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Poli africa, Lexington, KY (2025)

09/26/2025

𝗟𝗘𝗦 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘𝗥𝗦 𝗖𝗢𝗠𝗠𝗨𝗡𝗔𝗨𝗫 𝗗𝗘 𝗥𝗗𝗖 𝗦𝗢𝗟𝗟𝗜𝗖𝗜𝗧𝗘𝗡𝗧 𝗣𝗟𝗨𝗦….

Ils sont souvent oubliés, parfois critiqués, mais pourtant, ils sont au cœur de la gouvernance de proximité.
Les conseillers communaux de la RDC viennent de poser un geste fort : lors de la conférence des présidents des conseils communaux, tenue à Kinshasa les 24 et 25 septembre, ils ont officiellement sollicité des passeports de service auprès de la ministre des Affaires étrangères.

Pourquoi ?
Pour faciliter leurs déplacements à l’international, échanger avec d’autres conseillers étrangers, et surtout apprendre des meilleures pratiques de gouvernance locale.

Cette demande peut sembler banale, mais elle porte un message puissant :
Les conseillers communaux ne veulent plus rester enfermés dans leurs quartiers. Ils veulent s’ouvrir au monde, s’inspirer des expériences réussies ailleurs et ramener ces connaissances au service des citoyens congolais.

Dans un pays où la gouvernance locale est souvent négligée, cette initiative montre une volonté de changer le narratif. Car le vrai développement ne commence pas dans les grands discours de Kinshasa, mais dans les rues, les marchés, les avenues de nos communes.

Imaginez un conseiller communal de Bandal, Masina ou Lubumbashi, capable de voyager, de découvrir comment des villes africaines comme Kigali, Abidjan ou Accra gèrent les déchets, la sécurité ou l’éclairage public… et de revenir appliquer ces solutions chez nous. Voilà l’esprit d’innovation dont la RDC a besoin !

Mais cette démarche va encore plus loin : elle rappelle à chaque jeune, chaque citoyen, que l’ouverture au monde est une force. Voyager, apprendre, échanger, c’est la clé pour transformer son environnement.

Le message est clair : nos leaders locaux veulent s’élever pour mieux servir. Et si eux osent rêver plus grand, pourquoi pas nous ?

Le développement de la RDC n’est pas seulement l’affaire du Président ou des ministres. C’est aussi une responsabilité partagée par nos élus de proximité, par nous, citoyens, et par cette jeunesse qui refuse de se contenter du minimum.

Aujourd’hui, les conseillers communaux demandent des passeports pour voyager.
Demain, c’est peut-être grâce à eux que nos communes brilleront d’un nouvel éclat.

La RDC avance, pas à pas.
Et chaque pas compte.
Par : Poli africa

09/26/2025

𝗥𝗗𝗖 : 𝗟𝗘𝗦 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗢𝗡𝗦 𝗗𝗘𝗦 𝗩𝗜𝗖𝗧𝗜𝗠𝗘𝗦 𝗦𝗘 𝗩𝗢𝗟𝗔𝗧𝗜𝗟𝗜𝗦𝗘𝗡𝗧…

Le peuple congolais n’oubliera jamais la tragédie de la guerre des six jours.
La Cour internationale de Justice avait condamné l’Ouganda à indemniser les victimes.
Et entre janvier 2022 et décembre 2024, 194,9 millions USD ont bien été versés à la RDC. Mais la grande question est : où est passé cet argent ?

Selon un rapport explosif du CREFDL, les révélations sont choquantes :
Le 24 janvier 2024, 1 000 000 USD ont été transférés à un bureau de change, Clic Change Sarl.

Le 6 juin 2024, un autre virement de 3 200 000 USD a suivi, alors que le ministre expédiait les affaires courantes.

Pourtant, au 8 octobre 2024, seulement 2 088 136 USD ont atteint les victimes sur les 103 millions USD qui leur étaient dus.

