07/08/2024
«< J'AI ÉTÉ L'AMANT DE LA MEILLEURE AMIE À MA MÈRE PENDANT 5 ANS>>.
Recueilli et publié par Amé Océane Codjia
(Merci de partager avec nous avant lecture svp).
Cela peut paraître flatteur pour beaucoup de jeunes hommes de ma génération, surtout à mon âge. J’avais à peine 14 ans lorsque cette femme avait commencé par s’intéresser un peu plus à ma personne. Personne ne pouvait rien voir venir car elle était ma seconde mère.
Je me nomme Adolphe, j’ai été l’amant de la meilleure amie à ma mère pendant 5 ans. La fin fut tragique. Je vous raconte.
Tata Marlaine je vais l’appeler ainsi, était l’amie de ma mère depuis leurs études scolaires. Pour vous dire combien cette relation était solide et lointaine ! Cette dame n’avait pas eu la chance d’avoir des enfants ; ma mère quant à elle m’avait eu très tôt et mon géniteur n’avait pas assumé.
Elles ont été deux à m’élever. Marlaine me récupérait lorsque maman devait aller faire des courses ou des entretiens d’embauche. Elle disait partout que j’étais son fils à elle, ce qui était gentil à la base.
Lorsque j’eus mes 12 ans, Marlaine partit en France pour s’y installer et y travailler. Je rappelle qu’elle vient d’une famille très aisée, maman elle d’une famille modeste mais cela n’avait jamais porté atteinte à cette amitié.
A 14 ans, Marlaine avait demandé à me garder auprès d’elle en France pour mes études. J’étais très heureux, je partais en France. Maman s’était sentie très reconnaissante et accepta de me laisser y aller sans crainte.
Avec mes bagages, je fus récupéré par Marlaine à l’aéroport après cette expérience de premier vol qui me laissa très étourdi.
J’étais très heureux de la retrouver. Comme je vous l’avais dit plus haut, c’était ma meilleure tante. Avec elle, je ne pouvais que me sentir en sécurité.
Installé, elle habitait un beau petit appartement de trois chambres ce qui reflétait clairement son aisance. J’avais eu droit à ma chambre. Elle était assez grande.
Je commençai l’école et affronta cette nouvelle vie. Au bout de quelques mois, un matin, alors que je me douchais, je sentis une présence devant la salle de bain et sursautai. A ma grande surprise, c’était Marlaine et elle me regardait de manière insistante.
- Tu es carrément devenu un homme toi, dit-elle en posant son regard sur mon corps.
Je dois le préciser, à 14 ans, j’avais déjà un corps d’athlète et adulte de 20 ans. J’avais très vite grandi.
- Ma tante, tu as besoin de quelque chose ?
Je tirai la serviette pour me couvrir et elle éclata de rire.
- Mon chéri, tu n’as rien à me cacher, je t’ai vu tout nu toute ton enfance… Finis ton bain et rejoins-moi. Nous avons des courses à faire.
J’avais été tellement gêné. Je ne saurai jamais décrire le sentiment ressenti ce jour-là. Je n’avais même pas envie de la regarder en face après ça. J’étais déjà en puberté précoce alors imaginez !
Ce genre d’intrusion, Marlaine en avait eu d’autres : dans ma chambre, dans la salle de bain… Elle venait même s’asseoir sur le lit pendant que je m’habillais, tranquillement comme de rien. En fait, elle réagissait comme si tout était totalement normal.
Je finis par m’habituer à ses agissements, me disant qu’il n’y avait rien de mal jusqu’à ce soir-là, où elle rentra à l’appartement très triste, très déçue. Elle me parlait des hommes de sa vie qui n’en valaient pas la peine.
Elle m’avait fait de la peine. Pour la consoler, je décidai que nous suivions ensemble un film et ce fut l’erreur monumentale de ma vie.
Je ne sus ce qui se passa après, elle m’avait servi un verre d’alcool que je refusai poliment mais avait insisté. Je ne me réveillai que le lendemain, dans son lit… Ma tête tambourinait. J’entendais siffloter depuis la salle de bain. Lorsque j’essayai de me lever, j’eus le vertige. J’étais nu, alors je compris tout…
- Mon bébé est debout ? Regarde comme tu es beau !
- Ma tante…
- Oh, appelle-moi Marlaine, toi aussi. Nous ne sommes plus à ce stade.
Toute cette journée, je ne fus pas dans ma peau. Je n’étais plus puceau et ce n’était que le début.
Marlaine me couvrait de cadeaux et je devais en retour réchauffer son lit et jouer à l’homme dans sa vie. Petit-à-petit, je pris goût à cette vie. J’avais une femme de l’âge de ma mère qui était mon amante et qui prenait entièrement soin de moi. Je n’avais pas de copine de mon âge. Elle était très jalouse et possessive.
