L'ombre de la rue

L'ombre de la rue L'information à chaud

Agression mortelle à la Cité Pépinière de Pikine: Mamadou Sow poignardé au cou pour un téléphone.Le vendeur d'œuf, âgé d...
11/08/2025

Agression mortelle à la Cité Pépinière de Pikine: Mamadou Sow poignardé au cou pour un téléphone.
Le vendeur d'œuf, âgé de 41 ans, a été attaqué tôt dans la matinée par quatre malfaiteurs alors qu’il se rendait à son travail.

(Libération)

Les investigations du Glad sur la saisie record de 643 kilos de cocaïne à Noflaye révèlent une mafia tentaculaire "Cosa ...
11/08/2025

Les investigations du Glad sur la saisie record de 643 kilos de cocaïne à Noflaye révèlent une mafia tentaculaire
"Cosa nostra" à Dakar

Activement recherchés, Moussa Diaw (Franco-sénégalais), Mike Evans Yamdjeu (Français) et Yannick Dior Sikam Defosso (Camerounais), tous âgés de 42 ans, étaient au cœur d'une vaste entreprise de trafic de drogue entre la Gambie, le Sénégal et la France. Litinéraire troublant de Moussa Yoro Diaw (59 ans), oncle de Moussa Diaw, et "transporteur", arrêté avec les 643 kilos de co***ne récupérés en Gambie. L'argent issu du trafic, qui dure depuis des années, blanchi dans l'achat d'appartements à l'immeuble "Océan paradise" de Yoff, des villas et terrains à Ngaparou mais aussi dans les sociétés Jolofex et Flexicorp avec l'usage de prête-noms.
Actes de vente d'immeubles, décisions de réaffectations de terrains, autorisations de construire d'immeubles, titres de propriétés..., l'impressionnante découverte des gendarmes du Groupe de lutte anti-drogue (Glad) dans l'appartement de Mike Evans Yamdjeu.
(Libération)

Unes des journaux de ce lundi 11 août 2025
11/08/2025

Unes des journaux de ce lundi 11 août 2025

Waly Diouf Bodian : "Le conseil constitutionnel est une bombe à ret**dement minutée et posée au siège du projet."
10/08/2025

Waly Diouf Bodian : "Le conseil constitutionnel est une bombe à ret**dement minutée et posée au siège du projet."

Aliou Sall dément une plainte contre Ousmane SONKO et annonce son retrait de la scène politique"Je démens catégoriquemen...
10/08/2025

Aliou Sall dément une plainte contre Ousmane SONKO et annonce son retrait de la scène politique

"Je démens catégoriquement cette information selon laquelle j’ai décidé de porter plainte contre le Premier ministre Ousmane Sonko relativement à l’accusation de détournement de 6000 milliards. C’est dénué de tout sens. Je dénonce en même temps le tapage médiatique savamment orchestré autour de l’affaire Petrotim depuis quelques semaines. J’ai oublié cette page sombre de mon parcours et surtout j’ai sincèrement pardonné à tous ceux qui m’ont fait du mal en le faisant exprès ou en étant influencé par des gens de mauvaise fois. Parmi eux il y a certes des membres de la majorité politique actuelle mais il y a aussi et surtout, des responsables de l’ancienne majorité à laquelle j’appartenais. Je profite de cette occasion pour annoncer que je me suis retiré de la scène politique au lendemain des législatives ayant consacré une écrasante majorité à qui il revient de droit de gouverner dans la sérénité. Que je sois d’accord avec eux ou pas ! Je préfère me consacrer à une autre passion que je pense être tout aussi noble que la politique".

Aliou Sall
Ancien maire de Guediawaye

Mali : Les autorités ont procédé depuis plusieurs jours à "au moins une vingtaine d'arrestations" de militaires soupçonn...
10/08/2025

Mali : Les autorités ont procédé depuis plusieurs jours à "au moins une vingtaine d'arrestations" de militaires soupçonnés de vouloir renverser la junte, elle-même arrivée au pouvoir par deux coups d'Etat successifs en 2020 et 202, a appris l'AFP de sources sécuritaires et politiques dimanche.

Drame à Pikine Icotaf : Mamadou Sow froidement assassinéUne tragédie a frappé la commune de Pikine dans la nuit du samed...
10/08/2025

Drame à Pikine Icotaf : Mamadou Sow froidement assassiné
Une tragédie a frappé la commune de Pikine dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 août. Le jeune commerçant Mamadou Sow, plus connu sous le nom de Mamalaye, a été lâchement tué lors d’une agression alors qu’il rentrait de son lieu de travail.
Selon des sources, Mamalaye, la trentaine bien entamée, a été violemment attaqué par un groupe de malfaiteurs sur le chemin de son magasin. Les circonstances exactes du drame restent encore floues.
Originaire de Gandiole (Saint-Louis), Mamalaye était apprécié de tous pour son sérieux, sa générosité et son implication dans le commerce local. Sa disparition brutale laisse sa famille, ses proches, ainsi que toute la communauté de Pikine Icotaf dans une profonde douleur.
Son corps a été transféré à la morgue de l’hôpital de Pikine. Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur ce meurtre.

Horreur aux Etats Unis : Serigne Modou Gueye, tué par b***e dans une fusillade à Baltimore.
10/08/2025

Horreur aux Etats Unis : Serigne Modou Gueye, tué par b***e dans une fusillade à Baltimore.

