Nouvelles INFOS

Nouvelles INFOS "Nouvelles Infos" est une entreprise de presse qui a pour mission de révolutionner le secteur avec

Décès de Me Khoureïssi Ba : Ousmane Sonko exprime sa profonde douleurLe Premier ministre Ousmane Sonko a exprimé sa prof...
26/03/2025

Décès de Me Khoureïssi Ba : Ousmane Sonko exprime sa profonde douleur

Le Premier ministre Ousmane Sonko a exprimé sa profonde peine suite au décès de Me Cheikh Khoureïssi Ba, avocat qui l’a défendu tout au long de leur combat pour l’accession au pouvoir.

« Ma peine et ma douleur sont profondes pour la perte de cet immense homme qui a été de tous nos combats », a déclaré Ousmane Sonko. Il a salué l’engagement, le courage et le dévouement de Me Ba, soulignant que « son engagement, son courage et son dévouement à défendre les droits fondamentaux de la personne humaine resteront à jamais gravés dans nos mémoires. »

Dans son hommage, le Premier ministre a également adressé une prière : « Seigneur, en ce mois béni de ramadan, enveloppe-le de ta Miséricorde et accorde-lui ton pardon. »

Éminent juriste et homme de culture, Me Khoureïssi Ba a été décrit par Sonko comme « un monument de toutes les luttes contre l’injustice et l’arbitraire » et « un avocat digne qui a voué sa toge au service de la vérité. » Qu’Allah lui accorde miséricorde.

26/03/2025

Sénégal : La société civile appelle à suspendre l'examen de la loi d'amnistie et prône la concertation

Dix-huit (18) organisations de la société civile se prononcent sur la proposition de loi portant interprétation de la loi d’amnistie n°2024-09 du 13 mars 2024. Dans un communiqué, elles appellent l’Assemblée nationale à suspendre l’examen de cette loi et plaident pour une concertation inclusive.
La société civile sénégalaise prend acte du dépôt à l'Assemblée nationale d'une proposition de loi portant interprétation de la loi d'amnistie n°2024-09 du 13 mars 2024 et constate l'existence d'un climat social tendu autour de la question de l'abrogation ou de l'interprétation de la loi d'amnistie.

Face à cette situation présentant des risques pour le maintien de la cohésion nationale, la société civile rappelle l'importance d'une « concertation avec toutes les parties prenantes pour définir et maîtriser les effets juridiques et sociologiques de l'interprétation de la loi d'amnistie ou de son éventuelle abrogation », peut-on lire dans le communiqué.

Afin de préserver la stabilité nationale, la société civile interpelle les « autorités étatiques sur la nécessaire implication des différents acteurs sociaux, notamment des députés de la XVe législature, de la société civile, des autorités judiciaires et religieuses, dans le processus de planification et de mise en œuvre de toutes initiatives législatives visant la loi d'amnistie ».


La société civile réitère son engagement pour la paix sociale et le respect des principes démocratiques. Elle réfute ainsi toute idée d'impunité face aux atteintes graves portées à l'intégrité physique des personnes ainsi que la destruction de leurs biens et réaffirme son attachement à l'établissement de la vérité et de la justice.

Ainsi, elle invite l'Assemblée nationale à « surseoir à l'examen de la proposition de loi portant interprétation de la loi d'amnistie et à favoriser un cadre de concertation autour de la question de l'abrogation ou de l'interprétation de la loi d'amnistie ».

La société civile invite, par ailleurs, les « acteurs politiques et les médias à faire preuve de responsabilité dans toute prise de position publique, conformément aux textes en vigueur et dans le strict respect des droits et libertés fondamentales des citoyens ».



Organisations signataires :
COSCE
MOUVEMENT Y EN A MARRE
ONG 3D
ONDH
GRADEC
LEGS-AFRICA
LIGUE SÉNÉGALAISE DES DROITS HUMAINS
RESEAU SIGGUIL JIGUEEN
AFEX
URAC
OSIDEA
FORUM DU JUSTICIABLE
HANDICAP FORM EDUC
AJED
CONASUB
DIALOGUE CITOYEN
PRESENCE CHRÉTIENNE
CERAG

Bassirou Diomaye Faye : « Je suis profondément attristé par le décès de Me Cheikh Khoureyssi Bâ »Le Chef de l’État, Bass...
26/03/2025

Bassirou Diomaye Faye : « Je suis profondément attristé par le décès de Me Cheikh Khoureyssi Bâ »

Le Chef de l’État, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a exprimé sa profonde tristesse suite au rappel à Dieu de Me Cheikh Khoureyssi Ba, éminent avocat et défenseur des droits. Dans un message de condoléances, il a salué l’engagement et l’intégrité du disparu.

