26/07/2025
LA GENDARMERIE NATIONALE TCHADIENNE, COMME BEAUCOUP D'INSTITUTIONS DANS LE PAYS EST CONFRONTÉE Á DES PROBLÈMES DE MÉDIOCRITÉ ET DE CORRUPTION !
Ces problèmes de médiocrité et de corruption, souvent liés à la faiblesse des institutions et des pratiques généralisées, entravent son efficacité et sapent la confiance du public. Les manques de formations adéquate et un équipement obsolite ou insuffisant peuvent limiter les capacités de la gendarmerie à remplir sa mission efficaciment.
Les gendarmes peuvent être tentés de demander ou d'accepter des pots-de-vin pour des services ou pour fermer les yeux sur certaines infractions.
Les nominations et les formations au sein de la gendarmerie peuvent être basées sur les liens familiaux ou d'amitié plutôt que sur le mérite, ce qui nuit à l'efficacité et à la motivation.
Certains gendarmes peuvent utiliser leur position pour s'enricher personnellement au dos de la population ou pour excercer une influence indue sur les affaires publiques.
La corruption et la médiocrité érodent la confiance du public envers la gendarmerie et les institutions de l'État en géneral.
LE CAS DE DÉPARTEMENT D'ABTOUYOUR DANS LA PROVINCE DU GUERA ! 18 ans francs de médiocrité et de la corruption.
Commandant de brigade territoriale de département d'Abtouyour, monsieur BARKAÏ ALLATCHI, qui dure 18 ans francs de service malsaine, arnaque et corruption.
Monsieur BARKAÏ ALLATCHI a pris en ôtage toute la population de département d'Abtouyour depuis 18 ans francs.
Il a cré sa propre milice parllèle, ses propres brigades, ses propres policiers, ses propres agents-des-eaux et forêts.
BARKAÏ se faisait passer pour un goran du BET, mais hélas qu'il a été rejeté par ses siens. He was rejected by his own family.
Cela met l'accent sur un rejet plus radical, une forme d'abandon ou désaveu...
Il règne d'un puissant pouvoir pour le jugement comme un demi-dieu, il a fait une fortune avec l'argent malsaine dans ce départementm avoir le portefeille bien garni s'en mettre plein les poches, aujourd'hui, il compte plusieurs vilas à NDjamena, 1025 boeufs, 2000 têtes de bovins, moutons et chèvres.
Comme il a sa propre milice non officielle, qui peut désigner une armée ou une troupe notamment dans un sens historique dans ce département, juste pour voler, corruption et arnaquer la pauvre population.
Il peut également s'agir d'une force suplétive, c'est-à.dire une force qui vient en renfort ou en remplacement de l'armée régulière. Il contrôle tout dans ce département, le seul puissant du moment.
La gendarmerie nationale tchadienne doit arrêté cet individu qui se faisait passer pour un commandant dans les vrais et dans les faux.
Une fois affecté, ailleurs, il arrange avec une grosse somme pour se faire maintenu dans ce département même avec les faux décrets ou arrêtés ministériels.
Où va le Tchad, dans cette situation, une seule personne qui dure à 18 ans dans un poste de responsabilité, même département, aucun tchadien est capable de faire ce travail sauf lui-seul ?
Libérez-nous, la population de département d'Abtouyour assez marre, marre de ce type, il ne connait ni écrire le francais ni l'arabe.
Monsieur, BARKAÏ ALLATCHI doit partir définitivement de ce département puisqu'il a assez profité sur le dos de la population.
BARAKAÏ ALLATCHI a fait 18 ans francs sans connaître son rôle, au Tchad, le commandant de brigade territoriale, souvent un général de brigade, est responsable du maintien de l'ordre de la sécurité dans sa zone géographique d'affectation.
Il supervise les unités de gendarnerie territoriale, s'assurer de la mise en oeuvre des politiques de sécurité, et coordonne les actions avec les autorités administratives et judiciaire locale. Barkaï est le seul commandant et commande tout seul...
Au Tchad, le commandant supervise les opérations de police et de gendarmerie, et prend les mesures nécessaires pour prévenir et réprimer les troubles à l'ordre public. Non pour BARKAÏ, c'est son imtérêt qui compte...
Naturellement, le commandant veille à la sécurité des citoyens et de leurs biens, en luttant contre la criminalité et en assurant la protection des infrastructures. Cela n'intéresse pas BARAKAÏ.