Et ce n’est pas tout :
Le 11 août 2023, 52 975 000 USD ont été envoyés sur un compte destiné aux indemnisations. Mais un mois plus t**d, 2 648 750 USD ont mystérieusement été reversés sur un autre compte sous prétexte de « fonds de gestion ».

Le 29 septembre 2023, 1,5 million USD en cash ont été retirés… sans aucune trace comptable.

Le 15 janvier 2024, deux bus ont été achetés pour 228 000 USD, sans respecter les règles de la commande publique.

Pendant ce temps, des milliers de familles, qui ont tout perdu dans la guerre, attendent toujours justice.

C’est plus qu’une affaire de chiffres.
C’est une affaire de dignité.
Derrière chaque dollar, il y a une v***e, un orphelin, un mutilé de guerre.
Ces fonds ne sont pas des cadeaux : ils sont le prix du sang versé par des innocents.

Le CREFDL appelle aujourd’hui à la dissolution du FRIVAO, la structure chargée de la gestion, et exige que la mission d’indemnisation soit confiée à des organes transparents comme la COGEBISCO ou le FOLUCCO.

Le peuple doit rester vigilant.
Trop de fois, des milliards ont disparu dans le silence. Mais l’histoire nous apprend que rien n’arrête la vérité.

Congolais, ce combat n’est pas seulement celui des victimes, c’est le nôtre.
Car l’argent de la justice appartient à ceux qui souffrent, pas à ceux qui détournent.

Ne restons pas spectateurs.
Exigeons des comptes.
La justice pour les victimes, c’est aussi la justice pour le Congo.

Par : Poli africa

09/25/2025

𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗠𝗮𝗵𝗮𝗺𝗮 𝗵𝗼𝗻𝗼𝗿𝗲́ 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗡𝗔𝗦𝗗𝗔𝗤 ! 🚀🇬🇭🇺🇸

C’est une image qui fait vibrer tout un continent : le visage du Président ghanéen John Dramani Mahama affiché en grand sur les écrans géants de Times Square, au cœur de New York !

Le célèbre marché financier NASDAQ a réservé un accueil exceptionnel à ce leader africain, symbole d’une Afrique ambitieuse, connectée et tournée vers l’innovation. Une reconnaissance rare, qui place le Ghana et l’Afrique sous les projecteurs mondiaux.

Pourquoi c’est historique ?

Parce que Times Square est l’un des lieux les plus emblématiques du monde.
Parce que le NASDAQ ne célèbre que les figures marquantes de l’économie et du leadership.
Parce que cela envoie un message fort : l’Afrique a sa place dans les sphères mondiales du pouvoir et de la finance.

Ce moment n’est pas juste une photo. C’est un signal. Un appel à croire en nos talents, à valoriser nos leaders, à investir dans notre propre avenir.

Partage cette publication pour montrer que l’Afrique avance, que nos voix comptent, et que nos images peuvent illuminer les écrans du monde entier.

🇬🇭🇨🇩🇳🇬🇸🇳 L’Afrique ne demande plus la permission. Elle s’impose. Et elle inspire.

Par : Poli africa

09/25/2025

🛑 𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘 𝗦𝗖𝗔𝗡𝗗𝗔𝗟𝗘 : 𝗟𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝗷𝗮̀ 𝗽𝗶𝗹𝗹𝗲́𝘀 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲 ! 🚜💔

C’est une trahison silencieuse qui se joue sous nos yeux. Les tracteurs remis avec fierté par le Président Félix Tshisekedi et le Ministre de l’Agriculture Muhindo Nzangi pour la campagne agricole 2025-2026 seraient déjà en train d’être… dépiécés et vendus frauduleusement !

Oui, vous avez bien lu. Ces engins censés relancer notre agriculture, nourrir nos familles, créer des emplois et redonner espoir aux paysans sont en train d’être sabotés avant même d’avoir touché la terre.

Des pièces détachées vendues sous le manteau.
Des tracteurs introuvables sur le terrain.
Une campagne agricole menacée avant même son lancement.

