Front Departemental Mahorais

Front Departemental Mahorais Le Front Départemental Mahorais est une formation politique qui
concourt à l’expression du suffrage dans le cadre des institutions de la
République

Devant cette absence inquiétante de nos élus, nous devons nous rassembler pour trouver les meilleures solutions afin de sortir notre territoire de ce marasme .

- augmentation des agressions à la personne

-vol avec violence

-cambriolage

-Immigration clandestine

-perte de souveraineté

-problème d'identité

-hausse des chiffres du chômage

-explosion démographique

Le mahorais aujourd'hui ne se sent plus en sécurité chez lui, rejoignez-nous , pour mettre un terme à tout cela .

Fierté Mahoraise en Robe ! ✨🇾🇹Cette robe unique rend hommage aux couleurs puissantes de Zaina M’déré : rouge, noir et ja...
20/07/2025

Fierté Mahoraise en Robe ! ✨🇾🇹
Cette robe unique rend hommage aux couleurs puissantes de Zaina M’déré : rouge, noir et jaune, symboles de résistance, de dignité et d’identité.
Elle incarne la force des femmes mahoraises et la beauté de notre culture ! 👑🔥
👉🏾 Et vous, mes abonnés : comment vous la trouvez ? Vous la porteriez pour représenter Mayotte ?
Dites-le en commentaire 🔥👇

20/07/2025

"J'ai encore huit semaines" : Thierry Ardisson lors de l'annonce du médecin sur son cancer qui a tout fait basculer

Elyazid , roi de l’évasion… version courte durée !Ah, quelle belle démonstration de stratégie et de génie criminel ! Ely...
14/07/2025

Elyazid , roi de l’évasion… version courte durée !

Ah, quelle belle démonstration de stratégie et de génie criminel ! Elyazid A., 20 ans à peine, déjà expert en cache-cache avec la justice. En s'enfuyant dans un sac en toile à la faveur de la libération de son co-détenu, il pensait sans doute écrire une nouvelle page du grand banditisme. Résultat ? 48 heures de "liberté"et encore, planqué dans une cave de Sathonay-Camp, au nord de Lyon. Même pas le temps de savourer un kebab.

Finalement, il s’est mis dans un sac… et dans une sacrée galère. Grâce à cette brillante idée, il ne goûtera pas à la liberté mais plutôt à un allongement de son séjour en prison. Félicitations ! Ce n’est plus un simple détenu, mais désormais un acteur principal d’une affaire d’évasion en bande organisée et d’association de malfaiteurs. De quoi bien alourdir son casier déjà bien garni.

Et que dire du co-détenu qui a joué les mules avec le sac ? Lui aussi risque fort de retrouver sa cellule plus vite que prévu. Franchement, si l’objectif était de couler encore plus profond, mission accomplie. L'évasion est une première du genre, dit-on ? Effectivement. Une première aussi ratée que spectaculaire.

Peut-être qu’avec autant d’énergie et de créativité, Elyazid aurait pu exceller dans un autre domaine. L'humour, par exemple — car il faut le reconnaître : s’échapper pour finir dans une cave, c’est presque du stand-up involontaire. Il aurait peut-être brillé dans la plomberie, l’organisation d’événements, ou même dans la logistique, lui qui sait si bien empaqueter les choses.

Mais non, visiblement, la délinquance n’est pas faite pour lui. Trop de risques, trop de caméras, trop de caves. Peut-être qu’un jour, il comprendra que la vraie liberté ne se gagne pas en trichant avec les règles, mais en s'en affranchissant pour de bon — autrement que dans un sac de sport.

En attendant, la prison de Lyon-Corbas l'attend, à bras ouverts. Et cette fois, avec une surveillance probablement plus adaptée.

À ceux qui se moquaient quand on alertait sur le glissement de Mayotte vers l’autonomie :Vous disiez "l’indivisibilité d...
14/07/2025

À ceux qui se moquaient quand on alertait sur le glissement de Mayotte vers l’autonomie :
Vous disiez "l’indivisibilité de la République est sacrée, rien ne changera."
👉 Aujourd’hui, la Nouvelle-Calédonie obtient une nationalité propre, une loi fondamentale, et peut transférer des compétences régaliennes. C’est inédit.

