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06/24/2025

Gojo SATORU || Jujutsu kaisen

J'avais abandonné, Puis je l'ai vue CHAPITRE 5 — ELEANOR > Quand j’avais 18 ans, j’aimais quelqu’un de tout mon cœur.C’é...
06/24/2025

J'avais abandonné, Puis je l'ai vue

CHAPITRE 5 — ELEANOR

> Quand j’avais 18 ans, j’aimais quelqu’un de tout mon cœur.

C’était le mec le plus populaire, le plus cool du lycée. Je pensais n’avoir aucune chance de lui plaire — moi qui étais toujours plongée dans mes bouquins.

Et pourtant, un jour, il m’a dit qu’il voulait sortir avec moi. C’était le plus beau jour de ma vie.

J’ai accepté, le cœur battant. J’étais prête à tout pour lui. Je lui faisais une confiance aveugle.

On a passé cinq mois ensemble… Cinq mois où j’ai cru avoir trouvé le véritable amour. On était faits l’un pour l’autre — du moins, c’est ce que je croyais.

Puis, après lui avoir donné ma virginité, tout a changé.

Il a commencé à m’éviter. Il devenait froid, distant.
Je ne comprenais pas. Qu’est-ce que j’avais fait de mal ?

Un jour, j’ai surpris une conversation entre lui et ses amis. Il disait qu’il ne m’aimait pas… qu’il voulait juste coucher avec moi. Rien d’autre. Juste ça.

Ce jour-là, j’ai eu l’impression que le sol s’effondrait sous mes pieds.

Je me suis sentie souillée, trahie, brisée.

J’ai pleuré longtemps, en silence.

Puis j’ai décidé de rompre. Je ne l’ai plus jamais revu.

Depuis ce jour, je me suis juré de ne plus jamais faire confiance à personne.
J’ai enfoui mes sentiments. Je me suis enfermée dans les études.

Quelques années plus t**d, ma famille a déménagé pour le travail de mon père. J’ai continué à travailler dur. Les garçons ? Je les avais rayés de ma vie.

Un jour comme les autres, au boulot, j’étais à la caisse, en train de scanner des articles.

Et il est arrivé.

C’était lui… Le client suivant.

Nos regards se sont croisés. Et pendant dix secondes, le monde s’est arrêté.

Mon cœur s’est mis à battre fort.

Je sentais des papillons dans le ventre.

Je lui ai dit avec un petit sourire :

— Vous comptez rester comme ça encore longtemps ?

Il s’est approché, pendant que je continuais de scanner ses articles. Un petit garçon l’accompagnait — sûrement son petit frère.

Une fois la dernière boîte scannée, il m’a demandé :

— Comment tu t’appelles ?

J’étais surprise. Je lui ai demandé pourquoi.

Il m’a répondu, avec une douceur désarmante :

— Pour connaître le nom de cette belle demoiselle.

Mon cœur a failli fondre… mais mes souvenirs m’ont giflée.

Malgré tout, je lui ai dit mon nom, tout en lui demandant gentiment de libérer le passage.

Avant de partir, il m’a lancé :

— J’espère te revoir.

Et moi, sans vraiment réfléchir, j’ai répondu :

— Moi aussi.

Il a hanté mes pensées toute la soirée.

Il s’appelle Kévin.

Une partie de moi voulait le revoir… mais une autre me murmurait : « Et si tout recommençait comme avant ? »

J’avais tout fait pour oublier.

Le lendemain, je suis allée à la nouvelle fac où mon père m’avait transférée.

J’étais un peu anxieuse.

Une responsable m’a accompagnée jusqu’à ma salle de cours.

Le professeur m’a présentée à la classe.

J’ai levé les yeux… j’ai balayé la pièce du regard…

Et là, je l’ai vu.

Kévin.

J’étais figée. Surprise. Troublée.

Une coïncidence ? Vraiment ?

Le destin avait décidé autrement.

Ma place était juste à côté de la sienne.

Les semaines ont passé. On a appris à se connaître.
Puis un jour, le professeur nous a donné un projet en binôme. Je ne me sentais à l’aise qu’avec Atom ou Kévin.

Alors je me suis tournée vers lui :

— Tu veux être mon binôme ?

Il a souri, et accepté.

C’est ainsi que je me suis retrouvée chez lui.
On a travaillé. On a ri. On a parlé.