Comment expliquer une telle dérive alors que l’agriculture est censée être une priorité nationale ? Où sont les mécanismes de contrôle ? Qui protège les intérêts du peuple ?

Ce n’est pas juste une affaire de tracteurs. C’est une question de dignité, de vision, de respect envers les Congolais.

Nous ne pouvons pas rester silencieux. Partage cet article pour que la vérité éclate. Que chaque citoyen sache ce qui se passe. Que les responsables soient identifiés et que justice soit rendue.

L’agriculture congolaise mérite mieux.
Nos paysans méritent mieux.
Le Congo mérite mieux.

Par : Poli africa

09/22/2025

RDC🇨🇩| Assemblée Nationale: Vital Kamerhe vient de démissionner devant la conférence des présidents.

09/16/2025

𝗩𝗜𝗧𝗔𝗟 𝗞𝗔𝗠𝗘𝗥𝗛𝗘 𝗙𝗔𝗖𝗘 𝗔̀ 𝗟𝗔 𝗧𝗘𝗠𝗣𝗘̂𝗧𝗘 𝗣𝗢𝗟𝗜𝗧𝗜𝗤𝗨𝗘 : 𝗟𝗔 𝗣𝗘́𝗧𝗜𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗤𝗨𝗜 𝗙𝗔𝗜𝗧 𝗧𝗥𝗘𝗠𝗕𝗟𝗘𝗥 𝗟’𝗔𝗦𝗦𝗘𝗠𝗕𝗟𝗘́𝗘 𝗡𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡𝗔𝗟𝗘 ! 🔥🇨🇩

Le lundi 15 septembre, un geste fort a secoué la Chambre basse du Parlement : une pétition contre cinq membres du Bureau de l’Assemblée nationale a été officiellement déposée par le député Crispin Mbindulé.

Quelques heures après l’ouverture solennelle de la session budgétaire, l’huissier de justice en a notifié le Secrétaire Général Jean Nguvulu Khoji.

Le lendemain, 16 septembre, Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale, a réceptionné cette pétition des mains du Secrétaire Général. Décontracté, serein, il a salué ce droit démocratique reconnu aux élus et affirmé une chose claire : le règlement intérieur sera respecté à la lettre.

Dès lors, une plénière a été convoquée pour le 17 septembre afin de mettre en place une commission spéciale, composée d’un délégué par groupe parlementaire et d’un représentant des non-inscrits. Sa mission : examiner, sans complaisance, le contenu de cette pétition.

Mais derrière la procédure institutionnelle, une question brûle les esprits : Que révèle cette pétition ?

Avec plus de 200 députés pétitionnaires, c’est une véritable fronde interne qui ébranle le Bureau. Parmi les personnalités visées :
Vital Kamerhe, président
Jacques Djoli, rapporteur
Dominique Munongo Inamizi, rapporteur adjoint
Chimène Polipoli, questeur
Grace Neema, questeur adjoint

C’est une épreuve de vérité. Une bataille qui met en lumière les tensions, les ambitions et les fractures qui traversent notre Assemblée nationale.

Mais au-delà des noms et des manœuvres politiques, cette crise interroge chaque Congolais : à qui profite réellement notre démocratie ?
Est-elle un champ de bataille pour des postes, ou un espace sacré pour défendre les intérêts du peuple ?

Vital Kamerhe, habitué aux tempêtes, fait face une fois de plus à la dure réalité de la politique congolaise : rien n’est jamais acquis. Mais l’histoire retiendra surtout la leçon : le pouvoir ne se mesure pas à la durée d’un mandat, mais à la fidélité aux règles et au peuple.

Au milieu des intrigues et des ambitions personnelles, une vérité demeure : Le Congo a besoin d’institutions fortes, pas seulement de personnalités fortes.

