Front Departemental Mahorais

Front Departemental Mahorais Le Front Départemental Mahorais est une formation politique qui
concourt à l’expression du suffrage dans le cadre des institutions de la
République

Devant cette absence inquiétante de nos élus, nous devons nous rassembler pour trouver les meilleures solutions afin de sortir notre territoire de ce marasme .

- augmentation des agressions à la personne

-vol avec violence

-cambriolage

-Immigration clandestine

-perte de souveraineté

-problème d'identité

-hausse des chiffres du chômage

-explosion démographique

Le mahorais aujourd'hui ne se sent plus en sécurité chez lui, rejoignez-nous , pour mettre un terme à tout cela .

Deux bateaux, deux visions pour MayotteDepuis trop longtemps, les Mahorais sont dépendants d’un seul moyen de traversée ...
11/10/2025

Deux bateaux, deux visions pour Mayotte

Depuis trop longtemps, les Mahorais sont dépendants d’un seul moyen de traversée entre Petite-Terre et Grande-Terre. À chaque mouvement social, à chaque panne ou grève, des milliers de citoyens, d’élèves, de travailleurs et de familles se retrouvent pris en otage.
Mais aujourd’hui, une alternative est possible.

Le ferry traditionnel, lourd et lent, fait partie de notre histoire. Il a rendu service pendant des années.
Mais l’avenir de Mayotte exige plus de liberté, de modernité et de réactivité.

Le catamaran rapide — “Petite-Terre / Grande-Terre – 8 minutes express” — représente cette nouvelle voie.
✅ Plus rapide
✅ Plus flexible
✅ Plus écologique
✅ Moins dépendant des mouvements sociaux

C’est le symbole d’une Mayotte moderne et libre, capable de se prendre en main sans attendre qu’on lui dicte son avenir.
Ce projet n’est pas seulement une idée technique : c’est une vision de dignité, d’indépendance et de progrès pour tous les Mahorais.

Deux bateaux, deux choix : la dépendance ou la liberté.
À nous de choisir le cap

10/10/2025
À Longoni, un drame inacceptable vient une fois encore nous rappeler dans quelle spirale nous sommes tombés. Deux enfant...
08/10/2025

À Longoni, un drame inacceptable vient une fois encore nous rappeler dans quelle spirale nous sommes tombés. Deux enfants, âgés de seulement 4 et 6 ans, se sont affrontés. Mais cette querelle banale d’apparence a basculé dans l’horreur : le plus jeune, dont les deux parents sont originaires des Comores, a sorti une lame de rasoir et a blessé son camarade au visage. À quatre ans à peine !

Et comme si cela ne suffisait pas, la violence a aussitôt gagné les adultes. La mère de la victime, emportée par la douleur et la colère, a frappé la mère de l’agresseur avec un bâton. Ce sont des scènes qui devraient nous glacer, mais qui malheureusement deviennent trop familières à Mayotte.

Moi, je le dis clairement : cette violence qui détruit notre île aujourd’hui, nous en connaissons les origines. Elle ne vient pas de nulle part. Elle s’installe avec l’immigration incontrôlée, avec des comportements importés qui gangrènent nos villages, nos familles et qui finissent par façonner nos enfants. Comment accepter que des enfants, à peine en âge d’apprendre à lire, sachent déjà manier une lame pour blesser ?

C’est toute notre société qui est en danger. Car si dès le plus jeune âge, certains apprennent que la réponse à la moindre dispute, c’est le coup, le sang et la vengeance, alors quel avenir reste-t-il à Mayotte ? On parle souvent d’éducation, de prévention, mais la vérité est que tant que nous ne couperons pas à la racine ce cercle vicieux importé, nous continuerons à compter les victimes, petites ou grandes.

J’appelle chacun à ouvrir les yeux : nous ne pouvons plus fermer les yeux sur l’origine de cette violence. Mayotte doit retrouver son équilibre, protéger ses enfants et défendre son avenir. Car si nous laissons cette spirale continuer, ce ne sont pas seulement des faits divers que nous lirons demain, mais bien la chronique d’une société en train de se détruire elle-même.