📍Le danger est aux portes de Mayotte. Entre les revendications séparatistes, les discours nihilistes et l’absence de stratégie claire, notre avenir est en jeu.

Réveillez-vous. L’indivisibilité, ça se détricote… en silence.

06/07/2025

🌺 Zakia Madi
Zakia Madi naît en 1944 à Ouangani, au cœur de l'île de Mayotte. Elle grandit dans une société encore traditionnelle, où la voix des femmes peine à se faire entendre dans les affaires politiques. Pourtant, elle va devenir l’une des premières à s’imposer avec courage et détermination dans l’histoire politique de son île.

Dans les années 1960, alors que les Comores, encore sous domination française, s’orientent vers une indépendance progressive, une fracture profonde se dessine entre les différentes îles de l’archipel. Les hommes politiques comoriens, principalement originaires de la Grande Comore, imposent leurs vues, sans tenir compte des aspirations spécifiques des Mahorais. Ils décident notamment de transférer la capitale du territoire comorien de Dzaoudzi (Mayotte) à Moroni (Grande Comore). Ce geste est perçu comme un désengagement total vis-à-vis de Mayotte, et une manière de marginaliser l'île.

Face à ce mépris et à cette volonté d’arracher Mayotte à la République française, un mouvement populaire spontané se forme, où les femmes jouent un rôle central. Dans un contexte marqué par le patriarcat, la pauvreté, et l’analphabétisme, ces femmes se dressent courageusement contre l’autorité masculine comorienne et réclament que Mayotte reste française.

Zakia Madi devient rapidement l’une des leaders les plus respectées de ce mouvement, aux côtés d'autres figures féminines telles que Zéna M’Déré. Ces femmes ne reculent pas devant la violence ni l'intimidation. Elles organisent des manifestations, des marches, et interpellent publiquement les autorités françaises pour faire entendre la voix de Mayotte.

Le 13 octobre 1969, lors d’une manifestation à Mamoudzou, Zakia Madi est tuée lors d'affrontements avec la garde comorienne. Sa mort provoque une onde de choc sur l’île. Elle devient immédiatement le symbole du sacrifice et du courage des femmes mahoraises. À travers elle, c’est toute une génération qui se bat pour la reconnaissance, la dignité et le droit à l’autodétermination.

Aujourd’hui, Zakia Madi est une figure historique à Mayotte, bien que trop peu reconnue au niveau national. Des lieux portent son nom, notamment le collège Zakia Madi à iloni, et son souvenir est ravivé chaque année lors des commémorations du combat des femmes mahoraises.

Elle incarne la lutte d’un peuple pour rester français, non par soumission, mais par choix réfléchi, pour bénéficier de l’État de droit, de la protection sociale, de l’éducation, et de la citoyenneté.

🎯 UNE PREMIÈRE HISTORIQUE À MAYOTTE ! 🏝️📍 À Sakouli, le tout premier poste de secours permanent du Sud vient d’être inau...
04/07/2025

🎯 UNE PREMIÈRE HISTORIQUE À MAYOTTE ! 🏝️

📍 À Sakouli, le tout premier poste de secours permanent du Sud vient d’être inauguré !
Un équipement attendu depuis longtemps, aujourd’hui devenu réalité grâce à la volonté ferme du président de la Communauté de Communes du Sud (CCSud), également maire de Bandrélé.

👷‍♂️ C’est un projet audacieux, concret et structurant, qui démontre que quand les élus ont une vision et du courage, Mayotte avance !

💰 Plus de 960 000 euros investis avec le soutien de l’État, du FCTVA et de la CCSud pour :
✔️ Installer un poste de maître-nageur-sauveteur permanent
✔️ Mettre en place un bloc sanitaire accessible aux personnes à mobilité réduite
✔️ Aménager des aires de pique-nique, farés, zones de “voulé” et espaces de loisirs
✔️ Faire travailler huit entreprises locales, générant près de 50 emplois

🌊 Ce n’est pas qu’un chantier : c’est un engagement pour la sécurité, pour le développement durable, pour le rayonnement du Sud de Mayotte.