La vraie victoire ne sera pas celle d’un camp contre un autre… mais celle de la démocratie contre l’arbitraire. 🇨🇩

Par : Poli africa

09/16/2025

𝗞𝗔𝗠𝗘𝗥𝗛𝗘, 𝗧𝗦𝗛𝗜𝗦𝗘𝗞𝗘𝗗𝗜 𝗘𝗧 𝗟𝗘𝗦 𝗝𝗘𝗨𝗫 𝗗𝗘 𝗣𝗢𝗨𝗩𝗢𝗜𝗥 ⚡🇨🇩

La politique congolaise est un théâtre où les masques tombent et se relèvent au gré des intérêts.
Le 14 septembre dernier, selon plusieurs sources, Vital Kamerhe s’est longuement entretenu avec le président Félix Tshisekedi à la Cité de l’Union africaine.

Dans la même pièce que son allié de longue date, Tshisekedi aurait décroché son téléphone pour appeler Tony Kanku Nshinku, son cousin et leader d’un regroupement politique membre de l’Union sacrée. Objectif annoncé : faire échec à la pétition qui visait Kamerhe.

Mais quelques instants plus t**d, retournement surprenant :
Le président serait revenu sur sa propre consigne.
Des députés affirment même que Tony Kanku, tout comme le ministre des Relations avec le Parlement, Guy Loando, les auraient ensuite contactés pour… encourager la signature de la pétition contre Kamerhe !

Alors, que comprendre de ce double discours ?
S’agit-il d’une stratégie politique calculée ?
D’un signe de fragilité dans les alliances au sommet de l’État ?
Ou tout simplement du reflet d’un système où la loyauté est souvent sacrifiée sur l’autel des intérêts ?

Cette scène illustre une dure réalité : en politique congolaise, l’amitié d’aujourd’hui peut devenir la trahison de demain.
Les alliances sont mouvantes, les paroles contradictoires, les positions fragiles.

Mais au fond, qui paie le prix de ces jeux de pouvoir ?
Ce ne sont pas les politiciens.
C’est le peuple, qui subit l’instabilité, l’incertitude et les conséquences d’un leadership hésitant.

La leçon est simple mais profonde : la vraie grandeur d’un dirigeant se mesure à sa cohérence. Quand la parole change au gré des intérêts, la confiance s’effrite, et sans confiance, aucune nation ne peut se construire.

Le Congo n’a pas besoin de jeux d’alliances temporaires.
Le Congo a besoin d’une vision claire, d’une parole ferme, d’un cap respecté.

Parce qu’au final, ce qui construit une nation, ce ne sont pas les calculs politiques…
C’est la loyauté envers le peuple. 🇨🇩🔥

Par : Poli africa

09/16/2025

🚨𝗨𝗥𝗚𝗘𝗡𝗧 : 𝗤𝗨𝗔𝗡𝗗 𝗟𝗔 𝗟𝗘́𝗚𝗘̀𝗥𝗘𝗧𝗘́ 𝗗𝗘𝗩𝗜𝗘𝗡𝗧 𝗨𝗡 𝗗𝗔𝗡𝗚𝗘𝗥 𝗡𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡𝗔𝗟 𝗘𝗡 𝗥𝗗𝗖🇨🇩😱

Selon plusieurs sources concordantes, les prétendus « investisseurs somaliens » récemment accueillis à Kinshasa seraient aujourd’hui détenus à l’Agence nationale de renseignement (ANR).

Encore plus inquiétant : le gouvernement somalien lui-même aurait alerté nos autorités, affirmant que ces individus seraient en réalité de probables financeurs du terrorisme, sans aucune entreprise sérieuse derrière eux.

Et fait troublant : cette rencontre aurait été facilitée par Denis Kadima, président de la CENI, qui les aurait introduits auprès de l’exécutif provincial de Kinshasa.

Si cela se confirme, ce n’est pas seulement une faute. C’est une mise en danger de toute la nation.

Parce qu’au nom des commissions et rétro-commissions, on ouvre nos portes à n’importe qui.
Parce qu’au nom de la chasse aux « investisseurs », on oublie les vérifications élémentaires.
Et au final, c’est tout un pays qu’on expose à des risques sécuritaires majeurs.