Mahoraises, Mahorais,Ce que nous vivons aujourd’hui n’est pas une simple crise, ce n’est pas une suite d’incidents isolé...
06/10/2025

Mahoraises, Mahorais,

Ce que nous vivons aujourd’hui n’est pas une simple crise, ce n’est pas une suite d’incidents isolés. Ce que nous vivons, c’est une guerre sournoise, une guerre sans déclaration officielle, mais une guerre bien réelle. Oui, mes frères et sœurs, Mayotte brûle.

Regardons autour de nous : Bandrélé brûle. M’tsangamouji brûle. Dapani brûle. Dzoumogné brûle. Bandraboua brûle. Kawéni, Trévani, Koungou, partout des flammes s’élèvent. Partout nos pompiers, courageux mais épuisés, se battent contre des incendies qu’ils n’arrivent plus à contenir. Et à chaque foyer, à chaque colonne de fumée, ce n’est pas seulement une maison qui s’effondre, ce n’est pas seulement une forêt qui disparaît : c’est un morceau de notre dignité qui est attaqué.

Ces incendies ne sont pas le fruit du hasard. Ce ne sont pas des coïncidences malheureuses. Ils sont les instruments d’une stratégie, une stratégie de terre brûlée, pensée, planifiée, et mise en œuvre pour nous affaiblir.

Après les campagnes de propagande, après les accusations mensongères portées contre nos forces de l’ordre des accusations odieuses qui les rendaient responsables des naufrages clandestins une riposte a été déclenchée. Cette riposte, c’est de brûler Mayotte.

Nous devons comprendre qu’il ne s’agit pas seulement de feu et de fumée. Il s’agit d’une guerre psychologique, menée avec des armes nouvelles : la manipulation, en utilisant des enfants de clandestins et de faux témoignages pour salir notre peuple. Les relais locaux, ici à Mayotte même, qui participent à ce mensonge. Certains pour de l’argent, d’autres par idéologie, mais tous jouent contre leur propre île. Les journaux français anti-Mahorais, à Paris, dans certaines rédactions, qui amplifient chaque accusation et minimisent chaque drame que nous subissons, construisant l’image d’un Mayotte violent, incontrôlable, ingérable. Et enfin la terre brûlée : incendier nos terres, détruire nos forêts, mettre à feu nos villages. Non pas seulement pour causer des dégâts matériels, mais pour nous épuiser, pour décourager nos forces, pour instiller la peur dans nos cœurs.

Mais mes frères et sœurs, derrière cette stratégie se cache un projet bien plus grave. Ce n’est pas seulement une question de violence ou de désordre. C’est une manœuvre politique. Il s’agit de préparer l’opinion internationale. Il s’agit d’installer dans les esprits l’idée que Mayotte ne peut plus être gérée uniquement par la France. Que la République aurait échoué. Que notre département serait un poids trop lourd, un territoire ingérable, une terre vouée au chaos.

Et une fois cette idée installée, on viendra avec une solution toute faite : une île, deux États. Une administration commune entre la France et les Comores. Une souveraineté française amputée, partagée, affaiblie.

Voilà le véritable objectif. Voilà pourquoi on brûle nos villages. Voilà pourquoi on salit nos forces de l’ordre. Voilà pourquoi on manipule nos enfants. Tout cela n’a qu’un but : détruire l’idée d’une Mayotte pleinement française et préparer les esprits à accepter une Mayotte à deux drapeaux.

C’est cela, le piège tendu devant nous. Et si nous restons passifs, si nous détournons le regard, demain on viendra nous dire : « Voyez, vous ne pouvez pas vous en sortir seuls. La solution, c’est une île partagée, une île administrée à deux. »

Mais ce jour-là, ce ne sera pas seulement une solution imposée, ce sera une trahison de notre histoire, une négation de nos choix démocratiques, une insulte à tous ceux qui, en 1974, en 1976, ont voté massivement pour rester français.

Mahoraises, Mahorais, il est temps d’ouvrir les yeux. Ce n’est pas seulement du vandalisme. Ce n’est pas seulement le produit de la misère. C’est une guerre organisée, une guerre qui a ses stratèges, ses relais, ses complices.

Et face à cette guerre, nous n’avons pas le droit de baisser la tête. Nous devons être lucides, nous devons être unis, nous devons être fermes. Nous devons soutenir nos forces de l’ordre, car ce sont elles qui, chaque jour, protègent nos vies et nos villages. Nous devons dénoncer sans relâche les mensonges qui circulent dans certains médias. Nous devons tendre la main aux vrais Mahorais qui souffrent, tout en refusant d’être manipulés par ceux qui utilisent la misère comme une arme politique.