«Je suis profondément attristé par le décès de Me Cheikh Khoureyssi Bâ. Le Sénégal perd un avocat de talent, une voix singulière du Barreau, un homme de principes, profondément attaché à la justice et aux libertés. Je rends hommage à son parcours remarquable et à son engagement constant pour la défense du droit et la promotion du débat public », a-t-il soutenu.

Le Président de la République a adressé ses condoléances émues à la famille du défunt, à ses proches, au Barreau du Sénégal et à tous ses confrères. «Qu’Allah, dans Sa miséricorde, lui accorde le repos éternel et console ses proches dans cette épreuve », prie-t-il.

Me Cheikh Khoureyssi Ba est décédé, ce mercredi 26 mars en Turquie.

"Dette de plus de 4000 milliards cachée": Alioune Tine interpelle l’ancien régime de Macky SallLa question de la dette c...
26/03/2025

"Dette de plus de 4000 milliards cachée": Alioune Tine interpelle l’ancien régime de Macky Sall

La question de la dette cachée du Sénégal continue d’alimenter le débat. Alioune Tine, figure de la société civile, a interpellé les membres du défunt gouvernement de Macky Sall, et en particulier Pape Malick Ndour, sur la gestion de cette dette estimée à plus de 4000 milliards de F CFA. "Nous avons besoin d’explications à ce sujet", a-t-il posté sur X, exigeant plus de transparence sur l'utilisation de ces fonds.

Le fondateur du Think thank Afrikajom Center a, dans le même sillage, cité Eddy Gemayel, représentant du Fonds monétaire International (Fmi), qui a affirmé que cette dette avait été dissimulée afin de permettre au pays d'emprunter davantage sur les marchés financiers.

Une déclaration qui alimente les interrogations sur l’état réel des finances publiques à la fin du régime de Macky Sall.

Farba Ngom : Deuxième rejet de la demande de mise en liberté sous cautionLe juge d’instruction du premier cabinet du pôl...
26/03/2025

Farba Ngom : Deuxième rejet de la demande de mise en liberté sous caution

Le juge d’instruction du premier cabinet du pôle judiciaire financier a une nouvelle fois rejeté la demande de mise en liberté sous caution de Farba Ngom, député-maire d’Agnam. Le magistrat Idrissa Diarra a estimé que les trois titres fonciers proposés comme garantie d’une valeur de 31 milliards FCFA – ne remplissaient pas les conditions requises, car ils sont au nom de sociétés et non en propriété personnelle de l’élu.
Pour la deuxième fois consécutive, l’offre de cautionnement du maire a été refusée. En octobre dernier, une première proposition de 34 milliards FCFA avait déjà été rejetée en raison d'irrégularités dans les titres fonciers. « Le juge ne veut prendre aucun risque. Il exige des biens personnels », explique le journal Les Echos dans sa parution du jour.
Farba Ngom est impliqué dans deux dossiers distincts : un premier portant sur 56 milliards FCFA (dont 31 milliards à sa charge), et un second concernant 91 milliards FCFA, où il apparaît comme « complice présumé » aux côtés de l’homme d’affaires Tahirou Sarr.
Ces affaires font suite à un rapport de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières) ayant révélé des détournements présumés de 125 milliards FCFA.

Lat Diop libre, mais sou bracelet électroniqueSelon nos informations la chambre d’accusation financière a infirmé l’ordo...
26/03/2025

Lat Diop libre, mais sou bracelet électronique

Selon nos informations la chambre d’accusation financière a infirmé l’ordonnance de refus de liberté provisoire émise par le juge d’instruction financier. Ainsi, l’ancien ministre et Dg de LONASE, Lat DIOP a été mis en liberté provisoire et placé sous surveillance électronique. Cependant, le parquet général peut encore former un recours devant la Cour suprême.

Démission : Par soucis de santé, Mody Niang rend le tablier de PCA du quotidien "Le Soleil" Moins de sept mois après sa ...
26/03/2025

Démission : Par soucis de santé, Mody Niang rend le tablier de PCA du quotidien "Le Soleil"

Moins de sept mois après sa nomination à la tête du Conseil d'administration du quotidien national Le Soleil, Mody Niang a annoncé sa démission. Dans une lettre adressée au Premier ministre Ousmane Sonko et au Président de la République Bassirou Diomaye Faye, il explique que des raisons essentiellement de santé l'empêchent de mener à bien sa mission avec l'efficacité requise.

