Front Departemental Mahorais

Front Departemental Mahorais Le Front Départemental Mahorais est une formation politique qui
concourt à l’expression du suffrage dans le cadre des institutions de la
République

Devant cette absence inquiétante de nos élus, nous devons nous rassembler pour trouver les meilleures solutions afin de sortir notre territoire de ce marasme .

- augmentation des agressions à la personne

-vol avec violence

-cambriolage

-Immigration clandestine

-perte de souveraineté

-problème d'identité

-hausse des chiffres du chômage

-explosion démographique

Le mahorais aujourd'hui ne se sent plus en sécurité chez lui, rejoignez-nous , pour mettre un terme à tout cela .

21/12/2025

Force au Maroc pour le match contre les Comores !

À Mayotte, l’injustice n’est plus une impression. Elle est chiffrée.Dans le département le plus pauvre de France, l’État...
18/12/2025

À Mayotte, l’injustice n’est plus une impression. Elle est chiffrée.

Dans le département le plus pauvre de France, l’État verse chaque année environ 170 millions d’euros de dotations aux collectivités.
Dans le même temps, les Mahorais financent eux-mêmes près de 140 millions d’euros par an à travers l’octroi de mer, une taxe indirecte payée sur chaque produit de consommation.

'"Le résultat est brutal : l’effort réel de l’État n’est que d’environ 30 millions d’euros par an.
Autrement dit, la solidarité nationale est à peine supérieure à ce que la population finance déjà elle-même.

Cette situation n’existe pas dans les départements hexagonaux.
Dans un territoire comparable en superficie comme le Territoire de Belfort, il n’y a pas d’octroi de mer, et le financement des services publics repose essentiellement sur les dotations de l’État.
À Mayotte, en revanche, l’État accepte qu’une population pauvre finance une part massive de ses propres services publics.

Ce n’est pas une simple différence de gestion.
C’est une inégalité structurelle, organisée, assumée, maquillée derrière des mots technocratiques comme « adaptation » ou « différenciation ».

Quand un État :

impose des impôts d’exception à des territoires ultramarins,

accepte qu’ils paient presque autant que lui pour leurs services publics,

tout en prélevant leurs impôts nationaux comme partout ailleurs,

Nn ne peut plus parler d’égalité républicaine.

Ce système relève d’un racisme étatique structurel :
un racisme qui ne s’exprime pas par des insultes, mais par des budgets, des arbitrages, et un mépris institutionnel hérité d’une logique coloniale jamais totalement rompue.

La France se félicite d’être la deuxième puissance maritime mondiale grâce à ses territoires ultramarins.
Mais quand il s’agit d’assumer l’égalité réelle de ces mêmes territoires, elle se défausse sur leurs habitants.

À Mayotte, les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Et ils disent une chose claire :
l’égalité républicaine n’est toujours pas la même pour tous.

Madame la Ministre,En 2025, il n’est plus supportable d’entendre parler d’« égalité réelle » pendant que des millions de...
18/12/2025

Madame la Ministre,

En 2025, il n’est plus supportable d’entendre parler d’« égalité réelle » pendant que des millions de citoyens français vivant dans les Outre-mer continuent d’être traités comme des Français de seconde zone. À Mayotte comme ailleurs, nous payons les mêmes impôts nationaux, nous cotisons au même système social, nous contribuons au même budget de l’État, mais lorsque vient le moment d’investir, de rattraper, de construire et de réparer, la République se dérobe et nous renvoie à des mécanismes d’auto-financement indignes, hérités d’une logique coloniale jamais réellement abandonnée.

L’octroi de mer et les dispositifs fiscaux d’exception traduisent une réalité brutale : l’État considère toujours que les territoires ultramarins doivent se débrouiller seuls pour leur développement, comme s’ils n’étaient pas pleinement intégrés à la solidarité nationale. Ce que la métropole finance collectivement par l’impôt, les ultramarins le financent eux-mêmes par leur consommation, souvent au prix d’un coût de la vie insoutenable. C’est une double peine, une injustice structurelle, une inégalité organisée.