Il est différent… et ça me plaît.

Sa mère est douce, attentionnée. Rien à voir avec ce que j’avais imaginé.
Ensuite il m’a raccompagné chez-moi.
Et moi ? Je ne sais pas… Je sens quelque chose bouger en moi. Quelque chose que je croyais mort.

Aujourd’hui, on est jeudi.

Demain, vendredi… on a prévu de se revoir.
Il a appelé ça "un petit rencard".

Et moi… je ne sais pas si j’ai peur.

Ou si j’ai juste hâte.

(À suivre)

N'oubliez pas de me soutenir si t'as aimé et de le partager avec tes amis pour m'encourager🤗😊 à la prochaine

J'avais abandonné, Puis je l'ai vue Chapitre 4 – Souvenir lointain– Kévin ! Tu peux me pardonner ? On pourrait tout reco...
06/13/2025

J'avais abandonné, Puis je l'ai vue

Chapitre 4 – Souvenir lointain

– Kévin ! Tu peux me pardonner ? On pourrait tout recommencer comme avant…

– Pourquoi t’as fait ça ? Tu as trahi ma confiance… et l’amour que j’avais pour toi.

– Je sais… c’était une erreur !

– Laisse-moi.

La fille, en larmes, continue de demander pardon pour ce qu’elle a fait.

Et soudain, Kévin se réveille en sursaut : encore ce cauchemar.

– Encore ce mauvais rêve… Je n’arrête pas de la voir ces derniers temps. Qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi maintenant, alors que je croyais avoir tourné la page ?

Kévin prit un bain, puis descendit prendre son petit déjeuner avant d’aller en cours.

– Qu’est-ce qu’il y a, mon fils ? On dirait que t’as fait un mauvais rêve ?

– Ce n’est rien, maman.

– Tu sais que tu peux tout me dire, hein ?

– Oui, je sais. Papa n’est pas encore rentré ?

– Non. Il sera là la semaine prochaine.

– D’accord ! Bon, j’y vais.

– Tu peux passer chercher Will et Lisson à la sortie des cours ?

– Je ne pense pas, je finirai très t**d aujourd’hui.

– D’accord, ils prendront le bus.

Vous savez, il y a des gens qui, à chaque fois qu’ils sont sur le point de passer à autre chose, se laissent rattraper par la peur… par leurs souvenirs, leurs échecs. Eh bien moi, je fais partie de ces personnes. Je n’arrête pas de me demander : Où est-ce que j’ai échoué ? Est-ce que c’est moi le problème ? Je repasse ça en boucle dans ma tête. Et ça me déprime.

Je pense tout le temps à cette fille. À ce qu’elle m’a fait. Et maintenant que quelqu’un commence enfin à briser cette glace autour de mon cœur… elle refait surface.

Arrivé en cours, je salue tout le monde puis je m’assieds, sans dire un mot. Pendant toute la matinée, je suis complètement ailleurs. Comme invisible aux yeux de tous. Jusqu’à la pause déjeuner.

Atom vient me voir.

– Yo, mon pote ! Qu’est-ce qu’il y a ?

– Rien de spécial. Pourquoi ?

– Depuis ce matin t’as la tête d’un mec qui s’est pris un râteau. Me dis pas qu’elle t’a rejeté ?

– Non, c’est pas ça.

– Alors, c’est quoi ?

– Tu sais, à chaque fois que j’ai envie d’aller de l’avant, le passé me bloque.

– Donc c’est un truc du passé qui te met dans cet état ?

– Ouais… Hier soir, j’ai rêvé d’elle.

– Eleanor !?

– Non… de Cristina.

– Sérieux ? Et qu’est-ce qui s’est passé dans ton rêve ?

– Elle me demandait pardon pour ce qu’elle m’a fait.

– Ah ouais, là c’est un sacré cauchemar.

– Elle me tourmente… surtout après la soirée passée avec Eleanor.

– En parlant de ça, raconte-moi ce qui s’est passé entre vous ce week-end !

– Rien de spécial, on travaillait tranquillement, c’est tout.

– Tu me prends pour un con ou quoi ?

– Elle m’a juste fait une bise en rentrant chez elle…

– Woah ! Y a une chance entre toi et elle, mon pote. T’es sur la bonne voie !

– Ne dis pas de bêtises.