Normalement, il doit travailler en étroite collaboration avec les autorités administratives comme: préfet, sous-préfet et judiciaire comme procureur pour assurer une réponse efficace aux problèmes de la sécurité... Malheureusement, il évolu à seul avec sa milice.
Il n'assure aucunement l'application des lois et règlements en vigueur sur son territoire, hélas !
Un commandant, doit maitriser les principales compétences suivantes: mettre en application une méthode de raisonnement tactique dresser un contact de la délinquence sur son territoire et proposer des moyens d'actions, élaborer un ordre initial et le décliner à ses personnels. Aucun rapport de sa part !!!
Commandant de brigade de recherche, monsieur HASSAN DJIROU, est dans la même situation que son ami Barkaï.
Monsieur Hassan Djirou, son rôle l'a échappé complétement puisque le rôle d'un commandant de brigade de recherche est d'assurer le maintien de l'ordre et la sécurité dans sa zone de compétence, en particulier en menant des enquêtes sur les crimes et délits. Hélas pour son cas pour ne pas dire horrible !
En détail le commandant de brigade de recherche au Tchad a plusieurs missions clés:
- Il est le garant de la sécurité dans sa zone d'affectation, veillant à la prévention et à la répression des infractions.
- Il met en oeuvre les moyens nécessaires pour assurer la protection des personnes et des biens.
- Il peut être amené à intervenir dans des situations de crise ou de troubles à l'ordre public. Hassan Djirou est incapable puisque sa compétence ne lui permette pas d'aboutir cette responsabilité.
Le commandant dirige les enquêtes relatives aux crimes et délits commis sur son territoire.
Il coordonne les activités des enquêtes sous ses ordres, répartit les tâches et veille à la bonne exécution des institutions de la république.
Il est responsable de la collecte et de l'analyse des preuves, ainsi que de la rédaction des procès-verbaux.
Tout cela nécessite une compétence de la matière pour bien travailler.
Puisqu'il requit les réquisitions et les demandes de renseignements des magistrats et leur transmet les resultats des enquêtes.
En résumé, le commandant de recherche est un officier de gendarmerie qui joue un rôle essentiel dans le maintien de la sécurité et de l'ordre public au Tchad, en assurant la direction et la coordination des enquêtes et des opérations de police juriciaire...
Mahamat Adam comme COMPA de département d'Abtouyour n'a pas été échappé de la médiocrité de l'incompétence et de la corruption qui gragrènent la population tchadienne et particulièrement celle de la province du Guera.
La médiocrité dans la gendarmerie tchadienne est un sujet complexe, souvent évoqué dans le contexte de la corruption, du manque de formation et de ressources, ainsi que des défis sécuritaire persistants.
Ces facteurs contribuent à une perception d'inefficace et de manque de professionnalisme dans certains domaines d'activités de la gendarmerie.
Des allégations d'équipement adéquant de formation contenue et les moyens logistiques affecté la capacité de la gendarmerie à mener à bien ses missions, notamment en matière de maintien de l'ordre et de lutte contre la criminalité.
La situation sécutaire au Tchad marquée par les conflits internes et des attaques internes, met à rude épreuve des forces de sécurité y compris la gendermarie, qui doit faire face à des menace multiples et complexes.
Certains critquent soulignent une culture de la médiocrité et le corruption entretenues par les autorités, ou des nomminations et les promotions ne seraient pas toujours basées sur le mérite mais sur d'autres critères.
Naturellement, l'ensemble de la gendarmerie tchadienne ne peut être réduite à la médiocrité, il existe des unités et des individus qui font preuve de professionnelismes et d'engagements citoyen...
En Conclusion, la médiocrité dans la gendarmerie tchadienne est une réalité complexe, influencée par des facteurs internes. Cas de commandant Barkaî Allatchi 18 ans dans le département d'Abtouyour province du Guera.
Si des améliorations sont nécessaires notamment en matière de lutte contre la corruption dans nos brigades, et de renforcement des capacités, il est important de reconnaïtre que des efforts sont également déployés pour renforcer d'institutions.
Nous interpellons directement le ministre des armées, le général Issakha Djamous Moursal, le nouveau directeur général de la gendarmerie nationale, le général, Saleh Touma Houna et le nouveau directeur géneral des renseignements de l'investigation, le général Ibrahim Irig Adoum Haroun, de prendre leur responsabilité qui s'impose de faire partir les trois responsables citées ci-haut.
18 ans, c'est beaucoup trop, fait la promotion de médiocrité et la corruption dans l'adminsitration. La population en est marre marre !!!
Á chacun sa philosophie pour mieux comprendre.!
Par: Gaya Ple Seïd