Qu’un tel dossier puisse exister montre à quel point notre système est fragile : la soif d’argent rapide a remplacé la prudence, et l’intérêt personnel a pris le dessus sur la sécurité collective.

Mais posons-nous une vraie question :
Depuis quand un pays aussi riche que le Congo doit-il courir derrière des « investisseurs » douteux ?
N’avons-nous pas nos propres ressources, nos propres cerveaux, notre propre force pour bâtir l’avenir ?

La vérité est dure mais claire : tant que nous attendrons des étrangers qu’ils viennent nous sauver, nous resterons vulnérables à toutes les manipulations, y compris les plus dangereuses.

Il est temps que nos dirigeants rendent des comptes.
Que toute la lumière soit faite sur ce dossier.
Que les responsables soient identifiés.
Que la sécurité nationale prime sur les deals obscurs.

Un pays ne se vend pas au premier venu. La souveraineté n’a pas de prix.
Car à force de confondre investisseurs et aventuriers, nous risquons de transformer le Congo en terrain de jeu pour les puissances occultes.

La vigilance n’est pas une option. C’est une question de survie nationale. 🇨🇩🔥

Par : Poli africa

09/15/2025

𝗦𝗔𝗠𝗔 𝗟𝗨𝗞𝗢𝗡𝗗𝗘 𝗗𝗘́𝗖𝗟𝗔𝗥𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗠𝗢𝗧𝗦 𝗤𝗨𝗜 𝗡𝗘 𝗡𝗢𝗨𝗥𝗥𝗜𝗦𝗦𝗘𝗡𝗧 𝗣𝗔𝗦 𝗟𝗘 𝗣𝗘𝗨𝗣𝗟𝗘 🇨🇩

« Le Sénat place le bien-être social de la population au cœur de ses priorités. » : Voilà ce qu’a déclaré Sama Lukonde à l’ouverture de la session de septembre 2025.

Des mots beaux, mais vides.
Des phrases soignées, mais qui ne collent pas à la réalité vécue par des millions de Congolais.

Parce que pendant que les discours se multiplient, la population, elle, souffre :
Le panier de la ménagère explose, le prix du riz et du maïs atteint des sommets.
Dans nos hôpitaux, les malades doivent acheter eux-mêmes seringues et pansements.
Les jeunes, malgré leurs diplômes, errent dans les rues, condamnés au chômage ou à l’exil.
Nos routes sont des pièges mortels, nos familles survivent avec moins de 2 dollars par jour.

Alors posons la question : où est ce “bien-être social” dont on parle tant ?

Les Congolais ne demandent pas des discours fleuris. Ils veulent des actes. Ils veulent que leurs impôts construisent des écoles, pas des villas à l’étranger. Ils veulent que leurs richesses financent l’électricité, pas l’obscurité. Ils veulent que les milliards empruntés servent au peuple, pas à des comptes privés.

La vérité, c’est que le social d’un peuple ne se décrète pas dans un hémicycle.
Il se vit dans la rue, dans le marché, dans les foyers. Et aujourd’hui, la rue crie famine, la jeunesse crie désespoir, les familles crient abandon.

Trop souvent, nos dirigeants confondent promesses et progrès. Ils pensent qu’une déclaration suffit à apaiser la souffrance. Mais un peuple n’a pas besoin de promesses, il a besoin de preuves.

Quand la maman congolaise pourra nourrir ses enfants sans supplier.
Quand l’étudiant trouvera un emploi digne après ses études.
Quand le malade sera soigné sans corrompre un médecin.
Alors oui, on pourra dire que le social est une priorité.

En attendant, ces mots restent une illusion.

Le Congo n’a pas besoin de nouveaux discours.
Il a besoin de nouveaux actes. De vérité. De courage.
Parce qu’un peuple affamé ne se nourrit pas de promesses, mais de justice sociale réelle.