– Si tu continues à t’apitoyer sur ton sort, tu n’avanceras jamais. Laisse le passé derrière toi. Trouve-toi un nouvel horizon. Ne sois pas malheureux toute ta vie à cause de gens qui ne se soucient pas de toi. Tu rends malheureux ceux qui t’aiment dans le présent.

– Merci, mon pote… T’as raison. Si je reste bloqué dans le passé, je n’avancerai jamais.

– Voilà ! C’est l’esprit. Vas-y, fonce. Elle t’attend.

Après cette discussion avec Atom, j’étais reboosté. Il avait raison. Si je n’agis pas maintenant, je risque de tout perdre. Et sincèrement, je n’ai pas envie de la perdre sans essayer. Comme on dit : « Qui ne tente rien n’a rien. »

Kévin se mit à chercher Eleanor. Il ne la trouva pas en salle, alors il continua à la chercher, courant un peu partout. Et soudain, alors qu’il passait devant la salle d’informatique, il aperçut sa silhouette. Il s’arrêta immédiatement, ralentit le pas, puis se posta doucement devant la porte, la regardant tendrement.

Elle travaillait. Une mèche de cheveux glissa sur son visage ; elle la remit délicatement derrière son oreille. Pour Kévin, c’était comme une scène de film. Peu à peu, il s’approcha, sans vouloir la déconcentrer. Puis Eleanor leva la tête, et ses yeux si beaux croisèrent ceux de Kévin.

– Ah ! Kévin, tu m’as fait peur ! Qu’est-ce que tu fais là ?

– Je cherchais la plus belle fille du campus.

– Et tu l’as trouvée ?

– Oui. Elle est juste devant moi.

– Vraiment ? Ce matin je t’ai trouvé distant… Il s’est passé quelque chose ?

– J’ai juste fait un mauvais rêve.

– Un rêve qui t’a mis dans cet état ?

– Oui… Je suis quelqu’un de sensible, moi.

– C’est une de tes qualités ?

– On peut dire ça…

– Et tu me cherchais pour me dire quelque chose ?

– Euh… oui.

– Quoi donc ?

– Je me demandais si tu étais dispo pour une sortie ce week-end ?

– Tu veux un rencard avec moi ?

– Ou… oui !

– Je ne pense pas avoir du temps libre ce week-end…

– Vraiment ? Tu me rends triste…

– Disons… vendredi.

– SUPER ! YES !

– Y’a pas de quoi s’affoler ! dit-elle en souriant.

– T’as raison. Bon, je t’écris plus t**d.

– À plus…

Eleanor, 24 ans, est une fille très gentille. Mystérieuse, mais aussi très ouverte. Elle n’accorde pas facilement sa confiance. Elle a beaucoup souffert. Elle est sérieuse dans ses études, travailleuse, et fait tout pour aider sa famille.
Eleanor – Je suis rentrée !

Sa mère – T’es rentrée tôt aujourd’hui ?

Eleanor – Oui, je dois aller travailler.

Sa mère – Je t’ai laissé quelque chose sur la table.

Eleanor – Merci, je vais l’emporter avec moi.

Sa mère – Tu t’es fait des amis ?

Eleanor – Oui !

Sa mère – Contente de l’entendre.

Eleanor – Bon, j’y vais. À plus t**d.

Sa mère – À plus t**d !

Comme vous le voyez, c’est une fille courageuse. Sa famille vient d’emménager dans cette ville à cause du travail de son père. Ils sont quatre : sa mère, son père, son petit frère et elle. Son père, avocat, est souvent absent. Sa mère, mère au foyer, est toujours là pour eux. Eleanor, elle, enchaîne les petits boulots pour ne pas dépendre de lui. Son petit frère, âgé de 18 ans, est en terminale.
Une famille comme les autres…

"Mais alors que le présent semblait enfin lui sourire… le passé n’avait pas dit son dernier mot."
(À suivre...)

