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C'est pas par ce que tu as un pc Asus ou un HP bref non-Apple, que tu ne normalise pas avec l'Entité S.I.O.N.I.S.T.E, re...
20/09/2024

C'est pas par ce que tu as un pc Asus ou un HP bref non-Apple, que tu ne normalise pas avec l'Entité S.I.O.N.I.S.T.E, regarde donc ou es fabriquée la puce intel de ton pc...
Morale de l'histoire : On est tous impliqués, condamnés à dépendre de ce que les gros mettent sur le marché...
Ce feuilleton vous amènera dans les couloirs et les arrières cours du WORLD- GENOCIDE BUSINESS.

1.YAPAKAPL (Y a pas qu’Apple !) Les puces Intel (=microprocesseurs) sont fabriqués en Palestine occupée dans l’usine de la zone industrielle de KYRiAT G*T, construite à l’emplacement du village pal…

18/09/2024

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« The Bear: Des plats délicieux sur la table d’une famille dysfonctionnelle »Bienvenue dans le tourbillon émotionnel de ...
05/08/2023

« The Bear: Des plats délicieux sur la table d’une famille dysfonctionnelle »
Bienvenue dans le tourbillon émotionnel de "The Bear", où l'évolution des personnages dans une famille dysfonctionnelle est explorée avec brio. Dans cette série, l'amour se manifeste souvent dans des lieux improbables, tandis que l'humain continue de surprendre par sa complexité. La rhétorique subtile qui s'échange entre les plats et la psychologie dans "The Bear" saison deux offre un véritable festin pour les sens. Le rythme trépidant des événements mêle habilement l'amour et la violence, la douceur et l'agressivité, créant ainsi une expérience viscérale et captivante pour les spectateurs.
La famille Berzatto, au cœur de "The Bear", est loin d'être conventionnelle. C'est une famille dysfonctionnelle, avec des relations tendues et des secrets enfouis. Pourtant, c'est précisément dans ce contexte chaotique que les liens d'amour les plus profonds se développent. La série nous démontre avec adresse que l'amour peut se trouver dans les endroits les plus inattendus et les plus improbables. Carmy, le protagoniste, un chef talentueux, revient dans la grisaille de Chicago pour aider son frère et sauver le restaurant familial. Malgré les conflits et les désaccords, l'amour fraternel entre eux émerge au fil des épisodes, et ils découvrent qu'ils ont plus en commun qu'ils ne l'auraient imaginé.
L'humain est le pivot central de l'histoire, et "The Bear" explore habilement les différentes facettes de la psychologie humaine. Les personnages sont complexes et profondément humains, chacun portant ses propres blessures et cicatrices émotionnelles. Richie, le cousin au passé sombre, se bat avec des questions existentielles sur le sens de sa vie. Marcus, le chef pâtissier, se retrouve confronté à la maladie de sa mère tout en cherchant l'inspiration culinaire à travers ses voyages. Tina et Ebra, envoyés à l'école de cuisine, vivent des expériences de vie radicalement différentes, et leurs destins s'entremêlent de manière inattendue.
Le rythme trépidant de la série ajoute une touche d'urgence à l'exploration des émotions des personnages. L'écriture fluide et captivante maintient les téléspectateurs en haleine, tandis que chaque épisode apporte de nouvelles révélations et des moments poignants. La série réussit à trouver un équilibre délicat entre les moments d'intensité émotionnelle et les instants de légèreté et d'humour.
L'amour et la violence, la douceur et l'agressivité s'entrelacent tout au long de la série, créant un contraste saisissant et captivant. Les scènes de cuisine sont souvent le théâtre d'un dialogue riche en métaphores, où la préparation des plats reflète les états d'âme des personnages. La nourriture devient ainsi un moyen subtil d'exprimer les émotions, renforçant l'aspect psychologique de l'histoire.
Le duo magnétique de la série, Sydney (Ayo Edebiri) et Carmy, fait face à la tâche redoutable de créer un nouveau menu qui leur vaudra l'étoile Michelin tant convoitée. La quête intransigeante de Sydney pour cette étoile, malgré les appréhensions de Carmy, les amène à examiner la notion de but et d'épanouissement. La réaction de Carmy à la réception de l'étoile - la panique au lieu de la joie - rappelle avec émotion que les réussites professionnelles ne se traduisent pas toujours par un contentement personnel.
Alors que la première saison traitait du traitement des traumatismes, de la perte et du poids de la culpabilité, la deuxième saison aborde la question de ce qui vient ensuite. Le personnage de Richie, qui reste initialement dans la cave tandis que les autres s'efforcent de concrétiser les chiffres inscrits sur la boîte à pizza, connaît une crise existentielle profondément émouvante. La performance exceptionnelle d'Ebon Moss-Bachrach ajoute des couches de complexité au parcours de Richie alors qu'il lutte pour comprendre le sens d'une vie épanouie.
L'exploration de la notion de "fun" ajoute une autre dimension à la série. Dans un épisode où Carmy cherche la définition du mot "fun" sur Google, la série examine l'essence du plaisir et sa place dans l'équilibre entre ambitions personnelles et professionnelles. Alors que Sydney peine à trouver des membres du personnel dévoués qui comprennent la valeur du travail acharné, la série questionne la signification du travail dans le monde moderne.
L'écriture de "The Bear" reste impeccable, mêlant avec aisance humour et émotion dans des dialogues naturels entre amis et collègues. Le chaos apparent de la série est minutieusement maîtrisé, cachant une structure solide qui maintient les téléspectateurs engagés et attachés aux parcours des personnages.
"The Bear" est un chef-d'œuvre culinaire qui satisfait l'appétit pour une narration captivante et un riche développement des personnages