Nommé le 7 août 2024, Mody Niang a officiellement pris ses fonctions le 6 septembre de la même année. Cependant, il a rapidement réalisé que son état de santé ne lui permettrait pas d'assumer pleinement ses responsabilités. "C'est vrai que ce serait plus confortable pour moi de rester et de continuer à percevoir, tous les mois, des indemnités substantielles. Ce serait alors lourd, très lourd à supporter pour ma conscience", a-t-il expliqué dans sa lettre de démission.
Cette décision rappelle un choix similaire qu'il avait fait en 2016, lorsqu'il avait quitté la présidence de l'Office national de lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC). Mody Niang affirme avoir consulté le Premier ministre et le chef de l'État avant de prendre sa décision, et il se félicite de leur compréhension.
Anticipant les interprétations politiques de son départ, Mody Niang insiste sur le fait que sa démission ne remet pas en cause son engagement envers le projet porté par Ousmane Sonko et le Pastef. "Mon engagement remonte à 2014 et s'est intensifié après mon limogeage de l'OFNAC en 2016. Il demeure intact", a-t-il précisé.

Nécrologie : Me Khoureychi BA est décédéMe Khoureychi Ba, avocat du Premier ministre Ousmane Sonko, est décédé ce mercre...
26/03/2025

Nécrologie : Me Khoureychi BA est décédé
Me Khoureychi Ba, avocat du Premier ministre Ousmane Sonko, est décédé ce mercredi à Istanbul (Turquie), où il s'était rendu pour des soins médicaux.

"Ils passent leur temps à se lamenter…" : El Malick Ndiaye charge les responsables de l'APRDepuis près d’un an, le Sénég...
26/03/2025

"Ils passent leur temps à se lamenter…" : El Malick Ndiaye charge les responsables de l'APR

Depuis près d’un an, le Sénégal est confronté à de nombreux défis hérités de la précédente administration. Entre une dette publique qui excède 100 % du PIB, un déficit budgétaire supérieur à 12 % et des tensions sociales, le gouvernement actuel tente de maintenir la stabilité du pays. Dans ce contexte, El Malick Ndiaye, responsable de la communication du parti PASTEF, s’est exprimé sur la gestion du pouvoir en place et les efforts entrepris pour redresser la situation.

« Ne vous demandez-vous toujours pas comment, dans un pays divisé par l’ancien régime, avec un budget chaotique comme héritage, nos autorités actuelles parviennent à tenir le cap depuis presque un an ? »

L’ancien porte-parole de PASTEF met en avant les difficultés liées à la situation économique et sociale du pays et salue les efforts entrepris pour assurer une continuité dans la gestion des affaires publiques. « Cherchons-nous à comprendre comment ils réussissent à maintenir la stabilité du pays malgré une dette qui dépasse 100 % du PIB et un déficit budgétaire supérieur à 12 % ? »

Parmi les actions mises en avant, il cite plusieurs réalisations du gouvernement : « Comment arrivent-ils à électrifier et approvisionner en eau le monde rural, à soutenir les acteurs du secteur agrosylvopastoral, à payer les salaires, à régler les arriérés des étudiants et des hôpitaux, et ainsi de suite ? »

El Malick Ndiaye attribue ces avancées à une gouvernance qu’il estime plus rigoureuse et transparente : « Le secret ? Des leaders, travailleurs intègres, responsables et engagés à la tête du pays. Une gouvernance saine et transparente. Une justice libérée. Des patriotes déterminés à soutenir et à protéger le projet. »

Toutefois, son discours prend une tournure plus politique lorsqu’il s’adresse aux anciens dirigeants et à leurs partisans : « Quant à ceux qui sont responsables de la situation chaotique du pays, et qui passent leur temps à se lamenter devant nos vénérés guides, ils n’ont qu’une seule chose à faire, c’est de se faire spectateurs du Jub Jubal Jubanti qui est en train de s’opérer ! »

En conclusion, il exprime sa conviction que le Sénégal amorce une transformation profonde : « Le Sénégal changera qualitativement, car nous le voulons, parce que nous sommes des patriotes ! »

Fuite de gaz sur le champ GTA : L'État du Sénégal réagitDans un communiqué conjoint, le ministère des Énergies, du Pétro...
07/03/2025

Fuite de gaz sur le champ GTA : L'État du Sénégal réagit

Dans un communiqué conjoint, le ministère des Énergies, du Pétrole et des Mines et celui de l'Environnement et de la Transition écologique ont fait savoir que l'État a pris toutes les dispositions pour que l'opérateur BP limite les impacts potentiels sur l'écosystème et qu'il trouve une solution rapide et pérenne pour résoudre l'incident.