N'oubliez pas de liker les amis et de partager avec vos amis🤗 je vous dis à bientôt pour la suite😉

Bonjour mes amis👋 j'espère que vous allez bien ? Moi ça va super bien !!🤗Avant de publier le chapitre 4, J'aimerais avoi...
06/13/2025

Bonjour mes amis👋 j'espère que vous allez bien ? Moi ça va super bien !!🤗
Avant de publier le chapitre 4, J'aimerais avoir vos avis, vos commentaires sur les 3 derniers chapitres de "J'avais abandonné, puis je l'ai vue" Ça m'aidera beaucoup à continuer d'écrire.😊

06/12/2025

Citation anime || Luffy

J’avais abandonné, Puis je l'ai vueCHAPITRE 3 – COÏNCIDENCEÀ la fin de la journée, je n’arrêtais pas de penser à elle.Je...
06/08/2025

J’avais abandonné, Puis je l'ai vue

CHAPITRE 3 – COÏNCIDENCE

À la fin de la journée, je n’arrêtais pas de penser à elle.
Je le sens déjà : ça va finir comme d’habitude. Ça commence toujours pareil.
Ça t’obsède, ça t’envahit, et ça finit par te retourner la tête… pour finalement se terminer en bo**el.

Tout allait bien avant que je la rencontre. Et maintenant ?
Le chaos.

Son regard, son sourire, son visage, ses cheveux, ses lèvres…
Elle me hante complètement. Est-ce qu’Atom a raison ? Est-ce que c’est un signe du destin ?

Le vent soufflait doucement contre la fenêtre de ma chambre.
Les étoiles brillaient dans le ciel noir. Je mis mes écouteurs, comme chaque soir. Une nuit douce. Apparemment normale.

Le lendemain en classe, le prof nous annonce un projet en binôme. Je commence à stresser…
Atom me lance un clin d’œil avec un sourire complice et me murmure :

— Je te souhaite bonne chance avec elle !

— Je t’emmerde !

À ce moment-là, Eleanor me tapote l’épaule.

— Ça te dit d’être mon partenaire ?

— Heu… Oui ! Pourquoi pas ?

— On fixe un moment pour bo**er ensemble ?

— Oui ! Tu pourrais venir chez moi ? Pour travailler, bien sûr…

— D’accord, ça me va.

— Samedi vers 16h, ça te dit ?

— Parfait.

— Tu me donnes ton numéro ? Comme ça je t’envoie l’adresse.

On échange nos numéros. Mon cœur bat un peu trop vite.

— Voilà, on se voit ce samedi !

— Oui ! Bye !

C’est trop beau pour être vrai. Moi, chez moi, avec Eleanor ?
On dirait un rêve. Non, pire : le destin. Et en plus, on a échangé nos numéros.
C’était une belle journée.

Samedi. 16h.
J’ai passé une heure à ranger ma chambre comme si ma vie en dépendait.
Je vérifie mon t-shirt, l’odeur de mon parfum, mes cheveux, tout.
On est toujours anxieux quand on invite quelqu’un chez soi.
Mais là… c’est pas "quelqu’un". C’est elle.

Puis… toc toc toc
Quelqu’un frappe à la porte.

Ma mère va ouvrir.

— Bonsoir madame !

— Bonsoir, jeune fille !

— Kévin est là ? Je suis venue pour travailler avec lui sur le projet qu’on a.

— Il est là ! Entre, mon enfant !

Ma mère, toute heureuse, la fait entrer en souriant jusqu’aux oreilles.

— Je commençais à douter de mon fils… Il n’a jamais ramené de fille à la maison. Enfin, Dieu soit loué !

Elle me crie ensuite depuis le bas de l’escalier :

— Kévin ! Descends, t’as de la visite !

Je descends lentement les marches, le cœur battant comme si j’allais passer un entretien pour devenir astronaute.
Je la vois dans le salon, souriante, sac à la main.
Elle est encore plus jolie que d’habitude. C’est injuste.

— Salut, dis-je en essayant d’avoir l’air normal.

— Salut !

— Voici ma mère, Carina !
Puis maman, voici Eleanor, on va travailler ensemble sur un projet.

— Enchantée, madame.

— Enchantée Eleanor. D’accord, amusez-vous les enfants !

On monte dans ma chambre.

— Tu veux boire quelque chose ? Un jus, de l’eau, du thé… ? Enfin… j’ai pas de thé, je crois.

Elle rigole.

— Un verre d’eau, ça ira très bien.

Je file lui chercher ça, en essayant de ne pas glisser sur les marches tellement je suis stressé.
Je reviens, elle a déjà sorti son ordi, super organisée.
Elle a l’air à l’aise. Moi, j’ai l’impression d’avoir 12 ans.

On commence à bo**er. Du moins, on essaie.

