Al-AKHBAR

05/02/2024

21/01/2023

Les troubadours ou saltimbanques ( griots ) infestent chaque jour la ville de Ndjamena, capitale de la république du Tchad. Ceux-ci se déplacent en groupe de cinq à dix personnes et pavanent dans les quartiers de la dite ville, à la recherche des lieux de cérémonie de mariage, de baptême ou de toute autre réjouissance populaire, pour chanter et danser à la gloire des organisateurs. Ils reçoivent en retour des organisateurs quelques billets bancaires ( Argent ). C'est de cette manière qu'ils gagnent leurs pains quotidiens. Ces hommes viennent essentiellement des villages environnants de Ndjamena. Ce genre d'activité froisse la dignité de l'homme. Cela n'est différent de la mendicité , tant décriée comme vice ou une fausse valeur de la société. Pour ce faire les adeptes de cette activité se doivent d'apprendre certains petits métiers, afin de subvenir à leurs besoins. C'est la seule possibilité qui les rendra responsables aux yeux du monde.Au lieur de s'arc-bouter sur ce sale travail de Bazaga, pour pouvoir survivre. Que ce conseil leur serve de leçon. Merci.

09/11/2022

Le vol des engins à deux roues devient un phénomène récurrent à Ndjamena ( capitale de la République du Tchad ), ces derniers moments . Il ya à peine un mois, un voleur de moto se présenta à un groupe des moto-taximen, au bord d'une rue d'un quartier de la ville. Il leur a dit qu'il voulait aller à Massaguet. Pour réussir son stratagème, il leur proposa une somme de quarante mille ( 40.000 ) Fcfa, en arguant qu'il était très pressé d'y arriver à destination. L'un des moto-taximen a accepté de le transporter . Mais ayant aperçu que l'engin était dans un état technique défectueux.Le client refuse l'offre de service. Il a jeté son dévolu sur un autre clandoman possédant une moto neuve. Le second clandoman accepta aussi mais exigea qu'il lui remette l'argent avant qu'il ne bougea d'un iota. Après s'être accordé sur le frais de transport. Les deux contractants juchés sur la moto, s'ébranlaient en direction de Massaguet. Arrivés au poste de contrôle, à la sortie de la capitale, le clandoman et son client observaient un arrêt momentané, le temps de se soumettre aux fouilles des forces de l'ordre. Le clandoman expliquait à un policier qui s'était présenté à eux, qu'il allait déposer ce client à Massaguet. Cependant, il a besoin d'un agent de sécurité, pour assurer sa sécurité contre une récompense de dix mille Fcfa. Mais avant de partir, il faut que les agents de la sécurité fouillent son client. Curieusement, les agents de la sécurité découvraient que cette personne à cacher, sous son grand boubou une arme de poing ( pistolet ) et une machette. Ce qui faisait comprendre aux agents de sécurité, qu'ils sont en face d'un suspect c'est-à-dire d'un malfrat. Le supposé malfrat était arrêté. La police a libéré le clandoman pour qu'il aille vaquer à ses activités quotidiennes. Les transporteurs: taxi-men et moto-taximen faitent attention à vos clients. Avant de les embarquer, soyez prudents. Car, vous risquerez votre vie au moindre inattention.

13/08/2022

Un jardinier d'une contrée reculée du Tchad, a constaté que les fruits de son jardin sont volés, chaque jour par un inconnu. Un jour, il a rencontré son voisin du village et lui a raconté son problème. Alors que c'est son voisin là qui est le potentiel voleur qui lui a ôté le sommeil ces derniers moments. Après des discutions son voisin lui a proposé une stratégie, pour pouvoir capturer ledit voleur. Le jardinier a accepté l'idée qu'il lui a proposée notamment celle de poser un Traquenard ( piège ), à l'entrée du jardin où le voleur a l'habitude de s'introduire. Le piège est dressé le même jour. La nuit suivante, son voisin le voleur a tenté de voler les produits du jardin. En franchissant la clôture, il a posé son pied droit sur le piège. Le piège se referma sur son pied. Il poussa un grand cri, qui alerta tout le village. Le village se rua vers la plantation y compris le propriétaire de ce jardin. À leur arrivée sur le lieu, ils constatèrent au loin que le piège dressé a pris un homme. Une fois l'avoir approché, c'était la plus grande stupéfaction. Le jardinier remarqua que, c'est son voisin et conseiller en stratégie de lutte contre le voleur de sa plantation qui était pris dans le piège. Cela s'appelle l'effet boomerang d'une personne hypocrite.

12/08/2022

L'identification des SIM d'Airtel et de Tigo est devenue un problème sérieux, au Tchad. Pire encore, malgré les difficultés pour les citoyens, de se faire identifier par les deux sociétés de téléphonies mobiles. Il ya aussi, l'obligation pour les concernés de se présenter avec la nouvelle carte NNI. Alors que, beaucoup de Tchadiens détiennent leurs anciennes cartes d'identités en cours de validité. Ces cartes sont délivrées par les services compétents de l'Etat. Il est de notoriété publique qu'aucun citoyen n'a le pouvoir de fabriquer sa propre carte chez lui. Pourquoi des simples sociétés privées, se substituent à l'Etat pour refuser au peuple d'un pays souverain d'identifier leurs cartes SIM avec les cartes d'identité non expirées ? À vrai dire cette façon de faire, outrepasse leurs limites et les fait tomber dans l'illégalité. Puisque, par principe ce ne sont pas elles qui doivent confectionner les documents administratifs de l'Etat, à mon humble avis. Il est de la responsabilité de l' État de déclarer la validité ou non d'un document administratif en vertu des lois en vigueur. Sinon ça sera de l'injustice à l'égard du peuple. Nous constatons que les cartes d'identité nationale, de certains compatriotes vont s'expirer en 2024- 2025- 2026 etc. Prière que les praticiens des droits, nous dire les droits ici. Cordialement.

25/07/2022

La liqueur, conditionnée dans des petits sachets, en plastic est très dangereuse. Cette boisson alcoolisée, a détruit l'avenir de beaucoup de jeunes au Tchad voire dans le monde. Sous l'effet de celle-ci, ils deviennent des voleurs, des agresseurs, des criminels rendant la vie difficile aux paisibles citoyens.Cette liqueur est facilement trouvable. Elle se vend moins cher , dans tous les coins et recoins de toutes les villes et tous les villages du pays. Le sachet ne coûte que cent ( 100 ) francs CFA. Avant que cette situation ne deviennent catastrophique, les services de sécurité doivent prendre leur responsabilité, pour remettre de l'ordre. À bientôt.