🔵 Ce projet prouve que le maire de Bandrélé, en tant que président de la CCSud, est un acteur clé du développement local, capable de mobiliser des financements, fédérer les énergies et livrer des projets utiles au territoire.

🗳️ Un tel leadership mérite d’être soutenu. Il mérite d’être renouvelé pour continuer à transformer notre commune, et l’ensemble du Sud mahorais.

📢 En 2026, faisons confiance à l’expérience, à la vision, à la volonté d’agir.

04/07/2025
Mayotte trahie : quand l’État légalise l’urbanisme clandestinLe décret n° 2025-605, publié au Journal Officiel le 1er ju...
01/07/2025

Mayotte trahie : quand l’État légalise l’urbanisme clandestin
Le décret n° 2025-605, publié au Journal Officiel le 1er juillet 2025, est bien plus qu’un simple outil d’aménagement. C’est un coup de force administratif, un acte de capitulation politique, et un camouflet infligé au peuple mahorais. Derrière les mots technocratiques — OIN, zones d’aménagement différé, droit de préemption se cache une vérité brutale : ce décret institutionnalise le pouvoir des clandestins sur l’urbanisme de Mayotte.

Quand l’État abandonne la loi pour épouser l’illégalité
Sous couvert de “résorption de l’habitat informel”, le gouvernement français, avec la complicité honteuse de certains élus locaux, entérine une stratégie perfide : laisser les clandestins comoriens bâtir illégalement sur des terrains qui ne leur appartiennent pas, puis régulariser leur présence en détruisant les bidonvilles pour les reloger dignement… avec l’argent public.

C’est une prime à l’illégalité. Une récompense offerte à ceux qui ont violé nos frontières, occupé illégalement nos terres, défié nos lois. Et pendant ce temps, les Mahorais, les propriétaires légitimes, les citoyens respectueux du droit, sont ignorés, évacués, déplacés.

Une politique dictée depuis Moroni
L’opération d’intérêt national n’est qu’un masque. La vérité, c’est que la France applique aujourd’hui la politique de l’Union des Comores à Mayotte. La demande est claire : considérer que les clandestins comoriens sont “chez eux” à Mayotte. Cela signifie leur offrir l’éducation gratuite, l’accès aux soins, et désormais… le logement social. Oui, l’État français accepte, sans débat démocratique, de faire de Mayotte la cinquième île comorienne, non par la diplomatie, mais par la force de l’urbanisme.

Des élus locaux complices du désastre
Les maires de Mamoudzou, Koungou et Dembéni, loin de défendre l’intérêt de leurs administrés, ont eux-mêmes demandé à être dessaisis de leurs compétences en urbanisme. Quelle ironie ! Des élus qui se réjouissent de perdre leur pouvoir au profit d’un État qui ne représente plus l’intérêt général, mais celui des réseaux illégaux et des puissances étrangères.

Ce sont les mêmes élus qui pleurent l’insécurité, qui dénoncent l’insalubrité, qui réclament l’aide de l’État… tout en ouvrant grand les bras à une politique d’urbanisme fondée sur la destruction des lois et de la propriété.

L’État organise le chaos pour mieux le gérer
Ce décret ne lutte pas contre les bidonvilles. Il les organise, les planifie, les intègre à la stratégie territoriale. Il suffit de relire les lignes du décret : l’EPFAM pourra préempter les terrains, déroger au code de l’expropriation, prendre possession des immeubles, et installer ses propres projets, sans le consentement des habitants. C’est une spoliation légale, une violence d’État contre les Mahorais, travestie en “opération d’aménagement”.

L’objectif réel n’est pas de faire disparaître les bidonvilles, mais de les transformer en logements légaux pour clandestins régularisés. Voilà comment on récompense ceux qui ont brûlé les étapes, menti sur leur identité, et imposé leur présence en défiant toutes les règles.

Une logique d’inversion morale
Dans ce nouveau monde administratif, le clandestin devient prioritaire, et le citoyen, suspect. Celui qui respecte la loi doit attendre, tandis que celui qui la transgresse reçoit logement, soins et scolarisation. On détruit les valeurs républicaines au nom de la République elle-même.

