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📰 PSCTV News – KAYI-TV📍 Tribune d’opinion : L’usurpation d’identité par la RDC 🇨🇩 – Une confusion préoccupante et une at...
11/10/2025

📰 PSCTV News – KAYI-TV

📍 Tribune d’opinion : L’usurpation d’identité par la RDC 🇨🇩 – Une confusion préoccupante et une atteinte à la souveraineté du Congo 🇨🇬

L’usurpation d’identité orchestrée par la République démocratique du Congo (🇨🇩) vis-à-vis de la République du Congo (🇨🇬) est plus grave qu’on ne le pense. En effet, la RDC va jusqu’à s’approprier notre nationalité à travers l’usage du gentilé « Congolais(e) », créant une confusion juridique et identitaire inacceptable.

🔍 Deux gentilés pour un même pays ?
Il est curieux de constater que les ressortissants de la RDC utilisent deux formes de gentilé : « Kino-congolais(e) » et « Congolais(e) (RDC) ». Selon les principes du droit international, il est impératif que les citoyens du Zaïre (ancien nom de la RDC) précisent leur appartenance à la RDC lorsqu’ils revendiquent la nationalité congolaise. Or, cette précision est souvent omise, entraînant une ambiguïté qui porte atteinte à l’identité nationale de la République du Congo (🇨🇬).

⚠️ Une crise d’identité en RDC 🇨🇩 ?
Ce double usage du gentilé révèle une crise identitaire profonde au sein de la RDC, qui semble en quête de repères. Le fait que les médias internationaux et régionaux désignent les ressortissants de la RDC simplement comme « Congolais » sans mentionner « RDC » accentue cette confusion et alimente une désinformation nuisible.

🛑 Une usurpation et une atteinte à la souveraineté du Congo 🇨🇬
Cette confusion n’est pas seulement une question de terminologie : elle constitue une véritable usurpation d’identité et une atteinte à la souveraineté nationale de la République du Congo. En s’appropriant le nom « Congo » sans distinction, la RDC brouille les repères diplomatiques, culturels et historiques, et porte atteinte à notre légitimité internationale.

📣 Appel aux autorités
Nous appelons les autorités compétentes à agir face à cette situation préoccupante. Il est essentiel de mettre fin à cette confusion entretenue par la RDC et de rétablir la clarté sur les identités nationales respectives. Il n’existe qu’un seul Congo légitime : la République du Congo 🇨🇬. L’appellation « Congo-Brazzaville » est une dénomination informelle sans fondement juridique, qui ternit l’image de notre pays.

🧭 Clarifions les choses
Il est temps de réaffirmer notre souveraineté et notre identité nationale. Le Congo, c’est la République du Congo 🇨🇬, et non une entité partagée. Toute autre utilisation du terme « Congolais » sans distinction constitue une usurpation d’identité que nous devons dénoncer avec fermeté.

11/10/2025
Congolais
11/10/2025

Congolais

11/08/2025

Depuis le 17 mai 1997, à la suite de la prise de pouvoir par Joseph-Désiré Kabila père, l’ancien Zaïre a officiellement adopté le nom de République Démocratique du Congo (RDC). Ce changement, bien que souverain, s’accompagne depuis plusieurs années d’un usage abusif et erroné du nom "Congo" dans les communications officielles et informelles de la RDC.
Or, selon les normes internationales en vigueur, un seul pays porte officiellement le nom de "Congo", à savoir la République du Congo 🇨🇬, dont le nom court est également Congo. La RDC, quant à elle, est reconnue sous son nom complet ou son sigle RDC — à l’instar des États-Unis d’Amérique (USA), qui ne se font jamais appeler simplement "Amérique".
L’usage du terme "les deux Congo" est une construction fictive, sans fondement juridique ni diplomatique. Elle entretient une confusion volontaire et constitue une tentative manifeste de détournement d’identité nationale, visant à effacer la singularité historique et politique de la République du Congo 🇨🇬.
Nous dénonçons avec fermeté cette dérive sémantique et symbolique, qui s’apparente à une usurpation d’identité. Il est inacceptable que la RDC se fasse appeler "Congo" dans ses communications numériques, médiatiques ou diplomatiques, au mépris des règles de reconnaissance internationale.
Nous appelons :
- Les autorités de la République du Congo 🇨🇬 à prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre l’intégrité de notre nom et de notre image.
- La communauté internationale à faire preuve de vigilance et à respecter les dénominations officielles des États.
- La République Démocratique du Congo 🇨🇩 à cesser immédiatement l’usage abusif du nom "Congo" dans ses représentations.
La vérité historique et diplomatique ne saurait être altérée par des pratiques de communication trompeuses. Le Congo, c’est la République du Congo. Un point, c’est

