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« OpĂ©ration Aar sunu doom .Ken du Diour di Sani ! À ce soir sur Walf » Maimouna Bousso
14/11/2025

« OpĂ©ration Aar sunu doom .Ken du Diour di Sani ! À ce soir sur Walf » Maimouna Bousso

14/11/2025

« LES PREMIERS MINISTRES » SELON WADE

Le Président de la République a accordé, ce vendredi 14 novembre 2025, une audience à la Présidente du Conseil constitut...
14/11/2025

Le Président de la République a accordé, ce vendredi 14 novembre 2025, une audience à la Présidente du Conseil constitutionnel.

La rencontre a permis de faire le point sur le fonctionnement de l’institution, d’examiner les dĂ©fis identifiĂ©s et d’échanger sur les rĂ©formes Ă  venir pour consolider l’État de droit.

Le Chef de l’État a rĂ©affirmĂ© son attachement Ă  une justice constitutionnelle moderne, impartiale et pleinement au service de la stabilitĂ© dĂ©mocratique, de la transparence institutionnelle et de la confiance des citoyens.🇾🇳

L’affiche officielle de la Coalition Diomaye President
14/11/2025

L’affiche officielle de la Coalition Diomaye President

La premiÚre chose à faire, si nous voulons trouver un chemin de redressement, est de demander aux autorités de ce pays d...
14/11/2025

La premiĂšre chose Ă  faire, si nous voulons trouver un chemin de redressement, est de demander aux autoritĂ©s de ce pays d’arrĂȘter de dire que la dette du SĂ©nĂ©gal est sur une « trajectoire soutenable ». Un malade ne peut pas espĂ©rer guĂ©rir s’il continue Ă  nier sa maladie ou faire semblant d’ĂȘtre en bonne santĂ© juste pour Ă©viter d’aller voir le docteur.

Les signes de la maladie sont bien visibles:

- Augmentation considĂ©rable du service de la dette, d’ailleurs proportionnelle Ă  l’augmentation de notre rythme d’endettement (3 APE sur le marchĂ© financier sous-rĂ©gional en 2025).
- R***e à la baisse des recettes de la LFI 2025 et non atteinte à date des prévisions de recettes de la LFR 2025.
- Augmentation considérable des besoins de financement (voir LFI 2026).

Dans ce contexte, on ne peut pas continuer Ă  affirmer que la dette SĂ©nĂ©galaise est soutenable en se basant simplement sur des prĂ©visions de nouvelles recettes (issues du PRES) pour lesquelles, comme pour les recettes classiques, on n’a aucune certitude de rĂ©alisation, surtout dans un contexte Ă©conomique plus qu’incertain marquĂ© par un ralentissement de l’activitĂ© Ă©conomique et un assĂšchement de trĂ©sorerie.

L’analyse de la soutenabilitĂ© de la dette du SĂ©nĂ©gal doit obĂ©ir au principe de prudence. En application de principe, le diagnostic de la situation du pays est sans appel. Le reconnaĂźtre sans ambiguĂŻtĂ© est un pas essentiel pour prescrire Ă  nos finances publiques le traitement curatif appropriĂ©.

Si l’option de la restructuration est prĂ©sentement exclue par le SĂ©nĂ©gal c’est justement parce qu’elles refusent d’admettre que notre dette n’est plus soutenable. Pourtant, les effets indĂ©sirables de la restructuration Ă©voquĂ©es par les autoritĂ©s pour exclure cette option pourraient bien ĂȘtre neutralisĂ©s avec une bonne stratĂ©gie basĂ©e sur:

- Une priorisation de la restructuration/reprofilage de la dette bancaire locale que la Cour des Comptes indique avoir Ă©tĂ© contractĂ©e hors circuit budgĂ©taire. Celle-ci est estimĂ©e Ă  prĂšs de 2500 milliards. Je rappelle qu’il y’a quelques annĂ©es (vers 2018/2019) l’Etat du SĂ©nĂ©gal, en parfaite intelligence avec les banques locales, avait reprofilĂ© une bonne partie de sa dette bancaire locale sans que cela n’emeuve les marchĂ©s. Cette situation avait bien pu ĂȘtre gĂ©rĂ©e avec les autoritĂ©s de rĂ©gulation du secteur bancaire pour Ă©viter les impacts indĂ©sirables sur les banques en termes de dĂ©classement/provisionnement.