Notre devoir aujourd’hui est clair : tenir bon. Refuser le chaos. Refuser la manipulation. Refuser l’idée que notre île serait condamnée à être autre chose qu’un département français à part entière.

Mayotte est française. Mayotte restera française. Non pas parce que c’est une faveur que nous avons reçue, mais parce que c’est un choix que nous avons fait, un choix que nous avons répété, un choix inscrit dans l’histoire et dans la légitimité démocratique.

Nous ne céderons pas à la peur. Nous ne céderons pas aux flammes. Nous ne céderons pas aux mensonges.

Alors, mes sœurs, mes frères, je vous appelle à la vigilance. Je vous appelle à la dignité. Je vous appelle à l’unité. Car ce que nous défendons aujourd’hui n’est pas seulement notre sécurité immédiate. Ce que nous défendons, c’est l’avenir de nos enfants. Ce que nous défendons, c’est le droit de rester nous-mêmes. Ce que nous défendons, c’est notre identité française, ici, à Mayotte.

Mayotte est notre terre. Elle est notre héritage. Elle est notre responsabilité. Et face aux flammes, face aux mensonges, face aux manœuvres, nous le disons haut et fort :

Mayotte est française, et elle le restera.

Avant-hier encore, certains médias et journalistes critiquaient la manière dont nos forces de l’ordre interviennent pour...
03/10/2025

Avant-hier encore, certains médias et journalistes critiquaient la manière dont nos forces de l’ordre interviennent pour stopper l’immigration clandestine à Mayotte. Ils osaient les accuser d’être responsables des drames en mer, alors même que leur mission première est de protéger nos frontières et de sauver des vies.

Mais la réalité nous rattrape. Ce lundi 29 septembre, un nouveau naufrage a frappé au large de Koungou. Un septuagénaire, une fillette de six ans et une troisième personne ont trouvé la mort dans un kwassa parti des Comores. Dans la même nuit, trois autres embarcations ont tenté la traversée : deux ont été interceptées par la gendarmerie, la troisième a réussi à accoster. Toutes transportaient des familles comoriennes, y compris des enfants et même un nourrisson.

Ce drame n’a pas été provoqué par les forces de l’ordre.
Ce drame n’a pas été provoqué par la France.
Ce drame est la conséquence directe d’une immigration organisée depuis Anjouan, encouragée par l’État comorien, tolérée par les passeurs et banalisée par certains médias qui, depuis des mois, cherchent à culpabiliser les Mahorais.

Pendant que nos forces risquent leur vie pour intercepter, secourir et reconduire dans le respect de la loi, l’État comorien se permet, par la voix de son président, d’aller se plaindre aux Nations Unies. Quelle hypocrisie ! C’est bien des Comores que partent les kwassas, ce sont bien des Comoriens qui entassent leurs compatriotes dans des barques de fortune, ce sont bien des passeurs comoriens qui s’enrichissent sur le sang des innocents.

Alors, remettons les responsabilités à leur place :
Les passeurs comoriens sont les premiers responsables de ces morts.
L’État comorien, complice, porte une lourde responsabilité politique et morale.
Les médias qui accusent nos forces de l’ordre sont coupables de soutenir, par leurs mensonges, une immigration mortifère qui détruit Mayotte.

Nous, Mahorais, n’avons pas à culpabiliser.
Nous, Mahorais, n’avons pas à baisser la tête.
Nous, Mahorais, savons la vérité : nos forces protègent, les passeurs tuent.

Mayotte est française, et elle le restera.

09/08/2025

Incendie en cours à Mtsapéré : une situation alarmante exacerbée par les pratiques illégales
Un incendie dévastateur ravage actuellement les hauteurs de Mrowahandra, à Mtsapéré. Les flammes, alimentées par un vent fort, menacent de se propager rapidement à travers des zones déjà fragilisées par des cultures surbrûlées. Ces pratiques agricoles, qui consistent à brûler des terrains pour les rendre cultivables, sont courantes dans la région, mais elles aggravent de manière significative le risque d’incendies catastrophiques, comme celui-ci.

De plus, le phénomène du caparement des terrains par des personnes en situation irrégulière (clandestins) contribue à une gestion désordonnée des terres, rendant l’accès difficile pour les secours et favorisant l’expansion incontrôlée du feu. Ces terrains, souvent laissés à l’abandon ou gérés sans le respect des normes environnementales, sont devenus des foyers propices à la propagation des flammes.