Mayotte, laboratoire de la capitulation
Mayotte est aujourd’hui le terrain d’expérimentation d’un abandon généralisé du droit, une exception territoriale où l’on a inversé les responsabilités : ce n’est plus à l’étranger de s’intégrer, c’est à l’habitant légitime de s’adapter.

Ce décret est une déclaration de guerre à la souveraineté de Mayotte, à son peuple, à sa culture. Il institutionnalise l’échec de la politique migratoire, en faisant de l’illégalité une étape vers la récompense.

Conclusion : Mahorais, ouvrez les yeux !
Ce décret n’est pas un outil d’aménagement. C’est un instrument de submersion politique, un cheval de Troie urbanistique qui vise à imposer une nouvelle démographie, un nouveau droit, une nouvelle nation… sans votre consentement.

Il est temps de rejeter cette politique de trahison, de dénoncer la complicité des élus, et de reprendre en main notre territoire, notre urbanisme, notre avenir.

Car si l’on ne s’y oppose pas aujourd’hui, demain, Mayotte ne sera plus qu’un souvenir effacé par l’État lui-même.

La nouvelle loi sur la prescription acquisitive : un piège pour MayotteLe 9 avril 2024, le Parlement français a adopté u...
30/06/2025

La nouvelle loi sur la prescription acquisitive : un piège pour Mayotte

Le 9 avril 2024, le Parlement français a adopté une loi réduisant de 30 à 10 ans le délai de prescription acquisitive pour accéder à la propriété dans les départements et régions d'outre-mer, dont Mayotte. Officiellement, cette mesure vise à faciliter la régularisation foncière et à résorber l'habitat dégradé. Mais à Mayotte, cette loi pourrait bien devenir un piège mortel pour l'île.

Mayotte souffre déjà d'une situation migratoire explosive. Les bidonvilles y prolifèrent, nourris par une immigration incontrôlée, notamment des Comores voisines. Dans ce contexte, réduire à 10 ans le délai pour revendiquer la propriété d'un terrain occupé risque d'encourager l'installation illégale et la constitution de nouveaux quartiers insalubres.

L'État, au lieu de lutter efficacement contre la prolifération des bidonvilles et d'assurer le respect des règles d'urbanisme, donne ainsi un signal dangereux : occuper illégalement un terrain pendant 10 ans deviendra une porte d'entrée vers la propriété. Dans une île déjà saturée, où la pression foncière est extrême, c'est un appel d'air pour une immigration supplémentaire et une véritable menace pour l'avenir de Mayotte.

Cette loi, présentée comme un outil de justice sociale, pourrait bien devenir une arme de déstabilisation. Car la régularisation de l'occupation illégale des sols va rendre très difficile l'action des pouvoirs publics pour démanteler les bidonvilles et reprendre la maîtrise du territoire. Les Mahorais, déjà étouffés par la précarité et la pression migratoire, risquent d'être les premières victimes de cette mesure.

Dans un département où la question foncière est au cœur des tensions sociales, cette loi apparaît comme une solution simpliste à un problème complexe. Au lieu de protéger Mayotte, elle risque d'aggraver la crise, en transformant l'île en champ de bataille juridique et en sanctuarisant le chaos urbain qui s'y installe.

Face à ce piège, la vigilance des Mahorais et de leurs élus est plus que jamais nécessaire pour exiger un véritable plan d'aménagement et de développement, qui réponde enfin aux besoins réels de la population, plutôt que de sacrifier l'avenir de Mayotte sur l'autel de réformes nationales déconnectées de sa réalité.
Moi, je ne fais que prévenir la population pendant que d’autres préfèrent faire de la politique. J’assume pleinement mon rôle de lanceur d’alerte pour protéger Mayotte.

Aujourd'hui, nous assistons à un véritable scandale, une attaque frontale contre l'identité même du Mahorais. Dans un te...
29/06/2025

Aujourd'hui, nous assistons à un véritable scandale, une attaque frontale contre l'identité même du Mahorais. Dans un texte adopté, on veut remplacer le mot "Mahorais" par les mots "habitants de Mayotte". Cette manipulation n'est pas anodine : c'est un effacement programmé de notre histoire, de notre identité et de notre particularité.