Un voyage visuel dans l'univers Wes Andersonien Quand on se rend à un film de Wes Anderson, on ne s'attend généralement ...
22/07/2023

Un voyage visuel dans l'univers Wes Andersonien
Quand on se rend à un film de Wes Anderson, on ne s'attend généralement pas à un mélodrame touchant ou à des émotions humaines réalistes. On y vient pour des drames de maisons de poupées élaborés, avec des récits imbriqués et des énigmes satiriques.
Se rendre à un film de Wes Anderson c’est aussi embrasser une esthétique unique où le réalisme des émotions humaines laissent place à des mises en scène minutieusement orchestrées et des récits enchâssés.
Avec son dernier opus "Asteroid City", le réalisateur adorateur du velours côtelé nous livre une fois de plus un méta-puzzle en forme de montre suisse, à la frontière de la nostalgie, sub-Spielbergienne teinté de surréalisme, avec un casting d'exception jouant comme des mannequins animés. Loin de laisser indifférent, le film nous fait osciller entre l'amusement fantaisiste, la curiosité et l'irritation assumée. Les fans seront certainement éblouis par son esthétique visuelle minutieusement imitative de la vie en miniature,
Dès les premières images, nous sommes plongés dans un écran de télévision en noir et blanc d'une émission à l'ancienne, animée par Bryan Cranston, qui nous invite dans l'univers de la pièce de théâtre éponyme. L'œuvre théâtrale, signée Conrad Earp (interprété par Ed Norton), nous transporte dans le sud-ouest américain des années 1950 et explore le thème de l'infini et je ne sais quoi d'autre.
Le décor change alors radicalement pour nous offrir une esthétique en cinémascope aux tons ocre brûlé, propre au théâtre dans le théâtre, une fantaisie pirandellienne où des personnages hauts en couleur (qui sortent parfois de leur rôle pour discuter de leur motivation) convergent vers un établissement du désert, composé d'un café, d'une station-service, d'un motel, d'un observatoire et d'un cratère de météorite. Tout semble être une scène de théâtre, avec des courses poursuites de voitures jouets Scalextric qui se déroulent régulièrement. Quant aux personnages (interprétés par des stars telles que Tilda Swinton et Jeffrey Wright), ils adoptent le ton monocorde et rapide, propre à la voix auctoriale d'Anderson. À l'horizon, des champignons nucléaires explosent, rappelant des essais nucléaires à proximité, mais distrayant aussi l'attention sur le prochain film d'un tout autre genre, "Oppenheimer" de Christopher Nolan. L'attente est déjà palpable.
Asteroid City (la ville, non pas la pièce ou le film), accueille une joyeuse troupe d'astronomes en herbe et de cadets de l'espace. Parmi eux, Woodrow Steenbeck (Jake Ryan), surnommé "Brainiac", dont le père, Augie (Jason Schwartzman), garde les cendres de sa femme dans des boîtes Tupperware sans avoir encore informé Woodrow et ses sœurs du décès de leur mère. Augie, photographe de guerre à la pipe bien pendue, tombe sous le charme de Midge Campbell (Scarlett Johansson), une présence glamour ayant une fille passionnée d'astronomie, Dinah (Grace Edwards), qui s'entend à merveille avec Woodrow. Pendant ce temps, le beau-père d'Augie, Stanley Zak (Tom Hanks), est en route pour Asteroid City, de même qu'un étrange extraterrestre aux intentions mystérieuses vis-à-vis de la pierre spatiale historique de la ville, provoquant un bouclage militaire.
Le dialogue se teinte d'expressions mignonnes et sérieuses, le tout accompagné d'une parade de sandales et de chaussettes remontées.
