Bara Ndiaye

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Ma lecture sur les Diaspora Bonds.Si les états et les institutions transnationales peuvent prêter au Sénégal les fonds n...
16/09/2025

Ma lecture sur les Diaspora Bonds.

Si les états et les institutions transnationales peuvent prêter au Sénégal les fonds nécessaires à son développement, il est important de reconnaître que les Sénégalais de la diaspora représentent une force économique bien plus puissante et durable. Leur contribution annuelle dépasse largement, parfois du double, l’aide publique au développement. Ce sont eux, les fils et filles du pays, qui envoient chaque année des milliards de francs CFA, soutenant des familles, finançant des projets immobiliers, et maintenant à flot une économie informelle vitale.

Mais aujourd’hui, l'hésitation des bailleurs classiques dans un monde en crise de ressources impose un modèle de financement alternatif. Ce qui ne doit pas nous faire oublier que le Sénégal ne peut bâtir son avenir uniquement sur des transferts de fonds destinés à la consommation ou à l’investissement immobilier. Il est temps que ces ressources soient orientées vers des projets structurants portés par l’État. Cela implique un sacrifice: les émigrés devront renoncer, en partie, à des investissements personnels pour souscrire à des obligations nationales, à des fonds souverains ou à des projets d’infrastructure. Ce n’est pas une simple contribution, c’est un acte de foi envers la nation.

Cependant, cette exigence ne peut être unilatérale. Les Sénégalais d’ici et de la diaspora ne doivent pas être les seuls à serrer la ceinture. L’État, lui aussi, doit montrer l’exemple. Il est inadmissible que, dans un contexte de mobilisation nationale, le train de vie des dirigeants reste inchangé. Les voyages en jet privé du Premier ministre, les déplacements coûteux et peu productifs du Président, ainsi que les dépenses superflues des hauts responsables doivent être les premiers leviers d’une nouvelle doctrine de sobriété.

La pédagogie par l’exemple est un langage puissant. Elle inspire confiance, elle fédère, elle légitime l’effort collectif. Si l’État veut convaincre ses enfants de l’extérieur d’investir dans le destin du Sénégal, il doit d’abord leur prouver que chaque franc mobilisé sera utilisé avec rigueur, transparence et efficacité.

Le développement ne se décrète pas, il se construit ensemble dans l’équité, la responsabilité et le respect mutuel.

Bara Ndiaye
Président parti Forces Ouvertes pour la République et le Travail, FORT

La rencontre de Milan entre le Premier ministre Ousmane Sonko et la diaspora sénégalaise d’Europe, bien que marquée par ...
15/09/2025

La rencontre de Milan entre le Premier ministre Ousmane Sonko et la diaspora sénégalaise d’Europe, bien que marquée par une mobilisation impressionnante, mérite d’être analysée avec nuance. Ce rassemblement aurait pu incarner une démarche innovante en matière de gouvernance participative et de dialogue transnational, s’il n’avait été teinté d’une forte connotation populiste.

Au lieu d’un cadre institutionnel propice à des échanges constructifs sur les enjeux de l'implication de la diaspora dans le Plan de Redressement Économique et Social, l’événement a pris les allures d’un meeting politique, reléguant au second plan les impératifs de représentation étatique. La ferveur militante, bien que légitime dans un contexte démocratique, a éclipsé la portée diplomatique et économique que ce type de déplacement aurait pu revêtir.

Ainsi, le succès apparent de cette rencontre mérite d’être relativisé: il témoigne davantage d’une dynamique partisane que d’une avancée institutionnelle.

Bara Ndiaye président du parti
FORT (forces ouvertes pour la républiques
et le travail)

RÉACTION DE BARA NDIAYE SUITE AU REMANIEMENT MINISTÉRIEL Je prends acte du remaniement ministériel opéré par le Présiden...
07/09/2025

RÉACTION DE BARA NDIAYE SUITE AU REMANIEMENT MINISTÉRIEL

Je prends acte du remaniement ministériel opéré par le Président de la République et le Premier ministre. Je félicite les nouveaux entrants et adresse mes encouragements à l’ensemble de l’équipe gouvernementale. Dans ce contexte marqué par de fortes tensions sociales et économiques, je leur souhaite énergie, lucidité et réussite dans l’exercice de leurs fonctions.

