foncière. Même s’il a restitué les fonds encaissés du plaignant pour un terrain en toc, le procureur de Pikine‐Guédiawaye, qui a déclenché la procédure, a demandé sa conduite car Habib Niang est concerné par d’autres dossiers similaires transmis à son parquet. On apprend d’ailleurs que l’ancien chef du bureau du Cadastre de Guédiawaye avait été convoqué à la brigade de recherches de Keur Massar pour les mêmes faits avant de rembourser.
CMG

Le Sénégal face à ses défis : une rupture attendue, une réalité amère1. Situation politique : un espoir de rupture en dé...
28/07/2025

Le Sénégal face à ses défis : une rupture attendue, une réalité amère
1. Situation politique : un espoir de rupture en déclin
Le Sénégal traverse un tournant important de son histoire politique. L’arrivée de Bassirou
Diomaye Faye à la tête de l’État a été perçue comme un symbole fort de renouveau. L’espoir
d’une rupture avec les pratiques anciennes a galvanisé une partie importante du peuple,
notamment la jeunesse. Cette rupture devait, avant tout, passer par une réduction drastique
du train de vie de l’État. Pourtant, après plus de 15 mois de gouvernance, rien n’a changé
sur ce plan.
Il est aujourd’hui profondément décevant de constater que les hauts dignitaires de l’État
sénégalais continuent de mener un train de vie bien supérieur à celui de leurs homologues
dans des pays industrialisés comme l’Allemagne, alors même que le Sénégal fait partie des
pays les plus pauvres du monde. Le peuple sénégalais a sanctionné l’ancien régime pour
ses dérives ; revoir ces mêmes pratiques aujourd’hui est une trahison morale.
Pire encore, les débats politiques sont devenus stériles, marqués par des invectives
constantes entre les partisans du pouvoir (Pastef) et ceux de l’ancien régime (APR et alliés,
souvent appelés "kulunas politiques"). Au lieu de se concentrer sur leurs responsabilités, de
nombreux dirigeants se livrent à des commentaires inutiles sur les réseaux sociaux,
désertant le terrain du travail et des résultats.
Après presque quatre années de tensions politiques, il n’y a pas d’échéance électorale avant
2027. Il est donc impératif de mettre la politique de côté et de se concentrer sur la relance
économique, sociale et structurelle du pays.
2. Crise économique : une urgence ignorée
La situation économique du Sénégal est difficile. L’inflation, le coût de la vie, le chômage…
tout converge vers une crise profonde. Pourtant, malgré cela, les élites continuent de mener
une vie confortable, insensible à la réalité du peuple. C’est comme si un père de famille
mangeait à sa faim tous les jours tout en demandant à ses enfants de jeûner.
Il est inadmissible que dans un contexte aussi tendu, aucune réforme économique
ambitieuse ne soit mise en œuvre. Le retour des investisseurs sénégalais de la diaspora
pourrait représenter une solution partielle. Mais encore faut-il leur offrir des conditions
d’investissement sérieuses, avec des garanties fiscales, une sécurité juridique et un
accompagnement administratif.
En parallèle, la consommation locale devrait être davantage valorisée. Aider les agriculteurs
et les producteurs sénégalais à accéder à plus de terres cultivables à des conditions
favorables aurait un effet direct sur la sécurité alimentaire et sur la création d’emplois. Cela
suppose une réforme agraire ambitieuse, accompagnée d’investissements publics massifs et
d’un véritable encadrement technique et financier. Le Sénégal ne pourra jamais se relever
sans une vraie politique de souveraineté économique et de valorisation des ressources
nationales.
3. Emploi et jeunesse : une bombe à retardement
L’un des plus grands échecs du Sénégal contemporain reste sa politique de l’emploi. Depuis
la fin de l’ère du Parti Socialiste dans les années 1980, de nombreuses industries nationales
ont été fermées : Industries chimiques du Sénégal (ICS), SONACOS, SOTIBA, MIFERSO, la
société des phosphates de Taïba, SENELEC (en partie privatisée), Transrail, etc. Ce
démantèlement industriel a été accéléré par l’absence de vision et par des politiques dictées