Il n’existe pas deux Congo. Il n’y a qu’un seul pays qui porte légitimement le nom du Congo : c’est la République du Con...
11/08/2025

Il n’existe pas deux Congo. Il n’y a qu’un seul pays qui porte légitimement le nom du Congo : c’est la République du Congo. La RDC, elle, a un autre nom."

PSCTV News & Kayi TVLes Kulunas dans la diaspora : entre impunité, infiltration et quête de pouvoirLa diaspora congolais...
11/08/2025

PSCTV News & Kayi TV

Les Kulunas dans la diaspora : entre impunité, infiltration et quête de pouvoir

La diaspora congolaise, censée incarner l’espoir et le renouveau, cache une réalité inquiétante : elle abrite d’anciens Kulunas, Cobra, Ninjas, Zoulous, et autres miliciens qui ont semé la terreur entre 1996 et 1999 au Congo. Ces groupes armés ont participé à des massacres, des pillages et des exactions contre la population. Aujourd’hui, plusieurs de leurs membres vivent à l’étranger, déguisés en réfugiés politiques ou opposants au régime.

🔍 Une impunité organisée
Jamais jugés, souvent atteints de troubles mentaux non traités, ces anciens miliciens circulent librement dans les pays d’accueil. Aucun suivi psychiatrique, aucune reconnaissance des traumatismes causés. Ils ont échappé à la justice nationale et internationale, et certains rêvent désormais d’accéder au pouvoir.

📢 Des voix bruyantes, des passés sombres
Ceux qui s’agitent sur les réseaux sociaux, qui parlent de démocratie et de droits humains, sont parfois les mêmes qui ont versé le sang. Derrière les discours militants se cachent des parcours criminels. L’Europe et l’Amérique, autrefois tranquilles, ont vu leur équilibre perturbé par l’arrivée de réfugiés politiques souvent peu instruits, semi-analphabètes, sans repères éducatifs ni moraux.

⚖️ L’urgence de la vérité
La diaspora congolaise doit faire son propre ménage. Il est temps de dénoncer ces criminels infiltrés, qu’ils soient Kulunas, Cobra, Ninjas ou autres. Les véritables opposants ne peuvent cohabiter avec des bourreaux déguisés en victimes. La justice ne doit pas s’arrêter aux

11/07/2025
11/05/2025

"Quand allez-vous enfin comprendre que notre pays ne s'appelle pas 'Congo-Brazzaville' ? Il s'appelle tout simplement Congo. Il n'y a pas deux Congo. Ce nom informel dénature notre identité nationale. Dire 'je viens du Congo-Brazzaville', c’est comme renier une partie de soi. Il est temps de corriger cela et d'affirmer fièrement : je viens du Congo."

psctv News 🇨🇬Quand le professeur Marion Michel Madzimba répond à un sakolateur🗣️ Dans une mise au point incisive et argu...
11/05/2025

psctv News 🇨🇬

Quand le professeur Marion Michel Madzimba répond à un sakolateur

🗣️ Dans une mise au point incisive et argumentée, le professeur Marion Michel Madzimba Ehouango a répondu avec fermeté aux propos tenus par Brice Landry Decaux, animateur de l’émission « La Matinale » sur le réseau Appeler. Ce dernier aurait mis en cause la position du professeur concernant l’opération de la DGSP contre les « kulunas » ou « bébés noirs » au Congo. Le professeur, juriste et sociologue politique, n’a pas laissé passer ce qu’il qualifie de « balivernes » et de « vociférations matinales ».