Parce que chaque fois qu’elle parle, je perds le fil.
Son regard se pose sur moi, et je suis déjà en train de rêver d’un futur qui n’existe pas encore.
Des images floues : nos mains qui se frôlent, des rires partagés, un ba**er peut-être... Et tout ça me ramène à une seule question : et si cette fois, c'était différent ?

— T’es sûr que ça va ? me demande-t-elle en souriant.

— Hein ? Oui, ouais ouais ! Juste un peu fatigué.

Silence. Elle me fixe, puis détourne les yeux.

— T’es différent des autres mecs du lycée, tu sais.

Je me sens rougir. Mon cœur rate un battement.
Je baisse un peu les yeux, mal à l’aise.

— Différent comment ?

— Je sais pas… T’es pas comme ceux qui essaient d’être cool tout le temps.
Toi, t’as l’air… vrai.

— Tu sais, faire semblant d’être quelqu’un qu’on n’est pas, c’est pas mon truc.
Le plus important, c’est de rester soi-même.

— Tu parais plus mature que les autres, en tout cas.

Je ne sais pas quoi répondre à ça. Alors je souris.
Et c’est peut-être la première fois depuis longtemps que je souris sans me forcer.

On continue à travailler. À la fin, on a écrit deux phrases et passé une heure à parler de tout et de rien.
Apprendre à mieux connaître l’autre.
Et moi, j’ai l’impression que plus je la découvre, plus je m’y perds.
Mais c’est une agréable perdition.

Quand elle se lève pour partir, il fait déjà presque nuit.
Elle me regarde, hésite un instant, puis dit :

— C’était sympa, vraiment. Merci de m’avoir invitée.

— Merci à toi d’être venue.

Elle descend, et je l’accompagne jusqu’à la porte.
Ma mère, bien sûr, fait semblant de ne pas espionner depuis la cuisine. Elle est nulle à ça.

— Vous avez terminé ? Tu ne restes pas avec nous pour dîner ?

— Oui, ça s’est bien passé, merci de m’avoir accueillie chez vous !
Mais je ne pourrai pas rester dîner… une prochaine fois peut-être !

— Quel dommage ! Au moins, prends ce plat avec toi ?

— Oh ! C’est très gentil à vous. Je ne vais pas refuser.

— Bon ! Kévin, tu peux l’accompagner chez elle ! Prends la clé de la voiture.

— OUI !
Je la ramène chez elle en voiture.
On s’était bien amusés, elle habitait à 10 minutes de chez moi.
J’aurais voulu que la route soit plus longue.

Quand on arrive, elle se tourne vers moi, doucement.

— Merci pour cette fin de journée… assez amusante.

— C’était bien !

— On se voit lundi ?

— À lundi ! Et bonne nuit.

Et là, elle s’approche…
Elle me fait une bise.

Mon cœur rate un battement, ou deux. Je ne sais plus respirer.
Son parfum me reste en tête, sa joue contre la mienne.
C’est un petit geste, mais pour moi c’est énorme.
Comme si, pendant une seconde, j’avais touché la lumière.

— Bonne nuit, Kévin.

Elle me fait un petit signe de la main, puis elle rentre chez elle.

Je reste là quelques secondes, figé dans le silence.
Le cœur encore suspendu quelque part dans ma poitrine.

Je rentre à la maison, en souriant tout seul dans la voiture.

Est-ce que c’est vraiment en train de m’arriver ?
Est-ce que ça pourrait être différent, cette fois ?

Ou est-ce que je suis juste en train de tomber encore une fois ?

N'oubliez pas de liker les amis et de partager pour la suite.🤗😁

06/02/2025

Qu'elle est ta Waifu préférée ?😏👀

J'avais abandonné, Puis je l’ai vue...Chapitre 2 – Elle. Encore.Le professeur s’éclaircit la voix. Les bavardages cessen...
05/30/2025

J'avais abandonné, Puis je l’ai vue...

Chapitre 2 – Elle. Encore.

Le professeur s’éclaircit la voix. Les bavardages cessent aussitôt.

— Comme je vous l’ai dit, nous avons une nouvelle étudiante qui rejoint votre classe aujourd’hui. Je compte sur vous pour l’accueillir chaleureusement. Entre, je t’en prie.

La porte s’ouvre lentement.

Mon cœur s’arrête.

Non… Ce n’est pas possible.