- Une communication stratégique intelligente avec les acteurs du marché international (agences de notation, investisseurs internationaux etc.) à travers notamment des roadshow ciblés.

Mouhamadou Madana Kane
Banquier Expert en finances
Ancien Directeur général de la Banque Islamique du Sénégal
Président du Parti DUNDU
Initiateur de CERISE ( Cercle de Réflexion Inclusif sur le Sénégal ).

Affaire Madiambal : La française desserre l’étau avant le verdict dĂ©cisif du 25 novembreLe journaliste et homme d’affair...
14/11/2025

Affaire Madiambal : La
française desserre l’étau avant le verdict dĂ©cisif du 25 novembre

Le journaliste et homme d’affaires Madiambal Diagne a enregistrĂ© une victoire importante en France dans la bataille judiciaire qui l’oppose Ă  l’État du SĂ©nĂ©gal. Alors que la Cour d’appel de Versailles doit rendre sa dĂ©cision finale le 25 novembre 2025 concernant la demande d’extradition vers le SĂ©nĂ©gal, des mesures de contrainte ont Ă©tĂ© levĂ©es.
Selon l’un de ses avocats, Me Ousmane Thiam, la justice française a dĂ©cidĂ© de lever les mesures de contrĂŽle judiciaire qui pesaient sur le patron de presse. Cette dĂ©cision lui permet de recouvrer pleinement sa libertĂ© de mouvement.
Lors de l’audience du 4 novembre 2025, les conseils de Madiambal Diagne avaient dĂ©posĂ© leur mĂ©moire devant la Cour d’appel de Versailles. Les avocats avaient soulevĂ© des irrĂ©gularitĂ©s liĂ©es au mandat d’arrĂȘt international Ă©mis par les autoritĂ©s sĂ©nĂ©galaises.

La dĂ©fense avait Ă©galement alertĂ© la Cour sur les risques d’un procĂšs inĂ©quitable pour leur client s’il Ă©tait extradĂ© vers Dakar. La dĂ©cision concernant l’extradition elle-mĂȘme est attendue le 25 novembre 2025.

La dame coalition n’en vaut pas la chandelleIl arrive un moment oĂč il faut appeler les choses par leur nom. La coalition...
14/11/2025

La dame coalition n’en vaut pas la chandelle

Il arrive un moment oĂč il faut appeler les choses par leur nom. La coalition qui a portĂ© l’actuel prĂ©sident au pouvoir ne vaut plus rien politiquement. Une structure Ă©lectoraliste, temporaire, morte-nĂ©e depuis qu’elle a refusĂ© de se prĂ©senter aux lĂ©gislatives de 2024, ne peut pas soudainement redevenir un enjeu stratĂ©gique majeur. Pourtant, c’est exactement ce qui se joue aujourd’hui, dans un spectacle politique oĂč l’absurde rivalise avec le ridicule.

Ousmane Sonko, en dĂ©signant son candidat — un choix qui avait Ă©tonnĂ© jusque dans ses propres rangs — avait misĂ© sur la compĂ©tence et la loyautĂ©. Et il faut le reconnaĂźtre : le prĂ©sident a montrĂ© qu’il avait l’étoffe pour gouverner. Le pouvoir ne l’a pas paralysĂ© ; il ne s’est pas noyĂ© dans les premiers dĂ©fis. Au contraire, il a prouvĂ© qu’il pouvait occuper la fonction avec sĂ©rieux.

Mais la divergence actuelle, elle, n’a rien Ă  voir avec la compĂ©tence.
Elle a tout à voir avec l’ambition.
Une ambition nouvelle, inattendue
 et dangereuse.

Car ce regain d’intĂ©rĂȘt pour une coalition moribonde ne peut s’expliquer que par un calcul : celui de prĂ©parer, discrĂštement mais sĂ»rement, les bases d’une future campagne pour un second mandat. Sinon, pourquoi remettre au goĂ»t du jour une alliance qui a cessĂ© d’exister le jour oĂč elle a refusĂ© d’aller aux lĂ©gislatives ? Pourquoi ressusciter un cadavre politique que tout le monde croyait enterrĂ© ?