🎓 Une parole d’expert, enracinée dans le réel

Le professeur Madzimba ne parle pas en amateur. Il est enseignant en droit et en sociologie politique, ancien acteur du régime, et victime directe du banditisme qu’il dénonce. Il affirme soutenir l’opération d’éradication du banditisme menée par la DGSP, tout en ayant proposé des modalités juridiques d’encadrement pour en améliorer la forme.

Voici les fondements de sa position :

- Il a été personnellement victime du phénomène kuluna.
- Il connaît de l’intérieur les mécanismes politiques qui ont permis son émergence.
- Il identifie les complicités politiques et judiciaires qui rendent difficile son éradication.
- Il anticipe les risques électoraux liés à ce phénomène dans le contexte politique actuel.
- Il souligne la difficulté d’appliquer certains principes universels dans une société marquée par des dysfonctionnements institutionnels.
- Il croit en l’avenir du Congo, mais pas avec les dirigeants actuels.

🤡 Le « sakolage » comme diversion populiste

Face à cette posture réfléchie, Brice Landry Decaux aurait préféré le sarcasme et la dérision. Le professeur dénonce une forme de journalisme spectacle, où l’on brocarde les institutions sans proposer de solutions, où l’on amuse le public au lieu de l’éveiller. Il qualifie cette démarche de « sakolage » — une distraction qui anesthésie le peuple et le détourne des vrais combats.

Il fustige :

- Une incompétence médiatique déguisée en analyse politique.
- Une absence de formation journalistique sérieuse.
- Une lecture superficielle des enjeux juridiques et sociaux.
- Une posture de noble autoproclamé, en référence ironique à un titre aboli par la Révolution française.

🇨🇬 Un patriotisme sans concession

Le professeur rappelle qu’il n’a qu’un seul pays : le Congo. Contrairement à ceux qui ont acquis une autre nationalité, lui reste ancré dans la réalité congolaise, avec ses douleurs, ses espoirs, et ses combats. Il affirme que les Congolais assassinés dans les deux camps n’ont pas d’autre terre que celle qu’ils défendent.

Son message est clair : le Congo ne peut être compris ni défendu depuis un studio étranger, avec des théories mal digérées et des postures creuses. Il appelle à plus de sérieux, plus de rigueur, et plus de respect pour les enjeux du pays.

📝 Conclusion

Le professeur Marion Michel Madzimba Ehouango ne répond pas seulement à une attaque personnelle. Il défend une vision du débat public fondée sur la connaissance, l’expérience, et la responsabilité. Il rappelle que le Congo mérite mieux que des amuseurs matinaux : il mérite des penseurs, des bâtisseurs, et des patriotes.

Face au « sakolage », il oppose la rigueur.
Face à la dérision, il oppose la dignité.
Face à l’oubli, il oppose la mémoire.

📢 Communiqué Officiel🇨🇬 République du Congo : Alerte sur l’usurpation du nom "Congo" par la 🇨🇩 République Démocratique d...
11/05/2025

📢 Communiqué Officiel

🇨🇬 République du Congo : Alerte sur l’usurpation du nom "Congo" par la 🇨🇩 République Démocratique du Congo

Depuis le 17 mai 1997, à la suite de la prise de pouvoir par Joseph-Désiré Kabila père, l’ancien Zaïre a officiellement adopté le nom de République Démocratique du Congo (RDC). Ce changement, bien que souverain, s’accompagne depuis plusieurs années d’un usage abusif et erroné du nom "Congo" dans les communications officielles et informelles de la RDC.

Or, selon les normes internationales en vigueur, un seul pays porte officiellement le nom de "Congo", à savoir la République du Congo 🇨🇬, dont le nom court est également Congo. La RDC, quant à elle, est reconnue sous son nom complet ou son sigle RDC — à l’instar des États-Unis d’Amérique (USA), qui ne se font jamais appeler simplement "Amérique".