Elle entre, les cheveux attachés avec nonchalance, une élégance naturelle, un regard qu’on n’oublie pas.

Eleanor.

Je reste figé.

C’est bien elle — la caissière du supermarché. Celle qui, sans le vouloir, a rallumé quelque chose en moi.

Elle balaye la salle du regard… puis ses yeux s’arrêtent sur moi. Elle me reconnaît. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres. Presque moqueur.

Je déglutis avec difficulté.

— Elle s’appelle Eleanor Désir. Elle vient d’arriver. Soyez sympas, elle est ici pour finir son année, dit le professeur.

Il lui indique une place… juste à côté de moi.

Atom me lance un regard complice, l’air hilare.

— Mec… c’est elle ?

Je ne réponds pas. Je hoche à peine la tête. Mon cœur bat comme s’il avait oublié comment faire.

Elle s’installe tranquillement, puis tourne la tête vers moi.

— Salut… Kévin, c’est ça ?

Je hoche la tête, un peu trop vite.

— Oui. Je ne pensais pas te revoir… encore moins ici.

— Le monde est petit… ou peut-être que c’est le destin.

Je ris nerveusement. Elle m’observe, un brin amusée.

Et là, je comprends.

Peut-être que je n’avais pas perdu l’amour.

Peut-être qu’il était simplement… en pause.

---

Le temps file à toute allure à ses côtés. Déjà l’heure du déjeuner.

Je ne me fais pas d’illusions. Elle ne va sûrement pas rester. Je me méfie de son sourire. Je n’ai pas envie de retomber dans un piège que je ne comprends même pas encore.

Atom me rejoint, tout excité.

— Alors ? Il se passe un truc entre toi et la nouvelle ?

— Non… Non !

— T’arrêtais pas de la fixer. Et je t’ai vu lui parler.

— C’est bon, je la connaissais déjà.

— Ah ouais ? Où ça ? Toi qui ne mets jamais un pied dehors…

— Au supermarché. Elle était caissière.

— C’est un signe du destin.

— C’est quoi le rapport avec le destin ?

— T’avais une chance sur dix mille de l’avoir dans la même fac.

— C’est juste un hasard. Pas besoin d’en faire tout un film.

— Le hasard n’existe pas, mon pote. C’était écrit que tu la revois. Et pas qu’une fois.

— Maintenant tu joues les philosophes ?

— Regarde, elle est seule. Va lui parler.

— Merci, mais non merci.

— Très bien, j’y vais alors.

— Fais comme tu veux !

Atom attrape son plateau et s’approche d’Eleanor.

— Je peux m’asseoir ?

Elle hoche la tête.

— Moi c’est Atom. Enchanté de t’avoir parmi nous.

— Enchantée, répond-elle avec un petit sourire.

Je les observe de loin. Et malgré moi… je me surprends à être jaloux.

Je détourne les yeux. Qu’est-ce que je suis en train de faire ?

Pourquoi je ressens ça ? C’est absurde.

Je la connais à peine. On s’est parlé… quoi ? Deux fois ? Et pourtant, elle prend déjà trop de place dans ma tête.

Je tente de manger, mais tout a un goût de carton.

De là où je suis, je les entends rire. Eleanor et Atom. Elle rit franchement. C’est la première fois que je l’entends vraiment rire. Et j’ai l’impression de perdre quelque chose que je n’ai jamais eu.

Je me lève sans réfléchir, plateau en main, direction la poubelle. Mon cœur tape un peu trop fort. Comme s’il me criait de ne pas laisser passer ce moment.

Mais je n’y vais pas. Je sors dehors, à l’écart. Là où le bruit est plus loin. Là où je peux respirer. Le ciel est bleu. Il y a ce vent tiède de mi-saison, celui qui hésite entre deux humeurs.

— Tu fais quoi assis là tout seul ?

Je sursaute.

Eleanor.

Elle est là, juste derrière moi, les bras croisés, le regard indéchiffrable.

— Je… je voulais juste prendre l’air.

— C’est drôle. Moi aussi.

Un silence. Mais pas un silence gênant. Un silence qui questionne.

— Il fait beau, tu ne trouves pas, Kévin ?

— Oui ! J’aime quand il fait beau comme ça.

Elle esquisse un sourire. Pas moqueur cette fois. Plutôt… doux.

— Je te fais peur ?