Le bien-être social ne doit pas rester un slogan. Il doit devenir une réalité.

Par : Poli africa

09/14/2025

𝗥𝗗𝗖🇨🇩 : 𝗨𝗡 𝗔𝗨𝗧𝗥𝗘 𝗦𝗖𝗔𝗡𝗗𝗔𝗟𝗘 𝗙𝗜𝗡𝗔𝗡𝗖𝗜𝗘𝗥 𝗦𝗘𝗖𝗢𝗨𝗘 𝗟𝗘 𝗣𝗔𝗥𝗟𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧 : 𝗣𝗟𝗨𝗦 𝗗𝗘 𝟵 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗢𝗡𝗦 𝗗𝗘 𝗗𝗢𝗟𝗟𝗔𝗥𝗦 𝗗𝗘́𝗧𝗢𝗨𝗥𝗡𝗘́𝗦 …😱😱😱💸

La nouvelle secoue Kinshasa.
La CENAREF révèle que le Président de l’Assemblée nationale aurait ouvert un compte fictif, alimenté directement par les fonds de l’institution… mais jamais inscrits dans les livres comptables officiels.

Montant estimé du détournement : plus de 9 millions de dollars.

Le Procureur général près la Cour de cassation est déjà saisi. Et ce n’est pas la première fois : ces faits avaient déjà été dénoncés en 2020. Pourtant, aucune sanction exemplaire n’avait suivi.

Aujourd’hui, le vent semble tourner : une pétition pour la destitution de Vital Kamerhe circule et aurait déjà recueilli près de 235 signatures. À l’approche de la rentrée parlementaire, l’atmosphère s’annonce électrique.

Mais au-delà des noms et des chiffres, posons-nous la vraie question : Combien de temps allons-nous encore accepter que l’argent du peuple soit confisqué par ceux qui sont censés le représenter ?

Neuf millions de dollars… Ce sont : des milliers de lits d’hôpitaux qu’on aurait pu installer, des centaines d’écoles qu’on aurait pu réhabiliter, des routes qu’on aurait pu réparer pour sauver des vies.

À la place, ce sont des comptes fictifs, des fortunes cachées, des manœuvres politiques.

La vérité est dure : ce ne sont pas seulement les politiciens qui détruisent la RDC, mais aussi notre silence et notre tolérance face au vol.

Chaque dollar détourné, c’est un enfant condamné à étudier à même le sol.
Chaque million volé, c’est une mère qui meurt faute de soins.
Chaque scandale étouffé, c’est un futur encore plus lourd à porter pour nos enfants.

Le Congo ne manque pas d’argent.
Le Congo manque d’honnêteté, de justice et de dirigeants qui aiment vraiment leur peuple.

Si cette affaire est confirmée, elle doit être le début d’une nouvelle ère : celle où les intouchables deviennent comptables de leurs actes.

Parce que la vraie grandeur d’un pays ne se mesure pas au nombre de milliards qu’il emprunte, mais à la manière dont il protège chaque franc destiné à son peuple. 🇨🇩

Par : Poli africa

09/03/2025

🔴 COMMUNIQUÉ OFFICIEL
L’organisation Miss Universe RDC annonce la destitution de Déborah Djema, élue Miss Universe RDC 2025.

🔹 Raison : refus de signer le contrat officiel, condition obligatoire imposée par les règles internationales de Miss Universe.
🔹 Conséquence : Mme Djema perd immédiatement le droit d’utiliser le titre et tout symbole associé (couronne, écharpe, logo, etc.).
🔹 Délai : elle dispose de 48 heures pour retirer tout contenu lié à ce titre.
🔹 Avertissement : en cas de non-respect, des poursuites judiciaires pourront être engagées.

Poli africa

09/26/2025

09/26/2025

09/25/2025

09/25/2025

09/22/2025

09/16/2025

09/16/2025

09/16/2025

09/15/2025

09/14/2025

09/03/2025

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