Derrière les mots technocratiques — différenciation, adaptation, spécificité — se cache un mépris profond : celui qui consiste à considérer que l’égalité réelle coûterait trop cher lorsqu’elle concerne des territoires majoritairement non blancs, éloignés, invisibilisés, mais pourtant essentiels à la puissance française. La France se vante d’être la deuxième puissance maritime mondiale grâce à ces îles disséminées sur tous les océans, mais elle refuse d’en assumer le prix politique et budgétaire. On exploite leur position stratégique, on brandit leur existence dans les discours internationaux, puis on laisse leurs populations vivre avec des infrastructures défaillantes, des services publics saturés et une pauvreté structurelle.

Ce système n’est pas une anomalie, c’est un choix. Un choix politique qui relève d’un racisme étatique structurel, non pas fait d’insultes, mais de budgets, d’arbitrages et de renoncements répétés. Tant que l’État estimera normal que les Outre-mer s’auto-financent comme des colonies tout en contribuant pleinement au pot commun national, l’égalité réelle restera un mensonge.

Madame la Ministre, lorsque vous viendrez à Mayotte, nous n’attendons pas des constats compatissants ni des promesses reportées. Nous attendons un engagement clair pour mettre fin à cette inégalité systémique, pour rompre définitivement avec la gestion coloniale déguisée des territoires ultramarins, et pour assumer enfin que l’égalité républicaine a un coût qui doit être porté par la nation entière. Tout le reste ne sera perçu que comme du mépris supplémentaire.

Je le dis avec force et sans détour : c’est précisément ici que le problème commence.Madame Dominique Voynet a toujours ...
15/12/2025

Je le dis avec force et sans détour : c’est précisément ici que le problème commence.

Madame Dominique Voynet a toujours porté, soutenu ou accompagné des positions politiques qui ont contribué à l’envahissement du territoire de Mayotte par l’immigration clandestine comorienne. Cette réalité, les Mahorais la vivent chaque jour dans leur chair : saturation des services publics, insécurité, pression démographique, effondrement social. Et pourtant, au lieu d’écouter le peuple mahorais, certains responsables politiques ont choisi de nier le problème, voire de le légitimer.

Le plus grave n’est pas seulement ce silence.
Le plus grave, c’est la logique idéologique qui l’accompagne.

Lorsque Madame Dominique Voynet a voulu remplacer le mot « Mahorais » par l’expression « habitants de Mayotte », ce n’était ni une erreur ni une maladresse.
C’était un choix politique délibéré.

Car remplacer Mahorais par habitants de Mayotte, c’est mettre sur le même plan le peuple mahoraise et les personnes en situation irrégulière.
C’est diluer volontairement l’identité mahoraise dans une masse indistincte.
C’est nier l’existence d’un peuple autochtone, reconnu, enraciné, au profit d’une catégorie administrative sans histoire ni légitimité démocratique.

Autrement dit, c’est une tentative claire d’effacer les Mahorais sur leur propre territoire.

Cette stratégie est extrêmement dangereuse.
Elle banalise l’illégalité.
Elle normalise l’occupation du territoire.
Elle nie le droit fondamental des Mahorais à exister comme peuple, à se nommer, à être reconnus.

Et aujourd’hui, cette même personne est associée à la construction ou à la reconstruction de Mayotte ?
C’est une provocation politique.
C’est une humiliation.
C’est une insulte faite aux Mahorais.

On ne peut pas reconstruire Mayotte avec des personnes qui ont œuvré, par leurs idées et leurs combats, à la dilution de l’identité mahoraise.
On ne peut pas bâtir l’avenir d’un territoire en niant son peuple.
On ne peut pas parler de refondation quand on commence par effacer ceux qui ont toujours été là.

Pour nous, Mahorais, cette nomination n’est pas anodine.
Elle est vécue comme un mépris profond, comme une violence symbolique, comme une trahison supplémentaire de l’État français.

Nous ne sommes pas dupes.
Nous comprenons parfaitement ce qui se joue.

Et nous le disons clairement : nous n’accepterons jamais cela.
Nous refuserons toute tentative d’effacement, de dilution ou de négation du peuple mahorais.