J’exhorte le gouvernement à recentrer son action sur les préoccupations réelles des Sénégalais, en particulier celles des ménages les plus vulnérables, qui subissent de plein fouet les effets encore perceptibles de la COVID et du conflit russo-Ukrainien.
J'exprime ma profonde déception et mon inquiétude face à l'éviction prévisible d'Ousmane Diagne, ministre de la justice, garde des Sceaux. Ce départ constitue un signal préoccupant pour l’état de droit et l’indépendance de la justice. Son courage à refuser toute instrumentalisation du pouvoir judiciaire et à s’opposer à une justice des vainqueurs mérite d’être salué.

La pastefisation du gouvernement n’est certainement pas un délit, mais elle ne doit en aucun cas fragiliser nos institutions républicaines ni compromettre les principes sacrés qui fondent notre démocratie.

Bara Ndiaye
Président du parti FORT

Il est urgent de mettre à disposition le Fonds d’Appui et de Développement de la presse. Sa suspension, quelle qu’en soi...
01/09/2025

Il est urgent de mettre à disposition le Fonds d’Appui et de Développement de la presse. Sa suspension, quelle qu’en soit la justification avancée, est injustifiable. Ce fonds, fruit d’une réforme voulue par l’ancien régime pour moderniser l’aide à la presse, n’a jamais été conçu pour être mis en veille. Il s’agit d’une décision du législateur sénégalais, au même titre que les subventions accordées aux institutions publiques.

Les médias, piliers de notre démocratie, ne peuvent être laissés pour compte. Le gouvernement a l’obligation de rendre ce fonds accessible aux acteurs du secteur, dans le respect des principes de transparence et d’équité. Il est peut-être temps de réfléchir à une entité indépendante pour sa gestion, en lien étroit avec le ministère de la Communication. Le contrôle de la répartition et de l’usage des ressources allouées est légitime, leur blocage ne l’est pas. Secteur attend ce de gouvernement plus et pas moins.

Bara Ndiaye

Élection de Abass Fall à la mairie de Dakar: faut-il en rire ou en pleurer ?A mon avis, l’élection d’Abass Fall à la têt...
25/08/2025

Élection de Abass Fall à la mairie de Dakar: faut-il en rire ou en pleurer ?
A mon avis, l’élection d’Abass Fall à la tête de la mairie de Dakar a tout d’un retournement théâtral. Derrière les sourires de victoire, une question dérange: le Pastef a-t-il trahi ses propres principes pour reconquérir un fauteuil qu’il avait jadis offert à Barthélémy Dias? Les méthodes employées pour évincer ce dernier, jugées peu orthodoxes par certains, rappellent étrangement les manœuvres que le parti dénonçait avec véhémence dans l’opposition.
Mais peut-on vraiment blâmer un allié qui décide de reprendre ce qu’il estime lui revenir de droit? Ousmane Sonko fut un artisan majeur de l’ascension de Dias à la mairie. L’ingratitude politique n’est pas un crime, mais elle a un prix. Et Pastef semble avoir choisi de le faire payer comptant. La vengeance, en politique, ne s’habille pas toujours de nobles idéaux: elle se consomme à vif, sans détour ni élégance.
Alors, faut-il en rire ou en pleurer? Peut-être les deux. Rire de cette ironie où les révolutionnaires deviennent stratèges, et pleurer sur l’érosion des convictions dans le tumulte du pouvoir.
Bara Ndiaye

J'ai appris le rappel à Dieu de l’honorable députée Fanta SALL. Je présente mes sincères condoléances à sa famille biolo...
21/08/2025

J'ai appris le rappel à Dieu de l’honorable députée Fanta SALL. Je présente mes sincères condoléances à sa famille biologique, à l'Alliance Pour la République sa famille politique et à la population de Koungheul. Que le Tout-puissant lui accorde son pardon et la gratifie d'une admission au paradis. Paix à son âme.

18/08/2025

Ma lecture du dernier Single de Thiat.

Le dernier single de Thiat, membre du mouvement Y’en a marre, intitulé Porozé Bi, s’inscrit dans la lignée des brûlots musicaux qui interpellent les gouvernants. Cette fois, c’est le régime Pastef qui est dans le viseur du rappeur, avec des critiques virulentes sur le non-respect des engagements et la gestion actuelle du pouvoir.

Mais cette posture n’a rien de nouveau. Le mouvement Y’en a marre est né dans la contestation du régime Wade, et n’a pas hésité à affubler Macky Sall du sigle Diogoufi dès sa première année de mandat. Aujourd’hui, c’est au tour de Pastef de recevoir sa dose de critique. Et c’est bien là l’essence du jeu démocratique: exprimer des désaccords sans violence, sans insultes, sans destruction.

Il est important de rappeler que Thiat et ses compagnons ont été salués hier par ceux-là mêmes qui gouvernent aujourd’hui. La critique, tant qu’elle reste dans les limites du respect et de la légalité, doit être tolérée et même encouragée.