— Non. Enfin… Pourquoi tu dis ça ?

— Vu mon caractère, les gens ont tendance à me fuir.

— Je ne te fuis pas. C’est juste que je suis étonné de t’avoir dans la même fac.

Elle rit légèrement.

— C’est bien. Au moins, t’es honnête.

Un moment suspendu. Le vent fait voler une mèche de ses cheveux. Elle ne la replace pas. Je la fixe. Elle ne baisse pas les yeux. Ses joues deviennent rouges. Et soudain…

Le gong retentit. Fin de la pause. Elle tourne les talons, s’éloigne, puis se retourne.

— À tout à l’heure, Kévin.

Et elle disparaît dans le bâtiment.

Je reste là, le cœur en désordre.

Peut-être que je ne suis pas prêt pour elle.

Mais peut-être qu’elle est exactement ce qu’il me faut.

N'oubliez pas de like et de partager pour la suite les amis😁🤗

J’avais abandonné, puis je l’ai vueC’est souvent au moment où l’on s’y attend le moins qu’on retrouve l’amour, surtout q...
05/26/2025

J’avais abandonné, puis je l’ai vue

C’est souvent au moment où l’on s’y attend le moins qu’on retrouve l’amour, surtout quand on n’y croit plus.

Souvent, ce sont ceux qui savent vraiment aimer qui ont toujours le cœur brisé. L’amour, en soi, est une épreuve que chacun doit affronter. Chacun a sa manière de gérer un chagrin d’amour : certains préfèrent rester seuls, d’autres trouvent leur voie, certains passent à autre chose, et puis il y a ceux qui disent qu’ils n’y croient plus.

Voici l’histoire d’un jeune garçon. À force de chercher l’amour, il n’a eu que de la malchance.

Tout a commencé avec la première fille dont il est tombé amoureux… Elle s’est avérée être sa cousine. La deuxième, il l’a aimée pendant trois ans, un amour à sens unique. Chaque fois qu’il lui avouait ses sentiments, il se prenait un râteau. Trois fois. La troisième lui a fait découvrir de nouveaux horizons, mais à cause de problèmes familiaux, cela s’est mal terminé. La quatrième ne voulait que de l’amitié… qu’elle utilisait à sa guise. La cinquième lui a donné de faux espoirs avant de se trouver quelqu’un d’autre. Et la sixième ? Une relation à distance. Elle aussi a trouvé quelqu’un d’autre.

Je m’appelle Kévin Chéri. J’ai 25 ans. Je suis célibataire. Je mène une vie paisible, solitaire et calme. Parfois, la solitude me tient compagnie et m’aide à grandir. Tu te demandes peut-être pourquoi j’ai abandonné l’amour, alors que je n’ai “rien vécu”. La réponse est simple : quand tu poursuis un papillon, il s’éloigne. Mais quand tu le laisses tranquille, il revient de lui-même. L’amour, c’est pareil. Je l’ai poursuivi pendant des années… et tout ce que j’ai récolté, c’est du chagrin. Alors, j’ai arrêté.

Aujourd’hui, on vit dans un monde où l’amour est devenu rare. Beaucoup n’y croient plus. Certains font semblant d’aimer, d’autres sont là uniquement pour l’argent, et il y a ceux qui ne cherchent que le plaisir. Voilà ce qu’est devenu l’amour de nos jours. Mais franchement, que peut-on y faire ?

— Kévin ! J’ai besoin de toi, descends !

— Oui, maman, j’arrive !

Eh oui… je vis chez ma mère. Elle s’appelle Carina Chéri. Mon père, Hector Chéri. Ma mère me prépare de bons petits plats dont je ne peux pas me passer. Je lui dois tout. Sans elle, je ne sais pas ce que ma vie serait devenue.

— Qu’est-ce qu’il y a à manger aujourd’hui ?

— Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ta sœur. Il me manque quelques ingrédients pour la salade et les boissons. Tiens, prends ma carte et va au supermarché.

— D’accord !

En ouvrant la porte de la voiture de ma mère, je vois mon petit frère assis sur la banquette arrière.

— Hé ! Qu’est-ce que tu fais là ?

— Je viens avec toi !

— Non !

— Pourquoi ?

— Parce que j’ai dit non.

— Alors je viens quand même !