Associer Madame Dominique Voynet à l’avenir de Mayotte est une faute politique grave.
Et pour nous, Mahorais, c’est une insulte de trop.

« Alors… qui a encore un doute ? Tu veux toi aussi ? »
11/12/2025

« Alors… qui a encore un doute ? Tu veux toi aussi ? »

11/12/2025

Jeudi 11 décembre, à 6h30, le chanteur Staco d’origine anjouanaise , résidant à Mayotte, a été arrêté à son domicile des Hauts-Vallons. Il a été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour viol aggravé et diffusion de contenu pédopornographique, après la circulation d’une vidéo à caractère sexuel d’une extrême gravité, que l’auteur présumé aurait lui-même diffusée.
Sur ces images, les jeunes femmes semblent clairement mineures, un élément qui renforce l’indignation et la gravité de l’affaire. Diffuser une telle scène, comme s’il s’agissait d’un contenu banal, témoigne d’un mépris total pour la dignité humaine et pour la protection due aux enfants.
Un phénomène choquant a également été observé sur les réseaux sociaux :
dans une partie de la communauté anjouanaise, certaines vidéos de satisfaction ou de réjouissance ont circulé, donnant l’impression d’une normalisation ou même d’une célébration de l’inacceptable.
À l’inverse, les Mahorais ont condamné fermement, exprimant colère, dégoût et exigence de justice. Mayotte refuse d’être un refuge pour ceux qui pensent pouvoir tout se permettre.
L’interpellation réaffirme qu’à Mayotte, territoire français, personne n’est au-dessus de la loi. La justice a pris les choses en main et les faits reprochés, d’une extrême gravité, appellent une réponse exemplaire.
Peines encourues
Viol aggravé sur mineure : 20 ans de réclusion criminelle, jusqu’à 30 ans en cas de circonstances aggravantes.
Diffusion de contenu pédopornographique : 7 ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende.
Sanctions complémentaires : inscription au FIJAISV, interdiction définitive d’exercer auprès de mineurs, interdiction du territoire français pour les non-nationaux.
En cas de double nationalité
La loi française permet des sanctions sévères pour protéger les mineurs. Même si la déchéance de nationalité est strictement encadrée, une chose reste certaine :
Un individu suspecté de commettre et de diffuser un acte aussi grave n’a pas sa place dans notre société.
Aucun passe-droit. Aucun silence.
Et Mayotte protégera toujours ses enfants quoi qu’il en coûte.

09/12/2025

“la fin de toute coopération avec l'Union des Comores”

En apparence, les nouveaux partenariats signés à La Réunion pour “renforcer l’ancrage régional” de Mayotte et “faciliter...
04/12/2025

En apparence, les nouveaux partenariats signés à La Réunion pour “renforcer l’ancrage régional” de Mayotte et “faciliter la mobilité de la jeunesse” semblent positifs. Mais si on regarde de plus près, ils s’inscrivent dans une stratégie beaucoup plus profonde : organiser, depuis des années, la fuite en avant de la jeunesse mahoraise vers l’extérieur. L’État a construit un modèle où le Mahorais ne peut pas réellement étudier, se soigner ou réussir sur sa propre terre. Pour les études supérieures, c’est La Réunion ou la Métropole. Pour le soin spécialisé, c’est La Réunion ou la Métropole. Pour les opportunités, encore l’extérieur. Tout est fait pour que les besoins vitaux du Mahorais ne soient pas satisfaits à Mayotte.

Les nouveaux dispositifs de “mobilité” ne viennent pas corriger ce système, ils le complètent. L’ouverture d’une antenne France Volontaires à Mayotte, censée offrir une “première expérience internationale” à la jeunesse, s’ajoute à un mécanisme déjà existant : pousser les Mahorais à partir, plutôt que créer les conditions de leur épanouissement sur place. Au lieu d’investir dans une vraie université, un CHU, des filières de formation structurées et des emplois qualifiés sur le territoire, on investit dans l’accompagnement du départ. Le message implicite est clair : si tu veux réussir, prends l’avion.