Le parti Pastef, loin d’être démuni, dispose d’ arguments solides pour répondre à ses détracteurs. Son Plan de Redressement, bien qu’imparfait, contient des mesures louables et prometteuses. La récente visite du Premier ministre Ousmane Sonko en Turquie, saluée comme un succès diplomatique, aurait pu être mieux exploitée pour renforcer l’image du parti. Ce manque de valorisation interroge sur une possible perte d’une aptitude stratégique qui fut autrefois un atout redoutable.
En somme, la musique de Thiat n’est pas une attaque gratuite, mais une expression citoyenne qui rappelle que nul pouvoir n’est au-dessus de la critique.

Mes inquiétudes au sujet de la circulaire du ministre des collectivités territoriales La circulaire du ministre Balla Mo...
10/08/2025

Mes inquiétudes au sujet de la circulaire du ministre des collectivités territoriales

La circulaire du ministre Balla Moussa Fofana, ordonnant une vérification administrative et comptable de certaines collectivités territoriales, soulève de vives inquiétudes. Même dans l’exercice de sa tutelle, le ministère pouvait laisser cette mission aux corps de contrôle compétents tels que la Cour des Comptes ou, dans une moindre mesure, l’Inspection générale d’État.

Confier une mission aussi sensible à une institution politique revient à brouiller les lignes entre contrôle républicain et manœuvre partisane. Ceux qui y voient une tentative de mise sous tutelle des communes dirigées par l’opposition n’ont pas tout à fait tort, surtout au regard de la coïncidence troublante qu'il y'a entre la liste des communes ciblées et la filiation politique des maires à leur tête. Aucune mention ne fait référence à la période encore moins aux projets à vérifier.
Il faut préserver l’indépendance des institutions et d'écarter toute dérive autoritaire masquée sous des prétextes administratifs.

Bara Ndiaye
- Ancien maire de Méouane
- Diplômé en communication et en science politique
- Ancien Directeur général de la Maison de la presse Babacar Touré

Je tiens à exprimer ma vive inquiétude face aux propos dangereux et attentatoires à l’ordre constitutionnel tenus par le...
08/08/2025

Je tiens à exprimer ma vive inquiétude face aux propos dangereux et attentatoires à l’ordre constitutionnel tenus par le député Guy Marius Sagna. Il est impératif de rappeler que la Constitution du Sénégal consacre un seul Président de la République, élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans. Toute autre prétention ou conviction contraire ne fait qu’alimenter la confusion et constitue une négation flagrante de notre ordre républicain. Il est temps que le parti Pastef et ses responsables mettent fin à cette dualité sciemment entretenue, qui menace la stabilité institutionnelle et la cohésion nationale.

Bara Ndiaye
Président du parti Forces Ouvertes pour la République et le Travail

Il faut magnifier le nouvel élan dans la gouvernance du secteur minier.Je salue la remarquable transformation que connai...
07/08/2025

Il faut magnifier le nouvel élan dans la gouvernance du secteur minier.

Je salue la remarquable transformation que connait le secteur minier sénégalais sous l’impulsion des nouvelles autorités. Les réformes engagées et les décisions courageeuses ont permis une augmentation significative des revenus générés, portée notamment par une implication accrue de l’État dans les compagnies détentrices de concessions. Cette stratégie audacieuse renforce la souveraineté économique et assure une meilleure maîtrise des ressources nationales.

Toutefois, pour que cette dynamique soit pleinement bénéfique, il est essentiel que l’État veille à une plus juste répartition des revenus. Les collectivités territoriales, souvent les premières impactées par l’activité minière, doivent recevoir une part substantielle des gains afin de favoriser un développement local inclusif, responsable et respectueux des droits des citoyens.
Il convient de saluer le dynamisme de la SOMISEN, acteur moteur de cette relance, ainsi que l’engagement de son Directeur général, dont la passion et l’énergie incarnent avec brio le renouveau et l’ambition de la jeunesse.

Bara Ndiaye

- Expert en décentralisation et gouvernance territoriale
- Ancien maire de Méouane
- Ancien Directeur général de la Maison de la presse Babacar Touré

L’attitude du préfet de Kaolack n'est pas digne d'un représentant de l'Etat. Il est absolument scandaleux qu’un représen...
04/08/2025

L’attitude du préfet de Kaolack n'est pas digne d'un représentant de l'Etat.