Coopération Turkish EximBank- Sénégal : l’illusion d’une relance sans detteLe gouvernement à travers le ministre de l’éc...
10/08/2025

Coopération Turkish EximBank- Sénégal : l’illusion d’une relance sans dette

Le gouvernement à travers le ministre de l’économie, a annoncé, avec une satisfaction affichée, que la Turkish EximBank financerait des projets structurants au Sénégal sans alourdir la dette publique.

Dans un pays où la dette a été estimée à 99,7 % du PIB par la Cour des comptes en 2023, puis réévaluée à 119 % en 2024 par Barclays et repris par le Premier ministre lors de la présentation de son plan de redressement, l’annonce sonne comme une prouesse qui est celle d’investir sans creuser le trou.

Cependant, derrière cette communication triomphante, la réalité est moins glorieuse. Cette nouvelle doctrine d’investissement annoncée n’est ni une innovation sénégalaise ni une véritable rupture. Il s’agit d’un mécanisme bien connu consistant à transférer l’endettement à une structure tierce (société de projet, entreprise publique, partenariat public-privé) afin qu’il n’apparaisse pas directement dans les comptes de l’État.

En apparence, l’État ne s’endette pas. En réalité, il s’engage, souvent par des clauses implicites ou explicites, à soutenir le projet en cas de défaillance. Les remboursements reposent sur des recettes futures, des contrats d’achat garantis ou des concessions, autant de mécanismes déjà utilisés par le régime précédent via des entreprises parapubliques pour financer des projets.

Ces méthodes ont conduit à ce que le régime avait pourtant qualifié de dettes cachées, invisibles dans les chiffres officiels au départ mais retombant inévitablement sur le budget national lorsque les revenus promis ne sont pas au rendez-vous.

Ce qui se dessine aujourd’hui ressemble davantage à la construction d’un bilan immatériel qu’à une relance économique réelle. L’objectif semble être de produire un effet d’annonce, en affichant des milliards mobilisés sans dette officielle, tout en sachant que ces montages ne génèrent pas toujours une transformation tangible pour l’économie nationale.

Dans ce type de contrat, les projets sont souvent confiés à des entreprises étrangères, en l’occurrence turques. Sans clauses strictes de sous-traitance locale ni obligations de transfert de technologie, la valeur ajoutée telle que les emplois qualifiés, les bénéfices, l’expertise, risque de s’évaporer largement hors du Sénégal.

Changer l’appellation d’un financement ne modifie pas sa nature économique.

Dans bien des cas, ces dettes hors bilan s’avèrent plus coûteuses qu’un emprunt souverain classique car elles garantissent le rendement de l’opérateur étranger, protégé par des clauses contractuelles.

Les montages de type BOT (Build-Operate-Transfer) illustrent bien ce risque. Les tarifs ou redevances imposés aux usagers sont calibrés pour assurer la rentabilité de l’investisseur même si le projet ne rencontre pas le succès prévu.

Et lorsque l’équilibre économique est rompu, c’est encore l’État qui paie, directement ou indirectement.

Nous avons déjà vu ce scénario dans certains pays avec des engagements pris hors bilan, salués comme « innovants » lors de leur signature mais qui, quelques années plus t**d, deviennent une charge budgétaire écrasante.

Changer le nom de la dette n’efface pas la dette. De même, changer le vocabulaire du financement ne garantit ni la prospérité ni l’indépendance économique.

Le Sénégal n’a pas besoin d’un catalogue d’annonces habillées en succès diplomatiques mais d’une stratégie claire de relance productive, bâtie sur les forces locales, avec des contrats transparents, équilibrés et orientés vers le renforcement du tissu économique national. Faute de quoi, le pays risque de payer très cher un bilan qui, au mieux, sera spectaculaire sur le papier et décevant dans la vie réelle.

Thierno Bocoum
Président AGIR- LES LEADERS

09/08/2025

Cheikh Ba, président de Chambre à la Cour d’appel de Dakar, élu président de l’UMS. Il succède à Ousmane Chimère Diouf, dont le mandat s’est achevé après deux années consécutives.
Cheikh Ba l’a emporté face à deux autres candidats, Mouhamadou Ndiaye Sarr, substitut du procureur à Saint-Louis, et Khaoussou Diop, président de Chambre à la Cour d’appel de Ziguinchor et ancien secrétaire général de l’UMS.

Ousmane Chimère Diouf, Président sortant de l'UMS, aux députés : "Les principes qui régissent notre profession sont inco...
09/08/2025

Ousmane Chimère Diouf, Président sortant de l'UMS, aux députés : "Les principes qui régissent notre profession sont incompatibles avec le populisme (...) La décision n° 2C-2025 du 24 juillet 2025 a tranché : certains alinéas de l’article 56 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale sont contraires à la Constitution... Le Parlement peut contrôler l’action du gouvernement et auditionner des membres de l’exécutif ou des dirigeants d’établissements publics, mais aucune disposition constitutionnelle ne lui permet d’entendre des magistrats dans l’exercice de leurs fonctions."

Le magistrat est d'avis qu’un règlement intérieur, même sous forme de loi organique, ne peut modifier ni contredire la Constitution.

Ousmane Diagne, ministre de la Justice : "La justice est un pilier essentiel de notre jeune République. Nous devons la p...
09/08/2025

Ousmane Diagne, ministre de la Justice : "La justice est un pilier essentiel de notre jeune République. Nous devons la protéger et l’améliorer, car c’est sur la solidité de nos institutions que repose l’avenir du pays."

Le garde des Sceaux s'exprimait lors de l’Assemblée générale ordinaire de l’Union des Magistrats du Sénégal (UMS).

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