— Tu me saoules…

Et c’est ainsi que je suis allé au supermarché avec mon frère. Ma famille était séparée : ma mère et ma sœur vivaient aux États-Unis, mon père, mes frères et moi étions en Haïti. Aujourd’hui, nous sommes enfin tous réunis après des années. C’était l’un des plus beaux jours de ma vie. Quand ta famille est éloignée, c’est une partie de toi qui manque.

Nous sommes arrivés au supermarché, nous faisons nos achats. J’ai même acheté un petit cadeau pour ma sœur.

— Will, tu ne vas pas offrir un cadeau à Noël ?

— Si… mais je ne sais pas quoi choisir.

— Prends quelque chose qui te plaît.

— Ah bon ? Je vais lui prendre un petit nounours !

— Elle va adorer !

Une fois les courses terminées, on se dirige vers la caisse. Et c’est là que je l’ai vue.

Mon cœur s’est mis à battre fort. J’avais oublié ce sentiment. Mes yeux ne voyaient plus qu’elle.

— Hé ! Tu vas rester planté là combien de temps ?

— Désolé… j’étais perdu dans mes pensées.

— C’est ça…

Je me tiens devant elle, incapable de dire un mot. Elle est magnifique. Je me dis que ce n’est que temporaire… ça va passer.

— Ça vous fera 100 $.

— Je paie par carte.

— Merci.

— Dis… comment tu t’appelles ?

— Et pourquoi je te le dirais ?

— Juste… par curiosité. J’ai envie de connaître le nom de cette belle demoiselle.

— Eleanor.

— Très joli prénom, Eleanor. Moi, c’est Kévin.

— Il faut libérer la caisse, Kévin, il y a des gens qui attendent.

— Ah, désolé. J’espère qu’on se reverra.

Elle m’a souri et m’a dit :
— J’espère aussi.

Dans la voiture, Will éclate de rire :

— Kévin est amoureux ! "J’ai envie de connaître le nom de cette belle demoiselle"…

— Tu peux te taire ? C’est pour ça que j’aurais dû te laisser à la maison !

De retour chez moi, je descends les courses de la voiture, puis je les dépose dans la cuisine. Ensuite, je monte dans ma chambre pour me reposer un peu. Je prends mon téléphone et je cherche Eleanor sur les réseaux… sans succès. Puis je m’endors.

Plus t**d dans la soirée, on célèbre l’anniversaire de ma sœur. Elle a 35 ans maintenant. Je suis fier de l’avoir comme sœur. Toute la famille était réunie. On s’est bien amusé.

Le lendemain, les cours reprennent. J’étudie la médecine, et je suis aussi technicien en informatique. Les journées sont chargées.

— Bonne journée, maman !

— Bonne journée mon fils. Tu ne déposes pas Lisson au collège ?

— Si, j’y vais !

— Fais attention sur la route.

Lisson, mon petit frère de 20 ans, est passionné par le trading. J’espère qu’il réussira. Moi, j’ai plein de passions : faire des montages vidéos, écrire, regarder des animés… Mais pour l’instant, je me concentre sur mes études.

— Alors Lisson, le trading ça va ?

— Quoi ?

— Tu as gagné combien cette semaine ?

— Ça va. J’ai fait 500 $ avec 50 $.

— Tu vas devenir riche si tu continues comme ça.

— C’est une question de stratégie et d’opportunité.

— Ça tu l’as dit ! Bon, t’es arrivé. On se voit plus t**d ?

— À plus !

Quant à moi, j’arrive à la fac.

— Yo Kévin !

— Hé Atom ! Ça va mec ?

— Ouais bro ! Alors, ces montages que je t’ai envoyés hier ?

— J’ai eu une journée chargée, mais aujourd’hui je m’en occupe. C’est bien en tout cas !

— J’ai entendu dire qu’il y aura une nouvelle élève dans notre classe d’informatique aujourd’hui.

— Sérieux ? Tu sais qui c’est ?

— Non, mais on dit qu’elle est canon.

— Je vois…

— Mon pote, c’est peut-être la fin de ta vie de célibataire !

— Arrête tes bêtises… célibataire à vie, je te dis.

— On verra bien !

Les cours allaient commencer, tout le monde entrait en classe. Je m’assois, comme d’habitude.

Le professeur entre dans la salle, prend la parole et dit :

— Aujourd’hui, nous avons une nouvelle parmi nous…

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07/20/2023

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