L’usage du terme "les deux Congo" est une construction fictive, sans fondement juridique ni diplomatique. Elle entretient une confusion volontaire et constitue une tentative manifeste de détournement d’identité nationale, visant à effacer la singularité historique et politique de la République du Congo 🇨🇬.

Nous dénonçons avec fermeté cette dérive sémantique et symbolique, qui s’apparente à une usurpation d’identité. Il est inacceptable que la RDC se fasse appeler "Congo" dans ses communications numériques, médiatiques ou diplomatiques, au mépris des règles de reconnaissance internationale.

Nous appelons :
- Les autorités de la République du Congo 🇨🇬 à prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre l’intégrité de notre nom et de notre image.
- La communauté internationale à faire preuve de vigilance et à respecter les dénominations officielles des États.
- La République Démocratique du Congo 🇨🇩 à cesser immédiatement l’usage abusif du nom "Congo" dans ses représentations.

La vérité historique et diplomatique ne saurait être altérée par des pratiques de communication trompeuses. Le Congo, c’est la République du Congo. Un point, c’est tout.

🏛️ La confusion étatique : une désinformation et une usurpation d’identité à l’échelle internationaleIntroductionLa conf...
11/03/2025

🏛️ La confusion étatique : une désinformation et une usurpation d’identité à l’échelle internationale

Introduction

La confusion étatique ne relève pas d’un simple malentendu diplomatique : elle constitue une désinformation grave et une usurpation d’identité à l’échelle internationale, notamment au sein des communautés africaines. Lorsqu’un État s’approprie le nom, les symboles ou l’image d’un autre État souverain, cela porte atteinte à sa légitimité, à sa représentation et à son intégrité diplomatique.

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🏳️ Identification des États par leurs drapeaux

Pour lever toute ambiguïté, voici les drapeaux officiels des deux États concernés :

- République du Congo 🇨🇬
Drapeau composé de trois bandes diagonales : verte (en haut), jaune (au centre), rouge (en bas).
→ Seul cet État porte officiellement le nom court "Congo".

- République démocratique du Congo (RDC) 🇨🇩
Drapeau bleu avec une étoile jaune en haut à gauche et une bande rouge bordée de jaune en diagonale.
→ Cet État ne peut en aucun cas être désigné comme "le Congo".

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⚠️ Une atteinte directe à la souveraineté

- Utiliser les armoiries ou le drapeau de la République du Congo sur des t-shirts ou supports non autorisés par la RDC est une atteinte à la souveraineté nationale.
- C’est comme si la Chine imprimait des t-shirts avec le drapeau des États-Unis : une telle action serait immédiatement dénoncée comme une provocation diplomatique.
- Les lois internationales sont claires : chaque État est juridiquement distinct, et aucun ne peut s’approprier l’identité d’un autre.

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📜 Le principe de non-confusion des États

Ce principe est fondé sur les textes suivants :

- Charte des Nations Unies – Article 2 1 : égalité souveraine de tous les États membres.
- Résolution 2625 (XXV) : chaque État a le droit de préserver son identité sans ingérence ni appropriation.
- Normes diplomatiques : les noms officiels et les symboles étatiques sont protégés et ne peuvent être utilisés sans autorisation.

🗣️ Une réaction attendue des autorités

Face à cette usurpation symbolique :

- Il est incompréhensible que les autorités de la République du Congo restent silencieuses, alors que les preuves d’atteinte à la souveraineté sont manifestes.
- La République du Congo doit affirmer sa position et exiger le respect de son identité diplomatique.
- Des mesures doivent être prises pour interdire l’usage abusif de ses symboles et de son nom par tout autre État ou entité.

Conclusion

La confusion étatique n’est pas une simple erreur de langage : c’est une forme de désinformation et d’effacement diplomatique. La République du Congo ne peut être confondue avec la RDC, ni remplacée, ni éclipsée. Elle est un État souverain, porteur du nom "Congo", et doit être reconnue comme tel dans toutes les instances internationales. Toute appropriation de son identité constitue une violation du droit international et une atteinte à sa dignité nationale.

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