Pourquoi changer le mot "Mahorais" ? Parce que derrière ce mot, il y a notre racine, notre peuple, notre histoire, notre culture. Parce que ce mot renvoie à ceux qui sont nés ici, qui ont légué ce territoire de génération en génération. Remplacer "Mahorais" par "habitants de Mayotte", c'est englober tous ceux qui sont venus s'installer, y compris les clandestins arrivés massivement ces dernières années, principalement en provenance des Comores. Et demain, on voudra les considérer comme des citoyens à part entière, légitimés par la loi, et donc diluer notre peuple Mahorais dans une masse artificielle d'"habitants".

C'est une supercherie, orchestrée aujourd'hui par Madame Dominique Voynet et ses alliés. Et si on accepte ça ici, alors il faudra être cohérents et appliquer la même logique partout : il faudra cesser d'appeler les Réunionnais "Réunionnais" et les appeler "habitants de la Réunion", cesser de dire "Martiniquais" et dire "habitants de la Martinique", cesser d'appeler les Français "Français" et dire "habitants du territoire français".

Mais évidemment, personne n'ose toucher à ces identités. Pourquoi ? Parce que c'est à Mayotte qu'on teste en premier ces stratégies d'effacement, comme on l'a fait à la Nouvelle-Calédonie. Là-bas aussi, on a effacé peu à peu les autochtones pour installer un système où ceux qui venaient d'ailleurs pouvaient s'imposer.

Ne soyons pas dupes ! Aujourd'hui, c'est notre peuple qu'on veut faire disparaître symboliquement, avant de le dissoudre politiquement et d'en finir avec toute revendication historique de Mayotte.

Résistons. Refusons. Défendons le mot "Mahorais", défendons notre identité, défendons Mayotte !

Le Conseil Cadial d'Estelle Youssouffa et de Soula Said Soufou a été rejeté ! C'est une victoire pour nos libertés indiv...
28/06/2025

Le Conseil Cadial d'Estelle Youssouffa et de Soula Said Soufou a été rejeté ! C'est une victoire pour nos libertés individuelles et la laïcité. Un grand merci à tous ceux qui ont résisté à cette tentative de réintroduire un organe religieux dans la gestion de notre société civile. Mayotte est et restera une terre de République, fidèle aux principes d'égalité et de liberté pour tous. Restons mobilisés pour protéger ces acquis !

Victoire d’étape, merci à vous ! ✊🏾Il fut un temps où nous étions seuls. Seuls face à l’État. Seuls face à une loi d’urg...
27/06/2025

Victoire d’étape, merci à vous ! ✊🏾

Il fut un temps où nous étions seuls. Seuls face à l’État. Seuls face à une loi d’urgence imposée à Mayotte, avec un article 10 qui, sous couvert de “gestion de crise”, autorisait en réalité l’expropriation pure et simple des Mahorais. Une attaque en règle contre notre terre, notre dignité, notre souveraineté.

À ce moment-là, beaucoup s’étaient tus. Nos propres élus avaient préféré se ranger du côté de l’État, oubliant ceux qu’ils sont censés représenter.

Et pourtant, vous, le peuple, vous avez tenu bon. Vous avez cru en nous. Vous avez refusé l’inacceptable.

Souvenez-vous : même Mme la rapporteure Estelle Youssouffa – qu’on a tous vue sur cette fameuse vidéo – refusait de supprimer cet article injuste quand elle défendait cette loi d’urgence. Elle avait choisi son camp.

Mais le temps et la vérité ont fait leur œuvre.

Aujourd’hui, ce fameux article 10, devenu article 20, puis article 19, a été retiré. Il n’est plus dans le projet de loi. Notre voix a été entendue. Votre mobilisation n’a pas été vaine.

Ce n’est qu’une bataille parmi d’autres, d'autres articles restent à combattre, d'autres injustices à faire tomber. Mais aujourd’hui, je tiens à vous dire merci. Merci pour votre confiance. Merci d’avoir cru en nous quand tout semblait perdu. C’est votre force qui nous a permis de tenir, de parler haut et fort, et de faire reculer l’inacceptable.

Mayotte ne sera plus jamais seule.

Ensemble, on continue le combat.

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