Les pompiers, bien que sur place, se trouvent confrontés à des conditions particulièrement difficiles, avec des accès limités et un terrain accidenté. La situation est de plus en plus critique, et les autorités recommandent à la population d'éviter le secteur pour ne pas entraver l’action des secours.

L’origine exacte du sinistre n’est pas encore confirmée, mais la combinaison de pratiques agricoles irresponsables et de la gestion anarchique des terrains semble être un facteur clé dans cette catastrophe.

Comores disqualifiées : championnes de la tricheL’équipe de basket des Comores a été exclue des Jeux de la CJSOI 2025 ap...
05/08/2025

Comores disqualifiées : championnes de la triche
L’équipe de basket des Comores a été exclue des Jeux de la CJSOI 2025 après avoir aligné Des veillards en face des jeunes..🤣😃😂
Encore une fois, la fraude prend le dessus sur le fair-play.
Pas de surprise : les Comores ne viennent pas pour jouer, mais pour tricher.

Heureusement, Mayotte est réintégrée.
La justice sportive a parlé.
Et le ridicule aussi.

Armela, jeune femme malgache de seulement 19 ans, pleine de vie, de générosité et de rêves, a été tragiquement assassiné...
05/08/2025

Armela, jeune femme malgache de seulement 19 ans, pleine de vie, de générosité et de rêves, a été tragiquement assassinée le dimanche 3 août à Mayotte après avoir répondu à l’invitation d’un "ami" en qui elle avait toute confiance une confiance qui l’a menée à la mort. Aujourd’hui, sa famille, restée à Madagascar, vit une double douleur : celle d’avoir perdu leur fille dans des conditions atroces, et celle de ne pas pouvoir rapatrier son corps pour lui offrir une sépulture digne sur sa terre natale, à Ambilobe. Face à ce drame insoutenable, nous réclamons justice avec force et dignité : nous exigeons que toute la lumière soit faite sur les circonstances de son assassinat, que l’enquête avance sans délai, que les responsables soient identifiés et traduits en justice. Armela ne doit pas mourir une seconde fois dans le silence et l’oubli. C’est pourquoi un live de solidarité sera organisé ce vendredi 8 août à 21h (heure de Paris) sur TikTok pour lever des fonds destinés à son rapatriement et à l’accompagnement de sa famille endeuillée. Votre soutien est essentiel. Que la mémoire d’Armela vive et que justice soit faite.

jusqu’où ira la soumission ?Chaque année, à l’occasion des Jeux de la CJSOI ou des Jeux des Îles de l’Océan Indien, un m...
02/08/2025

jusqu’où ira la soumission ?

Chaque année, à l’occasion des Jeux de la CJSOI ou des Jeux des Îles de l’Océan Indien, un même scénario indigne se répète. Une farce politique, une insulte diplomatique, un crachat sur la mémoire de nos anciens. Une nouvelle fois, en 2025, la délégation mahoraise est sommée de cacher tout signe de son appartenance à la République française. Le simple logo tricolore, la figure de Marianne, suscitent l'ire de la délégation comorienne, qui persiste à nier le droit des Mahorais à être français. Et que fait l’État français face à cette humiliation publique ? Il courbe l’échine. Il masque les couleurs. Il sacrifie la dignité pour le calme diplomatique.

Oui, à chaque édition, les Comores imposent leur vision coloniale : Mayotte n’aurait pas le droit de se revendiquer française. Les Mahorais n’auraient pas le droit de décider de leur destin. Le choix souverain du peuple, exprimé dans les urnes à plusieurs reprises, serait nul et non avenu. Et pendant que la délégation comorienne se pavane avec arrogance, pendant que les organisateurs se plient à leurs exigences absurdes, nos jeunes doivent cacher le logo de la République sur leurs t-shirts. Comme si notre appartenance nationale était honteuse. Comme si nous n’étions que des invités tolérés à notre propre histoire.