par les institutions financières internationales, sans prise en compte de notre tissu
économique local.
Aujourd’hui, le Sénégal forme chaque année plus de 100 000 jeunes diplômés (avec des
Masters ou Bac+3), que le secteur public ne peut pas absorber. Le secteur privé, quant à lui,
est largement dominé par les banques et quelques grandes industries. Résultat : des milliers
de jeunes se retrouvent sans emploi, livrés à eux-mêmes, parfois poussés à l’exil ou à la
délinquance.
Le Sénégal compte plus de 800 000 de ses enfants à l’étranger. Parmi eux, au moins 500
000 envoient de l’argent à leurs familles une à trois fois par mois, via des services de
transfert qui prélèvent entre 1,49€ et 5€ par opération. C’est un manque à gagner énorme
pour notre économie.
Pourquoi l’État n’a-t-il jamais pensé à créer une plateforme nationale de transfert d’argent
avec une banque publique, capable d’absorber ces flux ? Une telle solution aurait permis
non seulement de réduire les frais pour les familles, mais aussi de récupérer des milliards de
FCFA qui pourraient être réinjectés dans l’économie nationale. Cet argent, bien géré, aurait
pu créer des milliers d’emplois directs et indirects.
L’absence d’emplois et d’encadrement pousse les jeunes dans la débauche, l’oisiveté, et
parfois la criminalité. Le Sénégal est assis sur une bombe sociale.
4. Sécurité : une dégradation silencieuse
Ces dernières années, l’insécurité est devenue un problème majeur au Sénégal. Les
agressions à l’arme blanche, les cambriolages, les gangs de jeunes appelés "smols"… tout
cela s’intensifie. De janvier à juillet, au moins cinq cas graves ont été signalés rien que dans
la presse. Ce phénomène, encore minoré, mérite pourtant une réponse d’ampleur nationale.
Ces jeunes, souvent très jeunes, n’ont pas besoin de prison mais de rééducation. Il faut
réformer notre système de prévention de la délinquance, renforcer les programmes
éducatifs, créer des centres de réhabilitation et impliquer les familles, les écoles, les
mosquées et les associations.
La sécurité publique doit être placée au cœur des priorités nationales. La situation actuelle
est trop fragile pour être ignorée.
5. Justice et libertés publiques : entre intégrité et pression politique
Le Sénégal dispose d’hommes et de femmes de justice intègres. Mais il est aussi vrai que
des dérives sont parfois observées. Le système judiciaire a besoin d’être réformé : il faut
plus de magistrats, mieux formés, mieux payés, plus indépendants.
Il est urgent d’humaniser les conditions de détention. Un stage carcéral d’un mois pour les
nouveaux magistrats pourrait leur permettre de comprendre la réalité des prisons et
d’adopter une justice plus humaine.
Une démocratie ne peut pas exister sans une justice forte et respectée. Mais attention : avoir
une justice indépendante ne signifie pas insulter les institutions. Aujourd’hui, certains jugent
la justice uniquement par rapport à la présence ou non en prison de certaines personnalités.
Ce n’est pas la bonne grille de lecture. La prison ne doit pas être utilisée comme un outil de
vengeance politique. Toute personne ayant commis des erreurs doit être jugée et, le cas
échéant, condamnée. Mais cela doit se faire dans le respect de la procédure, sans pression
politique, ni émotion publique.
Conclusion : l’heure n’est plus aux palabres, mais au travail

Le Sénégal a aujourd’hui un besoin urgent de cohésion sociale et de stabilité. Comme l’a
rappelé le chef de l’État, le pays ne pourra avancer que si chacun joue sa partition avec
responsabilité. La politique ne doit plus être un champ de bataille permanent. Il est temps de
tourner la page des discours, des invectives, des règlements de comptes… pour enfin nous
consacrer à la seule chose qui compte : bâtir un Sénégal plus juste, plus fort et plus
solidaire.
L’heure n’est plus aux promesses. L’heure est au travail.
Amadou issa dit Noirot Ndiaye
Senior Supply Chain Manager
President Mouvement AND LEEGEYAL KAOLACK M.A.L.K