Nous étions pourtant dans une relation presque incestueuse. Je ne rentrai pas au pays voir maman comme il avait été prévu durant les vacances. Maman avait pourtant insisté mais je n’en avais point eu envie. Marlaine m’avait offert une croisière… Ce n’était pas une croisière normale. Marlaine avait toujours des plans tordus. Elle adorait le sexe et avec elle, il fallait être prêt à tout moment.
Toutes les pratiques y passaient. Je n’avais pas 16 ans que je connaissais en majorité le Kama… Elle voulait tout explorer avec le jeune viril comme elle disait.
Je finis par m’épuiser. Mes résultats à l’école, n’en parlons pas. Ce que je ne vous avais pas dit est qu’elle me faisait prendre des aphrodisiaques pour rester viril durant des jours. Je ne supportais plus, mais comment le lui faire comprendre ?
J’eus envie de me confier à ma mère qui me trouvait de plus en plus bizarre mais comment passer cette information sans briser cette amitié de longue date ? J’avais un problème d’adulte à mon âge.
Je commençai à perdre du poids et mes camarades à l’école le remarquaient. Je prenais des produits illicites pour tenir, soi-disant debout, et ces produits plus l’alcool que j’avais appris à consommer avec elle, détruisaient mon organisme et ma santé mentale.
Je n’étais plus le jeune beau et brillant. Elle avait l’air de s’en fo**re. Son rythme était malsain et destructeur. Elle était une nymphomane. Je ne savais pas qu’il existait des personnes pareilles. Je me disais que c’était cela grandir même si c’était difficile.
Je devais passer mon BAC cette année-là et je le ratai royalement. Cet échec fut comme un réveil. Je n’avais pas de bonnes notes, mais de là à échouer, décevoir ma mère, NON !
Je finis par me confier à mon meilleur ami Gratien qui en parla à sa mère à son tour. Cette dernière tira une conclusion toute simple, c’est de l’abus tout simplement. Elle demanda que je porte plainte contre Marlaine mais comment faire ça ?
Je ne voulais pas que ce soit connu. Je voulais juste sortir de cet appartement. Mais en décidant de partir, sans le savoir, je créais une véritable haine dans le cœur de Marlaine.
Après avoir échangé avec mon amie et sa mère, cette dernière offrit de m’aider à trouver un logement pour commencer. Je pouvais aménager dans une pièce au sous-sol de leur immeuble. Je n’informai pas Marlaine avant de disparaître.
Par contre, j’avais tellement peur d’avoir été ingrat envers elle car c’était elle qui payait mon école et m’hébergeait. Comment allais-je m’en sortir sans tout avouer à ma mère ? Je n’étais pas en paix. Lorsque Marlaine se rendit compte que je n’avais pas l’intention de revenir auprès d’elle, elle me laissa un long message qui me glaça le dos. Elle menaçait de me faire du mal si je ne revenais pas dans son appartement car elle m’avait tout donné. Elle menaçait de faire intervenir la police et nous le savons tous, la police en France, il ne faut pas oser.
Je retournai alors dans ma prison, la queue entre les jambes comme un chien et ce, sous le regard désolé de mon ami.
Je n’avais que l’alcool et la drogue pour tenir. J’avais perdu le goût de tout. Je devais repasser le BAC mais cette année là, je ne mis presque pas pieds à l’école. J’en avais marre de tout. Je ne pouvais décevoir ma mère. Elle avait tellement lutté pour me voir grandir. Elle avait tout donné en plus, sans mon père à côté. Son petit boulot de secrétaire ne pouvait pas l’aider à financer mon séjour. Voir son fils en France était une aubaine qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.
Je m’enfermais nuit et jour. Je refusais de céder dorénavant à ses chantages. Je refusai de m’alimenter pour qu’elle arrête de me maltraiter.
J’avais fait cette grève durant trois semaines et je me retrouvai aux urgences puis en désintoxe. Ma vie venait ainsi de prendre une pente hyper dangereuse. Je devenais un cas social.
J’aurais pu rater cette année encore mon BAC mais vu que je n’étais plus à la merci de Marlaine, je pouvais demander de l’aide et être accueilli dans un foyer.
Je n’eus pas besoin d’en arriver là. Mon ami et sa mère m’avaient une fois de plus accueilli chez eux et avec son aide, je passai le BAC et le décrochai enfin. Marlaine apparemment ne voulut pas d’un drogué sous son toit, ce qui d’ailleurs fut le plus gros soulagement de ma vie car elle n’avait plus demandé d’après moi, ni pendant ma désintoxe, ni après.
Ma seule inquiétude fut de protéger ma mère. Je finis par renouer petit-à-petit avec elle, pour apprendre que Marlaine lui avait raconté que j’étais devenu un drogué, un rebelle dans sa maison et que j’avais même voulu la violenter. Qu’au final, j’avais été interné mais qu’elle ne pouvait plus me garder car j’étais devenu trop dangereux pour elle, femme célibataire et seule qu’elle était.