Derrière cela, il y a une logique que personne n’ose assumer publiquement. Pourquoi développer Mayotte quand le Mahorais peut s’exiler ailleurs ? Pourquoi chercher à le maintenir chez lui quand on peut l’envoyer directement dans l’Hexagone pour combler les besoins de main-d’œuvre dans les secteurs en tension ? Ce schéma n’est pas propre à Mayotte : certains pays occidentaux utilisent déjà cette stratégie, en attirant les migrants pour les mettre là où il manque du monde – hôpitaux, logistique, restauration, ménage, BTP. La différence, c’est qu’ici, on parle de citoyens français qu’on organise à déraciner de leur propre territoire.

Pour le Mahorais, c’est un piège : on lui fait croire que la “chance”, c’est de partir, pendant qu’on abandonne l’idée même de construire un avenir digne à Mayotte. On ne renforce pas Mayotte, on renforce la Métropole en siphonnant sa jeunesse. Et pendant ce temps-là, un autre phénomène se développe : le Mahorais s’en va, mais le Comorien, lui, continue d’arriver. On vide d’un côté, on remplit de l’autre. Le territoire se retrouve pris dans un cercle vicieux où la population mahoraise historique s’affaiblit démographiquement et politiquement, pendant que l’État explique que tout cela relève de la “réalité migratoire” et du “vivre-ensemble”.

Au final, ces partenariats ne sont pas de simples outils techniques de coopération régionale : ils sont un maillon de plus dans une politique qui refuse de donner au Mahorais les moyens de réussir chez lui, tout en acceptant que son territoire se transforme sans lui. Mayotte n’a pas besoin d’être vidée de ses enfants, elle a besoin qu’on lui donne les infrastructures, les institutions et les moyens à la hauteur de ce qu’on doit à un département français. Tant qu’on privilégiera l’exode à la construction locale, la “mobilité” ne sera pas une chance : ce sera l’habillage élégant d’une stratégie de dépeuplement silencieux.

Il devient aujourd’hui indispensable de dénoncer ce qui pourrait être l’un des plus grands scandales politiques de Mayot...
04/12/2025

Il devient aujourd’hui indispensable de dénoncer ce qui pourrait être l’un des plus grands scandales politiques de Mayotte. Depuis le débat public officiel organisé du 27 juin au 11 décembre 2011, les Mahorais ont clairement affirmé leur volonté de voir la piste longue construite en Petite-Terre. Pourtant, selon les informations rapportées par un élu particulièrement bien placé, un membre de la classe ministérielle aurait confirmé que c’est Ben Issa Ousseni lui-même, président du Conseil départemental, qui aurait fait demi-tour pour aller solliciter en secret le gouvernement afin de déplacer la piste longue vers Grande-Terre, et cela derrière le dos des Mahorais, en contradiction totale avec plus d’une décennie de combat populaire. Le 18 avril 2025, lors de l’assemblée plénière soi-disant organisée pour “écouter les Mahorais”, ces derniers auraient en réalité été pris pour des imbéciles : Ben Issa Ousseni les aurait regardés droit dans les yeux pour leur faire croire que “le gouvernement refusait la piste longue en Petite-Terre”, alors que, selon les révélations obtenues, c’est lui-même qui aurait demandé ce déplacement dans des négociations dissimulées. Ce revirement s’inscrirait dans un calcul politique-politicien, une stratégie personnelle pensée pour satisfaire son électorat du Nord, là où il est profondément implanté, et pour renforcer son ancrage en Grande-Terre, quitte à sacrifier l’intérêt général. À partir de là, une série d’excuses techniques, d’arguments fabriqués et de stratégies médiatiques auraient été montés pour donner un vernis de légitimité à une décision purement personnelle. Ainsi, un combat né de la souffrance des Mahorais celui de briser le monopole aérien et de défendre un projet pensé depuis 2011 aurait été détourné et manipulé au profit d’une ambition individuelle. Si tout cela se confirme, alors Ben Issa Ousseni n’aurait pas seulement menti : il aurait trahi Mayotte, trahi la confiance de son peuple, et utilisé le projet de la piste longue comme un outil électoral. Une telle manœuvre porte un nom : un scandale d’État, et le peuple mahorais mérite désormais la vérité la vraie, pas celle fabriquée pour couvrir des intérêts politiques personnels.