Il est absolument scandaleux qu’un représentant de l’État, censé incarner l'élégance républicaine, puisse ordonner au commissaire de "dégager" le maire Serigne Mboup, élu légitimement par les populations de Kaolack. Ce comportement autoritaire et méprisant bafoue tous les principes républicains mais aussi le respect dû à un élu territorial.

Le préfet est tenu, par devoir et par décence, de coopérer avec les autorités municipales dans le respect des prérogatives de chacun. S’attaquer ainsi à un maire, c’est s’attaquer à la volonté populaire. C’est une dérive grave qui doit être dénoncée avec force.

Le respect des élus locaux est une exigence républicaine, non une faveur.

Bara Ndiaye Président du Parti FORT
Ancien maire de Méouane

Le Plan de Redressement Économique et Social du Sénégal: les atouts, les limites et les incohérencesLe gouvernement du P...
04/08/2025

Le Plan de Redressement Économique et Social du Sénégal: les atouts, les limites et les incohérences

Le gouvernement du Premier ministre Ousmane SONKO a dévoilé un Plan de Redressement Économique et Social censé marquer une rupture avec les dérives budgétaires du passé. Ce plan, bien que porteur de certaines mesures courageuses, soulève également des interrogations majeures sur sa cohérence, son équité et sa portée sociale.

I- Les atouts du plan

- Une fiscalité comportementale renforcée

La surtaxe sur le tabac et les jeux de hasard est une mesure salutaire. Elle permet non seulement de décourager des pratiques nuisibles à la santé publique, mais aussi de générer des recettes fiscales sans pénaliser les secteurs productifs.

- Un potentiel d’élargissement encore inexploité

Cette logique de taxation pourrait être étendue à d’autres produits et services à forte consommation dans les milieux aisés: cosmétiques de luxe, alcool, établissements de loisirs haut de gamme. Ces secteurs, peu affectés par les crises économiques, peuvent contribuer davantage à l’effort national sans alourdir la charge des ménages modestes.

- Une volonté affichée de rationalisation budgétaire

Le plan propose de supprimer certaines subventions jugées inefficaces et de réorienter les ressources vers les secteurs prioritaires. Une démarche qui, sur le papier, vise à assainir les finances publiques.

II- Les limites et incohérences du PRES

- Un effort budgétaire à géométrie variable

Le plan semble épargner les institutions centrales du pouvoir. Les fonds politiques de la Présidence, de la Primature et de l’Assemblée nationale, ainsi que les dépenses de prestige (comme l’acquisition de véhicules pour les députés), ne sont pas concernés par les mesures d’austérité. Cette asymétrie affaiblit la crédibilité du plan et nourrit un sentiment d’injustice.

- Absence de pédagogie par l’exemple

Pour être légitime, le redressement économique doit commencer par une cure d’amaigrissement au sommet de l’État. Réduction des effectifs pléthoriques, limitation des privilèges, transparence sur les fonds spéciaux: autant de gestes forts qui auraient pu incarner une gouvernance exemplaire.

- Une gouvernance du secteur parapublic moins audacieuse

Le plan ne propose pas de réforme structurelle du secteur parapublic, pourtant source de gaspillage budgétaire. Il est urgent de revoir la fonction de président du conseil d’administration et d’ administrateur dans les entreprises publiques. Ces rôles pourraient être assurés par des membres déjà en poste dans les ministères (ministre, directeur de cabinet, secrétaire général, conseillers), évitant ainsi des rémunérations supplémentaires.
De même, une réduction des avantages excessifs des Directeurs généraux des sociétés publiques serait une mesure de bon sens pour rationaliser les dépenses.

- Une pression accrue sur les ménages vulnérables

Ce plan, une fois de plus, fait peser l’essentiel de l’effort sur les ménages sénégalais, notamment les plus précaires. Après la suspension des bourses familiales, la levée de certaines subventions va inévitablement affaiblir davantage le goorgorlou sénégalais, déjà éprouvé par la hausse des prix et la précarité.
Un peu plus d’humanisme dans la conception du plan aurait permis de mieux protéger les couches vulnérables, au lieu de les exposer à de nouvelles charges.

Le Plan de Redressement Économique et Social du gouvernement SONKO contient des mesures audacieuses et nécessaires, mais il souffre d’un manque de cohérence éthique et sociale. Pour qu’il soit véritablement porteur de transformation, il doit s’appuyer sur une répartition équitable de l’effort, une réforme profonde de la gouvernance publique, et une attention accrue aux réalités sociales.
Sans cela, il risque de n’être qu’un ajustement budgétaire de plus, où les plus faibles paient pour les privilèges des plus forts.

Bara Ndiaye
Président Forces Ouvertes pour la République et le Travail

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Dakar
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