La vĂ©ritĂ©, personne n’ose la dire ouvertement : toute personne qui souffle au prĂ©sident qu’il peut briguer un second mandat ne lui veut pas du bien. Elle prĂ©pare la rupture avec Sonko, la fracture au sein du mouvement qui a permis l’alternance et, pire encore, elle expose le pays Ă  une nouvelle tension politique dont il n’a absolument pas besoin.

Ceux qui encouragent ce dĂ©bat dĂ©placĂ© jouent un jeu dangereux. Ils misent sur l’ivresse du pouvoir, espĂ©rant que le prĂ©sident oubliera d’oĂč il vient et grĂące Ă  qui il a accĂ©dĂ© Ă  la magistrature suprĂȘme. La lĂ©gitimitĂ© actuelle n’est pas seulement institutionnelle : elle est aussi profondĂ©ment politique. Elle repose sur une alliance personnelle, presque fraternelle, avec Sonko. Une alliance fragile, mais rĂ©elle. La mettre en pĂ©ril pour une coalition fantĂŽme relĂšve d’un choix trĂšs discutable.

On dit que « l’appĂ©tit vient en mangeant ». Et il est vrai que le pouvoir peut enivrer les esprits les plus solides. Mais un chef d’État n’a pas le luxe de cĂ©der Ă  ce genre de tentation. Pas dans un pays oĂč les mĂ©nages peinent Ă  joindre les deux bouts. Pas dans un pays oĂč l’espoir nĂ© de l’alternance semble s’effriter face aux rĂ©alitĂ©s quotidiennes.

Le prĂ©sident doit se rappeler une chose essentielle : il n’a pas Ă©tĂ© Ă©lu pour reconstruire une coalition dĂ©jĂ  morte, encore moins pour prĂ©parer un futur mandat hypothĂ©tique. Il a Ă©tĂ© Ă©lu pour gouverner. Pour stabiliser. Pour rĂ©pondre aux urgences Ă©conomiques, sociales et institutionnelles.

Tout le reste n’est que distraction, vanitĂ© et pyromanie politique.

La dame coalition n’en vaut pas la chandelle.
S’y accrocher, c’est gaspiller du temps, de l’énergie et de la crĂ©dibilitĂ©.
Et surtout : c’est prendre le risque de dĂ©truire ce qui a Ă©tĂ© construit ensemble.

Et humainement, quel exemple souhaitons-nous donner aux plus jeunes ?
Que, dans ce monde, la loyautĂ© dĂ©pend de l’intĂ©rĂȘt du moment ?
Que l’on est fidùle seulement tant que cela reste profitable ?
Non. Je refuse mĂȘme d’imaginer cela. Un prĂ©sident est un modĂšle, tant dans sa dĂ©marche que dans sa posture. Et quand on a la responsabilitĂ© de diriger toute une nation, cette responsabilitĂ© doit impĂ©rativement s’accompagner d’humilitĂ©.
PMD
Éternel IndignĂ©

Les choses bougent
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14/11/2025

Les choses bougent
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🔮 ALERTE PLAGIAT APTE EXISTE DÈJA 👇👇👇APTE, un nom, une histoire, une Ă©motionJ’ai une histoire toute particuliĂšre avec AP...
13/11/2025