03/12/2025
À Mayotte, les chiffres sont sans appel : 98 nouvelles contaminations au VIH en 2024, déjà 70 cas à fin septembre 2025 d...
02/12/2025

À Mayotte, les chiffres sont sans appel : 98 nouvelles contaminations au VIH en 2024, déjà 70 cas à fin septembre 2025 dont 30 % à un stade avancé, tandis que les autres infections sexuellement transmissibles explosent avec 355 cas de chlamydiae, 174 de gonocoque, 33 de syphilis et 29 hépatites B. Ce que personne n’explique publiquement, c’est que l’immense majorité de ces infections sont détectées uniquement pendant les suivis de grossesse, car c’est lors des consultations prénatales que les femmes ont la possibilité d’être dépistées. Autrement dit, si ces chiffres apparaissent, c’est parce que les grossesses forcent le passage par le système de santé, et non parce que la population générale se fait dépister. Or, plus de 10.000 naissances sont enregistrées chaque année au Centre Hospitalier de Mayotte, et selon l’INSEE, près de 90 % des femmes qui accouchent sont étrangères, principalement originaires de l’Union des Comores. Ce volume de naissances révèle directement des milliers de rapports sexuels non protégés, sans contraception, sans dépistage avant la grossesse, sans PrEP et sans suivi médical régulier, créant les conditions parfaites pour la circulation du VIH et des IST. Pendant ce temps, le système de santé est sous tension extrême : un seul médecin au CeGIDD pendant des mois, camions de dépistage détruits par les cyclones, diagnostics tardifs, consultations débordées, populations précarisées qui n’osent pas se faire tester hors grossesse par peur des contrôles, et patients trop vulnérables pour suivre correctement leurs traitements. La crise sanitaire n’est donc pas accidentelle : elle résulte de la combinaison explosive entre précarité extrême, absence de protection, flux migratoires non régulés, pression démographique hors norme et incapacité du système de santé à absorber un tel volume de suivis. Tant que Mayotte ne détectera les infections quasi exclusivement qu’à travers les grossesses, tant que les naissances continueront d’exploser hors de tout cadre de prévention et tant que les frontières resteront poreuses, aucune stratégie ne pourra contenir la progression du VIH ni des IST. Si on projette grossièrement les tendances actuelles, avec une centaine de nouveaux cas de VIH par an en légère hausse, cela représente déjà plus de 1.000 personnes infectées supplémentaires en dix ans sur une population d’environ 300.000 habitants : on ne parle pas d’une contamination totale de toute la population en quelques années, mais d’une montée lente, continue et durable de l’épidémie qui finira par toucher chaque famille, chaque quartier, chaque village si rien n’est fait.

Le 2 août, la jeune Armella Florent, ressortissante malgache, a été sauvagement assassinée à Mliha Chanfi.Un suspect d’u...
01/12/2025

Le 2 août, la jeune Armella Florent, ressortissante malgache, a été sauvagement assassinée à Mliha Chanfi.
Un suspect d’une trentaine d’années, déjà connu pour violences, a été arrêté puis aurait reconnu les faits.

Et pourtant… depuis l’interpellation, AUCUN NOM n’a été communiqué.
Ni par la justice.
Ni par les médias.
Silence total.
Un silence incompréhensible et suspect.

Dans presque toutes les affaires criminelles graves, l’identité du mis en cause est révélée.
Alors pourquoi ce traitement particulier ?
Pourquoi ce voile d’opacité autour d’un meurtre aussi atroce ?
Que cherche-t-on à cacher ?

Aujourd’hui, nous demandons officiellement :
À la justice de Mayotte :
De révéler l’identité du suspect, comme cela se fait dans toutes les affaires similaires.
Aux médias mahorais :
D’informer sans silence volontaire, sans censure, et sans “protection” injustifiée.
Mayotte a le droit à la transparence.
La communauté a le droit de savoir.
Et Armella a droit à la vérité.

Le silence n’est plus acceptable.
Justice pour Armella Florent. ✊🏾

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