Mais le plus choquant dans cette mascarade, ce n’est même plus le comportement prévisible de l’Union des Comores. Ce n’est même plus la lâcheté récurrente de l’État français. Le plus choquant, c’est le silence complice de certains Mahorais. Oui, certains parmi nous participent volontairement à cette mise en scène honteuse. Ils acceptent de masquer la Marianne. Ils retroussent leurs manches comme on baisse les yeux. Ils s’alignent dans une compétition qui ne leur apporte rien, qui les humilie, qui les efface. Par goût du sport ? Par naïveté ? Ou par renoncement ?

Où sont passées la fierté et la mémoire ? Où est l'esprit de 1976 ? Où sont nos anciens qui ont voté pour rester Français, qui ont combattu pour que notre destin ne soit pas décidé à Moroni, mais à Paris ? Qui se souvient que cette lutte était celle de la liberté ? Et aujourd’hui, voilà que l’on accepte d’être Français à condition de ne pas trop le montrer. Voilà que certains préfèrent participer à des Jeux où l’on exige qu’ils renient leur identité pour être acceptés. Quelle honte.

À ceux qui pensent que ce débat n’est pas politique : détrompez-vous. Toute cette mise en scène est profondément politique. Elle est l’expression d’une stratégie comorienne constante : nier notre choix, nier notre existence, nier notre souveraineté. Et elle est rendue possible par la mollesse d’un État français plus soucieux d’éviter les vagues diplomatiques que de défendre ses citoyens. Pire encore, elle est renforcée par l’aveuglement d’une partie de la population mahoraise, qui ne voit plus le piège dans lequel elle s’enferme elle-même.

Ce que nous vivons n’est pas anecdotique. C’est une humiliation répétée, organisée, acceptée. Et chaque acceptation la rend plus forte. Chaque silence la rend plus légitime. Chaque participation la rend plus insupportable.

Il est temps que cela cesse. Il est temps que les Mahorais se rappellent qu’ils sont Français non pas par pitié, mais par choix, par droit, par histoire. Il est temps que la République assume sa promesse : celle de protéger tous ses enfants, y compris à 10 000 kilomètres. Il est temps de refuser les compromis honteux, de dire non à la soumission, non à l’effacement.

Assez de se taire. Assez de participer à notre propre humiliation. Il est temps de dire haut et fort : nous sommes Français. Et personne ne nous fera baisser les yeux.

Elyazid , roi de l’évasion… version courte durée !Ah, quelle belle démonstration de stratégie et de génie criminel ! Ely...
14/07/2025

Elyazid , roi de l’évasion… version courte durée !

Ah, quelle belle démonstration de stratégie et de génie criminel ! Elyazid A., 20 ans à peine, déjà expert en cache-cache avec la justice. En s'enfuyant dans un sac en toile à la faveur de la libération de son co-détenu, il pensait sans doute écrire une nouvelle page du grand banditisme. Résultat ? 48 heures de "liberté"et encore, planqué dans une cave de Sathonay-Camp, au nord de Lyon. Même pas le temps de savourer un kebab.

Finalement, il s’est mis dans un sac… et dans une sacrée galère. Grâce à cette brillante idée, il ne goûtera pas à la liberté mais plutôt à un allongement de son séjour en prison. Félicitations ! Ce n’est plus un simple détenu, mais désormais un acteur principal d’une affaire d’évasion en bande organisée et d’association de malfaiteurs. De quoi bien alourdir son casier déjà bien garni.

Et que dire du co-détenu qui a joué les mules avec le sac ? Lui aussi risque fort de retrouver sa cellule plus vite que prévu. Franchement, si l’objectif était de couler encore plus profond, mission accomplie. L'évasion est une première du genre, dit-on ? Effectivement. Une première aussi ratée que spectaculaire.

Peut-être qu’avec autant d’énergie et de créativité, Elyazid aurait pu exceller dans un autre domaine. L'humour, par exemple — car il faut le reconnaître : s’échapper pour finir dans une cave, c’est presque du stand-up involontaire. Il aurait peut-être brillé dans la plomberie, l’organisation d’événements, ou même dans la logistique, lui qui sait si bien empaqueter les choses.

Mais non, visiblement, la délinquance n’est pas faite pour lui. Trop de risques, trop de caméras, trop de caves. Peut-être qu’un jour, il comprendra que la vraie liberté ne se gagne pas en trichant avec les règles, mais en s'en affranchissant pour de bon — autrement que dans un sac de sport.

En attendant, la prison de Lyon-Corbas l'attend, à bras ouverts. Et cette fois, avec une surveillance probablement plus adaptée.

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