Dans la nuit du 19 au 20 février 2025, l'opérateur du champ gazier Grand Tortue Ahmeyim, BP, a informé la République du Sénégal et la République islamique de Mauritanie, d'un incident sur le puits A02, non encore opérationnel, situé à 120 km au large des côtes. BP a fait état d'une fuite de gaz. Les équipes techniques des administrations maintiennent les échanges avec l'Opérateur, BP, qui a la responsabilité de déployer les moyens techniques requis afin de limiter, voire éviter tout impact sur l'écosystème.

L'État a exigé de l'opérateur qu'il prenne toutes les mesures nécessaires pour assurer la gestion rigoureuse de cette situation en veillant à ce que les opérations soient conduites dans le strict respect des meilleures pratiques de l'industrie pétrolière internationale telles que reprises par le cadre légal et contractuel applicable. BP est ainsi tenue de déployer tous les moyens nécessaires afin de limiter les impacts potentiels et de mettre en place une solution rapide et pérenne pour résoudre l'incident.

À date, l'opérateur informe avoir identifié des solutions possibles pour réparer la fuite dans les plus brefs délais et qu'il travaille actuellement à leur mise en œuvre.

Une surveillance multimodale de la zone est maintenue pour apprécier et suivre, autant que possible, l'impact de l'incident:
-une surveillance régulière du plan d'eau autour du site par survols d'hélicoptères et de drones. Le survol d'hélicoptère du 6 mars 2025, assuré conjointement par les deux administrations, n'a pas révélé d'anomalie visible;
-une surveillance sous-marine permanente, par véhicule sous-marin téléguidé (ROV), est maintenue pour suivre l'évolution de la fuite;
-une surveillance satellitaire sur la zone est maintenue en temps réel; les marines nationales assurent une présence permanente dans la zone pour sécurisation.

La situation est suivie de près par les administrations, en parfaite coordination, conformément à leurs prérogatives respectives. Dans ce cadre, des éléments précis sont collectés pour, notamment, alimenter une communication institutionnelle transparente et claire de la situation.

Les administrations sénégalaises, en rapport avec leurs homologues mauritaniens, poursuivent le suivi rapproché de l'évolution de l'incident et tiendront l'opinion publique informée.

Ministère de l'Énergie, du Pétrole et des Mines
Ministère de l'Environnement et de la Transition écologique."

07/03/2025

Palais : Diomaye limoge son Chef de cabinet

Le diplomate Pape Mada Ndour a été démis de ses fonctions de ministre, chef de cabinet du président de la République, a confirmé vendredi la présidence sénégalaise. Cette décision a été officialisée par un décret signé le 28 février dernier par le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye.

Port Autonome de Dakar : Une performance record avec une hausse de 6 % du tonnage traité en 2024pour l’année 2024, le Po...
07/03/2025

Port Autonome de Dakar : Une performance record avec une hausse de 6 % du tonnage traité en 2024

pour l’année 2024, le Port a enregistré une hausse de 6 % en tonnage traité, consolidant sa position en tant que hub stratégique en Afrique de l’Ouest face à une concurrence croissante. Les résultats de l’année montrent une activité portuaire florissante, avec une augmentation de 8 % du trafic, qui a atteint 24 millions de tonnes. Cette performance remarquable est largement due à la croissance des exportations, qui ont bondi de 68 %, passant de 3 millions de tonnes en 2023 à 5 millions de tonnes en 2024.

Dans le même temps, le trafic de conteneurs a également enregistré une progression, avec 881.289 conteneurs traités en 2024, contre 848.276 en 2023, soit une augmentation de 4 %. De plus, le nombre d’escales de navires a continué d’augmenter, atteignant plus de 3 000 escales en 2024, contre 2 900 en 2023, soit une hausse de 6 %.

Adresse

Dakar

Téléphone

+221764809024

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Nouvelles INFOS publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Nouvelles INFOS:

Partager