🔮 ALERTE PLAGIAT
APTE EXISTE DÈJA 👇👇👇
APTE, un nom, une histoire, une émotion
J’ai une histoire toute particuliĂšre avec APTE. Et Dieu sait que je ne suis pas le seul. Bien avant d’ĂȘtre associĂ© Ă  une coalition politique nationale, APTE, c’était pour nous une flamme nĂ©e dans les amphis, un idĂ©al forgĂ© dans l’engagement Ă©tudiant. À l’époque, l’acronyme signifiait « Amicale Pour Tous les Étudiants ». C’était un creuset de solidaritĂ©, de fraternitĂ© et de combat pour l’équitĂ© dans nos campus. Plus t**d, ce rĂȘve d’unitĂ© et de justice a grandi, s’est structurĂ©, s’est ancrĂ© dans la rĂ©alitĂ© sociale de notre terroir pour devenir l’Alliance Patriotique pour le Travail et l’ÉquitĂ© (APTE/Diourbel).
C’est pourquoi, lorsque j’ai entendu que le nom APTE (Alliance Patriotique pour le Travail et l’Éthique) avait Ă©tĂ© proposĂ© pour rebaptiser la coalition « Diomaye PrĂ©sident », j’ai eu comme un choc. Ce mot, familier et symbolique, a immĂ©diatement fait Ă©cho Ă  mon histoire, Ă  celle de tant de jeunes de Diourbel qui ont cru en la force du travail, en la dignitĂ© et en la justice comme leviers d’émancipation. J’ai eu l’impression qu’on venait effleurer quelque chose de trĂšs intime : un rĂȘve que j’ai vu naĂźtre, un idĂ©al que nous avons portĂ© avec foi et abnĂ©gation.
APTE, pour nous, n’est pas qu’un sigle. C’est un symbole. Celui d’une jeunesse debout, d’un mouvement nĂ© de la conviction qu’on pouvait servir le SĂ©nĂ©gal autrement : par l’effort, l’éthique et la loyautĂ© envers le peuple. Lorsque notre mouvement APTE/Diourbel a soutenu la coalition Diomaye PrĂ©sident lors de la derniĂšre prĂ©sidentielle, nous ne l’avons pas fait pour plaire Ă  un parti ni pour obtenir des avantages. Nous l’avons fait par conviction. Parce qu’entre la rupture et la continuitĂ©, il fallait choisir. Et nous avons choisi la rupture, celle d’un SĂ©nĂ©gal plus juste, plus transparent, plus humain.
Ce soutien, nous l’avons apportĂ© sans contact direct ni avec le candidat ni avec le parti PASTEF. Nous l’avons fait en conscience, en citoyens libres, meurtris par les images de jeunes tuĂ©s Ă  balles rĂ©elles, par les arrestations arbitraires et par la confiscation de la parole du peuple. Ce choix, nous l’assumons encore aujourd’hui avec fiertĂ©.
Mais voir aujourd’hui ressurgir le nom APTE, avec une sonoritĂ© et une signification presque identiques Ă  celles de notre mouvement, nous interpelle. Ce n’est pas de la dĂ©fiance, encore moins de la jalousie. C’est un mĂ©lange de fiertĂ© et d’inquiĂ©tude : fiertĂ© de voir qu’un nom qui nous est si cher entre dans l’espace politique national, mais inquiĂ©tude de constater que cette ressemblance puisse crĂ©er des confusions, effacer une partie de notre identitĂ©, ou prĂȘter Ă  Ă©quivoque sur nos origines et nos combats.
Pour nous, APTE n’est pas un simple label. C’est une histoire faite de sacrifices, d’espĂ©rance et de fidĂ©litĂ© Ă  des principes. Il nous a accueillis dans le milieu syndical Ă  l’universitĂ©, il a gardĂ© notre identitĂ© dans le champ politique de Diourbel, et il continue d’incarner notre vision : celle d’un engagement citoyen, sincĂšre et enracinĂ©.
Alors oui, nous prenons acte. Mais nous ne cesserons jamais de rappeler que APTE est nĂ© d’un idĂ©al, pas d’une stratĂ©gie. D’un serment, pas d’un slogan. D’un amour profond pour le SĂ©nĂ©gal et pour Diourbel, notre terre d’origine et de dignitĂ©.
APTISTE UN JOUR 👉APTISTE POUR TOUJOURS
APTE/DIOURBEL

Me Moussa Diop : "Merci Monsieur le Président de la République d'avoir sifflé la fin de la récréation politicienne à tra...
13/11/2025

Me Moussa Diop : "Merci Monsieur le PrĂ©sident de la RĂ©publique d'avoir sifflĂ© la fin de la rĂ©crĂ©ation politicienne Ă  travers une TĂ©ra-rĂ©ponse face aux chantages, menaces et bouderies d'un premier ministre qui mĂ©connaĂźt les prioritĂ©s et urgences urgentes du SĂ©nĂ©gal👏🏿👏🏿👏🏿"

13/11/2025

« Diomaye Dafa beugue éliminer Ousmane Sonko » Cheikh Bara Ndiaye

Dans le cadre de son nemekou tour suite à sa libération de prison, Abdou Nguer a rendu visite à Lat Diop, son ex codéten...
13/11/2025

Dans le cadre de son nemekou tour suite Ă  sa libĂ©ration de prison, Abdou Nguer a rendu visite Ă  Lat Diop, son ex codĂ©tenu. PlutĂŽt dans la journĂ©e, le chroniqueur s’est rendu dans certains mĂ©dias dont SENTV.

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