Guedawaye met en place un large Front de l’opposition et de mouvements citoyens L’Alliance pour la République  qui dénon...
28/07/2025

Guedawaye met en place un large Front de l’opposition et de mouvements citoyens

L’Alliance pour la République qui dénonce la détention de Lat Diop avec d’autres proches de Macky Sall ainsi que les chroniqueurs , Abdou Nguer, Bachir Fofana, Badara Gadiaga etc s’est regroupée avec des partis de l’opposition et des mouvements dans un large Front pour exiger leur libération. La résolution qui a sanctionné la réunion de ce Front tenue le hier à la salle polyvalente de la commune de Wakhinane Nimzatt sous la présence de l’ex ministre, Aminata Lô Dieng, de l’Ambassadeur, Abdoulaye Fall , du président du mouvement MM2, de la présidente du Front contre les dérives du régimes de Diomaye Faye, Mme Laïla Sow, est que Lat Diop et ses co-détenus sont victimes de règlement de compte

L’ Apr s’allie avec des partis de l’opposition et des mouvements citoyens pour exiger la libération de Lat Diop, les autres dignitaires de l’ancien régime ainsi que les chroniqueurs, Abdou Nguer, Bachir Fofana, Badara Gadiaga… Le front qui est mis en place dénonce un règlement de compte et réclame leur libération. « Nous sommes ici, une fois de plus, pour exprimer notre profonde indignation face à l'injustice manifeste que subit M. Lat Diop, ancien directeur général de la Lonase, toujours maintenu en détention depuis son arrestation arbitraire » a déclaré Marième Diongue, porte-parole du Front. « Nous réclamons sa libération immédiate ainsi que les autres dignitaires de l’ancien régime sans oublier les journalistes et chroniqueurs qui sont injustement détenus », a ajouté l’ex ministre, Aminata Lô Dieng, membre du Front.

Nous réclamons la libération des personnalités prises en otage et les chroniqueurs injustement détenus

Lors de la mise en place du Front pour la libération de Lat Diop et Cie, tous les orateurs se sont posés des questions sur le sort de son accusateur.

Pour eux, « il est inconcevable qu’au moment où le leader politique Apr est en prison, que celui qui l’a accusé vaque tranquillement à ses occupations ».

Interrogations sur le sort de l’accusateur de Lat Diop

Dans la résolution qui a sanction la réunion, il est aussi noté « qu’il est désormais évident que la situation que vit Lat Diop et Cie n'est motivée ni par la recherche de la vérité ni par une quelconque volonté de justice mais par un acharnement politique délibéré, un règlement de comptes orchestré à l'encontre de M. Lat Diop et ses co détenus qui se retrouvent pris en otage.

Toujours dans la même résolution, il est mentionné « aucun élément concret n’a été avancé pour justifier son maintien en détention, malgré les affirmations de ses avocats, qui ont démontré que le dossier présenté est vide et infondé »

Autant pour Marième Diongue, Aminata Lô et Laila Sow, cette affaire est une preuve de l'instrumentalisation de la justice à des fins politiques. Et que pour ce qui est de Lat Diop, l’objectif est de le maintenir hors de la scène politique, surtout à l’approche des échéances électorales cruciales ».

Médoune Diop, dirigeant de mouvement citoyen, membre du Front est d’avis , « qu’il n’y a aucun fondement juridique solide pour prolonger sa détention, ce qui en fait un symbole d’une justice sélective et d’un système qui bafoue les droits fondamentaux .

Un vibrant appel lancé aux Ong de défense des droit de l’Homme

Nous réitérons avec force que cette cabale doit cesser immédiatement et que Lat Diop et Cie qui ne seront jamais oubliés vont recouvrer sous peu leur liberté », a t’ il déclaré.

Dans la même résolution, il a été fait appel à la société civile, aux défenseurs des droits humains et à l'ensemble de la communauté nationale et internationale pour dénoncer les arrestations contraires aux principes de l’État de droit.

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16 Rue Laperine
Dakar-Plateau

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