Elle avait fait ce discours en larmes, cherchant ainsi à convaincre ma mère de sa bonne foi et se dédouaner entièrement.
Ma douce mère avait été prise de compassion pour elle, sa grande amie de toujours. J’avais accepté de jouer le mauvais rôle dans l’histoire, tant qu’elle pouvait s’achever au plus vite afin que tout puisse devenir normal.
A 18 ans, sans vous mentir j’étais devenu très accro au sexe. Je m’étais mise en relation avec des filles mais il y avait toujours quelque chose qui manquait royalement. La relation manquait toujours de quelque chose et je finissais par m’en lasser. J’allais de fille en fille, à la recherche de celle qui pouvait me donner du plaisir, ce genre de plaisir que je n’avais qu’avec Marlaine. Malsain, clairement mais tellement captivant à la fois.
Je souffrais de dépendance et ce manque m’etouffait au point de replonger dans l’alcool. L’alcool non plus ne suffisait pas. Je n’osais juste pas toucher à la drogue. Je ne voulais plus revivre mon calvaire. Mais ce manque était un piège.
Je repoussais cette f***e envie de retourner auprès de Marlaine pour revivre toutes ces choses. Je luttais contre moi-même et c’était très difficile. Je prenais mon téléphone et écrivais des messages que je supprimais à la suite. Une fois, je m’étais même rendu devant son immeuble. Je ne su par quels efforts j’ai pu rentrer sans monter la voir.
J’étais captif. Je dépendais d’elle. Je travaillais comme livreur après mes cours et c’était seulement ce travail qui m’occupa assez l’esprit.
A la fin de mon service un soir, pris de total désespoir, je sonnai chez Marlaine et retombai dans ses bras après qu’elle ait affiché un sourire des plus diaboliques.
J’étais venue me livrer comme elle l’avait prédit.
- Tu reviendras me manger dans les mains.
Ce fut exactement ça. J’étais à sa totale merci et elle avait ressorti ses substances…
La seule différence cette fois-ci est que ce fut de plein gré que je retournai vers cette femme qui me détruisait pourtant. Je n’étais plus régulier aux cours et mes livraisons se faisaient très rares. J’étais tellement mal en point que plusieurs fois je faillis mourir dans des accidents. Je m’en sortais toujours sauf cette dernière fois où je passai de ce qu’on m’avait dit pratiquement deux semaines dans le coma.
J’avais bu et pas que … La veille avait été arrosée.
Dans ce lit d’hôpital je me questionnai sur ma vie entière. Qu’est- ce que je faisais ? Etais-je en train de détruire ma vie ainsi ?
Mes camarades évoluaient bien tant dans les études que dans leurs vies. Moi je devais travailler et payer mes cours mais il y avait tellement de charges et cette prison mentale appelée Marlaine…
C’est depuis ce lit d’hôpital que je mis définitivement fin à cette relation. Un message, un adieu, auquel Marlaine n’avait même pas pris la peine de répondre.
Je me retrouvai si seul, si abandonné…Mais j’avais mon ami, sa mère et la mienne. Je pouvais tout recommencer.
Beaucoup de jeunes comme moi Mme Océane lorsque j’avais cet âge, se sont retrouvés pris au piège à cause d’une tante, une cousine, une aide-ménagère, ou même un chauffeur ou cuisinier de ses propres parents. Des adolescences sont bafouées ainsi. Au départ le jeune homme pense vivre une expérience des plus intéressantes, jusqu’à ce qu’il ne devienne captif d’un phénomène et ne patauge dans du sable mouvant ? Beaucoup ont mal fini, incapables de révéler ce qu’ils ou elles subissent de la part de ces personnes et gardent des séquelles qui définitivement les conditionneront.
Les rapports forcés sont simplement et purement des abus graves. Les jeunes perdent leur adolescence et les conséquences sont très graves.
Je n’ai jamais pu raconter cette scène à ma mère. Pas parce que je veuille protéger Marlaine, mais plutôt parce que ma mère avait déjà trop souffert et mon rôle était et reste de la protéger.
Grâce à mon ami et sa mère, je suis devenu un homme à part entière. Ils sont la famille que j’ai. J’ai pu finir mes études, obtenir de grands diplômes grâce à d’énormes sacrifices dont maman ne sera jamais au courant mais j’ai réussi.
Des années après, j’ai dû suivre une thérapie pour me réapproprier ma sexualité et me mettre en couple avec la mère de mes filles.
C’est une véritable dépendance ! Si vous vous renseignez bien, la plupart des filles de joie ont connu le s… de manière précoce et pour la plupart par abus. La vie après ça change du tout au tout et si vous n’êtes pas forts mentalement alors vous coulez.
LU POUR VOUS