C'est le directeur de la photographie Robert Yeoman qui capture cette histoire avec des caméras à panoramique bien marqué, se déplaçant d'un côté à l'autre (et parfois de haut en bas), rappelant le jeu télévisé des années 1960/70, "The Golden Shot", avec l'opérateur d'arbalète aveuglé par un bandeau. Pendant ce temps, de retour sur la côte Est, l'histoire de la production de cette "fabrication apocryphe" se joue au théâtre Tarkington, où les mêmes acteurs jouent à présent des acteurs, naviguant entre des mondes tout aussi artificiels (un Broadway à la rencontre de l'ouest), parfois de manière délibérée, parfois de manière accidentelle, mais toujours avec une intention bien affirmée.
Anderson et son co-scénariste Roman Coppola distillent leur dialogue de petites expressions mignonnes ("Gadzooks") et de maladresses propres aux passionnés ("J'adore la gravité"), le tout accompagné de la parade de sandales et de chaussettes remontées, de pantalons effrayants et de chemises bien repassées, caractéristiques du style Andersonien. Les noms des personnages font un clin d'œil à l'histoire du cinéma (par exemple, Steenbeck est une machine de montage cinématographique), mais l'atmosphère est scellée sous vide, avec une modernité suffisante devenue étouffante. Lorsque Johansson déclare à Schwartzman que leurs personnages sont "deux personnes catastrophiquement blessées qui ne montrent pas la profondeur de notre douleur parce que nous ne le voulons pas", difficile de savoir s'il faut hausser les épaules, compatir ou sourire. Ailleurs, la déclaration : "Nous sommes en deuil" atterrit comme une soucoupe volante ayant perdu sa volonté de voler. Un choix assumé, certainement.
Tout au long du film, les scènes sont organisées de manière symétrique, avec un souci du détail extraordinaire. Les décors, les costumes et les mouvements des personnages sont disposés de manière à créer une harmonie visuelle presque hypnotique. Chaque élément semble avoir été minutieusement placé dans le cadre pour produire une composition esthétiquement équilibrée.
Caméra en permanent traveling et composition parfaitement symetrique :
Un autre aspect distinctif du style visuel d'Anderson est l'utilisation du travelling, qui est exploité de manière créative dans "Asteroid City”. Les mouvements fluides de la caméra suivent les personnages à travers les décors de manière gracieuse et fluide, offrant au spectateur une immersion cinématographique plus profonde dans l'univers de la ville astéroïde. Les plans larges et panoramiques offrent une vue d'ensemble de l'environnement soigneusement conçu, tandis que les plans rapprochés permettent de capter les émotions et les expressions des personnages de manière intime.
Le choix du travelling dans le film souligne l'importance des lieux et des espaces dans l'histoire. Chaque endroit est imprégné de détails et de significations qui contribuent à l'ensemble du récit. En suivant les personnages à travers ces lieux, le spectateur est entraîné dans une expérience cinématographique immersive, où chaque pas révèle une nouvelle dimension de l'histoire.
L'esthétique symétrique et le jeu subtil du travelling dans le film renforcent l'atmosphère onirique du film, ajoutant une couche supplémentaire de profondeur à l'exploration des thèmes sociaux et politiques. Cette maîtrise visuelle témoigne du talent indéniable du réalisateur Wes Anderson pour créer des mondes cinématographiques uniques qui restent gravés dans l'esprit du spectateur bien après que le générique final ait défilé.
Des caméos de grandes personnalités viennent et vont (Willem Dafoe, Jeff Goldblum, Margot Robbie, Jarvis Cocker avec une planche à laver), mais lorsque "Indian Love Call" de Slim Whitman résonne sur la bande son, je me souviens du chaos indulgent de "Mars Attacks !" de Tim Burton. "On ne peut pas se réveiller si on ne s'endort pas", chantent les acteurs. Pour certains spectateurs d'Asteroid City, je doute que cela soit un problème.

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